931 resultados para Everglades national park
Resumo:
Also covers Morristown and surrounding areas.
Resumo:
Also covers Morristown and surrounding areas.
Resumo:
Also covers Morristown and surrounding areas.
Resumo:
Also covers Morristown and surrounding areas.
Resumo:
Also covers town of Morristown and surrounding areas.
Resumo:
"*GPO:2008--339-126/80165."
Resumo:
Examines visitor attitudes and whether visitors are willing to pay to enter Lamington National Park and under what circumstances they would do so. First a sample of visitors is asked a general (normative) question as to whether visitors should pay to visit Lamington National Park and in another question (positive) they are asked whether they would be more willing to pay if the money collected would be invested in the park to improve visitor facilities and for conservation work. The results show that visitors are more willing to accept the ‘user-pays’ principle if the money will be used for the benefit of the national park and its visitors. It was found that foreigners are more in support for a ‘user-pay’ fee than Australians, and among Australians, those visitors from Queensland are the least willing to accept the idea of a user-pay fee to enter the park. The results indicate that if visitors can be shown the benefits (both for visitors and for conservation) of charging an entry fee, then visitors are more likely to support such a concept than when they are unaware of the benefits of a user-fee. The study shows that on average foreigners are willing to pay more than Australians. Finally, the regression results identify significant factors influencing visitors’ attitudes and suggested amounts to visit the national park.
Resumo:
With 420 trap-nights we sampled shrews in different habitats of the Souss-Massa National Park. Crocidura viaria (n=11) was found in 5 habitats (cultivated land, wetland, beach dunes with Chenopodia, sand dunes with patchy vegetation and also in the Euphorbia association). No shrews were captured in Eucalyptus forest with undergrowth. Southward from Essaouira, C. viaria is obviously the most frequent species in dense or patchy lowland vegetation. Two other species (C. whitakeri and C. tarfayaensis) which occur in sympatry in the Agadir region were not captured. They live probably not in syntopy with C. viaria and their ecological requirements remain to be studied.
Resumo:
Les thiols et le sélénium peuvent jouer un rôle important dans la méthylation du mercure des environnements aquatiques. Pour démontrer la présence des thiols et du sélénium et leur relation avec le mercure dans certains écosystèmes d'eau douce québécois, une campagne d’échantillonnage fut réalisée durant l’été 2010, dans le parc national du Mont-Tremblant (Laurentides, Québec). Il existe une corrélation significative entre le sélénium et le mercure total dans l’eau des lacs du parc. Cependant, les concentrations de sélénium sont très faibles dans les lacs, les étangs de castor et les ruisseaux. Par ailleurs, les lacs du parc national du Mont-Tremblant ont des concentrations relativement élevées de méthylmercure avec une moyenne de 0,33 ng L-1 et des maximums allant jusqu’à 3,29 ng L-1. Les étangs de castor peuvent aussi être considérés comme des lieux de contamination au méthylmercure, avec une concentration moyenne de 0,95 ng L-1. Toutefois, la présence d’une colonie de castors sur le bassin versant d’un lac ne semble pas influencer les concentrations de mercure que l’on y retrouve. Deux thiols sont détectables dans l’eau de surface des Laurentides, soit le glutathion et l’acide thioglycolique. La concentration de ce dernier thiol est corrélée significativement avec celle du mercure total et du méthylmercure. Les thiols peuvent jouer un rôle important dans les processus de méthylation en favorisant le transport du mercure inorganique à l’intérieur des bactéries sulfato-réductrices. Afin de mieux comprendre l’action antagoniste entre le sélénium et le mercure, des études devraient être réalisées au niveau des tissus des organismes vivants dans ces zones pauvres en sélénium.
Resumo:
L’augmentation des interactions entre humains et animaux sauvages en lisière des habitats naturels pourrait faciliter la transmission d’agents pathogènes entre les humains et les différentes espèces animales d’un écosystème et ainsi favoriser l’émergence de maladies. Nous avons effectué une étude transversale portant sur l’infection par Giardia et Cryptosporidium chez les humains, les animaux domestiques, les rongeurs et les lémuriens au sein de l’écosystème de Ranomafana, Madagascar. Des échantillons de fèces ont étés collectés de manière non invasive chez des personnes volontaires, des mammifères domestiques et des rongeurs introduits habitant trois villages situés en lisière du Parc National de Ranomafana (PNR) ainsi que quatre espèces de lémuriens (Propithecus edwardsii, Prolemur simus, Eulemur rubriventer et Microcebus rufus) du PNR. Des analyses coproscopiques par la technique d’immunofluorescence directe ont été réalisées afin de détecter la présence de Cryptosporidium et Giardia. Leur prévalence a été estimée et certaines variables reliées à l’infection par les parasites ont été identifiées. Cryptosporidium et Giardia ont été détectés avec une prévalence estimée à 22,9 % et 13,6 % respectivement chez les humains. La prévalence de ces deux parasites variait de 0 % à 60 % chez les animaux domestiques et les rongeurs au sein des villages. L’espèce hôte, l’âge ainsi que la co-infection par un autre protozoaire sont les seules variables associées à l’infection par Cryptosporidium et Giardia dans cet écosystème tandis qu’aucune association avec une coinfection par un ordre de nématode n’a été détecté. De plus, Cryptosporidium a été détecté chez 10,5 % des lémuriens du PNR. Cette étude documente pour la première fois la présence de Cryptosporidium chez deux espèces de lémuriens du PNR. Par contre, Giardia n’a pas été détecté dans les échantillons issus de lémuriens du PNR.
Resumo:
La faune et la flore de l’île de La Réunion atteignent un niveau d’endémisme très élevé avec le tiers de sa surface encore recouverte par des forêts naturelles. Ces conditions exceptionnelles ont favorisé, en 2007, la création du Parc National de La Réunion qui couvre 40 % du territoire. Parmi les différentes atteintes à l’environnement dans les aires du Parc national, le braconnage est devenu, au cours des deux dernières décennies, un phénomène très préoccupant pour les différents acteurs locaux et régionaux qui s’occupent de la gestion de ce problème. Plusieurs espèces braconnées sont actuellement menacées et les dégâts occasionnés par les braconniers sont visibles dans le paysage réunionnais. Ce projet de recherche vise à répondre à la question de recherche suivante : De quelle façon se manifeste le braconnage (les motivations, la fréquence, les techniques, les lieux) dans le Parc national de La Réunion et comment les différents acteurs réagissent-ils face à la pratique du braconnage? La méthodologie de cette recherche repose sur une démarche combinant l’approche exploratoire et l’étude de cas. Les données qualitatives et quantitatives que nous avons utilisées pour cette étude ont été collectées par une recherche bibliographique, une collection de données statistiques, et par des entrevues (exploratoires, semi-dirigées, individuelles non-structurées) réalisées sur le terrain. Les résultats obtenus nous ont permis de constater que le braconnage à La Réunion est un phénomène ancré dans la culture locale et une conséquence directe du contexte économique actuel. Notre recherche a relevé deux catégories de braconniers : les braconniers occasionnels (touristes et braconniers du dimanche) et les braconniers professionnels. Le braconnage de type occasionnel est très largement répandu dans la population, car il s’inscrit dans une continuité des traditions. Le braconnage de type professionnel où le braconnier prélève de façon systématique dans la nature à des fins monétaires, est pratiqué par peu de gens, mais il occasionne de lourdes pertes contrairement au braconnage de type occasionnel. Les différentes méthodes mises en place par les divers acteurs impliqués dans la gestion du braconnage ont été répertoriées et examinées. Tandis que le poinçonnage des plants de vanille et le marquage des tangues sont efficaces, la délation des braconniers et les visites éducatives restent des pistes à explorer, et les conférences rééducatives des braconniers ainsi que la vente de permis de chasse au tangue ont démontré une faible efficacité. Des recommandations pour améliorer la dynamique entre les acteurs impliqués dans la gestion du braconnage ont été données par plusieurs de ces acteurs interrogés au cours de cette recherche.
Resumo:
Ce mémoire visait à déterminer si un petit parc périurbain, en l’occurrence le Parc national du Mont-Saint-Bruno, est parvenu à maintenir l’intégrité de sa flore au cours des trente dernières années en dépit de pressions humaines croissantes et de perturbations naturelles passées, en plus d’identifier les principaux changements floristiques survenus au cours de cette période et les facteurs responsables. Pour répondre à ces objectifs, une étude historique a été réalisée, en comparant un inventaire floristique ancien (1977) à un inventaire récent (2013). Mes résultats montrent d’abord une forte croissance de la diversité alpha indigène au cours des 35 dernières années, accompagnée d’un déclin significatif de la diversité bêta (30%). Malgré cette homogénéisation taxonomique, la diversité fonctionnelle de la flore forestière s’est accrue, la rendant probablement plus résiliente aux événements perturbateurs. D’autre part, mes analyses ont révélé la progression de traits fonctionnels souvent associés à des habitats forestiers intensément broutés, révélant une certaine influence du cerf de Virginie sur la composition et la structure de la flore forestière. Enfin, mes résultats ont montré que les herbiers botaniques se révèlent être une alternative fiable aux méthodes traditionnelles pour documenter et évaluer l’impact des grands herbivores sur la morphologie des plantes broutées. Au final, cette étude a montré que les petites aires protégées périurbaines peuvent jouer un rôle majeur dans la préservation de la diversité floristique d’habitats forestiers d’intérêt, particulièrement lorsque leur statut de protection permet d’encadrer de manière stricte les activités humaines.
Resumo:
We have studied growth and estimated recruitment of massive coral colonies at three sites, Kaledupa, Hoga and Sampela, separated by about 1.5 km in the Wakatobi Marine National Park, S.E. Sulawesi, Indonesia. There was significantly higher species richness (P<0.05), coral cover (P<0.05) and rugosity (P<0.01) at Kaledupa than at Sampela. A model for coral reef growth has been developed based on a rational polynomial function, where dx/dt is an index of coral growth with time; W is the variable (for example, coral weight, coral length or coral area), up to the power of n in the numerator and m in the denominator; a1……an and b1…bm are constants. The values for n and m represent the degree of the polynomial, and can relate to the morphology of the coral. The model was used to simulate typical coral growth curves, and tested using published data obtained by weighing coral colonies underwater in reefs on the south-west coast of Curaçao [‘Neth. J. Sea Res. 10 (1976) 285’]. The model proved an accurate fit to the data, and parameters were obtained for a number of coral species. Surface area data was obtained on over 1200 massive corals at three different sites in the Wakatobi Marine National Park, S.E. Sulawesi, Indonesia. The year of an individual's recruitment was calculated from knowledge of the growth rate modified by application of the rational polynomial model. The estimated pattern of recruitment was variable, with little numbers of massive corals settling and growing before 1950 at the heavily used site, Sampela, relative to the reef site with little or no human use, Kaledupa, and the intermediate site, Hoga. There was a significantly greater sedimentation rate at Sampela than at either Kaledupa (P<0.0001) or Hoga (P<0.0005). The relative mean abundance of fish families present at the reef crests at the three sites, determined using digital video photography, did not correlate with sedimentation rates, underwater visibility or lack of large non-branching coral colonies. Radial growth rates of three genera of non-branching corals were significantly lower at Sampela than at Kaledupa or at Hoga, and there was a high correlation (r=0.89) between radial growth rates and underwater visibility. Porites spp. was the most abundant coral over all the sites and at all depths followed by Favites (P<0.04) and Favia spp. (P<0.03). Colony ages of Porites corals were significantly lower at the 5 m reef flat on the Sampela reef than at the same depth on both other reefs (P<0.005). At Sampela, only 2.8% of corals on the 5 m reef crest are of a size to have survived from before 1950. The Scleractinian coral community of Sampela is severely impacted by depositing sediments which can lead to the suffocation of corals, whilst also decreasing light penetration resulting in decreased growth and calcification rates. The net loss of material from Sampela, if not checked, could result in the loss of this protective barrier which would be to the detriment of the sublittoral sand flats and hence the Sampela village.
Resumo:
Increasing demand from mountain bikers for greater access to riding in National Park Service (NPS) units is driving the need for park managers to seriously look at the impacts from and feasibility of permitting this recreational use. Currently, NPS units that permit mountain bicycling do not have formal mountain bicycling management plans. An analysis of recreational policies and existing research was conducted to identify criteria for effective mountain bicycling management strategies. Criteria were developed for trail selection, establishment, use, closures and rehabilitation. Criteria were also developed for user education, participatory planning and monitoring. This study shows that the NPS needs formal mountain bicycling management plans that focus on the preservation of natural and cultural resources and consider the appropriateness of proposed recreational uses.
Resumo:
prepared for the National Park Service by the Metropolitan Area Planning Council.