968 resultados para Stevenson, Adlai E. (Adlai Ewing), 1930-
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A photograph of poet William Bliss Carman and M. B. Stevenson in New Canaan, Connecticut. The photograph from September 1927 was sent to fellow poet Ethelwyn Wetherald in 1932. It was included in a four page letter from Carman to Wetherald. Carman, also Canadian, spent most of his years in the United States, but in his letter he mentions that he "regrets" he cannot keep in closer touch with his fellow Canadian poets.
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Annual Convocation proceedings for the year 1930. The title varies slightly and convocation is held at different cities or towns in Canada. Seventy-second annual convocation.
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Fairview School (9th Street Louth, St. Catharines, Ontario) photograph, ca. 1933 Individuals in the photograph are identified as follows: Front Row, L to R: Stuart McDonald, Pete Burtch, Carl Schwenker, Bill Davey, Jim Barnes, ? McDonald, Marie Youngblutt, Lorraine Havens, Margaret Sinclair, Carla Prince, Verna Sinclair, Helen Welsh, Margaret Welsh, Elsie Backshall, Smith girl, Amy McDonald. 2nd Row, L to R: Nelson Sinclair, Gordon Wilson, Ivan Burtch, ? Smith, George Corman, Roy Burtch, Mort Corman, Bob Bell, ?Wilson, Jim Combe, Murray Combe, Jack High, George Welsh, Larry Downes, Gordon Schwenker, Albert Davey, Harvey Davey. Back Row, L to R: Bert Sinclair, Jim Mason, Len Corman, Johnny Corman, David Hallett, Lloyd Graham, Paul Harndon?, Gordon Dormes, George Bell, Doug Garriock, ?McDonald, Mary? Honsberger, Mary Backus, Hilda Wilson. The teacher may be Beatrice Armstrong.
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A postcard from Montreal, Quebec postmarked 22 August 1930. The front of the postcard is an illustration of a male on the ground drinking out of several alcohol bottles with a sign marked "Canada". The caption reads "This place is wet and I am drinking it dry".
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UANL
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On trouve sur les côtes de l’estuaire du Saint-Laurent des vestiges de quai dont la ressemblance mutuelle suggère leur contemporanéité. Les vestiges de ces «quais du gouvernement » relatent une importante conjoncture (1870-1930) caractérisée par l'intégration des localités côtières dans une économie interrégionale. Le quai, autrefois lieu d'interface entre la ruralité et le cabotage, devient pour l'archéologue une occasion de retracer les éléments entrant dans sa conception et sa réalisation. L’observation des éléments architecturaux permet de distinguer les traits architecturaux associés aux quais du gouvernement parmi l’ensemble des techniques de construction déjà employées dans l’estuaire au XIXe siècle.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Des débats et interventions diverses sur les rapports entre langue et théâtre au Québec, on ne retient souvent que les polémiques ayant entouré, entre 1968 et 1973, la création des premières pièces de Michel Tremblay ainsi que les innombrables prises de position publiques de leur auteur. Dans une perspective sociohistorique, cet article cherche à montrer que — à partir des années 1930, tout particulièrement — une réflexion originale sur la langue au théâtre prend naissance dans un contexte où la critique tente de penser l’autonomie d’un théâtre québécois en émergence. D’où une vive attention à la façon de porter la parole vivante au théâtre (élocution, débit, accent), qu’il s’agit de faire échapper à l’influence de l’art oratoire et de l’éloquence profane ou sacrée. L’importance de la notion centrale de l’époque, le naturel à la scène, se manifeste ensuite sous d’autres formes, notamment à travers la promotion d’un théâtre réaliste, puis social. La dramaturgie et les positions de Marcel Dubé sur la question linguistique, affirmées dès les années 1950, sont exemplaires de cette évolution générale, qui s’inscrit en faux contre une perspective textualiste évacuant de l’oeuvre de théâtre la parole quotidienne, dans toute son imperfection et sa fragilité.
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Le premier quart du XXe siècle aura été l'ère des grandes premières au Québec comme ailleurs, au Québec plus qu'ailleurs. Car si la scène québécoise d'alors n'est pas restée étrangère et insensible aux innovations techniques, à la révolution de la mise en scène, au renouveau du répertoire ou à la redéfinition du jeu théâtral qui caractérisent la modernité, elle a aussi été marquée à l'échelle locale par le développement fulgurant du théâtre professionnel francophone. [...]
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HINDI