998 resultados para 316.825
Resumo:
Ce texte a pour objectif d’attirer l’attention sur un fait numismatique qui ne nous semble pas avoir été très souvent traité, celui des monnaies émises par des chefs politiques « rebelles » à une autorité normalement reconnue, dans un cas les Aghlabides de Kairouan, et dans l’autre les émirs omeyyades de Cordoue. L’étude de ce genre de monnaies devrait pouvoir aider à étudier, à partir des frappes réalisées en temps de crise politique, la question très importante de la légitimité du pouvoir dans l’Islam, et peut-être aussi celle des rapports de la frappe de monnaie avec les activités économiques. On n’attendra cependant pas de révélations des données très partielles et limitées qui vont suivre. Elles ne concernent en effet que deux frappes de dirhams correspondant chronologiquement au troisième siècle de l’Hégire qui, de 815 à 912, couvre pour l’essentiel le IXème siècle de l’ère chrétienne. L’une des monnaies date de son début (209 H/824-825), l’autre de sa fin (293 H/905-906). La première est Ifriqiyenne, la seconde andalouse; les deux, on l’a dit, sont frappées durant une époque de crise, et il peut être intéressant de les mettre en parallèle, sans prétendre en tirer de conclusions très nouvelles et de très grande portée, car il ne s’agit que de deux cas particuliers, auxquels la relative rareté de telles émissions, le fait qu’elles ont été peu étudiées et que les circonstances de la frappe des deux exemplaires présentés sont assez bien connues, incite tout de même à prêter quelque intérêt. La frappe andalouse pose par ailleurs un problème particulier, dans la mesure où elle correspond à un moment (entre les années 290/900 et 316/929) où le pouvoir omeyyade semble ne plus frapper de monnaies, ou pratiquement pas.
Resumo:
On January 20th, the International Atomic Energy Agency confirmed that Iran had been implementing its commitments as part of the Joint Plan of Action (JPA) agreed with the so-called ‘E3+3’ in Geneva (also known as P5+1) on 24 November 2013. The forging of this interim deal, the successful start to its implementation and the temporary sanctions relief represent resounding success for international diplomacy but they should not be allowed to conceal the underlying issues. Reaching agreement on the JPA was achieved at the cost of clarity over what is to follow and it was decided to eschew a structured agreement in favour of a two-step process. The stated aim of the negotiating parties remains that of starting the implementation of a comprehensive solution by November 2014. If agreement is not reached on a comprehensive solution by the expiry of the JPA by July 20th, the action plan can be renewed by mutual consent. The latter might well be the likeliest outcome of the forthcoming negotiations. Apart from the large gap between the E3+3 and Iranian positions on the substance of a final deal, several domestic policy constraints will likely define the parameters of what is achievable in the future. This CEPS Policy Brief argues that the best hope for success lies in continued engagement and consistent incremental progress in the negotiations, with structured concessions on both sides. This should occur, however, not in a two- but a three-step framework based on lengthening Iran’s ‘breakout’ period while re-engaging with the country both politically and economically. The EU is in a unique position to lead this process. Having greater flexibility than either the US or Iran, its main tasks will be that of maintaining the negotiating momentum and broadening dialogue with Iran.