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La stimulation du récepteur de la rénine/prorénine [(P) RR], un membre récemment découvert du système rénine-angiotensine (SRA), augmente l'activité du SRA et des voies de signalisation angiotensine II-indépendante. Pour étudier l'impact potentiel du (P)RR dans le développement de l`obésité, nous avons émis l'hypothèse que les souris déficientes en (P)RR uniquement dans le tissus adipeux (KO) auront une diminution du poids corporel en ciblant le métabolisme du tissu adipeux, l'activité locomoteur et/ou la prise alimentaire. Ainsi, des souris KO ont été générées en utilisant la technologie Cre/Lox. Le gain de poids et la prise alimentaire ont été évalués hebdomadairement dans les mâles et femelles KO et de type sauvage (WT) pendant 4 semaines alors qu’ils étaient maintenu sur une diète normal. De plus, un groupe de femelles a été placé pour 6 semaines sur une diète riche en gras et en glucides (HF/HC). La composition corporelle et l'activité ambulatoire ont été évaluées par l’EchoMRI et à l’aide de cages Physioscan, respectivement. Les tissus adipeux ont été prélevés et pesés. De plus, les gras péri-gonadaux ont été utilisés pour le microarray. Finalement, le niveaux d'expression d'ARNm du (P)RR ont été évalués. Comme le gène du (P)RR est situé sur le chromosome X, les mâles étaient des KOs complets et les femelles étaient des KOs partielles. Les souris KO avaient un poids corporel significativement plus petit par rapport à WT, les différences étant plus prononcées chez les mâles. De plus, les femelles KOs étaient résistantes à l'obésité lorsqu'elles ont été placées sur la diète HF/HC et donc elles avaient significativement moins de masse grasse par rapport aux WTs. L’analyse histologique des gras péri-gonadaux des KOs nous ont dévoilés qu’il avait une réduction du nombre d'adipocytes mais de plus grande taille. Bien qu'il n'y ait eu aucun changement dans la consommation alimentaire, une augmentation de près de 3 fois de l'activité ambulatoire a été détectée chez les mâles. De plus, nous avons observé que leurs tibias étaient de longueur réduite ce qui suggère fortement l'affection de leur développement. Les gras péri-gonadaux des souris KO avaient une expression réduite de l`ABLIM2 (Actin binding LIM protein family, member 2) qui est associé avec le diabète de type II chez l'humain. Ainsi, les données recueillies suggèrent fortement que le (P)RR est impliquée dans la régulation du poids corporelle.
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Contexte. Les attitudes et comportements alimentaires développés pendant la petite enfance influencent grandement la relation future du mangeur à l’égard des aliments. Le parent s’avère en ce sens des plus déterminants. Objectifs. Cette étude vise à connaître les pratiques et attitudes employées par les parents québécois d’enfants d’âge préscolaire pour favoriser le « bien manger » ainsi que le repas familial agréable. Méthodes. La collecte de données a été effectuée à l’aide de cartes postales qui étaient distribuées dans six cent cinquante Centres de la Petite Enfance parmi les mille retrouvés dans la province de Québec pour ensuite être remises aux parents. L’analyse des réponses aux deux questions ouvertes figurant sur la carte postale a été effectuée en se basant sur le modèle des prises alimentaires de Jean-Pierre Poulain. Résultats. Plus de mille (1257) cartes postales ont été retenues aux fins d’analyses. Les données recueillies permettent dans un premier temps de connaître la perception des parents quant à la notion de manger bien. Les notions de qualité et de quantité, diamétralement opposées se démarquent. Dans le cas du repas familial, la discussion, la présence de tous les membres à table ainsi que l’absence de télévision sont abondamment mentionnées. Conclusion. Cette étude permet de constater la variété des stratégies employées par les parents québécois au moment du repas. Ces données d’une grande pertinence pour la santé publique permettront de cibler les messages clés à promouvoir auprès de ces acteurs d’influence dans le développement des habitudes alimentaires des tout petits.
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Contexte: L'utilisation de suppléments alimentaires est répandue chez les populations américaines et canadiennes en général, mais on en sait peu sur la consommation de suppléments alimentaires dans la population autochtone canadienne. Objectif: L'objectif général de cette étude est de prendre en compte l'utilisation de suppléments alimentaires dans l'évaluation nutritionnelle des apports alimentaires des adultes des Premières nations vivant dans les réserves en Colombie-Britannique et Manitoba. Conception: Les données ont été recueillies par l’étude ‘First Nations Food, Nutrition, and Environment Study’ de 1103 (Colombie-Britannique) et 706 (Manitoba) adultes des Premières Nations âgés de 19 à 70 ans. L'étude a utilisé un rappel alimentaire des dernières 24 heures (avec un deuxième rappel pour un sous-échantillon) pour évaluer la diète alimentaire. L'utilisation de suppléments alimentaires et des antiacides ont été recueillis par un questionnaire de fréquence. En utilisant le logiciel SIDE pour tenir compte des variations intra-individuelles dans la prise alimentaire et la technique du bootstrap pour obtenir des estimations représentatives des différentes régions, l'utilisation de suppléments de la vitamine A, D, C et de calcium ont été intégrées aux estimations de la consommation alimentaire. Résultats: Environ 30% des adultes des Premières Nations de la Colombie-Britannique et seulement 13,2% des adultes des Premières Nations du Manitoba âgés entre 19-70 ans vivant dans les réserves ont déclaré utiliser au moins un supplément alimentaire durant les 30 jours précédents. Lors de l'examen des nutriments d'intérêt, un plus faible pourcentage de la population en a fait usage, de 14,8 à 18,5% en Colombie-Britannique et de 4,9 à 8% de la population du Manitoba. La prévalence de l'usage de tout supplément alimentaire était plus élevée chez les femmes que chez les hommes dans tous les groupes d'âge et augmente avec l'âge dans les deux sexes. La plus forte prévalence d'un apport insuffisant provenant de la nourriture a été observée pour la vitamine D et le calcium en Colombie-Britannique et Manitoba, variant de 75 à 100%, et de la vitamine A dans le Manitoba (73-96%). Après avoir examiné l'utilisation de suppléments alimentaires, plus des trois quarts des participants n’ont toujours pas réussi à répondre au besoin moyen estimatif pour ces nutriments. La vitamine C est l'oligo-élément avec le plus faible pourcentage sous le besoin moyen estimatif (avec au sans suppléments) pour la Colombie-Britannique et le Manitoba. Conclusion: La majorité des adultes des Premières nations de la Colombie-Britannique et du Manitoba, même après prise en compte de l'utilisation de suppléments alimentaires, avaient des apports en vitamines A, D et des apports de calcium sous les niveaux recommandés. L'utilisation de compléments alimentaires n'a pas contribué de façon significative à l'apport total en nutriments sélectionnés sauf pour la vitamine C dans certains groupes d'âge.
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Un déséquilibre de la balance énergétique constitue la principale cause du développement des pathologies métaboliques telles que l’obésité et le diabète de type 2. Au sein du cerveau, l’hypothalamus joue un rôle primordial dans le contrôle de la prise alimentaire et du métabolisme périphérique via le système nerveux autonome. Ce contrôle, repose sur l’existence de différentes populations neuronales au sein de l’hypothalamus médio-basal (MBH), neurones à neuropeptide Y (NPY)/Agouti-related peptide (AgRP), et neurones a proopiomelanocortine (POMC), dont l’activité est directement modulée par les variations des taux circulants des nutriments tels que le glucose et les acides gras (FA). Alors que les mécanismes de détection et le métabolisme intracellulaire du glucose ont été largement étudiés, l’implication du métabolisme intracellulaire des FA dans leurs effets centraux, est très peu comprise. De plus, on ignore si le glucose, module le métabolisme intracellulaire des acides gras à longue chaine (LCFA) dans le MBH. Le but de notre première étude est, de déterminer l'impact du glucose sur le métabolisme des LCFA, le rôle de l’AMP-activated protein kinase (AMPK), kinase détectrice du statut énergétique cellulaire, et d'établir s’il y a des changements dans le métabolisme des LCFA en fonction de leur structure, du type cellulaire et de la région cérébrale. Nos résultats montrent que le glucose inhibe l'oxydation du palmitate via l’AMPK dans les neurones et les astrocytes primaires hypothalamiques, in vitro, ainsi que dans les explants du MBH, ex vivo, mais pas dans les astrocytes et les explants corticaux. De plus, le glucose augmente l'estérification du palmitate et non de l’oléate dans les neurones et les explants du MBH, mais pas dans les astrocytes hypothalamiques. Ces résultats décrivent le devenir métabolique de différents LCFA dans le MBH, ainsi que, la régulation AMPK - dépendante de leur métabolisme par le glucose dans les astrocytes et les neurones, et démontrent pour la première fois que le métabolisme du glucose et des LCFA est couplé spécifiquement dans les noyaux du MBH, dont le rôle est critique pour le contrôle de l'équilibre énergétique. Le deuxième volet de cette thèse s’est intéressé à déterminer les mécanismes intracellulaires impliqués dans le rôle de la protéine de liaison ACBP dans le métabolisme central des FA. Nous avons démontré que le métabolisme de l’oléate et non celui du palmitate est dépendant de la protéine ACBP, dans les astrocytes hypothalamiques ainsi que dans les explants du MBH. Ainsi, nos résultats démontrent qu’ACBP, protéine identifiée originellement au niveau central, comme un modulateur allostérique des récepteurs GABA, agit comme un régulateur du métabolisme intracellulaire des FA. Ces résultats ouvrent de nouvelles pistes de recherche liées à la régulation du métabolisme des acides gras au niveau central, ainsi que, la nouvelle fonction de la protéine ACBP dans la régulation du métabolisme des FA au niveau du système nerveux central. Ceci aiderait à identifier des cibles moléculaires pouvant contribuer au développement de nouvelles approches thérapeutiques de pathologies telles que l’obésité et le diabète de type 2.
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Les taux d’insécurité alimentaire (IA) chez les Premières Nations au Canada sont plus élevés que chez les Canadiens de la population générale. L’IA est généralement associée à des apports nutritionnels moins avantageux, toutefois peu d’études se sont penchées sur cette question pour les Premières Nations vivant sur-réserve. Le but de cette recherche est de déterminer, à partir de 550 observations, s’il existe une association entre le niveau de sécurité alimentaire et les apports nutritionnels chez des adultes (> 18 ans) des Premières Nations sur-réserve du Manitoba et d’identifier les types d’aliments qui pourraient expliquer les différences statistiquement significatives. Chez les hommes, aucune des différences statistiquement significatives entre les niveaux de sécurité alimentaire pourraient avoir un effet notable sur la santé nutritionnelle puisque les nutriments en question ne sont pas « à risque » dans la population. Chez les femmes, les apports sont significativement différents entre les niveaux de sécurité alimentaire pour quelques nutriments qui sont « à risque » dans la population. Pour les femmes de 19-30 ans en IA, les apports sont supérieurs en vitamine A, en folate et en calcium. En contraste, les apports sont inférieurs en vitamines A et B6 et en potassium pour les femmes de 31-50 ans en IA, et inférieurs en vitamine B6 pour les femmes de 51-70 ans en IA. Lorsque les apports sont ajustés pour les apports énergétiques, les différences demeurent seulement statistiquement significatives pour la vitamine B6 chez les femmes de 31-50 ans et 51-70 ans. Les groupes d’aliments potentiellement responsables des différences sont identifiés. En conclusion, chez les Premières Nations du Manitoba, peu d’associations statistiquement significatives ont été identifiées entre le niveau de sécurité alimentaire et les apports en nutriments considérés « à risque » dans la population. Ceci est particulièrement le cas après ajustement pour la multiplicité des tests statistiques effectués.
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Le cycle glycérolipides/acides gras libres (GL/FFA) est une voie métabolique clé qui relie le métabolisme du glucose et des acides gras et il est composé de deux processus métaboliques appelés lipogenèse et lipolyse. Le cycle GL/FFA, en particulier la lipolyse des triglycérides, génère diverses molécules de signalisation pour réguler la sécrétion d'insuline dans les cellules bêta pancréatiques et la thermogenèse non-frissonnante dans les adipocytes. Actuellement, les lipides provenant spécifiquement de la lipolyse impliqués dans ce processus sont mal connus. L’hydrolyse des triglycérides dans les cellules β est réalisée par les actions successives de la triglycéride lipase adipocytaire pour produire le diacylglycérol, ensuite par la lipase hormono-sensible pour produire le monoacylglycérol (MAG) et enfin par la MAG lipase (MAGL) qui relâche du glycerol et des acides gras. Dans les cellules bêta, la MAGL classique est très peu exprimée et cette étude a démontré que l’hydrolyse de MAG dans les cellules β est principalement réalisée par l'α/β-Hydrolase Domain-6 (ABHD6) nouvellement identifiée. L’inhibition d’ABHD6 par son inhibiteur spécifique WWL70, conduit à une accumulation des 1-MAG à longues chaines saturées à l'intérieur des cellules, accompagnée d’une augmentation de la sécrétion d'insuline stimulée par le glucose (GSIS). Baisser les niveaux de MAG en surexprimant ABHD6 dans la lignée cellulaire bêta INS832/13 réduit la GSIS, tandis qu’une augmentation des niveaux de MAG par le « knockdown » d’ABHD6 améliore la GSIS. L'exposition aiguë des monoacylglycérols exogènes stimule la sécrétion d'insuline de manière dose-dépendante et restaure la GSIS supprimée par un inhibiteur de lipases appelé orlistat. En outre, les souris avec une inactivation du gène ABHD6 dans tous les tissus (ABHD6-KO) et celles avec une inactivation du gène ABHD6 spécifiquement dans la cellule β présentent une GSIS stimulée, et leurs îlots montrent une augmentation de la production de monoacylglycérol et de la sécrétion d'insuline en réponse au glucose. L’inhibition d’ABHD6 chez les souris diabétiques (modèle induit par de faibles doses de streptozotocine) restaure la GSIS et améliore la tolérance au glucose. De plus, les résultats montrent que les MAGs non seulement améliorent la GSIS, mais potentialisent également la sécrétion d’insuline induite par les acides gras libres ainsi que la sécrétion d’insuline induite par divers agents et hormones, sans altération de l'oxydation et l'utilisation du glucose ainsi que l'oxydation des acides gras. Nous avons démontré que le MAG se lie à la protéine d’amorçage des vésicules appelée Munc13-1 et l’active, induisant ainsi l’exocytose de l'insuline. Sur la base de ces observations, nous proposons que le 1-MAG à chaines saturées agit comme facteur de couplage métabolique pour réguler la sécrétion d'insuline et que ABHD6 est un modulateur négatif de la sécrétion d'insuline. En plus de son rôle dans les cellules bêta, ABHD6 est également fortement exprimé dans les adipocytes et son niveau est augmenté avec l'obésité. Les souris dépourvues globalement d’ABHD6 et nourris avec une diète riche en gras (HFD) montrent une faible diminution de la prise alimentaire, une diminution du gain de poids corporel et de la glycémie à jeun et une amélioration de la tolérance au glucose et de la sensibilité à l'insuline et ont une activité locomotrice accrue. En outre, les souris ABHD6-KO affichent une augmentation de la dépense énergétique et de la thermogenèse induite par le froid. En conformité avec ceci, ces souris présentent des niveaux élevés d’UCP1 dans les adipocytes blancs et bruns, indiquant le brunissement des adipocytes blancs. Le phénotype de brunissement est reproduit dans les souris soit en les traitant de manière chronique avec WWL70 (inhibiteur d’ABHD6) ou des oligonucléotides anti-sense ciblant l’ABHD6. Les tissus adipeux blanc et brun isolés de souris ABHD6-KO montrent des niveaux très élevés de 1-MAG, mais pas de 2-MAG. L'augmentation des niveaux de MAG soit par administration exogène in vitro de 1-MAG ou par inhibition ou délétion génétique d’ABHD6 provoque le brunissement des adipocytes blancs. Une autre évidence indique que les 1-MAGs sont capables de transactiver PPARα et PPARγ et que l'effet de brunissement induit par WWL70 ou le MAG exogène est aboli par les antagonistes de PPARα et PPARγ. L’administration in vivo de l’antagoniste de PPARα GW6471 à des souris ABHD6-KO inverse partiellement les effets causés par l’inactivation du gène ABHD6 sur le gain de poids corporel, et abolit l’augmentation de la thermogenèse, le brunissement du tissu adipeux blanc et l'oxydation des acides gras dans le tissu adipeux brun. L’ensemble de ces observations indique que ABHD6 régule non seulement l’homéostasie de l'insuline et du glucose, mais aussi l'homéostasie énergétique et la fonction des tissus adipeux. Ainsi, 1-MAG agit non seulement comme un facteur de couplage métabolique pour réguler la sécrétion d'insuline en activant Munc13-1 dans les cellules bêta, mais régule aussi le brunissement des adipocytes blancs et améliore la fonction de la graisse brune par l'activation de PPARα et PPARγ. Ces résultats indiquent que ABHD6 est une cible prometteuse pour le développement de thérapies contre l'obésité, le diabète de type 2 et le syndrome métabolique.
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Introducción: El programa Centros Infantiles de Cultura Productiva (CICP), es propio de Tocancipá, a cargo de la Gerencia de Desarrollo Social Municipal, consiste en centros de atención a niños de 5 a 12 años, SISBEN 1 y 2 que reciben apoyo nutricional y en tareas escolares, dentro de las iniciativas mundiales de desarrollo del Milenio, el Plan Nacional de Desarrollo 2006-2010 y el Plan de Desarrollo Municipal 2008-2011. Metodología: Estudio pre-experimental postest con grupo de comparación para evaluar estado nutricional, de niños del programa CICP en la zona centro del municipio en 2010, evaluó 286 escolares con indicadores antropométricos Talla/Edad, IMC/Edad según los patrones OMS 2007. Clasificación nutricional determinada mediante z score con el software Anthro Plus, prueba t para poblaciones independientes, en software SPSS 15. Resultados: Prevalencia de riesgo de talla baja para la edad 28,7%, de talla baja para la edad 12,9%, sobrepeso 12,6%, obesos 2,4%, riesgo de delgadez 15% p y delgadez el 2,8%, en el total de las observaciones. Análisis de menú ofrecido en el programa CICP en un día de observación evidencia aporte del 100% de requerimientos diarios, sin considerar el consumo de alimentos de cada niño en el hogar. Conclusiones: No existe diferencia estadísticamente significativa entre los grupos. La prevalencia de obesidad en el grupo beneficiario del CICP es 3,9% vs. 1,3% en grupo control, relacionado con aportes nutricionales, lo que contrasta con la proporción de delgadez del 4,7% en grupo CICP vs 1,3% en grupo control. Es necesario realizar un estudio de seguimiento para confirmar hallazgos del presente estudio.
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Introducción: Después del ingreso de la monitoría fetal electrónica como estudio de bienestar fetal, se ha considerado por décadas que un aporte de carbohidratos a la gestante antes de la realización de la monitoría fetal influye en el reporte pero existen estudios que consideran que los niveles de glicemia materna no afecta la variabilidad de la monitoría fetal. Metodología: Se realizó un estudio de corte transversal, para evaluar el efecto de la glicemia materna en la monitoría fetal electrónica comparando los valores de glicemia materna con su resultado, según la categorización del ACOG. Las principales variables fueron las horas de ayuno, valores de glicemia, variabilidad de la monitoría fetal y presencia de aceleraciones. Resultados: Se incluyeron un total de 60 pacientes, que ingresaron al servicio de obstetricia y ginecología del Hospital Universitario Mayor Méderi en el periodo de estudio. No se encontraron diferencias estadísticamente significativas entre los resultados de monitoría fetal y los valores de glicemia materna. Ninguna paciente presentó monitoría categoría III (según categorización de la ACOG). Discusión Se requieren estudios analíticos más amplios para evaluar el papel de la glicemia en el resultado de la monitoría, pero el presente estudio sugiere que no existe relación entre la glicemia materna y el resultado de la monitoría fetal electrónica en la categorización del Colegio Americano De Ginecología Y Obstetricia (ACOG).
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Introducción: La obesidad infantil ha venido en aumento en los últimos años y Colombia no es ajena a esta problemática. Uno de los lugares para intervención son los planteles educativos, en los cuales los escolares son quienes escogen sus alimentos. En el presente estudio se pretendió caracterizar los hábitos alimentarios de una población pediátrica en cuatro instituciones educativas, con el fin de conocer las prioridades infantiles en cuanto a la escogencia de los alimentos, y por ende generar recomendaciones. Metodología: Se realizó un estudio descriptivo multicéntrico que presenta los resultados de encuestas dirigidas a escolares entre 8 y 18 años, usuarios de tiendas escolares. Se realizó un análisis descriptivo de acuerdo a las preferencias de alimentación por institución, por género y por edad entre otros. Resultados: Se incluyeron un total de 512 escolares. La distribución por género y edad fue similar en las cuatro instituciones educativas. Entre los alimentos de preferencia predominaron los alimentos empaquetados, pizza, helados y en menor proporción las frutas. En cuanto a las bebidas predominó la gaseosa y té en botella. Entre las razones para escoger los alimentos predominó “el sabor” seguido de la “facilidad y rapidez” para su consumo; y la principal razón para no escoger los alimentos fue el precio. Discusión: Es necesario hacer intervención desde una temprana edad para generar hábitos de alimentación saludable y equilibrada, al igual que se debería tener un programa de detección de hábitos alimentarios inadecuados en las instituciones escolares para así poder combatirlos.
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Considerando que a prática de exercício físico com uma intensidade pelo menos moderada melhora a capacidade funcional (Maines et al., 1997; Clara et al., 2002; Olney et al., 2006), a qualidade de vida (Leal et al., 2005; Azevedo & Leal, 2009; Flynn et al., 2009) e diminui os fatores de risco coronários (Maines et al., 1997; Squires & Hamm, 2007; Perk, 2009; Pimenta, 2010), propõe-se com o presente estudo analisar o efeito do exercício físico supervisionado, em fase ambulatório precoce, realizada na comunidade, ao nível da recuperação de doentes cardíacos. Método: Aplicar-se-á um estudo experimental, em doentes cardíacos de ambos os sexos, entre os 28 e os 80 anos. Atribuir-se-á particular ênfase às alterações induzidas pela aplicação do programa de exercício físico nos parâmetros bioquímicos (colesterol total, C-LDL, C-HDL, triglicéridos e glicose), na composição corporal (peso, índice de massa corporal, perímetro da cintura), na capacidade funcional (consumo de oxigénio pico –V02 pico, equivalente metabólico, duplo produto), no nível de atividade física, na ingestão alimentar e na qualidade de vida. O estudo terá uma duração superior a três meses, comparando dois grupos, um grupo submetido ao exercício físico supervisionado (ES) e outro aos cuidados usuais (CU), os quais serão alvo de duas avaliações (inicial e final), avaliando-se a média e o desvio-padrão para todas as variáveis em estudo e recorrendo-se aos testes não paramétricos e paramétricos, para um nível de significância de p< .05. Resultados: Foram elegidos 52 doentes, sendo que 22 participaram no grupo cuidados usuais (CU) e 30 no grupo exercício físico supervisionado (ES), observando-se que o grupo ES apresentou melhorias mais acentuadas quando comparadas com o grupo CU, ao nível dos seguintes indicadores: dispêndio de kcal/semana (+697.22% vs +320.20%); PC (-3.19% vs +5.85%); CT (-23.92% vs -9.29%), C-LDL (-32.52% vs -8.92%); total de kcal/dia ingeridas (-33,31% vs -2.58%); VO2 pico (+30.88% vs -3.57%); qualidade de vida geral (+53.86% vs +2.96%). Conclusão: Concluindo que o exercício físico multicomponente, inserido na fase de ambulatório precoce na comunidade, potencia a recuperação de doentes cardíacos influenciando positivamente os fatores de risco de progressão da doença coronária, a capacidade funcional e a qualidade de vida fundamentais para que o doente possa, pelos seus próprios meios, retomar a sua vida na comunidade.
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Rationale The hyperphagic effect of ∆9-tetrahydrocannabinol (∆9THC) in humans and rodents is well known. However, no studies have investigated the importance of ∆9THC composition and any influence other non-∆9THC cannabinoids present in Cannabis sativa may have. We therefore compared the effects of purified ∆9THC, synthetic ∆9THC (dronabinol), and ∆9THC botanical drug substance (∆9THC-BDS), a ∆9THC-rich standardized extract comparable in composition to recreationally used cannabis. Methods Adult male rats were orally dosed with purified ∆9THC, synthetic ∆9THC, or ∆9THC-BDS, matched for ∆9THC content (0.34–2.68 mg/kg). Prior to dosing, subjects were satiated, and food intake was recorded following ∆9THC administration. Data were then analyzed in terms of hourly intake and meal patterns. Results All three ∆9THC substances tested induced significant hyperphagic effects at doses ≥0.67 mg/kg. These effects included increased intake during hour one, a shorter latency to onset of feeding and a greater duration and consumption in the first meal. However, while some differences in vehicle control intakes were observed, there were significant, albeit subtle, differences in pattern of effects between the purified ∆9THC and ∆9THC-BDS. Conclusion All ∆9THC compounds displayed classical ∆9THC effects on feeding, significantly increasing short-term intake whilst decreasing latency to the first meal. We propose that the subtle adjustment to the meal patterns seen between the purified ∆9THC and ∆9THC-BDS are due to non-∆9THC cannabinoids present in ∆9THC-BDS. These compounds and other non-cannabinoids have an emerging and diverse pharmacology and can modulate ∆9THC-induced hyperphagia, making them worth further investigation for their therapeutic potential.
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Protein, generally agreed to be the most satiating macronutrient, may differ in its effects on appetite depending on the protein source and variation in digestion and absorption. We investigated the effects of two milk protein types, casein and whey, on food intake and subjective ratings of hunger and fullness, and on postprandial metabolite and gastrointestinal hormone responses. Two studies were undertaken. The first study showed that energy intake from a buffet meal ad libitum was significantly less 90 min after a 1700 kJ liquid preload containing 48 g whey, compared with an equivalent casein preload (P<0.05). In the second study, the same whey preload led to a 28 % increase in postprandial plasma amino acid concentrations over 3 h compared with casein (incremental area under the curve (iAUC), P<0.05). Plasma cholecystokinin (CCK) was increased by 60 % (iAUC, P<0.005), glucagon-like peptide (GLP)-1 by 65 % (iAUC, P<0.05) and glucose-dependent insulinotropic polypeptide by 36 % (iAUC, P<0.01) following the whey preload compared with the casein. Gastric emptying was influenced by protein type as evidenced by differing plasma paracetamol profiles with the two preloads. Greater subjective satiety followed the whey test meal (P<0.05). These results implicate post-absorptive increases in plasma amino acids together with both CCK and GLP-1 as potential mediators of the increased satiety response to whey and emphasise the importance of considering the impact of protein type on the appetite response to a mixed meal.
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The paraventricular nucleus (PVN) of the hypothalamus plays a key role in the control of appetite and energy balance. Both ghrelin and cannabinoid receptor agonists increase food intake when administered into this nucleus: this study investigated possible interactions between the two systems in relation to eating. The orexigenic effect of ghrelin (100 pmol) when infused in to the PVN was reversed by a small, systemic dose of the CB1 cannabinoid receptor antagonist SR141716 (1 mg kg(-1)). This is the first demonstration of a functional relationship between brain ghrelin and endocannabinoid systems, and, although it needs to be further investigated, the effect of ghrelin on food intake when injected into the PVN seems to be mediated by stimulation of cannabinoid release.
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Obesity has been described as a global epidemic. Its increasing prevalence is matched by growing costs, not only to the health of the individual, but also to the medical services required to treat a range of obesity-related diseases. In most instances, obesity is a product of progressively less energetic lifestyles and the over-consumption of readily available, palatable, and highly caloric foods. Past decades have seen massive investment in the search for effective anti-obesity therapies, so far with limited success. An important part of the process of developing new pharmacologic treatments for obesity lies in improving our understanding of the psychologic and physiologic processes that govern appetite and bodyweight regulation. Recent discoveries concerning the endogenous cannabinoids are beginning to give greater insight into these processes. Current research indicates that endocannabinoids may be key to the appetitive and consummatory aspects of eating motivation, possibly mediating the craving for and enjoyment of the most desired, most fattening foods. Additionally, endocannabinoids appear to modulate central and peripheral processes associated with fat and glucose metabolism. Selective cannabinoid receptor antagonists have been shown to suppress the motivation to eat, and preferentially reduce the consumption of palatable, energy-dense foods. Additionally, these agents act to reduce adiposity through metabolic mechanisms that are independent of changes in food intake. Given the current state of evidence, we conclude that the endocannabinoids represent an exciting target for new anti-obesity therapies.
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As the incidence of obesity is reaching 'epidemic' proportions, there is currently widespread interest in the impact of dietary components on body-weight and food intake regulation. The majority of data available from both epidemiological and intervention studies provide evidence of a negative but modest association between milk and dairy product consumption and BMI and other measures of adiposity, with indications that higher intakes result in increased weight loss and lean tissue maintenance during energy restriction. The purported physiological and molecular mechanisms underlying the impact of dairy constituents on adiposity are incompletely understood but may include effects on lipolysis, lipogeneis and fatty acid absorption. Furthermore, accumulating evidence indicates an impact of dairy constituents, in particular whey protein derivatives, on appetite regulation and food intake. The present review summarises available data and provides an insight into the likely contribution of dairy foods to strategies aimed at appetite regulation, weight loss or the prevention of weight gain.