969 resultados para Catiline, approximately 108 B.C.-62 B.C.
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BACKGROUND & AIMS: Infection with Helicobacter induces a T helper type 1 response in mice and humans. Mice can be cured or protected from infection with Helicobacter by mucosal immunization with recombinant H. pylori urease B subunit (rUreB). This study characterizes the immune response of infected mice immunized with rUreB. METHODS: BALB/c mice were infected with H. felis. Two weeks later, they were orally immunized four times with rUreB and cholera toxin (CT) at weekly intervals. Controls were only infected or sham-immunized with CT. Animals were killed at various times after immunization. Splenic CD4(+) cells were obtained and cultured in vitro with rUreB to evaluate antigen-specific proliferation and induction of interferon gamma and interleukin 4 secretion. RESULTS: All rUreB-immunized mice (n = 8) were cured from infection 3 weeks after the fourth immunization. Immunization induced a proliferative response of splenic CD4(+) cells, a progressive decrease in interferon gamma secretion, and a concomitant increase in interleukin 4 secretion after each immunization. A simultaneous increase in rUreB specific serum immunoglobulin G1 levels was observed in infected/immunized mice. CONCLUSIONS: In BALB/c mice, therapeutic mucosal immunization with rUreB induces progressively a Th2 CD4(+) T cell response resulting in the elimination of the pathogen.
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Rôle du génotype 3 du virus de l'hépatite C dans la progression de la fibrose hépatique, une revue systématique avec méta-analyse. On estime à 170 millions le nombre de personnes atteintes d'hépatite C chronique dans le monde. La principale conséquence de cette maladie est la fibrose du foie, qui évolue plus ou moins rapidement, pour aboutir au développement d'une cirrhose et/ou d'un hépatocarcinome. Certains des facteurs accélérateurs de la fibrose, comme l'âge avancé au moment de l'infection, le sexe masculin, la consommation d'alcool, sont bien connus. On a longtemps considéré que les six différents génotypes viraux n'influençaient pas la progression de la fibrose. Des études récentes ont cependant suggéré que certains génotypes, en particulier ie génotype 3, pouvaient entraîner une fibrose plus rapide. Le but de ce travail de thèse était de déterminer à l'aide d'une méta-analyse le rôle du génotype viral dans la progression de la fibrose dans l'infection chronique au virus de l'hépatite C. Les études ont été sélectionnées dans la littérature médicale à partir d'une série de mots-clés. Le degré de fibrose a été estimé par biopsie, en utilisant le score Metavir. Deux types d'études ont décrits de manière différente la durée d'infection. Les premières ont calculé la progression de la fibrose depuis le moment estimée de l'infection (« études avec une biopsie »), les secondes ont exprimés cette durée comme étant l'intervalle entre deux biopsies (« études avec deux biopsies »). L'analyse a permis d'identifier 8 études avec une biopsie pour un collectif total de 3182 patients ainsi que 8 études avec deux biopsies pour un collectif de 896 patients. Dans une méta-analyse de type « random effect », le rapport de cote pour l'association du génotype 3 avec une fibrose accélérée est de 1.52 (95% IC 1.12-2.07, p=0.007) pour les études à une biopsie. Pour les études à deux biopsies, le rapport de cote pour cette association est de 1.37 (95% IC 0.87-2.17, P=0.17). Cette étude montre que les patients avec une hépatite C chronique due au génotype 3 ont une progression de fibrose plus rapide que ceux qui sont infectés par les autres génotypes. Alors que la méta-analyse des études avec une biopsie est clairement significative, celle des études avec deux biopsies est au-dessous du seuil de significativité. Les études à deux biopsies peuvent être limitées par plusieurs facteurs, comprenant un « biais d'indication » (seuls les patients évoluant rapidement vers la cirrhose ont plus de risque d'avoir une deuxième biopsie), une durée d'observation très courte (5 années comparée à 13 années pour les études à 2 biopsies), et un nombre de patient limité (896 pour le études à 2 biopsies comparé à 3182 pour les études à 1 biopsie). Impact d'un programme de vaccination sur l'immunité contre l'hépatite Β dans une clinique suisse du VIH Le virus de l'hépatite Β cause une infection aigûe dont la symptomatologie varie d'une présentation subclinique à une progression fulminante. Dans une minorité de cas, l'infection aigiie est suivie d'une infection chronique pouvant évoluer vers une cirrhose hépatique et/ou un hépatocarcinome. La prévalence de l'hépatite Β aiguë et chronique chez les personnes vivant avec le virus d'immunodéficience humaine (VIH) est supérieure à celle de la population générale. Par ailleurs la co-infection avec le virus du VIH entraine une progression plus rapide de l'hépatite B. Dès lors, l'immunité pour le virus de l'hépatite Β représente un facteur primordial de prévention dans la population infectée par le virus de l'HIV. Bien que l'administration d'un vaccin contre l'hépatite Β soit particulièrement recommandée chez tous les individus infectés par le VIH, la couverture vaccinale dans cette population est souvent insuffisante. Le but de cette étude était de déterminer l'état d'immunisation contre le virus de l'hépatite Β dans la population infectée par le VIH de la cohorte Suisse HIV et d'analyser l'efficacité d'un programme de vaccination administré par le personnel soignant. L'immunité avant et après intervention dans notre centre a été comparée aux autres centres de la cohorte HIV en Suisse. L'immunité pour le centre d'intervention a passé de 32% avant intervention à 76% après intervention alors que pour les autres centres, l'immunité n'a progressé que de 33% à 39% dans le même laps de temps (n=2712, P=0.001). Cette étude montre qu'un contrôle systématique de l'immunité par du personnel soignant augmente de manière significative l'immunité pour le vaccin de l'hépatite Β dans la population HIV.
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Infection with hepatitis C virus (HCV) is associated with lymphoproliferative disorders, represented by essential mixed cryoglobulinemia and B-cell non-Hodgkin's lymphoma, but the pathogenic mechanism remains obscure. HCV may infect B cells or interact with their cell surface receptors, and induce lymphoproliferation. The influence of HCV infection of B cells on the development of lymphoproliferative disorders was evaluated in 75 patients with persistent HCV infection. HCV infection was more prevalent (63% vs. 16%, 14%, or 17% P < 0.05 for each), and HCV RNA levels were higher (3.35 +/- 3.85 vs. 1.75 +/- 2.52, 2.15 +/- 2.94 or 2.10 +/- 2.90 log copies/100 ng, P < 0.01 for each) in B cells than CD4(+), CD8(+) T cells or other cells. Negative-strand HCV RNA, as a marker of viral replication, was detected in B cells from four of the 75 (5%) patients. Markers for lymphoproliferative disorders were more frequent in the 50 patients with chronic hepatitis C than the 32 with chronic hepatitis B, including cryoglobulinemia (26% vs. 0%, P < 0.001), low CH(50) levels (48% vs. 3%, P = 0.012), and the clonality of B cells (12% vs. 0%, P < 0.01). By multivariate analysis, HCV RNA in B cells was an independent factor associated with the presence of at least one marker for lymphoproliferation (odds ratio: 1.98 [95% confidence interval: 1.36-7.24], P = 0.027). Based on the results obtained, the infection of B cells with HCV would play an important role in the development of lymphoproliferative disorders.