994 resultados para Acuerdo de Taif, 1989.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Cette thèse propose une analyse des transformations postcommunistes en Roumanie à partir d’une étude de la structuration de trajectoires familiales. La réflexion sur les itinéraires très variés de ces trajectoires familiales met en valeur les pratiques développées par les familles dans la construction de leur mode de vie quotidienne après la chute du communisme. L’approche utilisée privilégie deux axes d’analyse. Le premier vise les aspects socio-structurels concernant les cadres de la vie incluant les aspects matériels, alors que le deuxième, l’axe socio-symbolique, concerne les aspects subjectifs liés au vécu des acteurs en corrélation avec le contexte social en mutation. L’analyse est fondée sur des éléments issus de la théorie de la structuration qui ont contribué à la construction du cadre conceptuel. Elle s’appuie aussi sur la méthodologie qualitative qui comprend des récits de vie obtenus à partir des entretiens semi-dirigés réalisés avec les membres de 11 familles. Les thématiques retenues après l’analyse du corpus de données nous ont permis d’identifier des stratégies que les familles ont mises en place et les projets familiaux qui ont orienté leur parcours de vie durant la période de transition postcommuniste. Ces deux concepts révèlent des éléments liés à l’ordre général permettant ainsi la mise en évidence des tendances structurelles de la société postcommuniste.
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La multiplication des formations professionnelles universitaires (FPU) a poussé plusieurs chercheurs à s’intéresser aux caractéristiques de ces formations, leur perméabilité à une multitude de pressions étant l’une des plus fréquemment relevées. Ainsi, les unités responsables de FPU sont confrontées à des pressions diverses et souvent contradictoires. Si les écrits scientifiques sur les FPU témoignent bien de cette réalité, ceux-ci nous informent moins bien de la manière dont les unités responsables de ce type de formation répondent à ces pressions. Cette thèse a donc fait appel à plusieurs concepts de l’approche institutionnelle issue de la sociologie des organisations pour analyser l’évolution récente de la FPU destinée aux directions d’établissement scolaire (DES) du Québec, un champ qui a connu d’importantes transformations au cours des vingt-cinq dernières années. Construite sur une étude de cas interprétative dite à « unités enchâssées » (Yin, 2003), cette thèse s’est intéressée à l’évolution de cette formation dans deux unités universitaires francophones : le Département d’administration et fondements de l’éducation de l’Université de Montréal et le Département de gestion de l’éducation et de la formation de l’Université de Sherbrooke. Couvrant la période allant des années universitaires 1988-1989 à 2008-2009, elle repose sur une analyse du discours produit par les deux unités sélectionnées, et, dans une moindre mesure, par les organisations qui composent le champ organisationnel de la formation des DES au Québec. Pour ce faire, trois corpus documentaires distincts ont été assemblés et une série d’entrevues (dix par unités) ont été réalisées auprès d’informateurs-clés (doyens, directeurs de département/section, responsables de formation). Les résultats montrent comment ces unités tendent à se rendre isomorphes à leur environnement, et comment cela se fait en réponse à des pressions institutionnelles et de compétition diverses émanant d’un champ organisationnel en pleine transformation. En fait, poussée par des changements plus profonds touchant l’administration scolaire, cette transformation amène un champ organisationnel plus structuré, où les attentes concernant la FPU destinée aux DES sont plus explicites. Cela n’est pas sans conséquence sur l’évolution de la formation dans les deux unités. En effet, celle-ci connaît des changements importants, dont plusieurs convergent autour d’une logique de professionnalisation, d’un archétype spécifique de formation (un continuum de formation de 2e cycle, au cœur duquel se trouve un diplôme de deuxième cycle) et d’outils conséquents (conditions d’admission et populations étudiantes élargies; flexibilité dans la structure du programme et professionnalisation des activités; équipes enseignantes plus diversifiées). Les deux unités n’apparaissent cependant pas impuissantes devant ces pressions. Les résultats témoignent d’un certain niveau d’agence des deux unités, qui déploient un éventail de stratégies en réaction à ces pressions. Ces stratégies évoluent au cours de la période observée et visent surtout à gérer la situation de « pluralisme institutionnel » à laquelle elles sont confrontées, notamment entre les pressions externes de nature plus professionnalisantes, et les pressions intraorganisationnelles de nature plus académisantes. Ainsi, plusieurs des stratégies et tactiques composant la typologie d’Oliver (1991) ont été observées, les stratégies de compromis et de manipulation occupant, dans les deux unités, une place de plus en plus importante au gré de l’évolution du champ. La mise en œuvre de ces stratégies vise surtout à maintenir la légitimité de leur offre de formation devant des pressions plurielles et parfois contradictoires. Les résultats montrent aussi que la nature de l’entrepreneuriat institutionnel en place détermine en grande partie les stratégies qu’elles déploient. Cet « entrepreneuriat » est au cœur de l’évolution de la formation. Cependant, les résultats montrent aussi comment celui-ci est en partie contraint ou, a contrario, stimulé par les choix historiques qui ont été faits par les unités et leur université, et par l’empreinte et les dépendances de sentier qui en découlent. Ces résultats apportent un éclairage « institutionnaliste » sur la manière dont deux unités universitaires ont réagi, à une période donnée, aux pressions diverses provenant de leur environnement. Ils brossent un portrait complexe et nuancé qui vient à la fois (1) approfondir notre compréhension de cette spécificité des FPU, (2) approfondir notre compréhension de l’évolution récente de la FPU destinée aux DES québécoises, et (3) confirmer la puissance d’analyse de plusieurs concepts tirés de l’approche institutionnelle.
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Compte rendu critique de l'ouvrage de Gilbert « Veilleurs de nuit : saison théâtrale 1988-1989 » (Montréal : Les Herbes rouges, 1989, 78 p.).
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Von der Idee zum Mythos. Die Rezeption des Bauhaus in beiden Teilen Deutschlands in Zeiten des Neuanfangs (1945 und 1989) Das Bauhaus wird 1919 durch Zusammenlegung der Großherzoglich Sächsischen Kunstgewerbeschule und der Hochschule für Bildende Kunst von Walter Gropius gegründet. Dabei geht es in seinem programmatischen Ansatz weit über seine institutionellen Vorgänger hinaus. Das Bauhaus-Konzept zielt nicht auf die Erschaffung einer zeitgemäßen Formsprache, sondern auf die Veränderung der gesellschaftlichen Wirklichkeit mit den Mitteln der Kunst. Diese Haltung ist eine Reaktion auf die Bewusstseinskrise, die durch den Ersten Weltkrieg ausgelöst worden war: Der zunehmenden Entfremdung von Kunst und Leben soll entgegengewirkt und dabei die versprengten Einzelkünste unter dem Primat der Architektur wieder zusammengeführt werden: Weil sich dieser sozial-moralische Impetus, der gemeinhin mit dem Schlagwort ‚Bauhaus-Idee’ umschrieben wird, äußerst vielschichtig darstellt, lässt er sich in die verschiedensten Kulturkonzepte einpassen. Die Arbeit legt die Bauhaus-Rezeption in Deutschland zu zwei verschiedenen Zeiten vergleichend dar. Im ersten Schritt wird die Ost- mit der Westrezeption verglichen. Dieser synchrone Vergleich wird zu zwei epochalen Umbruchsituationen durchgeführt; zum einen von 1945 bis Mitte der 50er Jahre, zum anderen von 1989 bis Mitte der 90er Jahre. Auf dieser Grundlage wird geprüft, wie sich die östliche als auch die westliche Wahrnehmung des Bauhaus von 1945-1955 gegenüber der Bauhausrezeption nach 1989 abhebt (diachroner Vergleich). Die Jahre 1945-1955 beschreiben die Entwicklung des Auseinanderbrechens der deutschen Nation in zwei autonome deutsche Staaten. Mit dem Jahr 1989 wird die Entwicklung umgekehrt: Deutschland wächst zu einer Kulturnation zusammen. Durch die Periodisierung (1945/1989) wird geklärt, wie das wiedervereinigte Deutschland auf kultureller Ebene mit der Vergangenheit des Kalten Krieges umgeht. Weil sich an der Bauhaus-Pädagogik am ehesten die reale Umsetzung der ‚Bauhaus-Idee’ ablesen lässt, analysiert meine Arbeit die pädagogischen Konzeptionen an deutschen Kunstschulen. Dabei wird in den Institutionsgeschichten der politisch-gesellschaftliche Rahmen stets mitgedacht, der Restituierungsversuche ermöglicht oder scheitern lässt. Im Zentrum meiner Arbeit steht nicht die Analyse der Sache ‚Bauhaus, sondern dessen Missdeutung und Umdeutung in politisch divergenten Zeiten. Für die Zeit 1945-1955 beschreibe ich auf westdeutscher Seite die Hochschule für Gestaltung in Ulm und die Werkakademie bzw. Werkkunstschule in Kassel. Im Osten konzentriert sich der Blick auf die historischen Bauhaus-Stätten: Weimar und Dessau. Nach der Wende vermischen sich die bis dahin getrennten Rezeptionsstränge von Ost und West. In der wiedervereinigten Bundesrepublik existieren neben dem Bauhaus-Archiv nunmehr zwei zusätzliche Institutionen: die Bauhaus-Universität in Weimar und die Stiftung Bauhaus Dessau. Wie wird in dieser historischen Situation das Bauhaus-Erbe aufgeteilt und verwaltet?
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Conocer la situaci??n laboral en que se encuentran los titulados por la Universidad de Oviedo. Identificar los campos profesionales a los que se dirigen los egresados de nuestra Universidad, as?? como constatar en qu?? medida estas tendencias est??n relacionadas con las caracter??sticas acad??micas. Poner de manifiesto las opiniones que tienen aquellos que han terminado sus Estudios Superiores, respecto de la formaci??n recibida y la Instituci??n encargada de la misma. 1143 Titulados universitarios del distrito de Oviedo que terminaron sus estudios entre 1984 y 1989. La finalidad del estudio es descriptivo y se consideran: caracter??sticas personales, acad??micas y socioecon??micas de la muestra, cuestiones relativas al ejercicio profesional, al empleo y relacionadas con la Universidad, bloques que est??n operativizados utilizando diferentes preguntas y la relaci??n que guardan entre s?? no es ??nica sino que muestran una flexibilidad de interacci??n propia de los procesos sociales (de tipo contextual, cognitivo y experiencial) a que hacen referencia. Aplicaci??n de un cuestionario por correo, justificado por las caracter??sticas del estudio y la dispersi??n de la poblaci??n de referencia, estructurado en dos niveles: para conocer las caracter??sticas personales y socioecon??micas del sujeto y preguntas centradas en las dos posibles situaciones (haber encontrado empleo o no). El mayor porcentaje de empleo lo tienen las carreras tecnol??gicas frente a las sociales, en ??stas es elevado el porcentaje de los que siguen estudiando. Prevalecen las oposiciones como v??a de acceso al trabajo para los de Sociales y la prensa para los de Experimentales y Tecnol??gicas. En cuanto a las expectativas en el trabajo, las mujeres dan m??s importancia a la seguridad, condiciones f??sicas, buen ambiente, creatividad y comodidad en la jornada y los hombres a la posibilidad de promoci??n. Son los becarios o los que trabajan a tiempo completo los que se??alan como exitosa la experiencia universitaria. Est??n mayoritariamente de acuerdo con que necesitan hacer reciclajes continuos para desarrollar su profesi??n. A menor nivel de valoraci??n de la experiencia universitaria m??s se destaca la necesidad de profundizar en materias b??sicas. La necesidad de especializaci??n en un campo es m??s percibida por psic??logos, m??dicos, abogados y pedag??gos. Los de Tecnol??gicas ven la necesidad de la Inform??tica. En cuanto a los planes de estudios, los de Humanas prefieren carreras con un ciclo general y otro de especializaci??n, frente a los de T??cnicas que prefieren carreras cortas y especializadas en consonancia con las exigencias del mundo laboral.
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Conocer la realidad juvenil asturiana, la realidad social, las opiniones de los jóvenes, sus actitudes, sus preferencias. 700 sujetos de ambos sexos entre 15 y 30 años, con un muestreo proporcional y estratificado, de acuerdo con los diferentes grupos de edad. Las entidades de población muestrales se seleccionaron mediante el sistema de rutas aleatorias a partir de puntos de arranque elegidos al azar y personas entrevistadas mediante cuotas de edad. Se estudia la ocupación, situación laboral y estudios de los jóvenes, la situación familiar, el sistema de valores (opiniones sobre Instituciones, religión...), opiniones sobre la sexualidad (centros de planificación familiar...), ocupación del tiempo libre, necesidades, drogadicción, delincuencia, asociacionismo,etc. Los encuestados suelen tener estudios de BUP, COU y FP, los porcentajes de estudios medios y superiores son más elevados en zonas urbanas. El nivel de instrucción más alto lo tienen los encuestados que estudian y trabajan. La actividad laboral es más elevada en los varones que en mujeres, sobre todo cuanto menor es su nivel cultural; es bastante mayor el porcentaje de trabajo no cualificado entre las mujeres y en la zona rural frente a los trabajos cualificados de la zona de Oviedo-Gijón; más de la mitad de los jóvenes están empleados en empresa privada y no suelen utilizarse las vías oficiales en la búsqueda de empleo. La satisfacción con su estabilidad laboral, con las condiciones y relación de trabajo y con la independencia que les proporciona es bastante alta al contrario que con la creatividad o el sueldo que tienen. Aunque parece que las razones por las que eligieron su profesión son diversas, destaca la falta de otro tipo de trabajo. La formación, el trabajo y el placer de estudiar son tres de las motivaciones principales por las que dicen estudiar. Sólo 2 de cada 100 dicen estar obligados. Existe una gran desorientación y pesimismo en cuanto a las posibilidades de empleo con los estudios realizados pero más de la mitad de los encuestados están satisfechos con sus estudios y los consideran útiles. Consideran como instrumento eficaz las nuevas tecnologías para mejorar las condiciones laborales pero no para crear nuevos puestos de trabajo. Además de todo esto, en este estudio se describen las actitudes de los jovenes hacia temas como la delincuencia, sexualidad, tiempo libre, etc.
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Conocer la valoraci??n que los estudiantes de COU y tercero de FP hacen de la orientaci??n profesional y ocupacional recibida en su trayectoria acad??mica, as?? como de los diferentes momentos y agentes de informaci??n implicados en la misma, para aportar datos objetivos que permitan la planificaci??n de tareas de orientaci??n profesional en los centros de Ense??anzas Medias y posibilitar la detecci??n de las necesidades existentes desde la perspectiva de los alumnos. Estudiantes de los ??ltimos cursos de Ense??anzas Medias en 1989-90 de centros p??blicos de Asturias. Las muestras de los dos colectivos (COU y tercero de FP II) son estad??sticamente representativas de la poblaci??n de or??gen. Caracter??sticas de los alumnos (personales y acad??micas); opiniones sobre la orientaci??n profesional (agentes de informaci??n, sistema educativo, informaci??n actividad profesional, consideraci??n de la orientaci??n); procesos de toma de decisiones (momentos en la decisi??n, plan de actuaci??n a corto plazo, opini??n-dependencias de decisi??n, criterios toma de decisi??n). Cuestionario elaborado por los autores cuyos fundamentos eran comunes tanto para los alumnos de COU como para los de FP, con algunas preguntas espec??ficas para cada colectivo. Las caracter??sticas personales de los alumnos de COU y de los de tercero de FP II son diferentes. Las caracter??sticas acad??micas no permiten hacer comparaciones por presentar peculiaridades propias y distintivas. En la valoraci??n de la orientaci??n e informaci??n profesional, s??lo juzgan satisfactoria su propia actuaci??n de b??squeda de informaci??n y los que por su profesi??n, profesores, deber??an ser agentes de informaci??n profesional reciben las puntuaciones m??s bajas entre los alumnos de COU, en FP se valoran m??s, lo que puede ser debido a la relaci??n existente entre profesores de FP y el mundo laboral. Visto esto, no es de extra??ar que la valoraci??n global de la orientaci??n se mueva entre los m??rgenes de ninguna y/o escasa para la mayor??a de los estudiantes. El planteamiento del futuro profesional se produce durante los ??ltimos a??os de los ciclos educativos, aunque los de COU muestran un elevado porcentaje de indecisi??n y prima tercero de BUP como fundamental en los de tercero de FP II el grado de indecisi??n es muy reducido y el curso importante es octavo de EGB. Los criterios utilizados en la toma de decisiones son muy similares para los dos grupos y son: gusto personal, capacitaci??n personal, mercado laboral, dinero a lograr y servicio que pueden prestar. El hecho de trabajar con dos muestras independientes de estudiantes asturianos de COU y tercero de FP II les permite, sostienen los autores, tener una idea clara sobre cuales son sus opiniones y valoraciones respecto a la orientaci??n profesional y vocacional recibida a lo largo de la trayectoria escolar.
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Difundir los resultados de la primera campaña de orientación profesional y poner al alcance de los interesados una serie de informaciones sobre la misma. Con la recogida de datos se quiere determinar la población que abandona los estudios para incorporarse al mercado laboral; observar qué tipo de estudios son más demandados por los jóvenes; analizar diferencias por sexo en cuanto al tipo de estudios a realizar; diferencias por ámbito rural o urbano; detectar el interés por cursos de formación ocupacional. 1.324 alumnos voluntarios de COU y FPII de 25 centros asturianos tanto de zona rural como urbana. Análisis y descripción de objetivos, metodología, actividades e información transmitida en la campaña, haciendo hincapié en las tres vías de acercamiento a la realidad del mundo laboral (análisis del mercado laboral, itinerarios formativos y técnicas de búsqueda de empleo). Estudio y valoración de las encuestas en Enseñanzas Medias analizando las siguientes variables: estudio de la población, intención de continuar estudios, interés por distintos tipos de formación y recepción de la campaña en función del sexo, del tipo de estudios que esté realizando (COU o FPII) y el tipo de ámbito (rural o urbano). Cuestionario individual con dos objetivos: recopilar información para construir un banco de datos para estudiar los intereses profesionales e intenciones de estudio y/o trabajo de los jóvenes; conocer la voloración que los alumnos hacen de la campaña (qué les interesó más, menos, lo que se debería cambiar, para qué le sirvió). En cuanto a los alumnos de COU, la mayoría desean proseguir sus estudios en la Universidad; hay un 13 por ciento que no han decidido qué tipo de estudios desean realizar lo que justifica la necesidad de orientación profesional continuada; existen diferencias por sexos en cuanto a los estudios elegidos. Los alumnos de FPII desean continuar estudiando en un alto porcentaje; buen número de ellos alternará la formación ocupacional con la búsqueda de empleo; los cursos del plan FIP por los que más se interesan son: Informática, Idiomas, Ofimática y Cad. Los alumnos de ámbitos rurales se incorporan al mundo laboral más temprano que los de ámbitos urbanos; las mujeres tienden a elegir estudios de Ciclo Medio en mayor porcentaje que las de zonas urbanas; los alumnos de procedencia urbana superan porcentualmente a los de procedencia rural en la intención de estudios de tipo técnico, excepto en Informática. Necesidad de formación continuada y reciclaje como consecuencia de los cambios tecnológicos, adaptar los títulos con cursos de formación complementaria, romper el rol sexista de las profesiones, estar informado.