755 resultados para aides publiques
Resumo:
Este artículo analiza comparativamente la trayectoria de dos empresas públicas argentinas durante los años 90
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Ce texte a pour but de monter que l’efficience telle qu’utilisée par les économistes dans le cadre de recommandations de politiques publiques suppose toujours l’adoption de certains critères moraux. Je voudrai d’abord montrer que les recommandations des économistes en matière de politiques publiques ont déjà été identifiées aux recommandations de l’utilitarisme. Plusieurs économistes ont voulu abstraire leur science de toute discussion morale au XXe siècle. Cette séparation entre faits et valeur s’est soldée par l’apparition de l’efficience de Pareto, grandement utilisée dans le cadre de l’économie du bien-être. Cependant, cette utilisation de l’efficience suppose à la fois qu’il est moralement désirable d’améliorer le bien-être des individus et que ce bien-être peut être évalué en termes de satisfaction des préférences, ce qui constitue un jugement de nature éthique et morale qui ne peut être fait seulement à partir de faits scientifiques. L’efficience ne peut plutôt être utilisée de manière non moralement discutable seulement si l’on examine au préalable les objectifs sociaux que l’utilisation de cette mesure présuppose. D’un point de vue scientifique, l’économiste qui veut utiliser une mesure d’efficience doit donc toujours prendre pour acquis les éléments normatifs qui sont intégrés aux calculs d’efficience. La discussion concernant la pertinence de ces objectifs sociaux ainsi que l’importance relative de chacun des objectifs sociaux est une discussion portant avant tout sur des questions morales qui ne sont pas du domaine des sciences économiques.
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Le Programme des aides familiales résidantes (PAFR) a été en vigueur de 1992 jusqu’au 30 novembre 2014. Il s’agit d’un programme fédéral canadien par lequel des femmes originaires des Philippines en majorité et ayant obtenu un diplôme d’études postsecondaires migraient partout au Canada. Sous ce programme, celles-ci se retrouvaient avec un statut de migrante temporaire. Elles avaient la possibilité d’obtenir leur résidence permanente après avoir complété 24 mois de travail en tant qu’aides familiales. Elles devaient travailler au domicile privé d’un employeur dont le nom était inscrit sur leur permis de travail, chez qui elles avaient aussi l’obligation de résidence. En travaillant en tant qu’aides familiales résidantes, ces femmes étaient et sont toujours placées dans une situation de déqualification professionnelle inévitable qui semble se prolonger à long terme. Cette situation est notamment attribuable à la non-reconnaissance de leurs qualifications étrangères ainsi qu’à la structure du PAFR. Cette recherche porte donc sur le parcours de requalification professionnelle de ces migrantes, que certaines utilisent comme stratégie pour remédier à cette situation. En plus de s’intéresser à leur période de travail en tant qu’aides familiales résidantes, cette recherche étudie le parcours de requalification professionnelle en quatre étapes : la décision de participer à la formation ; le choix de l’orientation professionnelle ; le déroulement des études ; l’accès à un emploi correspondant à la formation. L’objectif est de connaître l’impact qu’aura le passage de celles-ci par le PAFR, sur leur parcours de requalification. Les résultats obtenus à l’aide de onze entretiens semi-dirigés, avec des femmes étant venues à Montréal par le programme, montrent qu’à long terme, le diplôme obtenu localement peut améliorer une situation professionnelle, mais ce n’est pas une garantie. Des obstacles comme l’isolement ainsi que l’impossibilité pour ces femmes de se construire un capital financier et social persistent et affectent toutes celles ayant migré sous le programme, qu’elles aient fait un retour aux études ou non.
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L’objectif du présent mémoire est double. D’une part, il cherche à identifier les facteurs qui permettent au gouvernement canadien et aux peuples autochtones de s’entendre sur des politiques publiques, malgré la persistance d’une logique coloniale. Nous verrons que l’atteinte d’une entente est conditionnelle à la légitimité du processus d’élaboration de la politique publique d’un point de vue autochtone. D’autre part, ce travail invite à penser le processus d’élaboration des politiques publiques comme espace potentiel d’autodétermination. Étant donné la malléabilité des règles qui encadrent l’élaboration des politiques publiques en contexte canadien, le gouvernement – s’il en a la volonté - peut modeler le processus d’élaboration de façon à le rendre plus égalitaire et donc plus légitime d’un point de vue autochtone. Il sera démontré que, dans une optique de changements progressifs, un tel processus d’élaboration peut permettre aux peuples autochtones de regagner une certaine autonomie décisionnelle et ainsi atténuer les rapports de pouvoir inégalitaires. Notre cadre théorique a été construit à l’aide de différents courants analytiques, issus notamment des littératures sur le colonialisme, sur les politiques publiques et sur la légitimité. La comparaison de deux études de cas, soit les processus d’élaboration de l’Accord de Kelowna et du projet de loi C-33, Loi sur le contrôle par les Premières Nations de leur système d’éducation, permettra d’illustrer nos arguments et d’en démontrer l’applicabilité pratique. En somme, nous verrons comment la première étude de cas permet de concevoir l’élaboration des politiques publiques comme espace potentiel d’autodétermination, et comment la deuxième, au contraire, démontre que cette sphère peut encore en être une d’oppression.
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Les connaissances scientifiques sur le changement climatique (CC) évoluent rapidement. Toutefois, des incertitudes persistent sur l’étendue de ses conséquences, particulièrement dans les milieux urbains, qui subiront des impacts différents de ceux vécus par les milieux ruraux. Les autorités publiques ont récemment commencé à élaborer des politiques publiques d’adaptation au changement climatique (ACC) qui visent à en limiter les conséquences indésirables. En milieu urbain, la littérature suggère qu’un des outils que devraient privilégier ces politiques est le verdissement. Des auteurs signalent que les actions visant l’ACC peuvent se greffer dans des politiques existantes. L’ACC, comme enjeu public, peut donc être réalisée par l’entremise de sa prise en compte dans les politiques publiques de verdissement. Cette prise en compte devrait affecter le contenu (quoi?) et le pilotage (comment?) des différentes étapes des politiques. Le cas de la politique publique de verdissement de la Ville de Montréal, au Québec, nous a permis d’étudier cette prise en compte. En utilisant un cadre d’analyse des politiques publiques développé par Knoepfel et al. (2015), qui porte entre autres sur la mobilisation des ressources par différents acteurs concernés par ces politiques, nous montrons que cette dernière s’est opérée de quelques façons. Premièrement, il y a eu un changement dans l’argumentaire pour le verdissement, outil qui vise à lutter contre les îlots de chaleur urbains et assurer une meilleure gestion des eaux pluviales. Ensuite, le choix de l’échelle d’agglomération pour la prise en compte de l’ACC a entraîné un changement d’échelle dans la gestion du verdissement. La publication d’un plan d’action majeur de verdissement urbain pour l’agglomération, et dont le leitmotiv est l’ACC, le démontre. Quelques modifications réglementaires et l’inclusion de nouveaux acteurs dans la politique témoignent aussi que la prise en compte a eu lieu. Finalement, le plan d’action fournit un cadre pour la mise en œuvre du verdissement dans les zones les plus vulnérables au CC en plus d’une structure de partage des coûts. Cependant, la mise en oeuvre du verdissement dans une visée d’ACC n'a pas été évaluée dans la présente étude. Nous avons aussi noté que la biodiversité est un enjeu d’importance qui va de pair avec l’ACC dans la politique de verdissement. Il y a donc une prise en compte, partielle, de l’ACC dans la politique publique de verdissement à Montréal (avec certains écueils). Nous arguons que l’enjeu de l’ACC sert peut-être d’argument supplémentaire pour verdir la ville plutôt que d’être un véritable moteur de transformation de la politique de verdissement.
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This abstract provides a preliminary discussion of the importance of recognising Torres Strait Islander knowledges and home languages of mathematics education. It stems from a project involving Torres Strait Islander Teachers and Teacher Aides and university based researchers who are working together to enhance the mathematics learning of students from Years 4-9. A key focus of the project is that mathematics is relevant and provides students with opportunities for further education, training and employment. Veronica Arbon (2008) questions the assumptions underpinning Western mainstream education as beneficial for Aboriginal and Torres Strait Islander people which assumes that it enables them to better participate in Australian society. She asks “how de we best achieve outcomes for and with Indigenous people conducive to our cultural, physical and economic sustainability as defined by us from Indigenous knowledge positions?” (p. 118). How does a mainstream education written to English conventions provide students with the knowledge and skills to participate in daily life, if it does not recognise the cultural identity of Indigenous students as it should (Priest, 2005; cf. Schnukal, 2003)? Arbon (2008) states that this view is now brought into question with calls for both ways education where mainstream knowledge and practices is blended with Indigenous cultural knowledges of learning. This project considers as crucial that cultural knowledges and experiences of Indigenous people to be valued and respected and given the currency in the same way that non Indigenous knowledge is (Taylor, 2003) for both ways education to work.
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A one year mathematics project that focused on measurement was conducted with six Torres Strait Islander schools and communities. Its key focus was to contextualise the teaching and learning of measurement within the students’ culture, communities and home languages. There were six teachers and two teacher aides who participated in the project. This paper reports on the findings from the teachers’ and teacher aides’ survey questionnaire used in the first Professional Development session to identify: a) teachers’ experience of teaching in Torres Strait Islands, b) teachers’ beliefs about effective ways to teach Torres Strait Islander students, and c) contexualising measurement within Torres Strait Islander culture, Communities and home languages. A wide range of differing levels of knowledge and understanding about how to contextualise measurement to support student learning were identified and analysed. For example, an Indigenous teacher claimed that mathematics and the environment are relational, that is, they are not discrete and in isolation from one another, rather they interconnect with mathematical ideas emerging from the environment of the Torres Strait Communities.
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A Nonverbal Learning Disability is believed to be caused by damage, disorder or destruction of neuronal white matter in the brain’s right hemisphere and may be seen in persons experiencing a wide range of neurological diseases such as hydrocephalus and other types of brain injury (Harnadek & Rourke 1994). This article probes the relationship between shunted hydrocephalus and Nonverbal Learning Disability. Description of hydrocephalus and intelligence associated with hydrocephalus concludes with explication of the ‘final common pathway’ that links residual damage caused by the hydrocephalic condition to a Nonverbal Learning Disability (Rourke & Del Dotto 1994, p. 37). The paper seeks to assist teachers, teacher aides, psychologists, guidance officers, support workers, parents and disability service providers whose role is to understand and advocate for individuals with shunted hydrocephalus and spina bifida.
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This paper reports on a mathematics project conducted with six Torres Strait Islander schools and communities by the research team at the YuMi Deadly Centre at QUT. Data collected is from a small focus group of six teachers and two teacher aides. We investigated how measurement is taught and learned by students, their teachers and teacher aides in the community schools. A key focus of the project was that the teaching and learning of measurement be contextualised to the students’ culture, community and home languages. A significant finding from the project was that the teachers had differing levels of knowledge and understanding about how to contextualise measurement to support student learning. For example, an Indigenous teacher identified that mathematics and the environment are relational, that is, they are not discrete and in isolation from one another, rather they mesh together, thus affording the articulation and interchange among and between mathematics and Torres Strait Islander culture.
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Tensions exist between teacher-centred and learner-centred approaches with constructivism as being favoured for learning in the 21st Century. There is little evidence of teaching strategies being used in the field for differentiating student learning. In addition, preservice teachers need to learn about teaching strategies for which observations of their mentor teachers can provide practical applications. This study explores 16 preservice teachers’ observations of their mentors’ teaching strategies over a four-week professional experience. They provided a minimum of five written observations during this period. Findings indicated that these preservice teachers observed their mentors’ practices and recorded four key teaching strategies used to differentiate learning, namely: (1) designating facilitators for students’ learning, including teacher, peers, parents, and support staff such as teachers aides, (2) managing student groups, (3) contexts for learning, and (4) using a range of teaching aids (visual, auditory, games) and resources. Preservice teachers’ observations of their mentor teachers indicated that they can commence at early stages for identifying teaching strategies and how they work for differentiating student learning.
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This study aimed to explore experienced mentors’ understandings about professional learning communities (PLCs), mentoring and leadership. This research analyses audio-taped transcripts and written responses from 27 experienced mentors who operate in varied roles (e.g., university academics, school executives, teachers, learning support personnel). Findings indicated that PLCs can provide professional renewal for existing teachers and that mentoring within PLCs can further advance knowledge about effective practices. PLCs can include other staff members and key stakeholders (e.g., preservice teachers, teacher aides) who can contribute to the learning within the group. Mentoring and PLCs can be cost-effective strategic levers for advancing professional knowledge.
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This paper reports on a four year Australian Research Council funded Linkage Project titled Skilling Indigenous Queensland, conducted in regional areas of Queensland, Australia from 2009 to 2013. The project sought to investigate vocational education, training (VET) and teaching, Indigenous learners’ needs, employer cultural and expectations and community culture and expectations to identify best practice in numeracy teaching for Indigenous VET learners. Specifically it focused on ways to enhance the teaching and learning of courses and the associated mathematics in such courses to benefit learners and increase their future opportunities of employment. To date thirty-nine teachers/trainers/teacher aides and two hundred and thirty-one students consented to participate in the project. Nine VET courses were nominated to be the focus on the study. This paper focuses on questionnaire and interview responses from four trainers, two teacher aides and six students. In recent years a considerable amount of funding has been allocated to increasing Indigenous Peoples’ participation in education and employment. This increased funding is predicated on the assumption that it will make a difference and contribute to closing the education gap between Indigenous and non-Indigenous Australians (Council of Australia Governments, 2009). The central tenet is that access to education for Indigenous People will create substantial social and economic benefits for regional and remote Indigenous People. The project’s aim is to address some of the issues associated with the gap. To achieve the aims, the project adopted a mixed methods design aimed at benefitting research participants and included: participatory collaborative action research (Kemmis & McTaggart, 1988) and, community research (Smith, 1999). Participatory collaborative action research refers to a is a “collective, self-reflective enquiry undertaken by participants in social situations in order to improve the rationality and justice of their own social and educational practices” (Kemmis et al., 1988, p. 5). Community research is described as an approach that “conveys a much more intimate, human and self-defined space” (p. 127). Community research relies on and validates the community’s own definitions. As the project is informed by the social at a community level, it is described as “community action research or emancipatory research” (Smith, 1999, p. 127). It seeks to demonstrate benefit to the community, making positive differences in the lives of Indigenous People and communities. The data collection techniques included survey questionnaires, video recording of teaching and learning processes, teacher reflective video analysis of teaching, observations, semi-structured interviews and student numeracy testing. As a result of these processes, the findings indicate that VET course teachers work hard to adopt contextualising strategies to their teaching, however this process is not always straight forward because of the perceptions of how mathematics has been taught and learned historically. Further teachers, trainers and students have high expectations of one another with the view to successful outcomes from the courses.
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This study aimed to explore experienced mentors’ understandings about professional learning communities (PLCs), mentoring and leadership. This research analyses audio-taped transcripts and written responses from 27 experienced mentors who operate in varied roles (e.g., university academics, school executives, teachers, learning support personnel). Findings indicated that PLCs can provide professional renewal for existing teachers and that mentoring within PLCs can further advance knowledge about effective practices. PLCs can include other staff members and key stakeholders (e.g., preservice teachers, teacher aides) who can contribute to the learning within the group. Mentoring and PLCs can be cost-effective strategic levers for advancing professional knowledge.