849 resultados para Police forces
Resumo:
[cat] Utilitzem un conjunt de mètriques del paisatge per estudiar l'evolució a llarg termini seguida en una típica zona costanera del Mediterrani des de 1850 fins a 2005, que mostren una greu deterioració del medi ambient entre 1950 i 2005. Les principals forces motores d'aquesta degradació del paisatge han estat el creixement urbà experimentat a les antigues zones agrícoles situades a les planes litorals, juntament amb l'abandonament i la reforestació dels vessants dels pujols interceptats per àrees residencials de baixa densitat, carreteres i altres infraestructures lineals. Duem a terme una anàlisi estadística de redundància (RDA) amb la finalitat d'identificar els que considerem com alguns agents rectors socioeconòmics i polítics d'última instància d'aquests impactes ambientals. Els resultats confirmen les nostres hipòtesis interpretatives, que són que: 1) els canvis en les cobertes i usos del sòl determinen canvis en les propietats dels paisatge, tant estructurals com funcionals; 2) aquests canvis no es produeixen per atzar, sinó que estan relacionats amb factors geogràfics i forces socioeconòmiques i polítiques.
Resumo:
Ce rapport de recherche a été commandé par la Commission externe d'évaluation des politiques publiques du Canton de Genève (Suisse) dans le cadre d'une évaluation de la politique de formation de la police dans ce canton. L'étude montre que, d'une manière générale, les policiers/ères récemment assermenté-e-s jugent positivement leur formation, en particulier certains éléments du dispositif pédagogique (durée de la formation, charge de travail, formateurs/trices) et se sentent bien préparé-e-s à gérer les contacts avec leurs différents publics (en particulier les personnes agressives et les victimes de violences domestiques). Néanmoins, la plupart des policiers/ères interrogé-e-s perçoivent le travail effectué au sein des services comme étant éloigné des prescriptions scolaires. Ils estiment que ces dernières ne sont pas celles qui sont appliquées par leurs collègues expérimenté-e-s. Les matières physico-techniques sont, d'une manière générale, considérées comme plus utiles et plus importantes que les matières relationnelles. Dans cet ordre d'idée, un certain nombre de policiers/ères réclament moins de psychologie. Il s'agit cependant de la matière relationnelle à propos de laquelle les jugements sont les plus nuancés, en particulier à propos des savoirs permettant de gérer les personnes présentant des troubles mentaux, d'améliorer la communication et de gérer les conflits (au détriment de ceux visant à l'introspection). Les enseignements de police de proximité ont quant à eux tendance à être associés à une spécialisation propre à la gendarmerie et inutile pour les nouveaux/elles entrant-e-s, en particulier les inspecteurs/trices. L'éthique et les droits de l'Homme concentrent par contre les jugements négatifs : ces cours sont perçus comme diffusant des « bonnes paroles » prêchées par des formateurs/trices extérieurs à la profession (si ce n'est réellement, du moins symboliquement), éloignées de la réalité du métier et échouant à combattre les préjugés, en particulier ceux basés sur l'origine ethnico-nationale. L'étude montre en outre que les compétences relationnelles et les rapports aux différents publics sont centrales dans les appréciations portées sur l'adéquation entre formation et pratique. À ce sujet, ont été repérés néanmoins des points qui posent problèmes (aux yeux des policiers/ères interrogé-e-s ou à nos yeux) : peu de réflexivité en ce qui concerne les risques associés au «délit de faciès», problèmes avec les « maghrébins » et les jeunes en groupe (liés en particulier à la remise en cause de l'autorité policière), imprévisibilité des consommateurs/trices de drogue et vision pessimiste (parfois très peu empathique) de la toxicomanie, sentiment de difficulté et d'inconfort associé aux tâches visant à prendre en charge la souffrance d'autrui, relégation de la plupart des situations de violence domestique au rang de tâches indues, difficultés associées aux contacts avec les personnes atteintes de maladies psychiques graves, et la mention en priorité des cours de TTI pour la gestion des personnes agressives (au détriment des matières relationnelles).
Resumo:
Because natural selection is likely to act on multiple genes underlying a given phenotypic trait, we study here the potential effect of ongoing and past selection on the genetic diversity of human biological pathways. We first show that genes included in gene sets are generally under stronger selective constraints than other genes and that their evolutionary response is correlated. We then introduce a new procedure to detect selection at the pathway level based on a decomposition of the classical McDonald-Kreitman test extended to multiple genes. This new test, called 2DNS, detects outlier gene sets and takes into account past demographic effects and evolutionary constraints specific to gene sets. Selective forces acting on gene sets can be easily identified by a mere visual inspection of the position of the gene sets relative to their two-dimensional null distribution. We thus find several outlier gene sets that show signals of positive, balancing, or purifying selection but also others showing an ancient relaxation of selective constraints. The principle of the 2DNS test can also be applied to other genomic contrasts. For instance, the comparison of patterns of polymorphisms private to African and non-African populations reveals that most pathways show a higher proportion of nonsynonymous mutations in non-Africans than in Africans, potentially due to different demographic histories and selective pressures.
Resumo:
Cet article montre, en premier lieu, que le degré d'investissement politico-moral des policières et des policiers dans leur métier est fortement variable. Si une partie des individus nouvellement entrés dans la police expriment un sentiment de distance sociale doublé d'une distinction morale par rapport à la population, d'autres ne s'investissement pas dans leur métier comme dans une « croisade morale » (Becker, 1985 [1963]), et estiment au contraire que les justiciables appartiennent à la même « communauté morale » (Fassin, 2011, p. 313) qu'eux-mêmes. La perspective adoptée prolonge ainsi les critiques des approches classiques de la « culture policière », qui ont démontré leur caractère trop uniformisant et leurs biais mécaniste. Parmi les études de sociologie de la police n'ayant pas adopté une telle approche, celle de W. Ker Muir (1977), pourtant ancienne, a montré que tous les policiers ne vivaient pas leur appartenance au groupe professionnel sur le mode d'une distinction morale d'avec les justiciables. Aucune autre étude n'a pourtant traité des variations dans l'investissement politico moral des policières et des policiers, et n'a donc tenté d'en fournir des explications. Le second axe d'analyse vise ainsi à combler ce déficit explicatif, en montrant que l'investissement politico-moral dans le métier dépend largement de la trajectoire antérieure des individus recrutés dans la police, en particulier des expériences de pertes de statut qu'ils ont pu subir, ainsi que du type de stratégies d'ascension sociale ou de récupération de ce statut qu'ils mettent en place.
Resumo:
La criminologie et la police scientifique ont des origines communes mais se sont distanciées pour être finalement considérées comme séparées. Pourtant, les traces, résultat de l'action criminelle par les échanges de matière, indiquent ce qui s'est passé dans le cas particulier. Regroupées et comparées, elles émettent des signes sur l'existence de problèmes de sécurité. Une méthode fondée sur la résolution de problèmes peut ainsi intégrer naturellement la trace et constituer un socle pour un rapprochement des disciplines. Elle illustre d'une part l'importance pour la criminologie de ne pas ignorer le substrat matériel et informatique indispensable à l'explication de l'action criminelle, et pour la police scientifique de contextualiser ses informations en s'appuyant sur des théories en criminologie pour leur donner du sens. C'est l'enjeu de ce numéro spécial.
Resumo:
Mobile technologies have brought about major changes in police equipment and police work. If a utopian narrative remains strongly linked to the adoption of new technologies, often formulated as 'magic bullets' to real occupational problems, there are important tensions between their 'imagined' outcomes and the (unexpected) effects that accompany their daily 'practical' use by police officers. This article offers an analysis of police officers' perceptions and interactions with security devices. In so doing, it develops a conceptual typology of strategies for coping with new technology inspired by Le Bourhis and Lascoumes: challenging, neutralizing and diverting. To that purpose, we adopt an ethnographic approach that focuses on the discourses, practices and actions of police officers in relation to three security devices: the mobile digital terminal, the mobile phone and the body camera. Based on a case study of a North American municipal police department, the article addresses how these technological devices are perceived and experienced by police officers on the beat.
Resumo:
The operational aspects of psychological assessment are well documented (e.g. Murphy and Davidshofer, 1994). Essentially, the process involves the administration of one or more valid psychological tests in order to assess a person’s suitability to a task or situation. The resulting data and report are then used by police psychologists to assist in determining the suitability of the applicant for police duties. In Catalunya, this task is carried out during basic training for police career agent in the evaluation of psychological conditions for the use of the weapon. Police work can be one of the most stressful jobs, and it frequently leads to the development of burnout syndrome. In their day-to-day tasks, police officers are constantly subjected to various stressors (de la Fuente, Aguayo, Vargas and Cañadas, 2013). The most widely accepted definition of the burnout syndrome is one that describes it as a response to chronic work stress made up of three components: emotional exhaustion, depersonalisation and low personal accomplishment (Maslach & Jackson, 1981). Some studies showed that personality characteristics, and positive and negative affectivity explained significant variance in each of the burnout dimensions (Alarcon, Eschleman and Bowling, 2009).
Resumo:
1944/02/01 (N28)-1944/07/14 (N35).
Resumo:
1944/04/30 (N30).
Resumo:
1944/07/14 (N35).
Resumo:
1944/03/20 (N29).