949 resultados para Parkinsons-disease Result


Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Le risque de développer un problème de jeu chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson (MP) est de plus en plus documenté. Un type de médicament visant à contrôler les symptômes moteurs, l’agoniste dopaminergique, serait l’un des principaux facteurs liés à son développement. Par le biais d’une synthèse narrative présentée dans le chapitre 3, les mécanismes neurobiologiques et les autres facteurs en lien sont discutés. Un important constat ressort toutefois : l’étude des habitudes de jeu de ces patients est pratiquement absente. Ce constat est surprenant puisque la littérature sur le jeu regorge d’informations à prendre en considération dans le développement de ce trouble, telles que les types de jeu pratiqués, les montants dépensés, les raisons pour jouer et la présence de proches. Le deuxième article consiste donc à répondre à cette lacune relevée en faisant le portrait de leurs habitudes de jeu. Vingt-cinq personnes souffrant de la MP ont été recrutées et parmi celles-ci, quinze ont joué dans les six derniers mois. L’examen de leurs habitudes de jeu révèle que les jeux préférés sont la loterie et la machine à sous et qu’elles ont, en majorité, débuté la pratique de ces jeux avant l’établissement du diagnostic de la MP. Les patients sont moins intéressés à jouer aux machines à sous comparativement à un échantillon de joueurs âgés de plus de 55 ans mais, en contrepartie, ce jeu est celui auquel les plus grands montants étaient dépensés chez les participants qui ont rapporté avoir développé un problème de jeu. Les participants jouent pour le plaisir ou pour gagner de l’argent, mais des raisons non répertoriées, liées à leur maladie, ont été relevées. Ces patients n’ont pas recours à des proches aidants pour les aider dans la pratique de leur jeu favori et ces derniers ont manifesté leur méconnaissance de la pratique de jeux de hasard et d’argent des participants. Parmi l’ensemble des participants rencontrés, trois d’entre eux se sont révélés être des joueurs à risque. En plus de jouer aux machines à sous, des croyances erronées et des motivations spécifiques à jouer ont été relevées chez ces derniers. La réflexion découlant de ces résultats pourra stimuler la recherche dans l’étude des variables psychosociales en lien avec le développement d’un problème de jeu chez ces patients.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

La maladie de Parkinson (MP) est une maladie neurodégénérative qui se caractérise principalement par la présence de symptômes moteurs. Cependant, d’autres symptômes, dits non moteurs, sont fréquents dans la MP et assombrissent le pronostic; ceux ci incluent notamment les désordres du sommeil et les troubles cognitifs. De fait, sur une période de plus de 10 ans, jusqu’à 90 % des patients avec la MP développeraient une démence. L’identification de marqueurs de la démence dans la MP est donc primordiale pour permettre le diagnostic précoce et favoriser le développement d’approches thérapeutiques préventives. Plusieurs études ont mis en évidence la contribution du sommeil dans les processus de plasticité cérébrale, d’apprentissage et de consolidation mnésique, notamment l’importance des ondes lentes (OL) et des fuseaux de sommeil (FS). Très peu de travaux se sont intéressés aux liens entre les modifications de la microarchitecture du sommeil et le déclin cognitif dans la MP. L’objectif de cette thèse est de déterminer, sur le plan longitudinal, si certains marqueurs électroencéphalographiques (EEG) en sommeil peuvent prédire la progression vers la démence chez des patients atteints de la MP. La première étude a évalué les caractéristiques des OL et des FS durant le sommeil lent chez les patients avec la MP selon qu’ils ont développé ou non une démence (MP démence vs MP sans démence) lors du suivi longitudinal, ainsi que chez des sujets contrôles en santé. Comparativement aux patients MP sans démence et aux sujets contrôles, les patients MP démence présentaient au temps de base une diminution de la densité, de l’amplitude et de la fréquence des FS. La diminution de l’amplitude des FS dans les régions postérieures était associée à de moins bonnes performances aux tâches visuospatiales chez les patients MP démence. Bien que l’amplitude des OL soit diminuée chez les deux groupes de patients avec la MP, celle ci n’était pas associée au statut cognitif lors du suivi. La deuxième étude a évalué les marqueurs spectraux du développement de la démence dans la MP à l’aide de l’analyse quantifiée de l’EEG en sommeil lent, en sommeil paradoxal et à l’éveil. Les patients MP démence présentaient une diminution de la puissance spectrale sigma durant le sommeil lent dans les régions pariétales comparativement aux patients MP sans démence et aux contrôles. Durant le sommeil paradoxal, l’augmentation de la puissance spectrale en delta et en thêta, de même qu’un plus grand ratio de ralentissement de l’EEG, caractérisé par un rapport plus élevé des basses fréquences sur les hautes fréquences, était associée au développement de la démence chez les patients avec la MP. D’ailleurs, dans la cohorte de patients, un plus grand ralentissement de l’EEG en sommeil paradoxal dans les régions temporo occipitales était associé à des performances cognitives moindres aux épreuves visuospatiales. Enfin, durant l’éveil, les patients MP démence présentaient au temps de base une augmentation de la puissance spectrale delta, un plus grand ratio de ralentissement de l’EEG ainsi qu’une diminution de la fréquence dominante occipitale alpha comparativement aux patients MP sans démence et aux contrôles. Cette thèse suggère que des anomalies EEG spécifiques durant le sommeil et l’éveil peuvent identifier les patients avec la MP qui vont développer une démence quelques années plus tard. L’activité des FS, ainsi que le ralentissement de l’EEG en sommeil paradoxal et à l’éveil, pourraient donc servir de marqueurs potentiels du développement de la démence dans la MP.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Dans les dernières années, les études sur les maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer (MA) et la maladie de Parkinson sans démence (MP) et avec démence (MPD) ont été nombreuses, mais la différenciation de ces patients sur la base de leur profil cognitif doit être encore améliorée. Effectivement, l’évaluation clinique peut s’avérer difficile en raison du peu de spécificité dans la présentation de leurs déficits neuropsychologiques. Ceci s’explique par la variabilité et le chevauchement des processus cliniques et pathologiques affectant essentiellement les mêmes régions/fonctions, soit celles liées aux lobes temporaux médians (LTM)/Mémoire (fonction LTM/Mémoire) et aux lobes frontaux (LF)/Fonctions exécutives (fonction LF/Exécutive). Toutefois, il existerait une distinction critique au niveau de l’intégrité relative de ces fonctions dans ces maladies neurodégénératives, ce qui permettrait d’identifier des déficits cognitifs spécifiques à la MA, la MP et la MPD. La présente thèse s’inscrit dans cette volonté de caractériser les profils cognitifs propres à la MA, la MP et la MPD, plus précisément par l’étude novatrice de la mémoire de source et des faux souvenirs. Les quatre chapitres qui composent cette thèse servent donc à documenter la nature de ces mécanismes mnésiques, leurs patrons de performance spécifiques dans la MA, la MP et la MPD, et leur sensibilité aux atteintes des fonctions LTM/Mémoire et LF/Exécutive. Ainsi, le Chapitre I démontre la pertinence d’étudier la mémoire de source et les faux souvenirs dans la MA, la MP et la MPD, en décrivant leurs interactions avec les fonctions LTM/Mémoire et LF/Exécutive, toutes les deux atteintes dans ces maladies. Le Chapitre II, présenté sous forme d’article, révèle des déficits en mémoire de source chez des patients MP, mais seulement dans l’une des tâches employées. Également, malgré des atteintes des fonctions LF/Exécutive et LTM/Mémoire, il est démontré que seule la fonction LTM/Mémoire est liée à l’altération de la mémoire de source chez les patients MP. Le Chapitre III, également sous forme d’article, illustre un taux anormal de faux souvenirs chez des patients MA, tandis que chez des patients MP et MPD, il est démontré qu’ils ont un taux de faux souvenirs comparable à celui des participants contrôles. Il est également rapporté que malgré l’atteinte de la fonction LF/Exécutive chez les patients MA, MP et MPD, elle est seulement liée à l’augmentation des faux souvenirs chez les patients MA. Finalement, dans le dernier Chapitre (IV), les résultats obtenus sont discutés dans leur ensemble à la lumière des prédictions et connaissances actuelles, tout en identifiant les limites afin d’orienter les perspectives de recherche.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Purpose of review Recent developments in functional magnetic resonance imaging (fMRI) have catalyzed a new field of translational neuroscience. Using fMRI to monitor the aspects of task-related changes in neural activation or brain connectivity, investigators can offer feedback of simple or complex neural signals/patterns back to the participant on a quasireal-time basis [real-time-fMRI-based neurofeedback (rt-fMRI-NF)]. Here, we introduce some background methodology of the new developments in this field and give a perspective on how they may be used in neurorehabilitation in the future. Recent findings The development of rt-fMRI-NF has been used to promote self-regulation of activity in several brain regions and networks. In addition, and unlike other noninvasive techniques, rt-fMRI-NF can access specific subcortical regions and in principle any region that can be monitored using fMRI including the cerebellum, brainstem and spinal cord. In Parkinson’s disease and stroke, rt-fMRI-NF has been demonstrated to alter neural activity after the self-regulation training was completed and to modify specific behaviours. Summary Future exploitation of rt-fMRI-NF could be used to induce neuroplasticity in brain networks that are involved in certain neurological conditions. However, currently, the use of rt-fMRI-NF in randomized, controlled clinical trials is in its infancy.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

OBJECTIFS: La libération de dopamine par les afférences à sérotonine (5-HT) du striatum constitue un déterminant pré-synaptique important des dyskinésies induites par la L-Dopa (DILs), un effet délétère du traitement pharmacologique de la maladie de Parkinson. En effet, les axones 5-HT seraient en mesure de libérer de façon non-physiologique de la dopamine lorsque la L-Dopa est administrée au patient, contribuant ainsi à l’expression des DILs. Certaines afférences striatales 5-HT contiennent un transporteur vésiculaire du glutamate (VGluT3) et nous croyons que sa présence puisse avoir un effet synergique sur la libération de dopamine. L’objectif général de ce mémoire est donc d’évaluer la quantité de VGluT3 présent au sein des axones 5-HT et de mesurer son implication dans l’expression des DILs. MÉTHODES : Dix-huit souris C57/Bl6 ont été séparées en trois groupes expérimentaux. Douze souris ont reçu une injection intracérébrale de 6- hydroxydopamine (6-OHDA) dans le faisceau prosencéphalique médian afin de léser les afférences dopaminergiques du striatum. Six souris lésées ont reçu des injections systémiques de L-Dopa (12 jours, 1 fois/jour). Six autres souris ont reçu une injection intracérébrale du véhicule afin de servir de contrôle. La sévérité des mouvements involontaires anormaux induits par la L-Dopa (équivalent des dyskinésies) a été quantifiée selon une échelle reconnue. Un double marquage en immunofluorescence pour le transporteur membranaire de la 5-HT (SERT) et le VGluT3 a permis d’évaluer la densité des varicosités SERT+ et SERT+/VGluT3+ dans le striatum dorsal et de comparer ces données entre les trois groupes expérimentaux. RÉSULTATS: Chez les trois groupes de souris, un faible pourcentage des varicosités axonales 5-HT sont également VGluT3+. Ces varicosités doublement marquées sont souvent retrouvées sur une même branche axonale. Aucune différence significative n’a été observée entre les trois groupes expérimentaux en ce qui a trait à la proportion de varicosités SERT+ qui contiennent le VGluT3+. CONCLUSION: Nos données expérimentales ne nous permettent pas de conclure que la densité des varicosités axonales SERT+ ou SERT+/VGluT3+ au sein du striatum dorsal varie en fonction de la sévérité des mouvements involontaires anormaux induits par l’administration de L-Dopa.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

L’élucidation de la position qu’occupent les projections sérotoninergique (5-HT), cholinergique (ACh) et dopaminergique (DA) du tronc cérébral dans l’organisation anatomofonctionelle du globus pallidus externe (GPe) et interne (GPi) au sein des ganglions de la base chez le primate est primordiale à la compréhension de ce système neuronal hautement complexe impliqué dans le contrôle du comportement moteur. Les travaux de recherche consolidés dans la présente thèse rapportent les résultats principalement obtenus chez le singe écureuil (Saimiri sciureus) à l’aide de marquages immunohistochimiques et de quantifications stéréologiques servant à évaluer la distribution régionale et les caractéristiques ultrastructurales des varicosités axonales 5-HT, ACh et DA observées dans le pallidum. Nos données ont permis l’éloboration d’un nouveau modèle du neurone pallidal en tenant compte de la hiérarchie et des caractéristiques neurochimiques de ses entrées synaptiques. Ainsi, l’analyse quantitative en microscopie optique révèle que le GPe et le GPi reçoivent des innervations 5-HT, ACh et DA de densités variables et distribuées de façon hétérogène. Plus particulièrement, le GPe est innervé par 600 000 varicosités 5-HT/mm3 de tissu, 500 000 varicosités ACh/mm3 et 170 000 varicosités DA/mm3. En revanche, le GPi reçoit 600 000 varicosités 5-HT/mm3, 250 000 varicosités ACh/mm3 et 190 000 varicosités DA/mm3. De plus, la 5-HT, l’ACh et la DA ciblent préférentiellement les secteurs correspondant aux territoires fonctionnels associatifs et limbiques du pallidum, suggérant un rôle de ces projections dans la planification du comportement moteur ainsi que dans la régulation de l’attention et de l’humeur. Nos analyses en microscopie électronique révèlent que très peu de ces varicosités axonales établissent un contact synaptique, puisque plus de 70% des varicosités 5-HT, ACh et DA sont complètement dépouvues de jonction synaptique. Ainsi, bien que la 5-HT, l’ACh et la DA seraient en mesure de moduler directement les neurones pallidaux grâce à la transmission synaptique, leur plus grande influence s’opérerait par la transmission volumique, permettant d’influencer à la fois les neurones pallidaux et leurs afférences, principalement du striatum et noyau subthalamique. L’ensemble de ces résultats indique que les projections 5-HT, ACh et DA du tronc cérébral agissent de concert avec les afférences plus robustes en provenance du striatum et du noyau subthalamique. Ces nouvelles données neuroanatomiques positionnent le tronc cérébral en tant qu’acteur important dans l’organisation anatomique et fonctionnelle du pallidum chez le primate et doivent être prises en considération dans l’élaboration de nouvelles approches thérapeutiques visant à contrer les processus neurodégénératifs qui affectent les ganglions de la base, tel que la maladie de Parkinson.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Abstract and Summary of Thesis: Background: Individuals with Major Mental Illness (such as schizophrenia and bipolar disorder) experience increased rates of physical health comorbidity compared to the general population. They also experience inequalities in access to certain aspects of healthcare. This ultimately leads to premature mortality. Studies detailing patterns of physical health comorbidity are limited by their definitions of comorbidity, single disease approach to comorbidity and by the study of heterogeneous groups. To date the investigation of possible sources of healthcare inequalities experienced by individuals with Major Mental Illness (MMI) is relatively limited. Moreover studies detailing the extent of premature mortality experienced by individuals with MMI vary both in terms of the measure of premature mortality reported and age of the cohort investigated, limiting their generalisability to the wider population. Therefore local and national data can be used to describe patterns of physical health comorbidity, investigate possible reasons for health inequalities and describe mortality rates. These findings will extend existing work in this area. Aims and Objectives: To review the relevant literature regarding: patterns of physical health comorbidity, evidence for inequalities in physical healthcare and evidence for premature mortality for individuals with MMI. To examine the rates of physical health comorbidity in a large primary care database and to assess for evidence for inequalities in access to healthcare using both routine primary care prescribing data and incentivised national Quality and Outcome Framework (QOF) data. Finally to examine the rates of premature mortality in a local context with a particular focus on cause of death across the lifespan and effect of International Classification of Disease Version 10 (ICD 10) diagnosis and socioeconomic status on rates and cause of death. Methods: A narrative review of the literature surrounding patterns of physical health comorbidity, the evidence for inequalities in physical healthcare and premature mortality in MMI was undertaken. Rates of physical health comorbidity and multimorbidity in schizophrenia and bipolar disorder were examined using a large primary care dataset (Scottish Programme for Improving Clinical Effectiveness in Primary Care (SPICE)). Possible inequalities in access to healthcare were investigated by comparing patterns of prescribing in individuals with MMI and comorbid physical health conditions with prescribing rates in individuals with physical health conditions without MMI using SPICE data. Potential inequalities in access to health promotion advice (in the form of smoking cessation) and prescribing of Nicotine Replacement Therapy (NRT) were also investigated using SPICE data. Possible inequalities in access to incentivised primary healthcare were investigated using National Quality and Outcome Framework (QOF) data. Finally a pre-existing case register (Glasgow Psychosis Clinical Information System (PsyCIS)) was linked to Scottish Mortality data (available from the Scottish Government Website) to investigate rates and primary cause of death in individuals with MMI. Rate and primary cause of death were compared to the local population and impact of age, socioeconomic status and ICD 10 diagnosis (schizophrenia vs. bipolar disorder) were investigated. Results: Analysis of the SPICE data found that sixteen out of the thirty two common physical comorbidities assessed, occurred significantly more frequently in individuals with schizophrenia. In individuals with bipolar disorder fourteen occurred more frequently. The most prevalent chronic physical health conditions in individuals with schizophrenia and bipolar disorder were: viral hepatitis (Odds Ratios (OR) 3.99 95% Confidence Interval (CI) 2.82-5.64 and OR 5.90 95% CI 3.16-11.03 respectively), constipation (OR 3.24 95% CI 3.01-3.49 and OR 2.84 95% CI 2.47-3.26 respectively) and Parkinson’s disease (OR 3.07 95% CI 2.43-3.89 and OR 2.52 95% CI 1.60-3.97 respectively). Both groups had significantly increased rates of multimorbidity compared to controls: in the schizophrenia group OR for two comorbidities was 1.37 95% CI 1.29-1.45 and in the bipolar disorder group OR was 1.34 95% CI 1.20-1.49. In the studies investigating inequalities in access to healthcare there was evidence of: under-recording of cardiovascular-related conditions for example in individuals with schizophrenia: OR for Atrial Fibrillation (AF) was 0.62 95% CI 0.52 - 0.73, for hypertension 0.71 95% CI 0.67 - 0.76, for Coronary Heart Disease (CHD) 0.76 95% CI 0.69 - 0.83 and for peripheral vascular disease (PVD) 0.83 95% CI 0.72 - 0.97. Similarly in individuals with bipolar disorder OR for AF was 0.56 95% CI 0.41-0.78, for hypertension 0.69 95% CI 0.62 - 0.77 and for CHD 0.77 95% CI 0.66 - 0.91. There was also evidence of less intensive prescribing for individuals with schizophrenia and bipolar disorder who had comorbid hypertension and CHD compared to individuals with hypertension and CHD who did not have schizophrenia or bipolar disorder. Rate of prescribing of statins for individuals with schizophrenia and CHD occurred significantly less frequently than in individuals with CHD without MMI (OR 0.67 95% CI 0.56-0.80). Rates of prescribing of 2 or more anti-hypertensives were lower in individuals with CHD and schizophrenia and CHD and bipolar disorder compared to individuals with CHD without MMI (OR 0.66 95% CI 0.56-0.78 and OR 0.55 95% CI 0.46-0.67, respectively). Smoking was more common in individuals with MMI compared to individuals without MMI (OR 2.53 95% CI 2.44-2.63) and was particularly increased in men (OR 2.83 95% CI 2.68-2.98). Rates of ex-smoking and non-smoking were lower in individuals with MMI (OR 0.79 95% CI 0.75-0.83 and OR 0.50 95% CI 0.48-0.52 respectively). However recorded rates of smoking cessation advice in smokers with MMI were significantly lower than the recorded rates of smoking cessation advice in smokers with diabetes (88.7% vs. 98.0%, p<0.001), smokers with CHD (88.9% vs. 98.7%, p<0.001) and smokers with hypertension (88.3% vs. 98.5%, p<0.001) without MMI. The odds ratio of NRT prescription was also significantly lower in smokers with MMI without diabetes compared to smokers with diabetes without MMI (OR 0.75 95% CI 0.69-0.81). Similar findings were found for smokers with MMI without CHD compared to smokers with CHD without MMI (OR 0.34 95% CI 0.31-0.38) and smokers with MMI without hypertension compared to smokers with hypertension without MMI (OR 0.71 95% CI 0.66-0.76). At a national level, payment and population achievement rates for the recording of body mass index (BMI) in MMI was significantly lower than the payment and population achievement rates for BMI recording in diabetes throughout the whole of the UK combined: payment rate 92.7% (Inter Quartile Range (IQR) 89.3-95.8 vs. 95.5% IQR 93.3-97.2, p<0.001 and population achievement rate 84.0% IQR 76.3-90.0 vs. 92.5% IQR 89.7-94.9, p<0.001 and for each country individually: for example in Scotland payment rate was 94.0% IQR 91.4-97.2 vs. 96.3% IQR 94.3-97.8, p<0.001. Exception rate was significantly higher for the recording of BMI in MMI than the exception rate for BMI recording in diabetes for the UK combined: 7.4% IQR 3.3-15.9 vs. 2.3% IQR 0.9-4.7, p<0.001 and for each country individually. For example in Scotland exception rate in MMI was 11.8% IQR 5.4-19.3 compared to 3.5% IQR 1.9-6.1 in diabetes. Similar findings were found for Blood Pressure (BP) recording: across the whole of the UK payment and population achievement rates for BP recording in MMI were also significantly reduced compared to payment and population achievement rates for the recording of BP in chronic kidney disease (CKD): payment rate: 94.1% IQR 90.9-97.1 vs.97.8% IQR 96.3-98.9 and p<0.001 and population achievement rate 87.0% IQR 81.3-91.7 vs. 97.1% IQR 95.5-98.4, p<0.001. Exception rates again were significantly higher for the recording of BP in MMI compared to CKD (6.4% IQR 3.0-13.1 vs. 0.3% IQR 0.0-1.0, p<0.001). There was also evidence of differences in rates of recording of BMI and BP in MMI across the UK. BMI and BP recording in MMI were significantly lower in Scotland compared to England (BMI:-1.5% 99% CI -2.7 to -0.3%, p<0.001 and BP: -1.8% 99% CI -2.7 to -0.9%, p<0.001). While rates of BMI and BP recording in diabetes and CKD were similar in Scotland compared to England (BMI: -0.5 99% CI -1.0 to 0.05, p=0.004 and BP: 0.02 99% CI -0.2 to 0.3, p=0.797). Data from the PsyCIS cohort showed an increase in Standardised Mortality Ratios (SMR) across the lifespan for individuals with MMI compared to the local Glasgow and wider Scottish populations (Glasgow SMR 1.8 95% CI 1.6-2.0 and Scotland SMR 2.7 95% CI 2.4-3.1). Increasing socioeconomic deprivation was associated with an increased overall rate of death in MMI (350.3 deaths/10,000 population/5 years in the least deprived quintile compared to 794.6 deaths/10,000 population/5 years in the most deprived quintile). No significant difference in rate of death for individuals with schizophrenia compared with bipolar disorder was reported (6.3% vs. 4.9%, p=0.086), but primary cause of death varied: with higher rates of suicide in individuals with bipolar disorder (22.4% vs. 11.7%, p=0.04). Discussion: Local and national datasets can be used for epidemiological study to inform local practice and complement existing national and international studies. While the strengths of this thesis include the large data sets used and therefore their likely representativeness to the wider population, some limitations largely associated with using secondary data sources are acknowledged. While this thesis has confirmed evidence of increased physical health comorbidity and multimorbidity in individuals with MMI, it is likely that these findings represent a significant under reporting and likely under recognition of physical health comorbidity in this population. This is likely due to a combination of patient, health professional and healthcare system factors and requires further investigation. Moreover, evidence of inequality in access to healthcare in terms of: physical health promotion (namely smoking cessation advice), recording of physical health indices (BMI and BP), prescribing of medications for the treatment of physical illness and prescribing of NRT has been found at a national level. While significant premature mortality in individuals with MMI within a Scottish setting has been confirmed, more work is required to further detail and investigate the impact of socioeconomic deprivation on cause and rate of death in this population. It is clear that further education and training is required for all healthcare staff to improve the recognition, diagnosis and treatment of physical health problems in this population with the aim of addressing the significant premature mortality that is seen. Conclusions: Future work lies in the challenge of designing strategies to reduce health inequalities and narrow the gap in premature mortality reported in individuals with MMI. Models of care that allow a much more integrated approach to diagnosing, monitoring and treating both the physical and mental health of individuals with MMI, particularly in areas of social and economic deprivation may be helpful. Strategies to engage this “hard to reach” population also need to be developed. While greater integration of psychiatric services with primary care and with specialist medical services is clearly vital the evidence on how best to achieve this is limited. While the National Health Service (NHS) is currently undergoing major reform, attention needs to be paid to designing better ways to improve the current disconnect between primary and secondary care. This should then help to improve physical, psychological and social outcomes for individuals with MMI.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Projeto de Investigação apresentado para a obtenção do grau de Mestre em Psicologia do Desporto e do Exercício

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Projeto de Investigação apresentado para a obtenção do grau de Mestre em Psicologia do Desporto e do Exercício

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Objectives: We report a fatal case of neuroleptic malignant-like syndrome, which occurred as a consequence of paralytic bowel in a 72-year-old woman on treatment with antiparkinson medication. Case description: Contrast enhanced computerized tomography of the chest and abdomen demonstrated the presence of paralytic bowel. Results: The patient died. Conclusions: Physicians involved in the treatment of patients affected by Parkinson’s disease should take into consideration the possibility of dopaminergic drug malabsorption due to paralytic bowel as a possible cause of neuroleptic malignant-like syndrome.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

One of the challenges to biomedical engineers proposed by researchers in neuroscience is brain machine interaction. The nervous system communicates by interpreting electrochemical signals, and implantable circuits make decisions in order to interact with the biological environment. It is well known that Parkinson’s disease is related to a deficit of dopamine (DA). Different methods has been employed to control dopamine concentration like magnetic or electrical stimulators or drugs. In this work was automatically controlled the neurotransmitter concentration since this is not currently employed. To do that, four systems were designed and developed: deep brain stimulation (DBS), transmagnetic stimulation (TMS), Infusion Pump Control (IPC) for drug delivery, and fast scan cyclic voltammetry (FSCV) (sensing circuits which detect varying concentrations of neurotransmitters like dopamine caused by these stimulations). Some softwares also were developed for data display and analysis in synchronously with current events in the experiments. This allowed the use of infusion pumps and their flexibility is such that DBS or TMS can be used in single mode and other stimulation techniques and combinations like lights, sounds, etc. The developed system allows to control automatically the concentration of DA. The resolution of the system is around 0.4 µmol/L with time correction of concentration adjustable between 1 and 90 seconds. The system allows controlling DA concentrations between 1 and 10 µmol/L, with an error about +/- 0.8 µmol/L. Although designed to control DA concentration, the system can be used to control, the concentration of other substances. It is proposed to continue the closed loop development with FSCV and DBS (or TMS, or infusion) using parkinsonian animals models.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

La maladie de Parkinson (MP) est une maladie neurodégénérative qui se caractérise principalement par la présence de symptômes moteurs. Cependant, d’autres symptômes, dits non moteurs, sont fréquents dans la MP et assombrissent le pronostic; ceux ci incluent notamment les désordres du sommeil et les troubles cognitifs. De fait, sur une période de plus de 10 ans, jusqu’à 90 % des patients avec la MP développeraient une démence. L’identification de marqueurs de la démence dans la MP est donc primordiale pour permettre le diagnostic précoce et favoriser le développement d’approches thérapeutiques préventives. Plusieurs études ont mis en évidence la contribution du sommeil dans les processus de plasticité cérébrale, d’apprentissage et de consolidation mnésique, notamment l’importance des ondes lentes (OL) et des fuseaux de sommeil (FS). Très peu de travaux se sont intéressés aux liens entre les modifications de la microarchitecture du sommeil et le déclin cognitif dans la MP. L’objectif de cette thèse est de déterminer, sur le plan longitudinal, si certains marqueurs électroencéphalographiques (EEG) en sommeil peuvent prédire la progression vers la démence chez des patients atteints de la MP. La première étude a évalué les caractéristiques des OL et des FS durant le sommeil lent chez les patients avec la MP selon qu’ils ont développé ou non une démence (MP démence vs MP sans démence) lors du suivi longitudinal, ainsi que chez des sujets contrôles en santé. Comparativement aux patients MP sans démence et aux sujets contrôles, les patients MP démence présentaient au temps de base une diminution de la densité, de l’amplitude et de la fréquence des FS. La diminution de l’amplitude des FS dans les régions postérieures était associée à de moins bonnes performances aux tâches visuospatiales chez les patients MP démence. Bien que l’amplitude des OL soit diminuée chez les deux groupes de patients avec la MP, celle ci n’était pas associée au statut cognitif lors du suivi. La deuxième étude a évalué les marqueurs spectraux du développement de la démence dans la MP à l’aide de l’analyse quantifiée de l’EEG en sommeil lent, en sommeil paradoxal et à l’éveil. Les patients MP démence présentaient une diminution de la puissance spectrale sigma durant le sommeil lent dans les régions pariétales comparativement aux patients MP sans démence et aux contrôles. Durant le sommeil paradoxal, l’augmentation de la puissance spectrale en delta et en thêta, de même qu’un plus grand ratio de ralentissement de l’EEG, caractérisé par un rapport plus élevé des basses fréquences sur les hautes fréquences, était associée au développement de la démence chez les patients avec la MP. D’ailleurs, dans la cohorte de patients, un plus grand ralentissement de l’EEG en sommeil paradoxal dans les régions temporo occipitales était associé à des performances cognitives moindres aux épreuves visuospatiales. Enfin, durant l’éveil, les patients MP démence présentaient au temps de base une augmentation de la puissance spectrale delta, un plus grand ratio de ralentissement de l’EEG ainsi qu’une diminution de la fréquence dominante occipitale alpha comparativement aux patients MP sans démence et aux contrôles. Cette thèse suggère que des anomalies EEG spécifiques durant le sommeil et l’éveil peuvent identifier les patients avec la MP qui vont développer une démence quelques années plus tard. L’activité des FS, ainsi que le ralentissement de l’EEG en sommeil paradoxal et à l’éveil, pourraient donc servir de marqueurs potentiels du développement de la démence dans la MP.

Relevância:

80.00% 80.00%

Publicador:

Resumo:

Dans les dernières années, les études sur les maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer (MA) et la maladie de Parkinson sans démence (MP) et avec démence (MPD) ont été nombreuses, mais la différenciation de ces patients sur la base de leur profil cognitif doit être encore améliorée. Effectivement, l’évaluation clinique peut s’avérer difficile en raison du peu de spécificité dans la présentation de leurs déficits neuropsychologiques. Ceci s’explique par la variabilité et le chevauchement des processus cliniques et pathologiques affectant essentiellement les mêmes régions/fonctions, soit celles liées aux lobes temporaux médians (LTM)/Mémoire (fonction LTM/Mémoire) et aux lobes frontaux (LF)/Fonctions exécutives (fonction LF/Exécutive). Toutefois, il existerait une distinction critique au niveau de l’intégrité relative de ces fonctions dans ces maladies neurodégénératives, ce qui permettrait d’identifier des déficits cognitifs spécifiques à la MA, la MP et la MPD. La présente thèse s’inscrit dans cette volonté de caractériser les profils cognitifs propres à la MA, la MP et la MPD, plus précisément par l’étude novatrice de la mémoire de source et des faux souvenirs. Les quatre chapitres qui composent cette thèse servent donc à documenter la nature de ces mécanismes mnésiques, leurs patrons de performance spécifiques dans la MA, la MP et la MPD, et leur sensibilité aux atteintes des fonctions LTM/Mémoire et LF/Exécutive. Ainsi, le Chapitre I démontre la pertinence d’étudier la mémoire de source et les faux souvenirs dans la MA, la MP et la MPD, en décrivant leurs interactions avec les fonctions LTM/Mémoire et LF/Exécutive, toutes les deux atteintes dans ces maladies. Le Chapitre II, présenté sous forme d’article, révèle des déficits en mémoire de source chez des patients MP, mais seulement dans l’une des tâches employées. Également, malgré des atteintes des fonctions LF/Exécutive et LTM/Mémoire, il est démontré que seule la fonction LTM/Mémoire est liée à l’altération de la mémoire de source chez les patients MP. Le Chapitre III, également sous forme d’article, illustre un taux anormal de faux souvenirs chez des patients MA, tandis que chez des patients MP et MPD, il est démontré qu’ils ont un taux de faux souvenirs comparable à celui des participants contrôles. Il est également rapporté que malgré l’atteinte de la fonction LF/Exécutive chez les patients MA, MP et MPD, elle est seulement liée à l’augmentation des faux souvenirs chez les patients MA. Finalement, dans le dernier Chapitre (IV), les résultats obtenus sont discutés dans leur ensemble à la lumière des prédictions et connaissances actuelles, tout en identifiant les limites afin d’orienter les perspectives de recherche.