A strand of vermicelli:Dr Darwin's part in the creation of Frankenstein's monster

Although much has been written about Mary Shelley's Frankenstein, the part played by Erasmus Darwin (1731-1802) has been almost entirely neglected. This is odd as, apart from some ghost stories, Dr Darwin is the one influence mentioned in both the 1816 and 1831 prefaces to the book. The present contribution aims to redress that omission. It aims to show that Darwin's ideas about spontaneous generation, his anti-establishment ideas, and his literary genius played a significant role in forming the 'dark and shapeless substance' surging in Mary Shelley's mind during the summer of 1816 and from which her tale of Gothic horror emerged. It is, however, ultimately ironic that Frankenstein, which warns against a too enthusiastic use of scientific knowledge, should have been partly inspired by one of the most optimistically forward-looking of all late eighteenth-century thinkers. © 2007 Institute of Materials, Minerals and Mining.

The manufacture and utilisation of architectural terracotta and faience.

The revival of terracotta and faience in British architecture was widespread, dramatic in its results and, for two decades, the subject of intense debate. However the materials have been frequently denigrated and more generally disregarded by both architects and historians. This study sets out to record and explain the rise and fall of interest in terracotta and faience, the extent and nature of the industry and the range of architectural usage in the Victorian, Edwardian and inter-war periods. The first two chapters record the faltering use of terracotta as an 'artificial stone', until the material gained its own identity, largely through the appreciation of Italian architecture. In the mid-Victorian period, terracotta will be seen to have become symbolic of the philosophy of the Victoria and Albert Museum and its Art School in attempting to reform both architecture and the decorative arts. The adoption of terracotta was furthered as much by industrial as aesthetic factors; three chapters examine how the exploitation of coal-measure clays, developments in the processes of manufacture, the changing motivation of industrialists and differing economics of production served to promote and then to hinder expansion and adaptation. The practical values of economy, durability and fire-resistance and the aesthetic potential, seen in terms of colour and decorative and sculptural modelling, became inter-related in the work of the architects who made extensive use of architectural ceramics. A correlation emerges between the free Gothic style, exemplified by the designs of Alfred Waterhouse and the use of red terracotta supplied from Ruabon, and between the eclectic Renaissance style and a buff material produced by different manufacturers.These patterns were modified as a result of the adoption of faience for facing external walls as well as interiors, and because of the new architectural requirements and tastes of the twentieth century. The general timidity in exploiting the scope for polychromatic decoration and the increasing opposition to architectural ceramics is contrasted with the most successful schemes produced for cinemas, chain-stores and factories. In the last chapter, those undertaken by the Hathern Station Brick and Terracotta Company between 1896 and 1939 are used as a case study; they confirm that manufacturers, architects and clients were all committed to creating a modern and yet decorative architecture, appropriate for new building types and that would appeal to and be comprehensible to the public.

Spain:countries of the world

Spain has been the home of some of the world's great artists and has museums and galleries to match. In the cities, narrow twisting old streets suddenly open up to views of the daring modern architecture, as a culture of old and new mix and mingle in the city's nightlife. There are endless tracts of wild and crinkled sierra to explore, as well as some spectacularly rugged stretches of coast. Culturally, the country is littered with superb old buildings, from Roman aqueducts to Gothic cathedrals, and almost every second village has a medieval castle. With more than 115 years exploring the globe with its writers, photographers, and research expeditions, "National Geographic" is uniquely positioned to introduce your readers to everything they need to know about the countries of the world.

Alaric : un barbare à l'habitus romain au tournant du 5e siècle

Cette thèse a comme objectif de démontrer combien Alaric et ses Goths étaient Romains dans pratiquement toutes les catégories connues sur leur compte. Pour ce faire, l’auteur a puisé dans les sciences sociales et a emprunté le champ conceptuel de l’éminent sociologue Pierre Bourdieu. À l’aide du concept d’habitus, entre autres choses, l’auteur a tenté de faire valoir à quel point les actions d’Alaric s’apparentaient à celles des généraux romains de son époque. Naturellement, il a fallu étaler le raisonnement au long de plusieurs chapitres et sur de nombreux niveaux. C’est-à-dire qu’il a fallu d’abord définir les concepts populaires en ce moment pour « faire » l’histoire des barbares durant l’Antiquité tardive. Pensons ici à des termes tels que l’ethnicité et l’ethnogenèse. L’auteur s’est distancé de ces concepts qu’il croyait mal adaptés à la réalité des Goths et d’Alaric. C’est qu’il fallait comprendre ces hommes dans une structure romaine, au lieu de leur octroyer une histoire et des traditions barbares. Il a ensuite fallu montrer que la thèse explorait des avenues restées peu empruntées jusqu’à aujourd’hui. Il a été question de remonter jusqu’à Gibbon pour ensuite promouvoir le fait que quelques érudits avaient autrefois effleuré la question d’Alaric comme étant un homme beaucoup moins barbare que ce que la tradition véhiculait à son sujet, tel que Fustel de Coulanges, Amédée Thierry ou encore Marcel Brion. Il s’agissait donc de valider l’angle de recherche en prenant appui d’abord sur ces anciens luminaires de la discipline. Vint ensuite l’apport majeur de cette thèse, c’est-à-dire essentiellement les sections B, C et D. La section B a analysé la logistique durant la carrière d’Alaric. Cette section a permis avant tout de démontrer clairement qu’on n’a pas affaire à une troupe de brigands révoltés; le voyage de 401-402 en Italie prouve à lui seul ce fait. L’analyse approfondie de l’itinéraire d’Alaric durant ses nombreux voyages a démontré que cette armée n’aurait pas pu effectuer tous ces déplacements sans l’appui de la cour orientale. En l’occurrence, Alaric et son armée étaient véritablement des soldats romains à ce moment précis, et non pas simplement les fédérés barbares de la tradition. La section C s’est concentrée sur les Goths d’Alaric, où on peut trouver deux chapitres qui analysent deux sujets distincts : origine/migration et comparaison. C’est dans cette section que l’auteur tente de valider l’hypothèse que les Goths d’Alaric n’étaient pas vraiment Goths, d’abord, et qu’ils étaient plutôt Romains, ensuite. Le chapitre sur la migration n’a comme but que de faire tomber les nombreuses présomptions sur la tradition gothe que des érudits comme Wolfram et Heather s’efforcent de défendre encore aujourd’hui. L’auteur argumente pour voir les Goths d’Alaric comme un groupe formé à partir d’éléments romains; qu’ils eurent été d’une origine barbare quelconque dans les faits n’a aucun impact sur le résultat final : ces hommes avaient vécu dans l’Empire durant toute leur vie (Alaric inclus) et leurs habitus ne pouvaient pas être autre chose que romain. Le dernier chapitre de la section C a aussi démontré que le groupe d’Alaric était d’abord profondément différent des Goths de 376-382, puis d’autres groupes que l’on dit barbares au tournant du 5e siècle, comme l’étaient les Vandales et les Alamans par exemple. Ensemble, ces trois chapitres couvrent la totalité de ce que l’on connait du groupe d’Alaric et en offre une nouvelle interprétation à la lumière des dernières tendances sociologiques. La section D analyse quant à elle en profondeur Alaric et sa place dans l’Empire romain. L’auteur a avant tout lancé l’idée, en s’appuyant sur les sources, qu’Alaric n’était pas un Goth ni un roi. Il a ensuite analysé le rôle d’Alaric dans la structure du pouvoir de l’Empire et en est venu à la conclusion qu’il était l’un des plus importants personnages de l’Empire d’Orient entre 397 et 408, tout en étant soumis irrémédiablement à cette structure. Sa carrière militaire était des plus normale et s’inscrivait dans l’habitus militaire romain de l’époque. Il a d’ailleurs montré que, par ses actions, Alaric était tout aussi Romain qu’un Stilicon. À dire le vrai, mis à part Claudien, rien ne pourrait nous indiquer qu’Alaric était un barbare et qu’il essayait d’anéantir l’Empire. La mauvaise image d’Alaric n’est en effet redevable qu’à Claudien : aucun auteur contemporain n’en a dressé un portrait aussi sombre. En découle que les auteurs subséquents qui firent d’Alaric le roi des Goths et le ravageur de la Grèce avaient sans doute été fortement influencés eux aussi par les textes de Claudien.

The Capital Sculpture of Wells Cathedral, c. 1184-1210

The understudied capital sculpture of Wells Cathedral in Somerset, England (c. 1184-1210) provides ample opportunity of expanding the current scholarship and understanding of interior ecclesiastical sculpture in a West Country cathedral. While the Gothic style of architecture is typically understood as, according to Paul Binski (2014), rational in execution and reception, the capital sculpture at Wells Cathedral has been considered illogical in terms of both its iconography and location within the nave, transepts, and north porch. Utilizing Michael Camille’s post/anti-iconographical approach, this project examines the Wells figural capitals in five case studies: labour, Old and New Testament Scenes, animals and beast fables, busts, and monsters and hybrids. Each group of capitals will be approached with an understanding that this type of art was viewed by people of different classes and professions, with each viewer bringing their own personal experiences and abilities into how they could have read and understood these types of images. Therefore, the capitals at Wells must be read through layers of meaning and interpretation while also considering their locations within the cathedral and how they react and respond to surrounding figural capitals.

La gárgola en la cultura visual actual

La gárgola ha poblado desde antiguo las cornisas de los edificios religiosos y civiles, sirviendo de evacuación para el agua y para diferentes misiones según las distintas interpretaciones. Su gran componente simbólico hace de ella un reclamo muy interesante para el mundo audiovisual actual. De entre las manifestaciones encontradas, estudiaremos la visión de la gárgola en estos medios y valoraremos su adecuación o no a la visión medieval. Mediante la aparición de la gárgola medieval en el mundo actual en forma de personajes y ornamentos, y gracias a la aplicación de imágenes actuales a las nuevas gárgolas, podemos realizar un recorrido visual y simbólico alrededor de las distintas visiones que la cultura actual realiza de ellas. Pero no podemos quedarnos ahí, es necesario relacionar estas nuevas visiones y significaciones con las originales, para establecer si se ha hecho un uso correcto de la imagen, o se ha roto la estructura del símbolo primigenio.

"Per aurem intrat Christus in Mariam". Aproximación iconográfica a la "conceptio per aurem" en la pintura italiana del Trecento desde fuentes patrísticas y teológicas

La tesis mariológica de la conceptio per aurem, según la cual la Virgen María habría concebido a Jesucristo por el oído en el momento de escuchar del ángel el mensaje celestial anunciándole que, sin perder su virginidad, sería madre del Hijo de Dios encarnado, ha merecido hasta ahora muy pocos estudios académicos rigurosamente fundados en fuentes primarias. De hecho, en la literatura especializada son muy escasas las referencias a tal teoría y, cuando algún estudioso la evoca, casi siempre se contenta con aludir a ella, sin aportar pruebas documentales. Sin embargo, tal como lo revelan las nueve pinturas italianas aquí analizadas, esa teoría fue ilustrada mediante sutiles metáforas visuales en muchas obras pictóricas medievales, las cuales se inspiraron en una sólida tradición literaria. Además una pléyade de Padres de la Iglesia y teólogos medievales testimonia, mediante afirmaciones explícitas, que semejante teoría gozó de notable aceptación entre los maestros del pensamiento cristiano. Basándose en numerosos textos patrísticos y teológicos, este artículo intenta dos objetivos esenciales: exponer, ante todo, las distintas formulaciones teóricas propuestas por esos pensadores; y además, tratar de poner en luz los significados dogmáticos que subyacen bajo esa sorprendente tesis.

Gotik i svensk fantastik : Gotiska drag i Middagsmörker, Udda verklighet och Cirkeln

Syftet med denna uppsats är att ur ett genreteoretiskt och komparativt perspektiv med hjälp av metoden närläsning undersöka vilka av gotikens genrekonventioner som förekommer i svensk urban fantasy. Romanerna som analyseras är Nene Ormes Udda verklighet (2010), Mats Strandbergs och Sara Bergmark Elfgrens Cirkeln (2011), samt Charlotte Cederlunds Middagsmörker (2016). De gotiska genrekonventioner som används vid analysen är hämtade från Mattias Fyhrs definition av gotik i hans doktorsavhandling De mörka labyrinterna (2003). I diskussionsdelen kombineras dessa med Alastair Fowlers teori ur Kinds of Literature (1982) kring hur olika genrer förefaller ha en rörlighet och flyta in i varandra. Resultatet av analysen visar att samtliga av Fyhrs kategorier finns representerade i de tre romanerna, och skiljer sig något i hur de gestaltas. Följande slutsatser dras: att många likheter förekommer såsom att de drömmar och syner som skildras är vitala för böckernas handlingar, att huvudkaraktären i samtliga analyserade romaner är kvinnlig, utom i Cirkeln där fem perspektiv förekommer varav ett är manligt, att alla romaner har sina egna varianter på fantasytroperna Rådet och Den utvalda, samt att urban fantasy inte går att se som en modern variant av gotiken utan snarare utgör en sentida ättling till gotikgenren.

Memory lineage of Ansúrez: the funerary monument in Gordaliza del Pino (León).

The discovery of the mural on the walls of the church of Santa Maria de Arbas of the town of Leon Gordaliza del Pino has been a revelation. The funerary monument called Knight Gordali-za addition to its artistic value , has a historical value that try to reflect in this study and that clears some questions about the his-tory of the kingdom of Leon, and specifically about the lineage of Ansúrez.

Between Memory and History : The Nineteenth Century in Jewelle Gomez’s Vampire Novel The Gilda Stories and the TV Series True Blood

This article examines two American vampire narratives that depict the perspective and memories of a main character who is turned into a vampire in the US in the nineteenth century: Jewelle Gomez’s novel The Gilda Stories (1991), and the first season of Alan Ball’s popular TV series True Blood (2008). In both narratives, the relationship between the past and the present, embodied by the main vampire character, is of utmost importance, but the two narratives use vampire conventions as well as representations of and references to the nineteenth century in different ways that comment on, revise, or reinscribe generic and socio-historical assumptions about race, gender, class, and sexuality.

Crime and prejudice: The influence of appearance on blame amongst perpetrators and victims

Stereotypes based on characteristics such as age, race, and gender influence opinions in a criminal context. Yet, to date research has largely assessed whether perpetrators, rather than victims, are judged differently. Furthermore, although facial features can be a source of unconscious bias, research has failed to assess whether perceptions based on facial features affect the criminal context. To better understand the relationship between stereotypic facial features and gender, and whether this varies across perpetrators and victims, participants were asked to answer questions about an aggravated assault scenario after viewing an image of a person described as the victim or the alleged perpetrator. Images varied in gender and in presence or absence of tattoos or gothic makeup. Participants sympathized with the victim regardless of gender, but discrepancies were stronger if the victim was female than male. Neutral and tattooed faces were judged more harshly than faces with gothic makeup, regardless of gender.

Alaric : un barbare à l'habitus romain au tournant du 5e siècle

Cette thèse a comme objectif de démontrer combien Alaric et ses Goths étaient Romains dans pratiquement toutes les catégories connues sur leur compte. Pour ce faire, l’auteur a puisé dans les sciences sociales et a emprunté le champ conceptuel de l’éminent sociologue Pierre Bourdieu. À l’aide du concept d’habitus, entre autres choses, l’auteur a tenté de faire valoir à quel point les actions d’Alaric s’apparentaient à celles des généraux romains de son époque. Naturellement, il a fallu étaler le raisonnement au long de plusieurs chapitres et sur de nombreux niveaux. C’est-à-dire qu’il a fallu d’abord définir les concepts populaires en ce moment pour « faire » l’histoire des barbares durant l’Antiquité tardive. Pensons ici à des termes tels que l’ethnicité et l’ethnogenèse. L’auteur s’est distancé de ces concepts qu’il croyait mal adaptés à la réalité des Goths et d’Alaric. C’est qu’il fallait comprendre ces hommes dans une structure romaine, au lieu de leur octroyer une histoire et des traditions barbares. Il a ensuite fallu montrer que la thèse explorait des avenues restées peu empruntées jusqu’à aujourd’hui. Il a été question de remonter jusqu’à Gibbon pour ensuite promouvoir le fait que quelques érudits avaient autrefois effleuré la question d’Alaric comme étant un homme beaucoup moins barbare que ce que la tradition véhiculait à son sujet, tel que Fustel de Coulanges, Amédée Thierry ou encore Marcel Brion. Il s’agissait donc de valider l’angle de recherche en prenant appui d’abord sur ces anciens luminaires de la discipline. Vint ensuite l’apport majeur de cette thèse, c’est-à-dire essentiellement les sections B, C et D. La section B a analysé la logistique durant la carrière d’Alaric. Cette section a permis avant tout de démontrer clairement qu’on n’a pas affaire à une troupe de brigands révoltés; le voyage de 401-402 en Italie prouve à lui seul ce fait. L’analyse approfondie de l’itinéraire d’Alaric durant ses nombreux voyages a démontré que cette armée n’aurait pas pu effectuer tous ces déplacements sans l’appui de la cour orientale. En l’occurrence, Alaric et son armée étaient véritablement des soldats romains à ce moment précis, et non pas simplement les fédérés barbares de la tradition. La section C s’est concentrée sur les Goths d’Alaric, où on peut trouver deux chapitres qui analysent deux sujets distincts : origine/migration et comparaison. C’est dans cette section que l’auteur tente de valider l’hypothèse que les Goths d’Alaric n’étaient pas vraiment Goths, d’abord, et qu’ils étaient plutôt Romains, ensuite. Le chapitre sur la migration n’a comme but que de faire tomber les nombreuses présomptions sur la tradition gothe que des érudits comme Wolfram et Heather s’efforcent de défendre encore aujourd’hui. L’auteur argumente pour voir les Goths d’Alaric comme un groupe formé à partir d’éléments romains; qu’ils eurent été d’une origine barbare quelconque dans les faits n’a aucun impact sur le résultat final : ces hommes avaient vécu dans l’Empire durant toute leur vie (Alaric inclus) et leurs habitus ne pouvaient pas être autre chose que romain. Le dernier chapitre de la section C a aussi démontré que le groupe d’Alaric était d’abord profondément différent des Goths de 376-382, puis d’autres groupes que l’on dit barbares au tournant du 5e siècle, comme l’étaient les Vandales et les Alamans par exemple. Ensemble, ces trois chapitres couvrent la totalité de ce que l’on connait du groupe d’Alaric et en offre une nouvelle interprétation à la lumière des dernières tendances sociologiques. La section D analyse quant à elle en profondeur Alaric et sa place dans l’Empire romain. L’auteur a avant tout lancé l’idée, en s’appuyant sur les sources, qu’Alaric n’était pas un Goth ni un roi. Il a ensuite analysé le rôle d’Alaric dans la structure du pouvoir de l’Empire et en est venu à la conclusion qu’il était l’un des plus importants personnages de l’Empire d’Orient entre 397 et 408, tout en étant soumis irrémédiablement à cette structure. Sa carrière militaire était des plus normale et s’inscrivait dans l’habitus militaire romain de l’époque. Il a d’ailleurs montré que, par ses actions, Alaric était tout aussi Romain qu’un Stilicon. À dire le vrai, mis à part Claudien, rien ne pourrait nous indiquer qu’Alaric était un barbare et qu’il essayait d’anéantir l’Empire. La mauvaise image d’Alaric n’est en effet redevable qu’à Claudien : aucun auteur contemporain n’en a dressé un portrait aussi sombre. En découle que les auteurs subséquents qui firent d’Alaric le roi des Goths et le ravageur de la Grèce avaient sans doute été fortement influencés eux aussi par les textes de Claudien.

The Uncanny in the Themes of Evil, Transgression and the Double in Nathaniel Hawthorne's "Rappaccini's Daughter"

El propósito de este artículo consiste en explorar los mecanismos y representaciones de lo siniestro en "La hija de Rappacci" de Nathaniel Hawthome como expresión del mal dentro de los límites del género gótico del siglo XIX; como expresión del tema del doble en tres personajes humanos y en uno no humano que aparecen en el cuento; y como expresión de trasgresión en el personaje principal, Giovanni Guasconte. El concepto de lo siniestro que se usará será el de la teoría psicoanalítica, siguiendo especialmente los aportes de Sigmund Freud y Jacques Lacan. The purpose of this artide is to explore the mechanisms and representations of the uncanny in Nathaniel Hawthome's "Rappaccini's Daughter" as an expression of evil within nineteenth century Gothic boundaries; as an expression of the theme of the double in three human characters and in one non-human component of Rappaccini's garden; and as an expression of transgression in Giovanni Guasconte, the main character. The concept of the uncanny to be used will be that of psychoanalytic theory, especially reliant on the contributions on the topic by Sigmund Freud and Jacques Lacan.

Préférences musicales alternatives et ajustement psychosocial à la fin de l’adolescence : une approche développementale semi-paramétrique

Essai doctoral présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Docteur en psychologie (D. Psy,), option clinique