863 resultados para Abelha - Habitat
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L’effet du développement résidentiel des bassins versants sur l’habitat et la distribution des macrophytes dans le littoral de six lacs des Laurentides a été évalué à l’aide de carottes de sédiments et de quadrats. Le développement augmente la proportion de milieux déboisés ce qui réduit l’apport en débris de bois et augmente l’érosion et les apports de nutriments dans les sédiments du littoral. Les sédiments sont plus fins, plus denses et contiennent moins de matière organique. Ces changements favorisent les macrophytes en augmentant leur couverture dans les lacs développés. La présence d’espèces submergées de macrophytes est également favorisée au détriment des espèces à feuilles flottantes, plus caractéristiques des lacs moins développés. Même si la biomasse des macrophytes est limitée dans certains lacs, celle-ci augmente dans les lacs développés et montre des signes d’un effet tampon sur les apports de nutriments. Des quantités équivalentes à des valeurs entre 35 et 230% des apports annuels de phosphore et entre 79 et 659% des apports d’azote par les résidents ont été accumulées dans les tissus des macrophytes des lacs dont le bassin versant est très déboisé. Les sédiments s’enrichissent à la sénescence des macrophytes et contiennent alors plus de nutriments que la colonne d’eau et ce, pour tous les lacs. Une présence accrue d’espèces submergées et plus de nutriments dans les tissus des macrophytes des lacs développés, jumelés à l’absence de prolifération de phytoplancton malgré un plus grand apport de nutriments, laisse penser que les lacs des Laurentides sont en état d’eutrophisation précoce.
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La variabilité spatiale et temporelle de l’écoulement en rivière contribue à créer une mosaïque d’habitat dynamique qui soutient la diversité écologique. Une des questions fondamentales en écohydraulique est de déterminer quelles sont les échelles spatiales et temporelles de variation de l’habitat les plus importantes pour les organismes à divers stades de vie. L’objectif général de la thèse consiste à examiner les liens entre la variabilité de l’habitat et le comportement du saumon Atlantique juvénile. Plus spécifiquement, trois thèmes sont abordés : la turbulence en tant que variable d’habitat du poisson, les échelles spatiales et temporelles de sélection de l’habitat et la variabilité individuelle du comportement du poisson. À l’aide de données empiriques détaillées et d’analyses statistiques variées, nos objectifs étaient de 1) quantifier les liens causaux entre les variables d’habitat du poisson « usuelles » et les propriétés turbulentes à échelles multiples; 2) tester l’utilisation d’un chenal portatif pour analyser l’effet des propriétés turbulentes sur les probabilités de capture de proie et du comportement alimentaire des saumons juvéniles; 3) analyser les échelles spatiales et temporelles de sélection de l’habitat dans un tronçon l’été et l’automne; 4) examiner la variation individuelle saisonnière et journalière des patrons d’activité, d’utilisation de l’habitat et de leur interaction; 5) investiguer la variation individuelle du comportement spatial en relation aux fluctuations environnementales. La thèse procure une caractérisation détaillée de la turbulence dans les mouilles et les seuils et montre que la capacité des variables d’habitat du poisson usuelles à expliquer les propriétés turbulentes est relativement basse, surtout dans les petites échelles, mais varie de façon importante entre les unités morphologiques. D’un point de vue pratique, ce niveau de complexité suggère que la turbulence devrait être considérée comme une variable écologique distincte. Dans une deuxième expérience, en utilisant un chenal portatif in situ, nous n’avons pas confirmé de façon concluante, ni écarté l’effet de la turbulence sur la probabilité de capture des proies, mais avons observé une sélection préférentielle de localisations où la turbulence était relativement faible. La sélection d’habitats de faible turbulence a aussi été observée en conditions naturelles dans une étude basée sur des observations pour laquelle 66 poissons ont été marqués à l’aide de transpondeurs passifs et suivis pendant trois mois dans un tronçon de rivière à l’aide d’un réseau d’antennes enfouies dans le lit. La sélection de l’habitat était dépendante de l’échelle d’observation. Les poissons étaient associés aux profondeurs modérées à micro-échelle, mais aussi à des profondeurs plus élevées à l’échelle des patchs. De plus, l’étendue d’habitats utilisés a augmenté de façon asymptotique avec l’échelle temporelle. L’échelle d’une heure a été considérée comme optimale pour décrire l’habitat utilisé dans une journée et l’échelle de trois jours pour décrire l’habitat utilisé dans un mois. Le suivi individuel a révélé une forte variabilité inter-individuelle des patrons d’activité, certains individus étant principalement nocturnes alors que d’autres ont fréquemment changé de patrons d’activité. Les changements de patrons d’activité étaient liés aux variables environnementales, mais aussi à l’utilisation de l’habitat des individus, ce qui pourrait signifier que l’utilisation d’habitats suboptimaux engendre la nécessité d’augmenter l’activité diurne, quand l’apport alimentaire et le risque de prédation sont plus élevés. La variabilité inter-individuelle élevée a aussi été observée dans le comportement spatial. La plupart des poissons ont présenté une faible mobilité la plupart des jours, mais ont occasionnellement effectué des mouvements de forte amplitude. En fait, la variabilité inter-individuelle a compté pour seulement 12-17% de la variabilité totale de la mobilité des poissons. Ces résultats questionnent la prémisse que la population soit composée de fractions d’individus sédentaires et mobiles. La variation individuelle journalière suggère que la mobilité est une réponse à des changements des conditions plutôt qu’à un trait de comportement individuel.
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Puisque l’altération des habitats d’eau douce augmente, il devient critique d’identifier les composantes de l’habitat qui influencent les métriques de la productivité des pêcheries. Nous avons comparé la contribution relative de trois types de variables d’habitat à l’explication de la variance de métriques d’abondance, de biomasse et de richesse à l’aide de modèles d’habitat de poissons, et avons identifié les variables d’habitat les plus efficaces à expliquer ces variations. Au cours des étés 2012 et 2013, les communautés de poissons de 43 sites littoraux ont été échantillonnées dans le Lac du Bonnet, un réservoir dans le Sud-est du Manitoba (Canada). Sept scénarios d’échantillonnage, différant par l’engin de pêche, l’année et le moment de la journée, ont été utilisés pour estimer l’abondance, la biomasse et la richesse à chaque site, toutes espèces confondues. Trois types de variables d’habitat ont été évalués: des variables locales (à l’intérieur du site), des variables latérales (caractérisation de la berge) et des variables contextuelles (position relative à des attributs du paysage). Les variables d’habitat locales et contextuelles expliquaient en moyenne un total de 44 % (R2 ajusté) de la variation des métriques de la productivité des pêcheries, alors que les variables d’habitat latérales expliquaient seulement 2 % de la variation. Les variables les plus souvent significatives sont la couverture de macrophytes, la distance aux tributaires d’une largeur ≥ 50 m et la distance aux marais d’une superficie ≥ 100 000 m2, ce qui suggère que ces variables sont les plus efficaces à expliquer la variation des métriques de la productivité des pêcheries dans la zone littorale des réservoirs.
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Habitat ecology and food and feeding of the herring bow crab, Varuna litterata of Cochin Backwaters, Kerala, India were investigated for a period of one year (April 2011-March 2012). Among the 15 stations surveyed, the crabs were found to occur only in 4 stations, which had a close proximity to the sea. Sediment analysis of the stations revealed that the substratum of these stations is sandy in nature and is rich in organic carbon content (0.79% to 1.07%). These estuarine crabs is euryhaline and are found to be distributed in areas with a sandy substratum, higher organic carbon content and more tidal influx. The stomach contents analysis of crabs examined showed that their diet included crustacean remains, plants, sand and debris, fishes, miscellaneous group and unidentified matter. In adults and sub-adults, crustaceans formed the dominant food group, while in juveniles, sand and debris formed the dominant group. From the present study, V. litterata was found to be a predatory omnivore capable of ingesting both animal and plant tissues
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Among the decapod crustaceans, brachyuran crabs or the true crabs occupy a very significant position due to their ecological and economic value. Crabs support a sustenance fishery in India, even though their present status is not comparable to that of shrimps and lobsters. They are of great demand in the domestic market as well as in the foreign markets. In addition to this, brachyuran crabs are of great ecological importance. They form the conspicuous members of the mangrove ecosystems and play a significant role in detritus formation, nutrient recycling and dynamics of the ecosystem. Considering all these factors, crabs are often considered to be the keystone species of the mangrove ecosystem. Though several works have been undertaken on brachyuran crabs world –wide as well as within the country, reports on the brachyuran crabs of Kerala waters are very scanty. Most of the studies done on brachyuran fauna were from the east coast of India and a very few works from the west coast. Among the edible crabs, mud crabs belonging to genus Scylla forms the most important due to their large size and taste. They are being exported on a large scale to the foreign markets like Singapore, Malaysia and Hong Kong. Kerala is the biggest supplier of live mud crabs and Chennai is the major centre of live mud crab export. However, there exists considerable confusion regarding the identification of mud crabs because of the subtle morphological differences between the species.In this context, an extensive study was undertaken on the brachyuran fauna of Cochin Backwaters, Kerala, India, to have a basic knowledge on their diversity, habitat preference and systematics. The study provides an attempt to resolve the confusion pertaining in the species identification of mud crabs belonging to Genus Scylla. Diversity study revealed the occurrence of 23 species of brachyuran crabs belonging to 16 genera and 8 families in the study area Cochin Backwaters. Among the families, the highest number of species was recorded from Family Portunidae .Among the 23 crab species enlisted from the Cochin backwaters, 5 species are of commercial importance and contribute a major share to the crustacean fishery of the Cochin region. It was observed that, the Cochin backwaters are invaded by certain marine migrant species during the Post monsoon and Pre monsoon periods and they are found to disappear with the onset of monsoon. The study reports the occurrence of the ‘herring bow crab’ Varuna litterata in the Cochin backwaters for the first time. Ecological studies showed that the substratum characteristics influence the occurrence, distribution and abundance of crabs in the sampling stations rather than water quality parameters. The variables which affected the crab distribution the most were Salinity, moisture content in the sediment, organic carbon and the sediment texture. Besides the water and sediment quality parameters, the most important factor influencing the distribution of crabs is the presence of mangroves. The study also revealed that most of the crabs encountered from the study area preferred a muddy substratum, with high organic carbon content and high moisture content. In the present study, an identification key is presented for the brachyuran crabs occurring along the study area the Cochin backwaters and the associated mangrove patches, taking into account the morphological characters coupled with the structure of third maxillipeds, first pleopods of males and the shape of male abdomen. Morphological examination indicated the existence of a morphotype which is comparable with the morphological features of S. tranquebarica, the morphometric study and the molecular analyses confirmed the non existence of S. tranquebarica in the Cochin backwaters.
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Estudio del modo de estar distribuidos los lugares habitados en Asturias en el campo, los modos de vida, la agricultura tradicional, la parroquia, la propiedad de la tierra, la casería, la casa en las distintas zonas asturianas, los horreos y paneras, los molinos, los útiles de labranza, los productos más comunes como maíz, árboles frutales. los mercados como lugares de intercambio de bienes, etc. Finalmente se hace un recorrido sobre el panorama actual asturiano, la modernización de la maquinaria, la introducción de nuevos cultivos... y se sugieren algunas rutas tanto de lugares que conservan la estructura original como algunas más modernizadas.
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Contiene: I. Modelo didáctico; II. Cuaderno del alumno; III. Mapas, planos y datos; IV. Dossier informativo
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Resumen basado en el del autor
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Geographical distribution, habitat and reproductive phenology of the Genus Kallymenia (Gigartinales, Rhodophyta) from Catalonia, Spain
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Although shorebirds spending the winter in temperate areas frequently use estuarine and supratidal (upland) feeding habitats, the relative contribution of each habitat to individual diets has not been directly quantified. We quantified the proportional use that Calidris alpina pacifica (Dunlin) made of estuarine vs. terrestrial farmland resources on the Fraser River Delta, British Columbia, using stable isotope analysis (δ13C, δ15N) of blood from 268 Dunlin over four winters, 1997 through 2000. We tested for individual, age, sex, morphological, seasonal, and weather-related differences in dietary sources. Based on single- (δ13C) and dual-isotope mixing models, the agricultural habitat contributed approximately 38% of Dunlin diet averaged over four winters, with the balance from intertidal flats. However, there was a wide variation among individuals in the extent of agricultural feeding, ranging from about 1% to 95% of diet. Younger birds had a significantly higher terrestrial contribution to diet (43%) than did adults (35%). We estimated that 6% of adults and 13% of juveniles were obtaining at least 75% of their diet from terrestrial sources. The isotope data provided no evidence for sex or overall body size effects on the proportion of diet that is terrestrial in origin. The use of agricultural habitat by Dunlin peaked in early January. Adult Dunlin obtained a greater proportion of their diet terrestrially during periods of lower temperatures and high precipitation, whereas no such relationship existed for juveniles. Seasonal variation in the use of agricultural habitat suggests that it is used more during energetically stressful periods. The terrestrial farmland zone appears to be consistently important as a habitat for juveniles, but for adults it may provide an alternative feeding site used as a buffer against starvation during periods of extreme weather. Loss or reduction of agricultural habitat adjacent to estuaries may negatively impact shorebird fitness, with juveniles disproportionately affected.
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Breeding seabirds are threatened by human activities that affect nesting and foraging habitat. In Canada, one of the seabirds most at risk of extirpation is the Roseate Tern, Sterna dougallii. Although critical nesting habitat has been identified for the Roseate Tern in Canada, its foraging locations and the diet of its chicks are unknown. Therefore, our goal was to determine the foraging locations and diet of chicks of Roseate Tern breeding on Country Island, Nova Scotia, which is one of Canada's two main breeding colonies. In 2003 and 2004, we radio-tracked the Roseate Tern by plane to locate foraging areas and conducted feeding watches to determine the diet of chicks. Roseate Tern foraged approximately 7 km from the breeding colony over shallow water < 5 m deep. In both years, sand lance, Ammodytes spp., was the most common prey item delivered to chicks, followed by hake, Urophycis spp. Our results are consistent with previous work at colonies in the northeastern United States, suggesting that throughout its range, this species may be restricted in both habitat use and prey selection. The reliance on a specific habitat type and narrow range of prey species makes the Roseate Tern generally susceptible to habitat perturbations and reductions in the availability of prey.