982 resultados para Problème de conception de réseaux
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La mise en place du parcours clinique pour les interventions de la prothèse totale ou partielle de la hanche (préalable à la mise en place d'un réseau de soins dans notre étude) présuppose la réalisation des objectifs suivants: - décloisonner le système de santé (en commençant avec les deux acteurs concernés) ; - mettre le patient au coeur du système ; - améliorer l'efficience du système ; - maîtriser les coûts, tout en garantissant une qualité des prestations offertes ; - instaurer une nouvelle coopération et coordination entre fournisseurs de soins, ainsi qu' - accroître les compétences et valoriser les professionnels. C'est un projet de qualité des soins. L'itinéraire est multidisciplinaire et destiné à un groupe bien précis de patients, il repose sur une planification systématique et se traduit par un programme de soins spécifiques. La réalisation de tout ou partie de ces objectifs nous permettra de confirmer ou rejeter l'hypothèse selon laquelle les réseaux de soins sont une possible réponse à la crise actuelle du système de santé. Ces affirmations sont-elles toutes nécessaires à la création d'un réseau de soins ? Sont-elles exclusives ou cumulatives ? Y-a-t-il un lien entre la réflexion théorique et les expériences vécues sur le terrain ? Ainsi, nous nous efforcerons de démont[r]er ou de rejeter ces hypothèses au fur et à mesure que nous avancerons avec notre travail de création et développement d'un réseau de soins intégrés. Ce mémoire sera aussi l'occasion de vérifier l'adéquation des théories développées depuis quelques années concernant la mise en place d'une nouvelle forme organisationnelle comme étant une des possibles réponses aux défaillances du système de santé. [Auteur, p. 13]
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According to the theory of language of the young Benjamin, the primary task of language isn't the communication of contents, but to express itself as a "spiritual essence" in which also men take part. That conception according to which language would be a medium to signification of something outside it leads to a necessary decrease of its original strength and is thus denominated by Benjamin bürgerlich. The names of human language are remainders of an archaic state, in which things weren't yet mute and had their own language. Benjamin suggests also that all the arts remind the original language of things, as they make objects "speak" in form of sounds, colors, shapes etc. That relationship between arts as reminders of the "language of things" and the possible reconciliation of mankind with itself and with nature has been developed by Theodor Adorno in several of his writings, specially in the Aesthetic Theory, where the artwork is ultimately conceived as a construct pervaded by "language" in the widest meaning - not in the "bourgeois" sense.
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Bayle est souvent considéré comme sceptique, mais sa conception de la raison n'est pas toujours claire ; ce qui en revanche est clair, c'est qu'il manifeste une profonde méfiance à l'égard des capacités de la raison de livrer une connaissance certaine. Cependant, une nouvelle interprétation de Bayle comme rationaliste «stratonicien » a été développée par Gianluca Mori, qui donne une description détaillée de Bayle comme philosophe critique désireux de rendre compte de toutes positions possibles dans leur complexité et de tirer toutes les conséquences des arguments invoqués au service des principes dits « stratoniciens ». Cette conception de Bayle comme rationaliste critique stratonicien rend possible une interprétation de Bayle moins comme un « supersceptique » à la Richard Popkin, que celui qui permet à la raison d'opérer avec une portée et une autorité plus grandes que ne le permettrait le scepticisme. Mori affirme que la conception de la raison chez Bayle est assez forte ; selon lui, la raison peut aller jusqu'au bout, avec une autorité absolue, et tirer des conclusions. Je soutiens que la conception de la nature et de la fonction de la raison chez Bayle se situe en fait entre le rationalisme stratonicien de Mori et l'interprétation « supersceptique » de Popkin. Comme Mori, je pense qu'il s'agit d'un rationalisme « critique » ; mais contre lui, je pense que la raison elle-même définit et recommande ses propres limites. J'appelle cette conception de la raison « sceptico-rationaliste » et, en suivant Bayle, je suggère comment le « bon sens » (qui fait partie de la raison) aide à définir ces limites.
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Collection : Petite bibliothèque utilitaire
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Collection : Actualités scientifiques et industrielles ; n° 640
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Donateur : Camacho, João Francisco (1833-1898)
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Collection : Association pour la protection légale des travailleurs, section française ; 23
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Contient : IRoman des Sept sages ; « Ci commance li livres des VII sages de Rome... Il ot jadis I emperere à Rome, qui ot non Diocliciens ; il ot eu famme... » ; «... aprés l'ampereour fu son fill ampereres tant coume il vesqui. Explicit. Explicit » ; IIMarqués de Rome ; « Ci commance li romanz de Marqués, le filz Chaton. Jadis out I empereeur à Rome, qui avoit non Diocliciens ; li empereres fu mult vieuz hom... » ; « ... et vesquirent ainsint en samble toutes leurs vies. Ici faut li rommanz de Marqués et des VII sages de Rome » ; IIIMiracles de Notre-Dame, en vers, par GAUTIER DE COINCY, incomplets du début. Exemplaire non cité dans l'édition de l'abbé Poquet ; Fragments du Prologue ; Les Miracles de la sainte Vierge, publiés par l'abbé Poquet, 1857, vers 25-30, 62-69, 99-106, 138-142 ; Suite du Prologue, à partir du vers 143 ; Fin du Prologue : « ... La langue GAUTIER DE CHOISI (sic), Qui por s'amor commance einsi » ; Miracle de Théophile : « Por ceus esbatre et deporter... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 50 ; « Un biau miracle vos récite... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 423 ; « Tenez silence, bones genz... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 355 ; « Un biau miracle vos weil dire... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 291 ; « [M]es livres me dit et revelle... » ; Les Miracles de la sainte Vierge., col. 475 ; « Ci aprés vell metre en brief... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 501 ; « Queque talant avez d'oïr... » ; Les Miracles de la sainte Vierge, col. 511 ; « De l'abesse qui fu enceinte, que Nostre Dame délivra de son enfant en dormant. Une abesse fu jadis, Qui la dame de Paradis... » ; Ulrich, dans Zeitschrift für romanische Philologie, t. VI (1882), p. 334 ; « Un miracle truis d'un provoire... » ; édit. Poquet, col. 323 ; « Un moine fu d'une abahie... » ; édit. Poquet, col. 327 ; « Por plusors cuers plus enflammer... » ; édit. Poquet, col. 341 ; « Un arcevesque ot à Touleste... », texte très abrégé ; édit. Poquet, col. 77 ; « Tuit li miracle Nostre Dame... » ; édit. Poquet, col. 429 ; « Entendez tuit, et cler et lai... » ; édit. Poquet, col. 517 ; « Tant convolante me semont... » ; édit. Poquet, col. 303 ; « Pour ce qu'oiseuse est mort à l'ame... » ; édit. Poquet, col. 523 ; « [C]i fu un clers, un damoisiaux... » ; édit. Poquet, col. 363 ; « Entendez tuit, faites silence... » ; édit. Poquet, col. 443 ; « Des V siaumes de Maria. Un brief miracle vos veil dire, Conter vos veil d'un simple moinne... » ; édit. Poquet, col. 359 ; « Si com mes [livres] me tesmoigne... » ; édit. Poquet, col. 455 ; « A ceus qui aiment doucement... » ; édit. Poquet, col. 493 ; « A la loange de la Virge... » ; texte abrégé, comprenant seulement les 114 premiers vers ; édit. Poquet, col. 481 ; « Queque d'oïr estes en grant... » ; édit. Poquet, col. 505 ; « A Chartres fu ce truis uns clers... » ; édit. Poquet, col. 297 ; « Bien est que nos le bien dions... » ; édit. Poquet, col. 347 ; « Cele en cui prist humanité... », texte incomplet ; édit. Poquet, col. 461 ; « De la nonnein que li chevalliers espoussa. A la gloire la glorieuse, Une merveille merveilleuse... » ; Ulrich, dans Zeitschrift für romanische Philologie, t. VI (1882), p. 339 ; « ... Et serront tant com Dieux dura, Beneoiz soit qui l'endurra. Amen. Amen. Explicit les miracles de Nostre Dame sainte Marie, la douce dame et la beningne » ; IVLa Conception de Notre-Dame, par WACE ; « Ci commance la vie Nostre Damne. El non Dieu, qui nous doint sa grace, Oiiez que nos dit mestre GASCE... » — Le texte est incomplet des 18 derniers vers, et s'arrête (fol. 200 v°, col. 2) à ces mots : « ... Si Jonas en la mer sauva, Les IIII enfanz el feu garda, Bien pout donques [resusciter...] » ; cf La vie de la vierge Marie, de maître Wace, p. p. V. Luzarche, Tours, 1859, p. 90
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Miniature au fol. 1 v°, représentant la Vierge foulant aux pieds le dragon, et entourée de saints, qui chantent ses louanges. Le premier chant royal débute, comme dans le ms. franç. 379 : « Filles d'honneur, qui faictes mansion En la cité Hierusalem tressaincte... »