873 resultados para Queensland in literary fiction
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Dans une société qui assiste à la confusion des territoires du privé et du public, le culte du corps et la valorisation de normes esthétiques féminines semblent littéralement envahir l’espace narratif et magnifier le dualisme entre l’être et le paraître. Il va sans dire que cette nouvelle façon de penser et de concevoir le corps, notamment le corps féminin, a une incidence sur l’écriture des femmes contemporaines. Intimement lié à la construction identitaire du sujet, le corps incarne dans les oeuvres littéraires une nouvelle « féminité » dont le présent mémoire vise à explorer les paramètres littéraires, psychanalytiques et sociologiques. C’est dans le contexte d’une corporalité reconfigurée que l’inscription de la triade corps/identité/féminité dans les textes littéraires de Nelly Arcan et de Marie-Sissi Labrèche sera étudiée par l’analyse d’oeuvres significatives publiées au début de ce troisième millénaire : Putain et À ciel ouvert, d’une part, Borderline et La Brèche, d’autre part. Le corps est au coeur de la quête identitaire des protagonistes présentées dans ces récits. Mais ce corps s’érigeant souvent en obstacle devient le lieu d’une difficile image de soi et contribue à renforcer l’agentivité négative, soit cette incapacité du sujet à tracer son avenir de manière positive, contre laquelle se battent les personnages féminins tout au long de la narration. C’est à ce propos que la position ambivalente des deux auteures est représentative des questions de filiation qui marquent la littérature contemporaine.
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Cette thèse a pour objectif d’examiner l’œuvre romanesque du Togolais Sami Tchak (de son vrai nom Sadamba Tcha Koura). Parmi les écrivains africains francophones dits de la nouvelle génération, il se distingue par une esthétique qui s’inscrit essentiellement dans une dynamique transgressive et transculturelle. À travers un recours systématique au matériau de la sexualité, Sami Tchak construit une poétique, qui, au-delà de son audace transgressive, de son aspect délibérément choquant et provocateur, s’attache à interroger l’existence humaine, à mettre en évidence les misères et les faiblesses de l’Homme. En outre, cette poétique de la sexualité est porteuse de sens du social : elle sert de prétexte à l’auteur pour dépeindre l’existence de ceux qu’il appelle des « vies sans horizon », des « vies sans relief », mais aussi pour déconstruire la doxa. Mû par le désir de s’imposer comme une voix individuelle, de s’éloigner du dogme enfermant de l’africanité, Sami Tchak choisit de marquer son propre territoire littéraire par le biais d’une démarche transculturelle, en ancrant son œuvre dans la mémoire de la littérature. Cet ancrage se double d’une construction polysémique de l’espace. La présente étude s’appuie sur une triple approche, intertextuelle, sociocritique et transculturelle. Par exemple, elle montrera que, contrairement à une certaine critique qui le soupçonne de tourner le dos à l’Afrique, le projet romanesque de Sami Tchak procède d’une conscience à la fois africaine et universelle : même dans les romans qui se déroulent dans l’espace latino-américain, on remarquera que l’auteur possède l’art d’évoquer l’Afrique, surtout à travers des discours allusifs, implicites.
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Ce que nous proposons de faire dans ce mémoire est de s’attarder au phénomène spécifique de la lecture des scénarios dans le contexte institutionnel québécois. Nous analyserons un corpus de cent soixante douze rapports de lecture de scénarios de longs métrages de fiction rédigés entre 1972 et 2004. Il n’existe, à notre connaissance, aucune étude portant spécifiquement sur un corpus de rapports de lecture. Dans un premier temps, nous situerons le rôle et la place du scénario dans l’histoire de la production de films de fiction québécoise, entre acceptation et refus. Ensuite, nous nous intéresserons à la manière dont concrètement les scénarios sont lus : par qui, comment, dans quelles conditions, avec quels objectifs. Enfin, en utilisant une analyse par théorisation ancrée (grounded theory), nous identifierons, à partir des commentaires émis dans les rapports, cinq entités sur lesquelles le lecteur se fonde pour formuler son jugement. Il s’agit du scénariste, du scénario proposé, du lecteur lui-même, du film à faire et du spectateur présumé que nous nommerons fictif. Nous en conclurons que le lecteur de scénario occupe une fonction de médiateur entre un texte et son auteur d’une part et un futur film et son spectateur réel d’autre part. Cette médiation est le lieu de convergence de différentes attentes, celles des lecteurs, des auteurs, des producteurs et des institutions.
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Mémoire de recherche et création, incluant une partie essai et un texte de création.
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Die Dissertation leistet einen Beitrag zur Konstruktion von Geschlechterverhältnissen in der Ehe vor der Reformation. Untersucht werden zwei Texte des 15. Jahrhunderts: Die sogenannte Erste deutsche Bibel (EDB) und die Dichtung Der Ackermann aus Böhmen von Johannes von Tepl. Die Wort-für-Wort-Analyse beider Texte hat aus der zeitgebundenen deutschen Sprachgestalt spezifi-sche Denkfiguren erschlossen. Zentral ist die Gestaltung des Verhältnisses zwischen Gott und Menschen als Rechtsbeziehung Lehen. Das erste Kapitel analysiert und interpretiert die für Ehe- und Geschlechterkonzepte grund-legenden Aussagen von Genesis 1 - 4,1 und den Kanon der fünf Weisheitsbücher der EDB mit folgenden Ergebnissen: 1. Die EDB ist als Rechtsbuch zu lesen, dessen Zentrum die göttliche Herrschaft mit ihrer Rechts-ordnung ist. In diesem Rahmen wird für Mann und Frau die Ordnung Paar definiert. 2. Beide Geschlechter sind gleichwertig. Das kommt in ihren jeweiligen Handlungsfeldern (Werkordnungen) zum Ausdruck. 3. Der Begriff hilffen für die Ehefrau bedeutet Hilfe zum Heil ihres Mannes und eine spezifische Gottesnähe. Dies ist ein entscheidender Unterschied zu Luthers Bibelübersetzung, welche die Frau als untergeordnete Gehilfin des Mannes gestaltet. (Anhang III stellt die EDB-Verse der Lu-therübersetzung von 1545 gegenüber.) 4. Der Sündenfall wird als Rechtsbruch beschrieben, der den Wechsel von der Schöpfungsord-nung im Paradies zur Weltordnung auslöst, die mit den Urteilen Gottes über Frau und Mann beginnt (Genesis 3). Die Urteile fassen die Ehe in einem Diagonalkreuz, welches vier Faktoren untrennbar verbindet: Herrschaft mit Unterordnung sowie hilffen (Gebären) mit Tod. Die Ge-schlechterunterschiede sind konstituierend für die Ehe im Diagonalkreuz. In der EDB lassen sich drei Paarkonstellationen unterscheiden: die Ehe im Diagonalkreuz zwischen dem guten weib und dem weisen Mann, die Ehe ohne Diagonalkreuz zwischen dem un-weib und dem unweisen Mann und die nichteheliche Geschlechterbeziehung zwischen dem gemeinem weib und dem ee-brecher. Das zweite Kapitel der Dissertation vergleicht die alttestamentarischen Ehekonzepte der EDB mit denen der Dichtung Ackermann aus Böhmen. Die rhetorische Form des Streitgesprächs zwischen Witwer und hern Tot zeigt die Struktur eines deutschrechtlichen Prozesses. In diesem Rahmen gewinnen die gegensätzlichen Aussagen über die Ehe die Bedeutung von Rechtspositionen, die in konträren göttlichen Herrschaftsordnungen verortet werden. Die vom Witwer vertretene Herrschaftsordnung beruht auf der alttestamentarischen Rechtsordnung der EDB, während die Positionen des hern Tot diese Rechtsordnung verkehren, indem er die Herrschaftsordnung der Welt als sein Eigen definiert. Ein weiteres Ergebnis des Vergleichs zwischen der EDB und dem Ackermann aus Böhmen ist, dass sowohl die alttestamentarischen Bücher als auch die Dichtung Rechtsfiguren präsentieren. Entscheidend sind in beiden Texten die Urteile Gottes, die jeweils einen Paradigmenwechsel kon-stituieren. In der EDB wird nach dem Sündenfall die (paradiesische) Rechtsordnung in die Rechtsordnung ee gewandelt. Im Ackermann wird die alttestamentarische Rechtsordnung ee der EDB durch die ordenung Tod ersetzt, mit der zugleich die Ordnung Paar nicht mehr gilt. Die Urtei-le Gottes in der EDB definieren das Paar als zweigeschlechtlichen Menschen, das Urteil im Ackermann charakterisiert zwei Einzelmenschen: Mann oder Frau. Damit wird die zentrale Bedeutung der Ehefrau als hilffen zum Heil ihres Mannes aufgehoben, weil die wechselseitige Angewiesenheit von Mann und Frau nicht mehr gegeben ist. Insofern ist hier ein wichtiger Schritt zum reformatorischen Eheverständnis zu erkennen.
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The rise of the English novel needs rethinking after it has been confined to the "formal realism" of Defoe, Richardson, and Fielding (Watt, 1957), to "antecedents, forerunners" (Schlauch, 1968; Klein, 1970) or to mere "prose fiction" (McKillop, 1951; Davis, Richetti, 1969; Fish, 1971; Salzman, 1985; Kroll, 1998). My paper updates a book by Jusserand under the same title (1890) by proving that the social and moral history of the long prose genre admits no strict separation of "novel" and "romance", as both concepts are intertwined in most fiction (Cuddon, Preston, 1999; Mayer, 2000). The rise of the novel, seen in its European context, mainly in France and Spain (Kirsch, 1986), and equally in England, was due to the melting of the nobility and high bourgeoisie into a "meritocracy", or to its failure, to become the new bearer of the national culture, around 1600. (Brink, 1998). My paper will concentrate on Euphues (1578), a negative romance, Euphues and His England (1580), a novel of manners, both by Lyly; Arcadia (1590-93) by Sidney, a political roman à clef in the disguise of a Greek pastoral romance; The Unfortunate Traveller (1594) by Nashe, the first English picaresque novel, and on Jack of Newbury (1596-97) by Deloney, the first English bourgeois novel. My analysis of the central values in these novels will prove a transition from the aristocratic cardinal virtues of WISDOM, JUSTICE, COURAGE, and HONOUR to the bourgeois values of CLEVERNESS, FAIR PLAY, INDUSTRY, and VIRGINITY. A similar change took place from the Christian virtues of LOVE, FAITH, HOPE to business values like SERVICE, TRUST, and OPTIMISM. Thus, the legacy of history proves that the main concepts of the novel of manners, of political romance, of picaresque and middle-class fiction were all developed in the time of Shakespeare.
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Este trabajo realizado como requisito de grado del programa de Filosofía de la Universidad Colegio Mayor de Nuestra Señora del Rosario, aborda el tema de la educación moral en la infancia a partir del análisis y discusión de algunas teorías de la moral. También hace un acercamiento a la literatura infantil en lo relativo a la función que se le puede atribuir como recurso o herramienta para la formación moral. De este modo, el trabajo se estructura siguiendo una argumentación que primero pretende esclarecer los conceptos que se vinculan con el tema de la educación moral como los son el de socialización, el de infancia, el de desarrollo, el mismo concepto de educación moral, y otros que permiten identificar y problematizar esta cuestión en relación con los niños y las particularidades de su comportamiento, sus procesos cognitivos y el modo en que se dan sus relaciones sociales. Por ello el trabajo recoge aportes de la sociología y de la psicología que complementan el tema, que es observado aquí, principalmente, desde la filosofía moral. Estos conceptos ayudan a estructurar el problema que se plantea relativo a la manera cómo se construye lo moral en la infancia. A partir de ellos se desarrolla el resto del texto, primero, con el análisis crítico que se hace en el capítulo dos a la teoría racionalista de la moral, la cual se pone en discusión con los planteamientos de algunas teorías de los sentimientos morales y del desarrollo emocional. Luego, en el capítulo tres se examina la teoría de las virtudes de Aristóteles, destacando la mayor capacidad que tiene de comprender comportamientos morales no racionales, como los de la infancia, que se relacionan con lo que desde la sociología se entiende como el entorno social en el que se desarrolla la moral individual. Finalmente, en el capítulo cuatro, se examina la literatura infantil como un recurso que sirve para la formación moral en los niños, debido a los procesos cognitivos y sociales, que esta literatura favorece. En este capítulo se retoman las cuestiones tratadas a lo largo del trabajo acerca de lo moral y la formación en la infancia para ponerlas en relación con ejemplos de la literatura infantil tomados de los Cuentos de los Hermanos Grimm que permiten identificar algunos elementos que vinculan la lectura de estos cuentos con los procesos de formación moral.
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En este ensayo el autor analiza la manera en que fue adaptada, en 1946, la novela Las tres ratas, describe aspectos de las dos narrativas (literaria y fílmica), para determinar qué elementos de la novela fueron conservados en la adaptación argentina, y cuáles fueron cambiados u omitidos. Sostiene que la película fracasa en la reconstrucción de la esencia de la obra, principalmente porque se omite el segundo nivel discursivo de la novela (la aproximación a la caída del liberalismo en el Ecuador), además, se cambia el carácter de varios personajes (la hermana mayor, el novio de Ana Luisa, o el usurero Don Horacio), cuyos rasgos son importantes pues aportan al conflicto, al tono y ambiente de la historia, finalmente, la adaptación omite la recreación del ambiente de fracaso del proyecto político liberal, para inscribir la historia en clave de melodrama.
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Si bien con la Edad Moderna el lenguaje dejó de ser un instrumento sagrado, desde fines del siglo XIX e inicios del XX se revela el carácter arbitrario del signo lingüístico, reafirmando el carácter secular de la palabra. La autora plantea que Juan Carlos Onetti reflexiona en su obra sobre el carácter y las funciones del lenguaje en el texto, desacralizándolo, alejándose de las pretensiones totalizadoras de la crítica. En los dos cuentos de Onetti («El posible Baldi» y «Luna llena») los personajes escriben. En el primero, Baldi remarca el carácter arbitrario de toda ficción (esta vez, de una ficción sobre sí mismo): destruye la tentación de convertirse en un héroe, al presentarse como un proxéneta y traficante, busca provocar el asco en una literata romántica, que ha sido seducida por la palabra, sin conseguirlo. El personaje del segundo cuento, Carmencita, siente que ha fracasado como escritora, y que su cuerpo envejecido la somete al riesgo del ridículo. A diferencia de Baldi, no se atreve a reír de esta posibilidad ni del asco, muere atrapada en una ficción que no deja de ser romántica. Se reflexiona sobre la finalidad del lenguaje en la «realidad» y en las ficciones que crean estos seres de ficción.
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En La Fiesta del Chivo, de Mario Vargas Llosa, el autor representa al dictador de la República Dominicana, Rafael Leonidas Trujillo, como un híbrido entre la autoridad patriarcal y la burocracia autoritaria. La reflexión que la autora propone se centra en la observación de la relación entre representaciones de la credibilidad del gobernante en el pueblo dominicano y las pretendidas “realidades”, referentes de estas representaciones en la novela, es decir, la relación entre la ficción literaria y la pretendida lectura cultural de la legitimidad del poder en la cultura popular. Una aproximación a esta siempre inconclusa relación entre la representación y su objeto y a las pretensiones de adecuación entre ambas nos permite observar la relativización de la violencia que forma parte de la mencionada representación literaria.
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This paper argues that transatlantic hybridity connects space, visual style and ideological point of view in British television action-adventure fiction of the 1960s–1970s. It analyses the relationship between the physical location of TV series production at Elstree Studios, UK, the representation of place in programmes, and the international trade in television fiction between the UK and USA. The TV series made at Elstree by the ITC and ABC companies and their affiliates linked Britishness with an international modernity associated with the USA, while also promoting national specificity. To do this, they drew on film production techniques that were already common for TV series production in Hollywood. The British series made at Elstree adapted versions of US industrial organization and television formats, and made programmes expected to be saleable to US networks, on the basis of British experiences in TV co-production with US companies and of the international cinema and TV market.
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This article discusses the literary relationship of the novelist and memoirist,Anne Thackeray Ritchie (1837–1919), and her step-niece, Virginia Woolf.Ritchie’s influence was a highly significant one which prompted a powerful ambiguity in Woolf, who was alternately admiring and dismissively anxious to deny influence, eager to relegate her to a staunchly Victorian past while covertly sensitive to those elements in her writing linking her with Modernism. These ‘Modern’ elements, including emphasis on the subjective nature of reality and the everyday life of the mind, occur in Ritchie’s fiction, affecting its style and structure. This article focuses on Night and Day, then on Woolf ’s more direct comments about Ritchie in diaries, letters and essays, comparing these comments and Woolf ’s theoretical agenda in defining Modernism and, implicitly, her own place in it. It also considers some of Ritchie’s fiction, with particular attention to two novellas, one a source for To The Lighthouse.
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Alasdair Gray is now an established figure in the Scottish literary scene and has numerous claims to be considered an important voice writing in English. First Lanark: A Life in Four Books (1981) and then 1982 Janine (1984) contributed to the recognition of Gray as one of the founding fathers of the new Scottish writing and as a figure of importance in international contemporary fiction due to his innovative, experimental and postmodernist novels. As the title of this dissertation - “Alasdair Gray’s 1982 Janine (1984): A Postmodernist Scottish Novel” - suggests, it aims at analysing the author’s second novel, 1982 Janine (1984), in a thematic and formal perspective, in order to justify the choice of the terms - Postmodernist and Scottish - to classify this novel. 1982 Janine projects a world through Jock McLeish’s mind and is a powerful stream-of-consciousness narrative. Jock is an alcoholic who lives a personal crisis and, therefore, tries to escape from his depressing reality through sexual fantasies and political diatribes. During a single night in a Scottish hotel room, he drinks and dreams, and spends the whole night alone with his fantasies and fears, his memories and hopes. In Chapter 11, the most daring experimental section of the novel, Jock attempts to commit suicide by taking an overdose of tablets with alcohol but fails. Following this, he decides to review his life and make for a new beginning; the novel thus closing with an optimistic note. Also, the narrative is based on a constant interweaving of sex fantasy with political satire, that is, it is through his protagonist that Gray manages to convey the state of Scotland as well as the concerns and aspirations of the Scottish people and then, proceed to a political and social critique. This dissertation appears structured in three chapters. In Chapter I - “Alasdair Gray: A Postmodernist Scottish Writer” - I present Gray as a powerful postmodernist writer who also sees himself as a Scottish author, and more particularly as a Glaswegian, who concentrates on Scottish subject matter in his literary work. In a first section, I offer a brief survey of the Scottish literary scene from the fourteenth to the twentieth century, in order to understand Gray’s choice of setting and themes and to check his influence or indebtedness to previous Scottish authors. As 1982 Janine is also a good example of selfconscious experimental writing, in a second section, I present various seminal fictional works that introduced and developed experimentalism in British fiction, in order to evaluate the influence of modernist developments in form and technique on recent experimental writing. The third section consists of an introduction to Gray’s work for he is not only a novelist, but also an artist, a playwright, a poet, an activist and a scholar. Chapter II - “Postmodernist Features in 1982 Janine” - aims at listing and examining the postmodernist devices that the novel includes, in what content and form are concerned. On the one hand, the use of a developed type of the modernist stream of consciousness, the presence of a protagonist who feels entrapped in a specific system, the quest for freedom, the incoherence and fragmentation of time, the nonchronological order of the narrative, the blending of fantasy and “reality”, as well as the importance of the Scottish material are definitely current aspects within postmodernist literature that can be found in Gray’s novel. On the other hand, the handling of literary self-conscious devices, such as typographical experimentation, presence of metafiction and intertextuality, and inclusion of an Epilogue, are likewise among recurrent postmodernist features. As the title - “A Narratological Analysis of 1982 Janine” - evidences, Chapter III offers a description of the mechanics of the narrative and its functioning in order to better understand the narrative technique of postmodernist fiction. This study is based primarily on Gérard Genette’s theoretical framework and terminology, presented in Narrative Discourse: An Essay in Method, an analytical tool that allows me to provide a more objective and scientific analysis. Hence, I follow the Genettian division of narrative discourse in Time, Mood and Voice while examining the novel. Finally, I proceed to a description of the intertextual relationships 1982 Janine establishes with other texts.
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“A Narratological Analysis of D. M. Thomas’s The White Hotel (1981)” originated within a seminar on British Postmodernist Literature during the first Master’s Degree in “British and North-American Culture and Literature” (2001-04) at the Universidade da Madeira set up by the Department of English and German Studies. This dissertation seeks to present a narratological analysis of Thomas’s novel. The White Hotel stands as a paradigmatic example of the kind of literature that has dominated the British literary scene in the past three decades, commonly referred to as postmodernist fiction, owing to its formal craftsmanship (multiplicity of narrative voices and perspectives, mixing of differing genres and text types, inclusion of embedded narratives) alongside the handling of what are deemed as postmodernist topoi (the distinction between truth and lies, history and fantasy, fact and fiction, the questioning of the nature of aesthetic representation, the role the author and the reader hold in the narrative process, the instability of the linguistic sign, the notion of originality and the moral responsibility the author has towards his/her work), The narratological approach carried out in this research reveals that Thomas’s text constitutes an aesthetic endeavour to challenge the teleological drive that is inherent in any narrative, i. e., the inevitable progression towards a reassuring end. Hence, the subversion of narrative telling, which is a recurrent feature in Thomas’s remaining literary output, mirrors the contemporary distrust in totalising, hierarchised and allencompassing narratives. In its handling of historical events, namely of the Holocaust, The White Hotel invites us to reassess the most profound beliefs we were taught to take for granted: progress, reality and truth. In their place the novel proposes a more flexible conception of both the world and art, especially of literary fiction. In other terms, the world appears as a brutal chaotic place the subject is forced to adjust to. Accordingly, the literary work is deemed hybrid, fragmented and open. So as to put forth the above-mentioned issues, this research work is structured in three main chapters. The initial chapter – “What is Postmodernism?” – advances a scrutiny not only of the seminal but also of more recent studies on postmodernist literary criticism. Following this, in Chapter II – “Postmodernist British Fiction” – a brief overview of postmodernist British fiction is carried out, focusing on the fictional works that, in my opinion, are fundamental for the periodising of British postmodernism. In addition, I felt the need to include a section – “D. M. Thomas as a Postmodernist Novelist” – in which the author’s remaining literary output is briefly examined. Finally, Chapter III – “A Narratological Analysis of The White Hotel” – proposes a narratological analysis of the novel according to the particular Genettian analytical model. To conclude, my dissertation constitutes an approach to D. M. Thomas’s The White Hotel as a text whose very existence is substantiated in the foregrounding of the contingency of all discourses, meeting the postmodernist precepts of openness and subversion of any narrative that claims to be true, globalising and all-inclusive.