889 resultados para Usos y costumbres Bizkaia s.XIX


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El presente trabajo, busca trascender el nivel descriptivo morfológico de las especies forestales ya que pretende profundizar en el conocimiento de la relación que existe entre estos, el medio ambiente y las comunidades que las manejan. Nuestro principal objetivo es profundizar en el conocimiento botánico dendrològico y de uso de las especies y revertir estos conocimientos hacia las comunidades, para elevar la eficiencia en el uso de este, e inicios y conocer la flora arbórea de la región. Se colectaron 151 ejemplares de herbario de las cuales se identificaron 106 especies diferentes, cada una con su descripción dendrologica, geográfica y ecológica. Se cuenta con fichas de uso para 106 especies en ambas comunidades, donde se reportan sus usos con el registro de calidad importancia, frecuencia de usos y datos de auto ecología de cada especie Los usos más importantes de las especies son las de leña. Poste, comestible, medicinal, pero también se reportan otros usos.: tablas, protección de fuentes, forrajes, construcción, implementos de carretera , carbón, solera, artesanía, arados, regla, y renglones, jabón cercas vivas, tendel, pilas de pilar arroz, alfajillas, marcos de tijeras, pegamento, vigas , cobo de hacha o tajonas, trojes, mecates, azadores, cordel, recipiente , sombra, materia prima para capotes plataforma de camiones, ornamentales, ‘poste de corral, pilares. Tomando en cuenta la calidad importancia y frecuencia de uso, resulta de mayor relevancia el Calvcopylum coniddissimun, Guara grabra, Glirciidia Sepiun, Bauhuinia ungulata pithececellobiun lanceulatum y guazuma ulmifolia, aunque de estos se le da una valoración diferente en cada cooperativa. Las especies mencionadas con gran multiplicidad de usos dentro de amabas cooperativas, son de mucha importancia siendo estas especies nativas bien aceptadas, las que se podrían utilizar dentro de futuros proyectos agroforestales, protección de cuencas y utilizando así esta información en programas de extensión.

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209 p. : il., gráf.

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V.II: 397 p. y V.II: 273 p.

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4 cartas (manuscritas) ; entre 210x260mm y 150x200mm

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A día de hoy son muchos los jóvenes que acuden al parque de Yamaguchi situado en la ciudad de Pamplona. Allí realizan diferentes actividades sociales en solitario o en compañía de familiares y amigos. La presente investigación pretende estudiar la distribución, usos y prácticas sociales que los jóvenes llevan a acabo en este parque. Para ello, se utilizan dos instrumentos para la recogida de datos. Por un lado, entrevistas realizadas a jóvenes que se encuentran en el mismo parque y, por otro lado, el análisis de la distribución de la juventud en el parque por medio de un trabajo de campo.

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Dans cette thèse nous démontrons que la paysannerie colombienne s'est constituée telle quelle, à partir de: 1) la construction et de la mise en œuvre des pratiques économiques et agro-productives compatibles avec l'environnement; 2) des habitus et des coutumes qu’elle a inventé et a récré à partir de l'interaction quotidienne avec sa famille et sa communauté et 3) de la lutte politique qu'elle a entrepris tant pour exiger à l'État sa reconnaissance sociale, territoriale et juridique, comme pour arrêter l'avance territoriale des entrepreneurs agraires. Par conséquent, la paysannerie ne peut pas être conçue comme une catégorie conceptuelle construite, a priori , définie dehors de l’histoire, comme un groupe social homogène, et avec caractéristiques égales à niveau global. La paysannerie colombienne, dans sa lutte politique pour la défense du territoire, a affronté à un entrepreneur agraire qui, orienté par une logique unidirectionnelle, élitiste et exclusive de « progrès » et du « développement », a nié à la paysannerie ses droits territoriaux, économiques, sociaux et culturels. De plus, en faisant un usage patrimonial de l’État, il l`a poursuivi, stigmatisé et expulsé de la communauté politique. La paysannerie a affronté un État et un entrepreneur agraire que, depuis l'État d’Exception et de la déclaration de la paysannerie comme “obstacle du développement” et “ennemi de la nation”, ils ont revendiqué le droit, inhérent des souverainetés classiques, de définir qui peut vivre et qui doit mourir. La dynamique historique et successive d'expropriation territoriale de la paysannerie et la mise en œuvre de ce qui est dénommé, dans cette thèse, nécro-politique agraire, ont été cachées dans le concept de “colonisation spontanée” et dans un discours qui présente au paysan comme « héros», «entrepreneur» et «constructeur de patrie», quand il a été obligé par raisons d'ordre économique, juridique et militaire, à entreprendre de nouveaux processus de colonisation forcée. La réponse de la paysannerie à cette dynamique a inclus des résistances de caractère intrasystémique et contre-systémique. Elle n'a jamais décliné à sa lutte par le droit à la terre – qui fait partie de son territoire et considère comme inaliénable - et à son droit d'avoir des droits. En étudiant le cas de la paysannerie de l'Amazonie colombienne, dans cette recherche, nous démontrons que la paysannerie a eu une grande capacité d'affronter les adversités économiques et politiques, et de s’inventer et de se refaire eux-mêmes dans nouveaux espaces. La paysannerie est un sujet social qui a refusé de façon entêtée et permanente, avec ses attitudes et ses actions, à obéir et à être domestiquée par les paramètres de la modernité. Elle s'est refusée à modifier ses dispositions internes et ses manières de voir le monde, son habitus et s’est reconstituée chaque jour dans une modernité qui menace sa subjectivité et son autonomie. La paysannerie formule des projets agro-écologiques, socioéconomiques et d'insertion politique dans un modèle du développement agraire qui insiste de le nier comme sujet avec des droits.