1000 resultados para Águas Minerais


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O objetivo deste trabalho foi estudar a viabilidade de utilização de águas de elevada salinidade na irrigação do coqueiro (Cocos nucifera L.) cv. Anão Verde, em fase inicial de produção, com 3,5 anos de cultivo. O experimento foi conduzido em blocos inteiramente casualizados, com quatro tratamentos, representados pelos níveis de salinidade da água de irrigação (condutividade elétrica - CEa = 0,1, 5,0, 10,0 e 15,0 dS m-1 a 25ºC) e cinco repetições. Constatou-se tendência de aumento do número de flores femininas por inflorescência, com o uso de águas salinas. A irrigação com águas de CEa>5,0 dS m-1 provocou redução no peso médio e no número de frutos colhidos, em relação ao controle (CEa = 0,1 dS m-1), a partir da 11ª e 14ª colheita, respectivamente. Condutividade elétrica da água de irrigação de 10 dS m-1 é o limite para se obter produção aceitável de frutos de coqueiro 'Anão Verde', nesse estádio fenológico.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar as concentrações séricas de minerais e as funções hepática e renal de frangos de corte intoxicados, experimentalmente, com 3 ppm de aflatoxina, e submetidos a diferentes concentrações de montmorilonita sódica na dieta. Foram utilizados 720 frangos, machos, da linhagem Cobb, divididos em seis tratamentos: T1, dieta normal; T2, dieta com aflatoxina (3 ppm); T3, dieta com montmorilonita sódica (0,25%); T4, dieta com aflatoxina (3 ppm) + montmorilonita sódica (0,25%); T5, dieta com montmorilonita sódica (0,5%); T6, dieta com aflatoxina (3 ppm) + montmorilonita sódica (0,5%), com seis repetições por tratamento. A dieta com 3 ppm de aflatoxina (T2) resultou em uma diminuição significativa na concentração sérica de proteínas totais, albumina, globulinas e aspartato amino transferase; a concentração sérica de ácido úrico diminuiu, significativamente, na dieta com aflatoxina (3 ppm) + momtmorilonita sódica a 0,25%; ocorreu diminuição significativa nas concentrações séricas de fósforo na dieta com aflatoxina + montmorilonita sódica a 0,5%. A aflatoxina na concentração de 3 ppm altera a função hepática de frangos de corte; o uso da montmorilonita sódica, na concentração de 0,5%, é eficaz na prevenção dos efeitos tóxicos da aflatoxina, mas diminui os níveis séricos de fósforo.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar o valor nutritivo, a estrutura do dossel, a ingestão de forragem e a produção animal em pastos de capim-xaraés (Urochloa brizantha cv. Xaraés), manejados a 15, 30 e 45 cm de altura, sob lotação contínua, durante o período das águas. Mensalmente, foram realizadas amostragens para estimar as características dos pastos e determinar o peso dos animais. A produção de forragem decresceu com o aumento da intensidade de pastejo; no entanto, o pasto com 15 cm de altura apresentou o maior valor nutritivo. O consumo de matéria seca foi menor no pasto com 15 cm (1,89% peso vivo - PV) do que nos com 30 cm (2,26% PV) e 45 cm (2,34% PV). O ganho médio diário foi semelhante entre as diferentes alturas de manejo, em média, 730 g por novilho. As taxas de lotação foram menores para os pastos com 45 cm (2,0 UA ha-1) e 30 cm (2,5 UA ha-1) do que para o com 15 cm (3,5 UA ha-1). Houve maior ganho por área no pasto com 15 cm (678 kg ha-1) do que no com 45 cm (324 kg ha-1).

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RESUME Les nombreuses mines de plomb et d'argent du Valais témoignent d'une activité minière importante par le passé, sans toutefois dévoiler ni l'importance des minéralisations, ni l'ancienneté de l'exploitation. La présente recherche a pour but de comprendre pourquoi les grandes mines sont concentrées dans une région, et de déterminer la chronologie de leur exploitation. L'originalité de ce travail réside dans son interdisciplinarité, plus précisément dans l'application des méthodes minéralogiques pour résoudre une problématique historique. Afin d'évaluer les ressources minières en plomb et en argent du Valais, 57 mines et indices ont été repérés et échantillonnés. Les signatures isotopiques du Pb (74 analyses) et les compositions chimiques élémentaires (45 analyses) ont été déterminées. Les plus grandes exploitations se situent dans la nappe de Siviez-Mischabel, au Sud d'une ligne Vallée du Rhône / Val de Bagnes ainsi que dans le Lötschental. Elles sont liées, d'après leur signature isotopique de plomb, à des minéralisations d'âge calédonien (408 à 387 Ma) ou tardi-hercynien (333 à 286 Ma). À ces périodes, l'ancien continent est très lourd et subit une subsidence thermique. Des premières fractures d'extrême importance se forment. Comme il s'agit d'accidents tectoniques majeurs, des gisements de grande extension peuvent se former dans ce contexte. D'autres minéralisations se situent dans les domaines helvétiques (Massif des Aiguilles Rouges, Massif du Mont Blanc et couverture sédimentaire), couvrant une région au Nord de la Vallée du Rhône et du Val d'Entremont. D'âge post-hercynien à tardi-alpin (notons qu'il n'y a pas de minéralisations d'âge tertiaire), elles sont pour la plupart liées à des intrusions granitiques, sources de plomb juvénile. Les mines situées dans ces unités tectoniques sont nettement moins étendues que celles de la nappe de Siviez-Mischabel, ce qui permet de penser que les minéralisations correspondantes le sont également. Les périodes d'exploitation des mines peuvent être déterminées par quatre approches différentes l'archéologie minière, la lecture des textes historiques, l'étude des déchets métallurgiques et la comparaison de la signature isotopique du plomb, que l'on mesure dans un objet archéologique bien daté (monnaie, bijoux etc.), avec celles des minerais. Cette dernière méthode a été appliquée et développée dans le cadre de la présente recherche. Pour ce faire, 221 échantillons d'objet en plomb ou en argent datés entre l'Âge du Fer et le Moyen Age ont été analysés par la méthode des isotopes de plomb et comparés à environ 1800 signatures isotopiques de minerais des gisements les plus importants en Suisse et en Europe. Avant l'époque romaine et jusqu'au 1 er siècle de cette époque, le plomb provient principalement des mines de la péninsule ibérique alors en pleine activité. Un apport des mines d'Europe tempérée, notamment des Vosges, reste à confirmer. A partir du 1" siècle de notre ère, le plomb a principalement été importé en Suisse occidentale de grands centres de productions situées en Allemagne du Nord (région d'Eifel). Les mines de plomb valaisannes, notamment celles de Siviez, débutent leur exploitation en même temps, principalement pour couvrir les besoins locaux, mais également pour l'exportation jusque dans l'arc lémanique et, dans une moindre importance, au-delà. À partir du 4ème siècle, le besoin en plomb a été couvert par un apport des mines locales et par la refonte d'objets anciens. Ce changement d'approvisionnement est probablement lié aux tensions créées par les invasions germaniques durant la seconde moitié du 3' siècle ; le marché suisse n'est dès lors plus approvisionné par le nord, c'est-à-dire par la vallée du Rhin. Quant à l'argent, l'exploitation de ce métal est attestée à partir de la fin du La Tène, peu après l'apparition de ce métal dans la région valaisanne. L'échantillonnage ne couvrant pas l'époque romaine, rien n'est connu pour cette période. A partir du 5" siècle, une exploitation d'argent est de nouveau attestée. Cependant, l'exploitation d'argent des mines locales ne gagne en importance qu'à partir du Moyen Âge avec les frappes monétaires, notamment les frappes carolingiennes et épiscopales valaisannes. Les sources d'argent sont différentes selon leur utilisation : à part quelques exceptions notamment vers la fin du La Tène et au tardo-antique, les bijoux et objets de cultes ont été souvent créés à partir d'argent refondu, contrairement aux monnaies pour lesquelles l'argent provient des mines locales. On note un approvisionnement différent de ce métal pour les objets, notamment les monnaies, selon leur lieu de fabrication : on peut clairement distinguer les objets valaisans de ceux du Plateau Suisse. SUMMARY The many lead and silver mines of the Valais testify of an important mining activity in the past, without however revealing neither the importance of the mineralizations, nor the era of the exploitation. The purpose of this research is to understand why the large mines are concentrated in one region, and to determine the history of their exploitation. The uniqueness of this work lies in its interdisciplinarity, more precisely in the application of mineralogical methods to solve historical problems. In order to evaluate the lead and silver mining resources of the Valais region, 57 mines and ore deposits were located and sampled. The isotope signatures of Pb (74 analyses) and the compositions of the chemical elements (45 analyses) were determined. The largest activities are in the Siviez-Mischabel area, located in the South of the boundary formed by the Rhone, Bagnes and Lotschental valleys. According to their lead isotope signatures, they are linked to mineralizations of the Caledonian (408 to 387 my) or tardi-Hercynian (333 to 286 my) orogenies. In those times, the old continent was very heavy and underwent a thermal subsidence. First fractures of great significance were formed. Through these major tectonic events, large extended ore deposits can be formed. Other mineralizations are found in the helvetic regions situated north of the Rhone and the Entremont valley (the Aiguilles Rouges basement, Mount Blanc basement and the covering sediment). Because they are from post-hercynien to tardi-alpine age (there are no mineralizations of tertiary age), they are mainly linked to granite intrusions, the sources of juvenile lead. The mines found in these tectonic units are significantly less extensive than those of the Siviez-Mischabel area, leading to the assumption that the respective mineralizations extend accordingly. The history of exploitation of the mines can be determined by four different sources: mining archaeology, historical texts, metallurgical waste, and the comparison of the isotope signature of the lead from accurately dated archaeological objects (currency, jewels etc), with those of the ores. This last approach was applied and developed within the framework of this research. The lead isotope signatures of 221 lead or silver objects from the Iron Age to the Middle Age were compared with approximately 1800 samples of ore of the most important ore deposits in Switzerland and Europe. Before the Roman time up to the 1st century, lead comes mainly from the mines of the Iberian Peninsula then in full activity. A contribution of the mines of Central Europe, in particular of the Vosges, remains to be confirmed. From the 1st century on, lead was mainly imported into Western Switzerland from Northern Germany (Eiffel region). The lead mines in the Valais region, in particular those of Siviez, begin their exploitation at the same time, mainly to meet the local needs, but also for export to the lemanic basin and of lesser importance, beyond. As from the 4th century, the need of lead was met by the production from local mines and the recycling of old objects. This change of supply is probably related to the tensions created by the Germanic invasions during second half of the 3rd century; as a consequence, the Swiss market is not supplied any more by the north, i.e. the Rhine valley. Silver production is confirmed starting from the end of La Tene, shortly after the appearance of this metal in the Valais region. Since no objects of Roman origin were analyzed, nothing is known for this period. From the 5th century on, silver production is again confirmed. However, significant silver production from local mines starts only in the Middle Age with the coinage, in particular Carolingian and Episcopal minting from the Valais region. The sources of silver differ according to their use: besides some exceptions in particular towards the end of La Tene and the tardi-Roman, the jewels and objects of worships were often created from recycled silver, contrary to the coins the silver for which comes from the local mines. A different source of silver is observed according to the location of coin manufacture: Objects originating from the Valais region are clearly distinguished from those from the Plateau Suisse. ZUSAMMENFASSUNG Die grosse Zahl von Blei- und Silberminen im Wallis ist Zeugnis einer bedeutenden Bergbautätigkeit, es fehlen aber Hinweise über ihren Umfang und den Zeitraum ihrer Ausbeutung. Die vorliegende Arbeit sucht zu ergründen, warum grosse Minen sich in einer eng begrenzten Region häufen und in welchem Zeitraum sie genutzt wurden. Die Besonderheit der Studie liegt in ihrer Interdisziplinarität, genauer in der Anwendung von mineralogischen Methoden zur Beantwortung historischer Fragestellungen. Zur Beurteilung der Lagerstätten wurden von 57 Minen und Aufschlüssen Proben entnommen oder Nachweise erbracht und mittels 74 Isotopen-Analysen von Blei und 45 chemischen Gesamtanalysen ausgewertet. Die wichtigsten Vorkommen liegen in der Siviez- Mischabel- Decke südlich der Linie Rhonetal- Val de Bagnes, sowie im Lötschental. Die Bleiisotopen- Alter weisen ihre Entstehung der kaledonischen (408 - 387 Mio. J.) oder der spät- herzynischen (333 - 286 Mio. J.) Gebirgsbildungsphase zu. In dieser Periode ist die kompakte Landmasse sehr schwer und erfairt eine thermische Absenkung. Es bilden sich tektonische Brüche von kontinentaler Ausdehnung. Die grossen tektonischen Bewegungen ermöglichen die Bildung von ausgedehnten Lagerstätten. Andere Vorkommen finden sich im Bereich der Helvetischen Alpen (Aiguilles Rouges Massiv, Mont-Blanc-Massiv und Sediment-Decken) im Gebiet nördlich des Rhonetales bis zum Val d'Entremont. Altersmässig sind sie der nach-hercynischen bis zur spät-alpidischen Orogenese zuzuweisen (auffällig ist das Fehlen von Vorkommen im Tertiär) und haben sich meist in der Folge von Granit- Intrusion, dem Ursprung von primärem Blei ausgebildet. Die Bergwerke in diesem Bereich sind deutlich weniger ausgedehnt als jene in der Siviez-Mischabel-Decke und entsprechen wahrscheinlich dem geringen Umfang der zugehörigen Vorkommen. Die Nutzungsperioden der Minen können mit vier verschiedenen Methoden bestimmt werden: Minenarchäologie, Historische Quellen, Auswertung von metallischen Abfällen (Schlacken) und Vergleich der Bleiisotopen-Zusammensetzung von Erzen mit jener von zeitlich gut datierbaren archäologischen Gegenständen (Münzen, Schmuckstücke). Die letztere Methode wurde im Rahmen der vorliegenden Forschungsarbeit entwickelt und angewendet. Zu diesem Zweck wurden an 221 Proben von Blei- oder Silberobjekten, die in die Periode zwischen Eisenzeit und Mittelalter eingestuft werden können, Bleiisotopen- Analysen durchgeführt und mit ca. 1800 Proben aus den wichtigsten Lagerstätten der Schweiz und Europas verglichen. Vor der Römerzeit und bis ins 1. Jahrh. stammt das Blei vornehmlich aus den in jener Zeit in voller Ausbeutung begriffenen Minen der Iberischen Halbinsel. Der Beitrag von Mitteleuropa, besonders der Vogesen, muss noch bestätigt werden. Ab dem 1. Jahrh. nach Chr. wurde die Westschweiz hauptschlich mit Blei aus den grossen Produktionszentren Norddeutschlands, vorwiegend der Eifel, versorgt. In dieser Periode setzt die Ausbeutung der Bleiminen des Wallis, besonders von Siviez, ein. Sie dienen der Deckung des örtlichen Bedarfs aber auch der Ausfuhr in das Gebiet des Genfersees und in einem bescheidenen Rahmen sogar darüber hinaus. Ab dem 4. Jahrhundert wurden vermehrt alte Objekte eingeschmolzen. Dieser Wechsel der Versorgungsquellen war vermutlich eine Folge der Wölkerwanderung in der zweiten Hälfte des 3. Jahrhunderts. Ab diesem Zeitpunkt war Helvetien der Zugang zu den Versorgungsquellen des Nordens, besonders des Rheinlandes, verwehrt. Der Abbau von Silber ist ab dem Ende des La Tène nachgewiesen, nur wenig nach dem Auftreten dieses Metalls im Wallis. Über die Römerzeit können wegen dem Fehlen entsprechender Proben keine Aussagen gemacht werden. Eine erneute Abbauperiode ist ab dem 5. Jahrhundert nachgewiesen. Die Produktion der örtlichen Minen erreicht aber erst im Mittelalter eine gewisse Bedeutung mit der Prägung von Mnzen durch die Karolinger und die Walliser Bischöfe. Die Herkunft des Silbers ist abhängig von dessen Verwendung. Mit wenigen Ausnahmen in der Zeit des La Tène und der späteren Römerzeit wurde für Kunst- und Kult- Gegenstände rezykliertes Silber verwendet, für Münzprägungen neues Silber aus den örtlichen Minen. Von Einfluss auf die Herkunft war auch der Produktionsstandort: Die Objekte aus dem Wallis unterscheiden sich deutlich von jenen des Mittellandes.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar, por meio da meta-análise, o efeito da fitase e da xilanase sobre a digestibilidade ileal aparente (DIa) de aminoácidos, cálcio e fósforo, em suínos em fase de crescimento. A base de dados consistiu de 21 artigos publicados entre 1998 e 2009, no total de 82 tratamentos e 644 suínos. A meta-análise foi realizada por análise gráfica, de correlação, de variância-covariância. As concentrações de fósforo fítico e as frações fibra em detergente neutro, fibra em detergente ácido e lignina em detergente ácido, nas dietas, apresentaram correlações baixas e negativas com a DIa do cálcio, fósforo e aminoácidos. A adição de fitase às dietas aumentou em 2% a DIa da arginina, em 14% a do cálcio e em 34% a do fósforo. A DIa da arginina, fenilalanina, isoleucina e lisina foi 3,3% superior em suínos alimentados com dietas com xilanase, em relação às dietas sem a enzima. O fósforo fítico e as fibras, nas dietas, reduzem a DIa do cálcio, do fósforo e dos aminoácidos essenciais. O uso de fitase e xilanase, nas dietas, melhora o aproveitamento de cálcio, fósforo e alguns aminoácidos. No entanto, o excesso de cálcio e fósforo nas dietas reduz a ação da fitase sobre a digestibilidade ileal dos nutrientes.

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O objetivo deste trabalho foi identificar os atributos fisiológicos, físico-químicos e minerais associados à ocorrência pós-colheita de "bitter pit" em maçãs 'Fuji' e 'Catarina'. Os frutos foram colhidos, armazenados por 120 dias a 1ºC, com 90–95% de umidade relativa e, em seguida, divididos em lotes com ou sem sintoma de "bitter pit". Maçãs 'Catarina' apresentaram maior incidência e severidade de "bitter pit", em comparação a 'Fuji'. Em ambas as cultivares, os frutos com "bitter pit" apresentaram maior produção de etileno, respiração e acidez titulável, e menor pH, firmeza de polpa, textura da casca e da polpa e percentagem de cor vermelha na casca. Os frutos com "bitter pit" também apresentaram menores teores de Ca e maiores valores das relações K/Ca, N/Ca, (K+Mg)/Ca e (K+Mg+N)/Ca nos tecidos da casca e da polpa da região pistilar. A análise canônica discriminante indica que os atributos mais adequados para discriminar frutos com e sem "bitter pit" são força para penetração na polpa e relação K/Ca na polpa, em maçãs 'Fuji', e acidez titulável e relação K/Ca na casca, em maçãs 'Catarina'.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar alterações nas trocas gasosas e nos conteúdos de carboidratos e compostos nitrogenados, em pinhão-manso (Jatropha curcas) irrigado com águas residuária e salina. Empregou-se o delineamento em blocos ao acaso, com quatro tratamentos e quatro repetições: irrigação plena com água de abastecimento a 0,6 dS m-1 (controle); irrigação plena com água salinizada a 2,4 dS m-1 (SAL); e irrigação com água residuária de esgoto, plena (R100) e a 50% da capacidade de campo (R50). O tratamento R50 reduziu fortemente as trocas gasosas e a área foliar, comparado ao controle, seguido pelos tratamentos SAL e R100. A redução na fotossíntese diminuiu o nível de sacarose nas folhas, nos quatro tratamentos. Os teores de açúcares solúveis aumentaram nos tratamentos R50, SAL e R100, enquanto o conteúdo de amido permaneceu praticamente inalterado. Os conteúdos de prolina e glicina betaína aumentaram nos três tratamentos, mas a última foi mais importante, em termos quantitativos, como protetor celular e osmótico. A irrigação plena com água residuária induz efeitos similares aos causados pela irrigação com água salina. A irrigação limitada com água residuária causa estresse agudo às plantas, provavelmente pela combinação de deficiência hídrica e acúmulo de solutos no solo.

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O objetivo deste trabalho foi determinar a percentagem de matéria seca, o teor de minerais e a capacidade de fornecimento de minerais, com base na ingestão dietética de referência na polpa e na casca de frutos verdes e maduros de 15 cultivares de bananeira. Utilizaram-se quatro cachos por cultivar e seis frutos por unidade amostral. Foram coletadas amostras frescas da polpa e da casca, para digestões sulfúricas (0,2 g) e nitroperclóricas (0,5 g). Foram determinados: no extrato sulfúrico, o N total pelo método Kjeldahl; e, no extrato nitroperclórico, P, K, Ca, Mg, Cu, Mn, Fe, Zn e Se. O P foi determinado por colorimetria, e os demais nutrientes, por espectrofotometria de absorção atômica. O teor de minerais na polpa e na casca foi expresso com base na média dos dois estádios. Há diferenças entre cultivares de bananeira quanto à concentração de macro e micronutrientes na polpa e na casca, mas não entre frutos verdes e maduros. A cultivar Terrinha apresentou a maior percentagem de matéria seca na polpa, e as cultivares Marmelo e Maçã, na casca. Para N, P, Fe, Zn e Cu, a casca apresentou duas vezes o teor da polpa. O teor de K e Mn na casca foi de aproximadamente quatro vezes o da polpa. A polpa da cultivar Caipira (AAA) e a casca das cultivares Prata e Pacovan (AAB) apresentam os maiores teores de minerais.

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Resumo: O objetivo deste trabalho foi avaliar o desempenho de bezerros Nelore recém-desmamados em resposta à suplementação com aditivos nutricionais e minerais orgânicos no sal mineral proteinado, em pastagem de Urochloa brizantha 'Marandu', na época seca. Foram utilizados 112 bezerros com idade entre 7-8 meses e com 252±24 kg. Os animais foram divididos em pastos sob lotação rotativa e receberam os tratamentos: sal mineral proteinado (controle); e sal mineral proteinado com minerais na forma orgânica, com monensina ou com óleos funcionais. A cada ciclo de pastejo, foram calculados o consumo de suplemento, o ganho de peso e a eficiência; coletadas amostras de sangue para análise de minerais; e feitas ultrassonografias de carcaça. O consumo do tratamento com monensina foi inferior ao dos demais (0,47 kg por dia); os consumos dos tratamentos controle (0,82 kg por dia) e com óleo (0,8 kg por dia) foram semelhantes; e o do tratamento com minerais orgânicos foi superior ao dos outros (0,92 kg por dia). Diferenças entre os tratamentos não foram observadas para ganho de peso (0,123 kg por dia) e para eficiência (0,161). A área de olho de lombo (46,81 cm2) e a espessura de gordura subcutânea (0,77 mm) não diferiram significativamente entre os tratamentos. A adição de monensina diminui o consumo do suplemento, o que pode significar menor ingestão de proteína e prejuízo ao desempenho dos animais.

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A aceroleira produz, no Nordeste brasileiro, de quatro a seis safras por ano e é de se esperar que as exportações de elementos minerais variem em função das diferentes épocas de colheita e das progênies, entre outros fatores. Nesse contexto, este trabalho foi conduzido no Campo Experimental da Embrapa Agroindústria Tropical, em Pacajus-CE (4º10' S; 38º27' W), no ano agrícola de 1999/2000, com o objetivo de determinar a exportação de N, P, K, Ca, Mg, S, Cu, Fe, Mn e Zn por tonelada de fruta fresca, em diferentes progênies e épocas de colheita. Avaliaram-se os frutos de seis progênies (plantas com 2,5 anos de idade e produção média de 18,16 a 27,62 kg/planta/ano, cultivadas em sistema de sequeiro), em seis épocas de colheita. Adotou-se o delineamento em blocos casualizados, em esquema de parcelas subdivididas no tempo (considerando as progênies como parcelas e as épocas de avaliação as subparcelas), com 4 repetições. Verificou-se que a maior exportação de nutrientes ocorreu nos meses de maior precipitação (fevereiro a abril); as progênies não diferiram entre si quanto à exportação de macronutrientes; as progênies P-52, P- 93 e P-97 exportaram maior quantidade de Cu e Zn; a seqüência de exportação de nutrientes por tonelada de frutos frescos de aceroleira foi: K>N>P>Mg>Ca>S>Fe>Zn>Mn>Cu.

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O Norte de Minas Gerais cultiva basicamente bananeira 'Prata-Anã', cultivar especialmente exigente em zinco. A possibilidade de fornecimento de Zn, sem que esse entre em contato com o solo, é importante para a região, uma vez que vários fatores levam à baixa disponibilidade do elemento fornecido via solo, como: elevado teor de matéria orgânica na camada superficial (resultante de resíduos culturais); manutenção de elevado pH do solo - acima de 6,00 - como estratégia contrária à proliferação do agente causal do mal- do-panamá; adubações frequentes com potássio e magnésio, que além de basificar o meio, diminuem a participação do Zn no equilíbrio cátion-ânion do solo, dificultando a absorção deste micronutriente pela planta. Para determinar a distribuição de biomassa e minerais na bananeira Prata-Anã, cultivada sob irrigação no norte de Minas Gerais, quando o zinco é fornecido via broto desbastado, foi conduzido um experimento no Perímetro Irrigado de Jaíba. As plantas foram adubadas com 0,00; 1,66 e 3,33 g.família-1 de Zn (0; 25 e 50 g.família-1.ano-1 de sulfato de Zn), via muda desbastada. Um mês após as adubações de outubro de 2007 e junho de 2008, avaliaram-se a produção de massa fresca (MF) e massa seca (MS), os teores e conteúdos de minerais em todos os órgãos de uma ''família'' de bananeira composta por planta-mãe com cacho + planta-filha alta + planta-neta. As doses de Zn não influíram na produção de MF e MS das plantas na primeira avaliação, enquanto na segunda avaliação observou-se efeito positivo do tratamento apenas para MF acumulada nas folhas inferiores, nas porções do terço médio e inferior do pseudocaule, e no rizoma da planta-mãe. Tanto o teor quanto o acúmulo de nutrientes nas plantas-mãe apresentaram a seguinte ordem decrescente: K > N > Ca > Mg > P > S > Fe > Zn > B > Cu. Os teores de Zn foram afetados pela dose desse micronutriente na maioria das situações estudadas. O Zn fornecido via broto desbastado ascendeu na planta-mãe, e daí se redistribuiu na ''família'' da bananeira.

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O Brasil produz cerca de 140 milhões de toneladas de alimento por ano; entretanto, a fome ainda é um dos maiores problemas enfrentados por grande parte da sua população. O aproveitamento integral de alimentos é uma alternativa para suprir as necessidades nutricionais e contribuir para reduzir o lixo orgânico. Nesse sentido, cascas, talos, sementes e outras partes, tradicionalmente não utilizadas como alimentos, podem ser incorporadas na dieta alimentar. Estudos revelam que cascas de muitas hortifrutícolas possuem mais nutrientes que determinadas polpas, a parte tradicionalmente consumida. No entanto, o conhecimento sobre a concentração de metais pesados nessas frações também é importante, uma vez que podem provocar intoxicações alimentares, se consumidos, mesmo em concentrações reduzidas. O Brasil é o sétimo produtor mundial de manga e dentre as cultivares de importância comercial, a cv. Tommy Atkins é a mais plantada e exportada pelo Brasil. A pesquisa teve como objetivo determinar a composição centesimal e o perfil de macro e microminerais, inclusive, os elementos-traço, da casca e da polpa de manga cv. Tommy Atkins. A maior fração da composição centesimal da casca estudada foi a umidade, seguida dos carboidratos totais, com destaque para o teor de fibra alimentar total (FAT), que representou cerca 11% dessa quantidade. Já os teores de proteína e de cinzas apresentaram cerca de 2,5%, enquanto a fração lipídica foi inferior aos demais componentes. O perfil de minerais da casca revelou que as concentrações desses elementos foram superiores aos encontrados na polpa, exceto para zinco e ferro. As concentrações de metais pesados presentes na casca, em função das concentrações menores que 0,1 mg/100g, possibilitam a sua utilização na alimentação humana. A composição centesimal e perfil mineral da casca da manga demonstraram a sua importância nutricional e a possibilidade da utilização dessa parte, até então considerada não comestível na dieta brasileira, visando a contribuir para a melhora do estado nutricional da população e a reduzir os resíduos do processo industrial.

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O mirtileiro possui alto potencial econômico, no entanto, sua expansão de cultivo é limitada pela dificuldade de propagação. O cultivo hidropônico possibilita melhor crescimento devido à eficiência no fornecimento de nutrientes. O objetivo deste estudo foi avaliar o crescimento e o conteúdo de nutrientes minerais de mudas micropropagadas de mirtileiro em sistema convencional e semi-hidropônico. Mudas das cultivares Bluebelle e Woodard, com 3 meses de aclimatização, foram submetidas a dois sistemas de cultivo: sistema convencional,em que foram mantidas em sacos de polietileno contendo Plantmax® + vermiculita (1:1) e irrigadas com solução nutritiva a cada 15 dias; e sistema semi-hidropônico, na qual permaneceram em floreiras plásticas contendo areia, sendo irrigadas com solução nutritiva diariamente. O delineamento experimental foi em blocos casualizados com quatro tratamentos, com quatro repetições compostas por doze plantas. Foram avaliados mensalmente a altura da parte aérea, número de brotações e comprimento médio das brotações, e aos 90 dias a massa fresca da parte aérea, massa fresca e seca radicular e análise nutricional das folhas. O sistema semi-hidropônico proporcionou melhores resultados para todas as variáveis avaliadas, em ambas as cultivares. As mudas cultivadas no sistema semi-hidropônico apresentaram teores de nutrientes mais elevados e adequados para esta cultura.

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Os efeitos deletérios provocados pelo estresse salino resultam em modificações nos mecanismos bioquímicos e fisiológicos das plantas, alterando, dentre outros, os teores foliares de clorofila e carotenoides, comprometendo a atividade fotossintética e, consequentemente, o crescimento, o desenvolvimento, a produção e a adaptabilidade aos ambientes adversos. O objetivo do trabalho foi avaliar os efeitos de diferentes condutividades elétricas da água de irrigação (CEai), associadas às épocas de aplicação de biofertilizante, sobre os teores de pigmentos fotossintéticos para a determinação dos pigmentos cloroplastídicos (clorofila a, b, total e carotenoides) do maracujazeiro-amarelo. Os tratamentos foram distribuídos em arranjo fatorial 5 x 4, referentes aos valores de CEai: 0,5; 1,5; 2,5; 3,5 e 4,5 dS m-1, em quatro épocas de aplicação do biofertilizante: sem biofertilizante (SB); aplicação uma semana antes do transplantio (1SAT); a cada 90 dias, a partir do transplantio (90DAT); uma semana antes e a cada 90 dias, após o transplantio (1SAT+90DAT). O aumento da concentração salina da água de irrigação reduziu a eficiência fotossintética nas folhas do maracujazeiro-amarelo, sendo mais drástico na condutividade superior a 2,5 dS m-1. As frequências de aplicação do biofertilizante não influenciaram nas concentrações dos pigmentos fotossintéticos.

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A adição de fertilizantes foliares à calda acaricida é frequentemente empregada na citricultura com o intuito de reduzir os custos das aplicações. Todavia, as implicações desta prática, na maioria dos casos, são desconhecidas. O objetivo do trabalho foi avaliar o efeito de caldas acaricidas em mistura com fertilizantes foliares e preparadas com diferentes águas no controle do ácaro B. phoenicis. Foram realizados dois experimentos em laboratório, nos anos de 2009 e 2010, utilizando-se de frutos de laranja para conter ácaros Brevipalpus phoenicis. Um dos experimentos constou de três bioensaios, nos quais se procurou verificar o efeito das misturas entre fertilizantes foliares e os acaricidas cyhexatin, propargite e acrinatrhrin sobre B. phoenicis. No outro experimento, além de verificar o efeito das misturas de fertilizantes com os acaricidas propargite e acrinatrhrin, buscou-se também avaliar o efeito de águas coletadas em diferentes fontes utilizadas no preparo das caldas sobre B. phoenicis. Os resultados evidenciaram que a aplicação dos fertilizantes foliares cloreto de zinco, cloreto de manganês, ureia e a mistura de fosfito de potássio + ureia + cloreto de zinco não afetaram a ação dos acaricidas cyhexatin, propargite e acrinathrin sobre o controle de B. phoenicis. As misturas dos cloretos de zinco e de manganês com o sulfato de magnésio e a adição de fosfito de potássio diminuíram a eficiência dos acaricidas propargite e acrinathrin, não devendo, a princípio, ser adicionadas numa mesma aplicação. Águas provenientes dos municípios paulistas de Itápolis, Pirangi e Pirassununga interferiram na ação dos acaricidas propargite e acrinathin sobre B. phoenicis, sendo que a água coletada em Itápolis apresentou resultados superiores em termos de eficiência. Verificaram-se alterações dos valores de pH e da condutividade elétrica após a adição de alguns dos fertilizantes à calda acaricida.