717 resultados para Cognitive Behavioural Therapy (CBT)


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Cette étude porte sur une intervention de groupe basée sur la thérapie cognitivo-comportementale pour l’hyperphagie boulimique (HB), dont les effets potentiels sur la qualité de vie reliée au poids, la fréquence et la sévérité des crises de boulimie, les symptômes dépressifs, l’image corporelle et le poids corporel ont été mesurés, et le degré d’acceptation par les participantes a été documenté. Ainsi, 11 femmes avec un surplus de poids et répondant aux critères diagnostiques de l’HB ont été recrutées du printemps 2012 à l’hiver 2013, dans la région de Montréal. Le programme comportant huit séances hebdomadaires était dispensé par une nutritionniste et une psychothérapeute. La qualité de vie reliée au poids (Impact of Weight on Quality of Life), la fréquence des crises de boulimie (rappel des sept derniers jours), la sévérité des crises de boulimie (Binge Eating Scale), les symptômes dépressifs (Inventaire de Beck pour la dépression), l’insatisfaction corporelle (Body Shape Questionnaire) et le poids corporel ont été mesurés avant et à la fin de l’intervention. Puis, un questionnaire pour mesurer l’acceptation par les participantes était soumis au terme du programme. Le taux de participation aux séances était aussi colligé. Les résultats montrent que notre programme a permis une amélioration significative du score global de la qualité de vie reliée au poids de 8,4 ± 13,3, ainsi qu’en termes d’estime de soi et de travail. Aussi, une diminution significative de la fréquence des crises de boulimie de 2,1 ± 2,1 jours, de la sévérité des crises de boulimie dont le score a diminué de 10,9 ± 7,7, des symptômes dépressifs dont le score a diminué de 8,3 ± 5,7 et de l’insatisfaction corporelle dont le score a diminué de 32,8 ± 17,1, ont été observées. Toutefois, il n’y a pas eu de perte de poids au terme de l’intervention. Puis, le programme a été bien accepté par les participantes tel que démontré par le taux de participation aux séances de 93,8 % et la satisfaction mesurée par l’appréciation des divers éléments du programme de 4,6 sur 5 et la pertinence de ceux-ci de 4,8 sur 5. Ces données suggèrent que l’intervention de groupe semble être prometteuse pour améliorer les symptômes et conséquences de l’HB, à l’exception du poids.

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Essai doctoral présenté à la Faculté des Arts et des Sciences Humaines en vue de l'obtention du grade de doctorat en psychologie clinique (D.Psy)

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Contexte: En dépit de la preuve substantielle pour l'efficacité générale de la thérapie cognitivo-comportementale pour le trouble obsessionnel-compulsif (TOC), il existe une controverse à propos de l'amélioration de certains déficits neuropsychologiques dans ce trouble. Objectif: Le but de cette étude est d'évaluer: 1) la corrélation de la gravité du TOC et les résultats des tests neuropsychologiques et 2) l'amélioration clinique et neuropsychologique des patients souffrant de TOC qui ont terminé avec succès leur traitement. Méthode: Cette étude évalue les fonctions neurocognitives et l'état clinique de 27 participants du groupe TOC et 25 participants du groupe témoin. La fonction neurocognitive de chaque participant a été évaluée en utilisant le test de Rey-Osterreich Figure complexe (RCFT), le test de fluidité D-KEFS et l’essai Cardebat-D. Nous avons également, utilisé l'inventaire d'anxiété de Beck (IAB), l’Inventaire de dépression de Beck (IDB) et l'échelle d'obsession-compulsion de Yale-Brown (Y-BOCS) pour vérifier la présence de l'anxiété et de la dépression avec le TOC et la gravité des symptômes chez les patients souffrant de TOC. Résultats: Notre étude conclut qu’il y une différence significative de la fonction de la mémoire selon le score au sous test de copie entre les participants souffrant de TOC et le groupe témoin. De plus, nous avons constaté une différence considérable dans le score de rappel immédiat et différé du RCFT avant et après le traitement dans le groupe de TOC. Conclusion: En résumé, la présente étude a démontré que les patients atteints de TOC ont des troubles cognitifs spécifiques et que la thérapie cognitivo-comportementale serait un traitement qui pourrait améliorer, au moins, certaines dysfonctions neurocognitives.

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L’implantation de programmes probants dans les milieux d’intervention peut comporter son lot de difficultés pour les gestionnaires ainsi que les intervenants en contexte de réadaptation pour adolescents. En effet, les contraintes auxquelles peuvent être confrontés les milieux de pratique mènent parfois à la modification des programmes, ceci en vue de faciliter leur implantation. Il devient alors important de documenter ainsi qu’identifier l’effet des éléments associés à la fidélité d’implantation lorsque les programmes d’intervention sont évalués. En plus d’évaluer l’effet du degré d’exposition au programme cognitif-comportemental implanté dans les unités d’hébergement du Centre jeunesse de Montréal – Institut universitaire (CJM-IU) sur l’ampleur des troubles de comportement des adolescentes, ce mémoire propose une nouvelle piste de recherche. Puisque la recherche empirique ne permet pas encore d’identifier les conditions selon lesquelles il serait possible de modifier les programmes d’intervention qui sont adoptés dans le contexte de la pratique, cette étude propose d’élaborer une logique d’exposition au programme qui s’inspire des principes d’intervention efficace élaborés par Andrews et ses collègues (1990). Cette approche permettrait d’adapter le niveau d’intervention aux caractéristiques de la clientèle, et ce, tout en s’assurant de l’efficacité du programme cognitif-comportemental. L’échantillon de cette étude est donc constitué de 74 adolescentes hébergées au CJM-IU pour une durée de six mois. Les résultats indiquent d’abord que les activités du programme cognitif-comportemental ont été appliquées de façon plutôt irrégulière et bien en deçà de la fréquence initialement prévue, ce qui rend bien compte des difficultés à implanter des programmes en contexte de pratique. Les résultats suggèrent aussi une diminution de l’ampleur des troubles de comportement six mois après l’admission au CJM-IU pour les adolescentes qui étaient caractérisées par une ampleur des troubles de comportement plus marquée au moment de leur admission et qui ont complété un plus grand nombre d’auto-observations durant leur placement.

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Partner behavioral responses to pain can have a significant impact on patient pain and depression, but little is known about why partners respond in specific ways. Using a cognitive-behavioral model, the present study examined whether partner cognitions were associated with partner behavioral responses, which prior work has found to predict patient pain and depressive symptoms. Participants were 354 women with provoked vestibulodynia and their partners. Partner pain-related cognitions were assessed using the partner versions of the Pain Catastrophizing Scale and Extended Attributional Style Questionnaire, whereas their behavioral responses to pain were assessed with the Multidimensional Pain Inventory. Patient pain was measured using a numeric rating scale, and depressive symptoms were assessed using the Beck Depression Inventory–II. Path analysis was used to examine the proposed model. Partner catastrophizing and negative attributions were associated with negative partner responses, which were associated with higher patient pain. It was also found that partner pain catastrophizing was associated with solicitous partner responses, which in turn were associated with higher patient pain and depressive symptoms. The effect of partner cognitions on patient outcomes was partially mediated by partner behavioral responses. Findings highlight the importance of assessing partner cognitions, both in research and as a target for intervention. Perspective The present study presents a cognitive-behavioral model to partially explain how significant others' thoughts about pain have an effect on patient pain and depressive symptoms. Findings may inform cognitive-behavioral therapy for couples coping with PVD.

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• Aim: The present study aimed to evaluate the effect of trainees’ interpersonal behavior on work involvement (WI) and compared their social behavior within professional and private relationships as well as between different psychotherapeutic orientations. • Methods: The interpersonal scales of the Intrex short-form questionnaire and the Work Involvement Scale (WIS) were used to evaluate two samples of German psychotherapy trainees in psychoanalytic, psychodynamic, and cognitive behavioral therapy training. Trainees from Sample 1 (N = 184) were asked to describe their interpersonal behavior in relation to their patients when filling out the Intrex, whereas trainees from Sample 2 (N = 135) were asked to describe the private relationship with a significant other. • Results: Interpersonal affiliation in professional relationships significantly predicted the level of healing involvement, while stress involvement was predicted by interpersonal affiliation and interdependence in trainees’ relationships with their patients. Social behavior within professional relationships provided higher correlations with WI than private interpersonal behavior. Significant differences were found between private and professional relation settings in trainees’ interpersonal behavior with higher levels of affiliation and interdependence with significant others. Differences between therapeutic orientation and social behavior could only be found when comparing trainees’ level of interdependence with the particular relationship setting. • Conclusion: Trainees’ interpersonal level of affiliation in professional relationships is a predictor for a successful psychotherapeutic development. Vice versa, controlling behavior in professional settings can be understood as a risk factor against psychotherapeutic growth. Both results strengthen an evidence-based approach for competence development during psychotherapy training.

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Esta revisión tuvo como objetivo realizar una exploración en la literatura sobre el proceso de duelo en la familia del paciente con Cáncer, desde una perspectiva cognoscitivo comportamental. Se muestran las emociones, las cogniciones y las conductas experimentadas por las familias durante el curso de la enfermedad; se describe el proceso de duelo de acuerdo al ciclo vital y familiar, los tipos de duelo que pueden surgir, los factores que contribuyen al desarrollo de un duelo normal o un duelo complicado, las estrategias y técnicas de intervención del duelo desde la perspectiva cognoscitivo conductual, programas de intervención específicos para el asesoramiento del duelo en familias de pacientes con enfermedad crónica e, intervenciones cognoscitivo comportamentales para el manejo del duelo familiar. Se concluye que el cáncer es una enfermedad que afecta significativamente la vida del paciente y de su familia, durante la enfermedad y después de la muerte. A pesar de esto la atención psicológica prestada a las familias suele ser insuficiente. El enfoque cognoscitivo comportamental ha creado protocolos para ayudar a la familia durante el proceso oncológico.

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La presente es una revisión teórica inicial acerca de la terapia cognitivo comportamental para el manejo de la fibromialgia. Para llegar a su descripción y demostración de su evidencia, se realiza una breve definición y contextualización del síndrome denominado fibromialgia. Se trata de un síndrome doloroso, crónico, complejo y multideterminado, que afecta considerablemente la calidad de vida de las personas que lo desarrollan. Su manejo es igualmente complejo. En consideración a ello, se procede a hacer una descripción igualmente breve de la multiplicidad de terapias psicológicas que se realizan para tratarla y se hace un mayor énfasis en la terapia cognitivo comportamental, demostrándose su evidencia en el manejo efectivo del dolor crónico y el comportamiento de este tipo de pacientes.

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La fibromialgia es un síndrome doloroso crónico de alta complejidad en su diagnóstico (que hasta la fecha es clínico) y en su manejo. Se caracteriza por la presencia simultánea de numerosos problemas psicológicos en los pacientes, de los cuales se reconoce su asociación con el síndrome pero no la direccionalidad de la asociación. En consecuencia, la atención de las personas que lo desarrollan requiere del despliegue de numerosos esfuerzos interdisciplinarios, con un alto fracaso terapéutico y una mayor cronificación de los síntomas. La Terapia Cognoscitivo Comportamental ha demostrado ser una valiosa herramienta para el abordaje eficaz de las necesidades afectivas, emocionales y comportamentales de esta población. En consecuencia, el presente trabajo de grado tuvo como objetivo realizar una revisión de la literatura hallada en las bases de datos especializadas, sobre la evidencia de las Terapias de Cognoscitivo Comportamentales de Tercera Generación en el manejo de la fibromialgia. Se seleccionaron tres de estas terapias, a saber: la Terapia de Aceptación y Compromiso (TAC), la Terapia Cognoscitiva Basada en Mindfulness (TCBM) y la Psicoterapia Analítica Funcional (PAF). En primer lugar se presenta un breve recorrido histórico de la Terapia Comportamental con el fin de apreciar las diferencias y las similitudes de la Terapia Comportamental en sus tres generaciones. Posteriormente se presenta cada una de las tres terapias seleccionadas, contextualizándolas en cuanto a sus objetivos y evidencia empírica en el campo de la Psicología de la Salud y en específico del dolor crónico y de la fibromialgia. Finalmente, se presentan algunas conclusiones generales y se discute sobre su eficacia y el papel del en estas, en especial para el manejo de la persona con fibromialgia.

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La presente revisión de la literatura tiene el objetivo de identificar las intervenciones psicológicas pre y postquirúrgicas para pacientes con amputación no traumática. Se identifica que las amputaciones por artropatía diabética son más frecuentes que las causadas por otras enfermedades aunque las amputaciones por cáncer, arterioesclerosis e infección también son prevalentes. La amputación es un evento altamente significativo en el sujeto y demanda un costoso reajuste que se ve influenciado por variables sociodemográficas y que tiene consecuencias psicosociales que requieren de la atención y acompañamiento de un equipo interdisciplinario. En la fase preoperatoria, al manifestarse ansiedad y temores subjetivos con respecto la amputación, las intervenciones se dirigen a favorecer la verbalización e identificación de recursos. En la fase postoperatoria se acompaña el proceso de adaptación y rehabilitación con el manejo de las consecuencias psicosociales más demandantes para el sujeto. La terapia cognitivo conductual en el proceso postoperatorio es la más frecuentemente utilizada.

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Actualmente se considera que las organizaciones con resultados positivos y rendimientos crecientes tienen aspectos y características particulares que las diferencian de aquellas organizaciones que no obtienen los mejores resultados en el mercado. Para que las organizaciones sean saludables deben garantizar el bienestar del empleado y comprometerse con el mejoramiento continuo del mismo. Es así como surgen las escalas de medidas de bienestar, las cuales contribuyen directamente al bienestar del empleado y sus resultados positivos dentro de la organización. Este estudio hace referencia a las medidas de bienestar más utilizadas en un periodo de diez años (2002-2012), con el propósito de establecer la relación entre las medidas de bienestar, el bienestar de los empleados y las organizaciones saludables. Para determinar dicha relación, se llevó a cabo un análisis detallado de los estudios realizados sobre las escalas de medidas de bienestar utilizadas durante el periodo de tiempo 2002 y 2012. Los resultados arrojados señalan que las medidas de bienestar más utilizadas durante este periodo son: Satisfacción laboral, Clima organizacional, Engagement y Calidad de vida laboral, mientras que las cuatro medidas de bienestar menos utilizadas son: Remuneración y Bienestar subjetivo.

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Perfectionism is a risk and maintaining factor for eating disorders, anxiety disorders and depression. The objective of this paper is to review the four bodies of evidence supporting the notion that perfectionism is a transdiagnostic process. First, a review of the literature was conducted that demonstrates the elevation of perfectionism across numerous anxiety disorders, depression, and eating disorders compared to healthy controls. Data is presented that shows perfectionism increases vulnerability for eating disorders, and that it maintains obsessive–compulsive disorder, social anxiety and depression as it predicts treatment outcome in these disorders. Second, evidence is examined showing that elevated perfectionism is associated with co-occurrence of psychopathology. Third, the different conceptualisations of perfectionism are reviewed, including a cognitive-behavioural conceptualisation of clinical perfectionism that can be utilised to understand this transdiagnostic process. Fourth, evidence that treatment of perfectionism results in reductions in anxiety, depression and eating pathology is reviewed. Finally,the importance of clinicians considering the routine assessment and treatment of perfectionism is outlined.

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Objective: The aims of these studies were (a) to investigate the relationship between attentional bias and eating disorders and (b) examine the impact of psychological treatment on attentional bias. Method: The first study compared performance on a pictorial dot probe of 82 female patients with clinical eating disorders and 44 healthy female controls. The second study compared the performance of 31 patients with eating disorder on the same task before and after receiving 20 weeks of standardized cognitive behavior therapy. Twenty-four patients with eating disorder served as wait-list controls. Results: With the exception of neutral shape stimuli, attentional biases for eating, shape, and weight stimuli were greater in the patient sample than the healthy controls. The second study found that attentional biases significantly reduced after active treatment only. Conclusion: Attentional biases may be an expression of the eating disorder. The question of whether such biases warrant specific intervention requires further investigation. (C) 2008 by Wiley Periodicals, Inc.

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The aims of the study were to test the hypotheses that some symptoms of starvation/severe dietary restraint are interpreted by patients with eating disorders in terms or control. Sixty-nine women satisfying the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders - IV edition (DSM-IV) criteria for a clinical eating disorder and 107 controls participated in the Study. All the participants completed an ambiguous scenarios paradigm, the Eating Disorder Lamination Questionnaire (EDE-Q) and the Beck Depression Inventory (BDI). Significantly more eating disorder patients than non clinical participants interpreted the starvation/dietary restraint symptoms of hunger, heightened satiety, and dizziness in terms of control. The data give further Support to the recent cognitive-behavioural theory of eating disorders suggesting that eating disorder patients interpret some starvation/dietary restraint symptoms in terms of control.

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Anxiety of childhood is a common and serious condition. The past decade has seen an increase in treatment-focussed research, with recent trials tending to give greater attention to parents in the treatment process. This review examines the efficacy of family-based cognitive behaviour therapy and attempts to delineate some of the factors that might have an impact on its efficacy. The choice and timing of outcome measure, age and gender of the child, level of parental anxiety, severity and type of child anxiety and treatment format and content are scrutinised. The main conclusions are necessarily tentative, but it seems likely that Family Cognitive Behaviour Therapy (FCBT) is superior to no treatment, and, for some outcome measures, also superior to Child Cognitive Behaviour Therapy (CCBT). Where FCBT is successful, the results are consistently maintained at follow-up. It appears that where a parent is anxious, and this is not addressed, outcomes are less good. However, for children of anxious parents, FCBT is probably more effective than CCBT. What is most clear is that large, well-designed studies, examining these factors alone and in combination, are now needed.