909 resultados para CD4 cell count
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Lobjectif de cette tude tait de dterminer limpact dune infection intra-mammaire (IIM) subclinique cause par staphylocoque coagulase-ngative (SCN) ou Staphylococcus aureus diagnostique durant le premier mois de lactation chez les taures sur le comptage de cellules somatiques (CCS), la production laitire et le risque de rforme durant la lactation en cours. Des donnes bactriologiques provenant dchantillons de lait composites de 2 273 taures Holstein parmi 50 troupeaux ont t interprtes selon les recommandations du National Mastitis Council. Parmi 1 691 taures rencontrant les critres de slection, 90 (5%) taient positives S. aureus, 168 (10%) taient positives SCN et 153 (9%) taient ngatives (aucun agent pathogne isol). Le CCS transform en logarithme nprien (lnCCS) a t modlis via une rgression linaire avec le troupeau comme effet alatoire. Le lnCCS chez les groupes S. aureus et SCN tait significativement plus lev que dans le groupe tmoin de 40 300 jours en lait (JEL) (P < 0.0001 pour tous les contrastes). La valeur journalire du lnSCC chez les groupes S. aureus et SCN tait en moyenne 1.2 et 0.6 plus lev que le groupe tmoin respectivement. Un modle similaire a t ralis pour la production laitire avec lge au vlage, le trait gntique li aux parents pour la production laitire et le logarithme nprien du JEL de la pese inclus. La production laitire ntait pas statistiquement diffrente entre les 3 groupes de culture de 40 300 JEL (P 0.12). Les modles de survie de Cox ont rvl que le risque de rforme ntait pas statistiquement diffrent entre le groupe S. aureus ou SCN et le groupe tmoin (P 0.16). La prvention des IIM causes par SCN et S. aureus en dbut de lactation demeure importante tant donn leur association avec le CCS durant la lactation en cours.
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Le cancer pithlial de lovaire (CO) est le cancer gyncologique le plus ltal. Le CO de type sreux, la forme la plus commune avec plus de 50% des cas, est souvent diagnostiqu tardivement et associ un mauvais pronostic. Le CO avanc, surtout trait par chimiothrapie, va devenir chimiorsistant chez la majorit des patientes traites. Bien que des lignes cellulaires du CO aient t drives partir de tumeurs solides et dascites de patientes ayant ou non subi une chimiothrapie, aucune des lignes cellulaires du CO provenant dune mme patiente avant et aprs ses traitements de chimiothrapie nont t tablies prcdemment. Notre laboratoire est le premier dvelopper de telles lignes cellulaires. Nos nouvelles lignes cellulaires sont drives de trois patientes diffrentes (1369, 2295 et 3133) et classes selon leur provenance, soit la tumeur solide (TOV) ou lascite (OV). Nous avons donc caractris ces nouvelles lignes de cellules pr-chimiothrapie (TOV1369TR, OV2295, TOV3133D et TOV3133G) et post-chimiothrapie (OV1369(2), OV2295(2), TOV2295, OV3133 et OV3133(2)) par diverses approches. Par immunohistochimie et immunobuvardage de type Western, nous avons caractris les niveaux dexpression de marqueurs pithliaux typiques de kratines (KRT7, KRT8, KRT18, KRT19, KRT20) pour confirmer lorigine pithliale et ovarienne des cellules. Nous avons galement analys le niveau dexpression de HER2 et p53, deux marqueurs importants dans le CO. Cependant, il ne semble pas y avoir dexpression diffrentielle vidente de ces marqueurs entre les lignes pr-chimiothrapie et post-chimiothrapie. Plus encore, nous avons tudi plusieurs caractristiques tumorigniques des lignes cellulaires, dont la prolifration cellulaire (par compte cellulaire), la migration cellulaire (par recouvrement de plaie), la capacit former des sphrodes en 3D (par la mthode des gouttelettes inverses), et la formation de tumeurs in vivo dans des souris SCID (xnogreffes sous-cutanes). En gnral, il ne semble pas y avoir de diffrences claires entre les cellules pr-chimiothrapie et post-chimiothrapie au niveau du comportement cellulaire, lexception du fait quaucune des lignes post-chimiothrapie semblent tre en mesure de former des structures tridimensionnelles compactes, contrairement certaines lignes post-chimiothrapie. Nos rsultats pourront servir mieux comprendre les diffrents mcanismes rgissant les tumeurs malignes du CO de type sreux et mieux comprendre la progression de la maladie travers les diffrents traitements, ce qui nous permettra dacqurir des informations essentielles pour mieux valuer et traiter diffrentes patientes.
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La mammite subclinique est un problme de sant frquent et coteux. Les infections intra-mammaires (IIM) sont souvent dtectes laide de mesures du comptage des cellules somatiques (CCS). La culture bactriologique du lait est cependant requise afin didentifier le pathogne en cause. cause de cette difficult, pratiquement toutes les recherches sur la mammite subclinique ont t centres sur la prvalence dIIM et les facteurs de risque pour lincidence ou llimination des IIM sont peu connus. Lobjectif principal de cette thse tait didentifier les facteurs de risque modifiables associs lincidence, llimination et la prvalence dIIM dimportance dans les troupeaux laitiers Canadiens. En premier lieu, une revue systmatique de la littrature sur les associations entre pratiques utilises la ferme et CCS a t ralise. Les pratiques de gestion constamment associes au CCS ont t identifies et diffrenties de celles faisant lobjet de rapports anecdotiques. Par la suite, un questionnaire bilingue a t dvelopp, valid, et utilis afin de mesurer les pratiques de gestion dun chantillon de 90 troupeaux laitiers canadiens. Afin de valider loutil, des mesures de rptabilit et de validit des items composant le questionnaire ont t analyses et une valuation de lquivalence des versions anglaise et franaise a t ralise. Ces analyses ont permis didentifier des items problmatiques qui ont du tre recatgoriss, lorsque possible, ou exclus des analyses subsquentes pour assurer une certaine qualit des donnes. La plupart des troupeaux tudis utilisaient dj la dsinfection post-traite des trayons et le traitement universel des vaches au tarissement, mais beaucoup des pratiques recommandes ntaient que peu utilises. Ensuite, les facteurs de risque modifiables associs lincidence, llimination et la prvalence dIIM Staphylococcus aureus ont t investigus de manire longitudinale sur les 90 troupeaux slectionns. Lincidence dIIM semblait tre un dterminant plus important de la prvalence dIIM du troupeau comparativement llimination des IIM. Le port de gants durant la traite, la dsinfection pr-traite des trayons, de mme quune condition adquate des bouts de trayons dmontraient des associations dsirables avec les diffrentes mesures dIIM. Ces rsultats viennent souligner limportance des procdures de traite pour lobtention dune rduction long-terme de la prvalence dIIM. Finalement, les facteurs de risque modifiables associs lincidence, llimination et la prvalence dIIM staphylocoques coagulase-ngatif (SCN) ont t tudis de manire similaire. Cependant, afin de prendre en considration les limitations de la culture bactriologique du lait pour lidentification des IIM causes par ce groupe de pathognes, une approche semi-Bayesienne laide de modles de variable classe latente a t utilise. Les estims non-ajust de lincidence, de llimination, de la prvalence et des associations avec les expositions apparaissaient tous considrablement biaiss par les imperfections de la procdure diagnostique. Ce biais tait en gnral vers la valeur nulle. Encore une fois, lincidence dIIM tait le principal dterminant de la prvalence dIIM des troupeaux. Les litires de sable et de produits du bois, de mme que laccs au pturage taient associs une incidence et une prvalence plus basse de SCN.
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Les dyskinsies tardives (DT) sont des troubles moteurs associs lutilisation chronique des antagonistes des rcepteurs dopaminergiques D2 tels que les antipsychotiques et le mtoclopramide. Ces dyskinsies correspondent une incoordination motrice portant prfrentiellement sur la musculature oro-faciale. La gestion des DT s'est impose comme dfi de sant publique surtout en labsence dune alternative thrapeutique efficace et abordable. Lhypothse classiquement avance pour expliquer la physiopathologie des DT inhrente au traitement par les antipsychotiques sarticule autour de lhypersensibilit des rcepteurs dopaminergiques D2, cibles principales de ces molcules. Nanmoins, plusieurs donnes remettent la vracit de cette hypothse en question. Hypothse: nous proposons que le blocage chronique des rcepteurs dopaminergiques soit effectivement responsable dun phnomne dhypersensibilisation mais contrairement lhypothse classique, cette hypersensibilisation porterait sur des paramtres de la transmission dopaminergique autres que les rcepteurs D2. De mme nous postulons que cette hypersensibilisation se traduirait par des altrations des cascades signaltiques au niveau des cellules du striatum. Ces altrations aboutissent des changements portant sur le rcepteur nuclaire (Nur77), qui est hautement associ au systme dopaminergique; linduction de ces rcepteurs dclencherait des cascades associes la compensation ou la gense des DT. Matriels et mthodes: 23 femelles Cebus apella, rparties en 3 groupes: groupe halopridol, groupe clozapine, et groupe contrle, ont t exposes aux traitements respectifs pendant 6-36 mois. Aprs lanalyse comportementale, les animaux ont t dcapits et leurs cerveaux isols pour fin danalyse. Hybridation in situ: nous avons fait appel cette technique pour mesurer lexpression de lARNm de Nur77 et du neuropeptide enkphaline. Hybridation in situ double: nous avons exploits cette technique pour identifier les populations neuronales exprimant les rcepteurs dopaminergiques D3 et localiser leur ventuelle induction. Autoradiographies des rcepteurs dopaminergiques D1, D2 et D3 et autoradiographies des rcepteurs i glutamatergiques mGluR5. Ces autoradiographies avaient pour objectif dvaluer lexpression de ces diffrents rcepteurs. Mutagense dirige et transfection cellulaire: nous faisons appel ces techniques pour reproduire le polymorphisme identifi au niveau de la rgion 3UTR de lARNm Nur77 et valuer limpact que pourrait avoir ce polymorphisme sur la stabilit de lARNm Nur77 sinon sur lexpression de la protine Nur77. Western Blot des kinases ERK 1 et 2: cette technique nous a servi comme moyen pour quantifier lexpression globale de ces kinases. Analyses statistiques: lexpression de lARNm Nur77 a t value en utilisant lanalyse de la variance un seul facteur (One way ANOVA). Nous avons procd de la mme faon pour mesurer lexpression des rcepteurs D2, D3 et mGluR5. Rsultats: le groupe des animaux traits par lhalopridol montre une plus forte expression des rcepteurs D3 par rapport aux sujets des autres groupes. Cette expression se produit au niveau des neurones de la voie directe. De plus, cette augmentation corrle positivement avec la svrit des DT. Lexpression des rcepteurs D2 et mGluR5 reste relativement inchange entre les diffrents groupes, alors quun gradient dexpression a t observ pour le rcepteur D1. Par ailleurs, Nur77 est induit par lhalopridol, alors que son expression semble baisser chez les animaux traits par la clozapine. Linduction de lexpression de Nur77 par lhalopridol est plus accrue chez les animaux non dyskintiques. Les animaux traits par la clozapine dmontrent une expression amoindrie de lARNm de Nur77 qui tend tre plus faible que lexpression de base. Dautre part, la prsence du polymorphisme au niveau de la rgion 3UTR semble affecter lexpression cellulaire de Nur77. Conclusion: ces rsultats confortent notre hypothse concernant lexistence dun phnomne dhypersensibilisation prenant place suite un traitement chronique par les antipsychotiques. Ce phnomne sest traduit par une augmentation de lexpression des rcepteurs D3 sans porter sur les rcepteurs D2 tel que prn classiquement. Cette hypersensibilisation des rcepteurs D3 implique galement lexistence dun dbalancement des voies striatales pouvant ainsi sous tendre lapparition des DT. Ces rsultats dvoilent ainsi un nouveau mcanisme qui pourrait contribuer lapparition des DT et pourraient permettre une meilleure gestion, nous lesprons, des DT lchelle clinique.
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Avec la mise en place de la nouvelle limite maximale de 400 000 cellules somatiques par millilitres de lait (c/mL) au rservoir, le mois daot 2012 a marqu une tape importante en termes de qualit du lait pour les producteurs de bovins laitiers du Canada. Lobjectif de cette tude consistait en ltablissement dun modle de prdiction de la violation de cette limite au rservoir laide des donnes individuelles et mensuelles de comptages en cellules somatiques (CCS) obtenues au contrle laitier des mois prcdents. Une banque de donne DSA comprenant 924 troupeaux de laitiers qubcois, en 2008, a t utilise pour construire un modle de rgression logistique, adapt pour les mesures rptes, de la probabilit dexcder 400 000 c/mL au rservoir. Le modle final comprend 6 variables : le pointage linaire moyen au test prcdent, la proportion de CCS > 500 000 c/mL au test prcdent, la production annuelle moyenne de lait par vache par jour, le nombre de jours en lait moyen (JEL) au test prcdent ainsi que les proportions de vaches saines et de vaches infectes de manire chronique au test prcdant. Le modle montre une excellente discrimination entre les troupeaux qui excdent ou nexcdent pas la limite lors dun test et pourrait tre aisment utilis comme outil supplmentaire de gestion de la sant mammaire la ferme.
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Lencphalopathie hpatique (EH) est une complication neuropsychiatrique de la maladie de foie telle que la cirrhose, caractrise par des dysfonctions cognitives et motrices. Le seul traitement curatif est la transplantation hpatique (TH). Historiquement, lEH est considre comme un dsordre mtabolique rversible et il est attendu quil soit rsolu suivant la TH. Cependant, il a t dmontr que des complications neurologiques persistent chez 47% des patients transplants. La TH est une opration chirurgicale complexe accompagne de stress pri-opratoire telle que la perte sanguine et lhypotension. Lhypothse de ce projet dtude est que lEH minimale (EHm) rend le cerveau plus susceptible une perte neuronale suite une insulte hypotensive. Nous avons donc caractris un modle dhypotension chez des rats cirrhotiques avec ligation de la voie biliaire (BDL) dans lequel une hypovolmie de lartre fmorale a t faite. Avec ce modle, nous avons tudi limpact de diffrentes pressions sanguines de 120 minutes sur le compte neuronal. Nos rsultats dmontrent que les BDL hypotendus une pression artrielle moyenne de 60 mmHg et 30 mmHg ont une diminution du compte neuronal et que les neurones mourraient par apoptose (observe par la prsence de caspase-3 clive). Nous avons galement dtermin que le flot sanguin crbral tait altr chez les rats cirrhotiques BDL. Le second objectif tait dvaluer si le traitement de lEHm par lornithine phnylactate (OP) permettait dviter la perte neuronale chez les BDL hypotendus. Nos rsultats ont dmontrs que lOP permettait de partiellement rtablir les fonctions cognitives chez les rats BDL. De plus, les rats BDL traits avec lOP peuvent viter la mort neuronale. Cependant, le processus apoptotique est toujours enclench. Ce rsultat suggre la possibilit de mort cellulaire retarde par lOP. Ces rsultats suggrent que les patients cirrhotiques avec EHm sont plus susceptibles une mort neuronale induite par hypotension. La combinaison de lEHm et lhypotension permet dexpliquer les complications neurologiques rencontres chez certains patients. Le diagnostic et le traitement de ce syndrome doit donc tre fait chez les patients cirrhotiques pour viter ces complications post-TH.
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The main objective of the present work is to acquire information regarding the growth responses of P. monodon larvae (from PZ1 upto PL1) to various mono specific and mixed diets. Evaluate the nutritional quality of selected species of micro algae viz. Chaetoceros calcitrans, Dunaliella salina, Isochrysis galbana and Nannochloropsis salina, larvae at three cell concentrations 10x104 cells/ml, 25x104 cells/ml and 50x104 cells/ml. The P. monodon larvae were transported, at the Nauplius stage, to the laboratory. The larvae were stocked at density of 150 larvae per litre in 5 litre FRP tanks with 3 litres of sea water. The algal cell density given to the larvae varied. The larval stages were fed with increasing densities of algae to evaluate the relationship between the food densities, ingestion rates, development and growth of the larvae. The water quality parameters, the percentage of survival rate, the growth estimation and the algal cell count were done. Each experiment was carried out in triplicate with a control group of larvae fed with Chaetoceros calcitrans. For the estimation standard procedures were used.to P. monodon
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Zusammenfassung: Ziel der Arbeit war ein Methodenvergleich zur Beurteilung der Milchqualitt unterschiedlicher Herknfte. Am Beispiel von Milchproben aus unterschiedlicher Ftterung sowie an Milchproben von enthornten bzw. horntragenden Khen wurde geprft, welche der angewendeten Methoden geeignet ist, die Vergleichsproben zu unterscheiden (Differenzierungsfhigkeit der Methoden) und inwieweit eine Qualittsbeurteilung mglich ist (hinsichtlich Milchleistung, Fett-, Eiwei-, Lactose- (=F,E,L), Harnstoff-gehalt und Zellzahl (=SCC), Suerungseigenschaften (=SE), Fettsuremuster (=FS-Muster), Protein- und Metabolit-Zusammensetzung (=Pr&M), Fluoreszenz-Anregungs-Spektroskopie-Eigenschaften (=FAS) und Steigbild-Merkmalen). Zustzlich wurde vorab die Steigbildmethode (=SB-M) fr das Produkt Rohmilch standardisiert und charakterisiert, um die Reproduzierbarkei der Ergebnisse sicherzustellen. Die Untersuchungen zur SB-M zeigten, dass es Faktoren gibt, die einen deutlichen Einflu auf die Bildmerkmals-Ausprgung aufweisen. Dazu gehren laborseitig die Klimabedingungen in der Kammer, die Verdnnungsstufe der Probe, die Standzeiten der Vorverdnnung (Reaktionen mit der Luft, Alterung usw.), und tagesspezifisch auftretende Effekte, deren Ursache unbekannt ist. Probenseitig sind sehr starke tierindividuelle Effekte auf die Bildmerkmals-Ausprgung festzustellen, die unabhngig von Ftterung, Alter, Laktationsstadium und Genetik auftreten, aber auch Ftterungsbedingungen der Khe lassen sich in der Bildmerkmals-Ausprgung wiederfinden. Die Art der Bildauswertung und die dabei bercksichtigten Bildmerkmale ist von groer Bedeutung fr das Ergebnis. Die im Rahmen dieser Arbeit untersuchten 46 Probenpaare (aus den Ftterungsvergleichen (=FV) und zur Thematik der Hrner) konnten in 91% der Flle korrekt gruppiert werden. Die Unterschiede konnten benannt werden. Drei FV wurden auf drei biologisch-dynamischen Hfen unter Praxis-Bedingungen durchgefhrt (on-farm-Experimente). Es wurden jeweils zwei vergleichbare Gruppen mindestens 11 Khen gebildet, die im Cross-Over-Design gefttert wurden, mit Probennahme am 14. und 21. Tag je Periode. Es wurden folgende FV untersucht: A: Wiesenheu vs. Kleegrasheu (=KG-Heu), B: Futterrben (=FuR) vs. Weizen (Ergnzung zu Luzernegrasheu ad lib.), C: Grassilage vs. Grasheu. Bei Versuch A sind die Futtereffekte am deutlichsten, Gruppeneffekte sind gering. Die Milch der Wiesenheu-Variante hat weniger CLAs und n3- FS und mehr mittellangkettige FS (MCT-FS), das Pr&M-Muster weist auf Gewebereifung und Ausdifferenzierung vs. bei KG-Heu Nhrstoff-flle, Wachstum und Substanz-Einlagerung und die SB zeigen fein ausdifferenzierte Bildmerkmale. Bei Versuch B sind die Futtereffekte hnlich gro wie die Gruppeneffekte. Bei vergleichbarer Milchleistung weist die Milch der FuR-Variante hhere F- und E-Gehalte auf, sie suert schneller und mehr, das FS-Muster weist auf eine intensive Ftterung mit vermehrt MCT- FS, und die Pr&M-Untersuchungen charakterisieren sie mit Eisentransport und Fetttrpfchenbildung vs. bei Weizen mehr Abwehr-, Regulations- und Transportfunktion /. mehr Lipidsynthese. Die SB charakterisieren mit groe, krftige Formen, verwaschen vs. kleine, ausdifferenzierte Bildmerkmal fr FuR vs. Weizen. Die FAS charakterisiert sie mit Saftfutter-typisch vs. Samentypisch. Versuch C weist die geringsten Futtereffekt auf, und deutliche Gruppen- und Zeiteffekte. Milchleistung und F,E,L-Gehalte zeigen keinen Futtereffekt. Die Milch der Heu-Variante suert schneller, und sie weist mehr SCT und MCT- FS auf. Pr&M-Untersuchungen wurden nicht durchgefhrt. Die SB charakterisieren bei Heumilch mit fein, zart, durchgestaltet, hell, bei Silagemilch mit krftig, wrig-verwaschen, dunkler. Die FAS kann keine konsistenten Unterschiede ermitteln. Der Horn-Einflu auf die Milchprobe wurde an 34 Probenpaaren untersucht. Von 11 Hfen wurden je zwei mglichst vergleichbare Gruppen zusammengestellt, die sich nur im Faktor Horn unterscheiden, und im wchentlichen Abstand drei mal beprobt. F,E,L, SCC und SE der Proben sowie die FAS-Messungen weisen keine konsistenten signifikanten Unterschiede zwischen den Horn-Varianten auf. Pr&M weisen bei den untersuchten Proben (von zwei Hfen) auf Horneffekte hin: bei Eh eine Erhhung von Immun-Abwehr-Funktionen, sowie einer Abnahme phosphorylierter C3- und C6-Metabolite und Beta-Lactoglobulin. Mit den SB lieen sich fr die gewhlten Merkmale (S-Gre und g.B.-Intensitt) keine Horneffekte feststellen. FS, Pr&M-Muster sowie Harnstoffgehalt und SB (und z.T. Milchleistung) zeigten je FV hnliche Effekt-Intensitten fr Futter-, Gruppen- und Zeiteffekte, und konnten die Cross-Over-Effekte gut wiedergeben. F- und E-Gehalte konnten neben tierindividuellen Effekten nur in FV B auch Futtereffekte aufzeigen. In FV C zeigten die SE der Proben den deutlichsten Futtereffekt, die anderen Methoden zeigten hier vorrangig Gruppen-Effekte, gefolgt von Futter- und Zeiteffekten. Die FAS zeigte den SB vergleichbare Ergebnisse, jedoch weniger sensibel reagierend. Die Interpretation von Qualittsaspekten war bei konsistent differenzierbaren Proben (FV A, B, C) am fundiertesten mit Hilfe der FS mglich, da ber die Synthese von FS und beeinflussende Faktoren schon vielfltige Erkenntnisse vorliegen. Das Pr&M-Muster war nach einer weiteren Methodenentwicklung bei der Deutung von Stoffwechselprozessen sehr hilfreich. Die FAS konnte z.T. eine zu der Ftterungsvariante passende Charakterisierung liefern. Fr die SB-M fehlt es noch an Referenzmaterial, um Angaben zu Qualittsaspekten zu machen, wenngleich Probenunterschiede aufgezeigt und Proben-Eigenschaften charakterisiert werden konnten.
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La tcnica de recoleccin es el primer paso para obtener una muestra de sangre de cordn umbilical de ptima calidad. Dicho proceso es esencial en los eventos que conducen al xito del trasplante de clulas madre. Aunque no existe consenso internacional sobre el procedimiento de recoleccin, dos tcnicas son las principales: la tcnica in utero y la tcnica ex utero. La tcnica in utero aporta ventajas en cuanto al volumen sanguneo y conteo celular. El parto por cesrea, si se realiza por razones obsttricas es benfico para la recoleccin con tcnica in utero. Es necesaria la realizacin de estudios que permitan mayor nivel de evidencia.
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The objectives were to compare the chemical composition, nutritive value, feed intake, milk production and composition, and presence in milk of transgenic DNA and the encoded protein Cry1Ab when corn silages containing 2 transgenes (2GM: herbicide tolerance: mepsps and insect resistance: cry1Ab) were fed as part of a standard total mixed ration (TMR) compared with a near isogenic corn silage ( C) to 8 multiparous lactating Holstein dairy cows in a single reversal design study. Cows were fed a TMR ration ad libitum and milked twice daily. Diets contained [ dry matter (DM) basis] 45% corn silage, 10% alfalfa hay, and 45% concentrate (1.66 Mcal of net energy for lactation/kg of DM, 15.8% crude protein, 35% neutral detergent fiber, and 4.1% fat). Each period was 28-d long. During the last 4 d of each period, feed intake and milk production data were recorded and milk samples taken for compositional analysis, including the presence of transgenic DNA and Cry1Ab protein. There was no significant difference in the chemical composition between C and 2GM silages, and both were within the expected range (37.6% DM, 1.51 Mcal of net energy for lactation/kg, 8.6% crude protein, 40% neutral detergent fiber, 19.6% acid detergent fiber, pH 3.76, and 62% in vitro DM digestibility). Cows fed the 2GM silage produced milk with slightly higher protein (3.09 vs. 3.00%), lactose ( 4.83 vs. 4.72%) and solids-not-fat (8.60 vs. 8.40%) compared with C. However, the yield (kg/d) of milk (36.5), 3.5% fat-corrected milk (34.4), fat (1.151), protein (1.106), lactose (1.738), and solids-not-fat ( 3.094), somatic cell count (log(10): 2.11), change in body weight (+ 7.8 kg), and condition score (+ 0.09) were not affected by type of silage, indicating no overall production difference. All milk samples were negative for the presence of transgenic DNA from either trait or the Cry1Ab protein. Results indicate that the 2GM silage modified with 2 transgenes did not affect nutrient composition of the silages and had no effect on animal performance and milk composition. No transgenic DNA and Cry1Ab protein were detected in milk.
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It is evident that quantitative information on different microbial groups and their contribution in terms of activity in the gastrointestinal (GI) tract of humans and animals is required in order to formulate functional diets targeting improved gut function and host health. In this work, quantitative information on levels and spatial distributions of Bacteroides spp, Eubacterium spp, Clostridium spp, Escherichia coli, Bifidobacterium spp and Lactobacillus/Enterococcus spp. along the porcine large intestine was investigated using 16S rRNA targeted probes and fluorescent in situ hybridisation (FISH). Caecum, ascending colon (AC) and rectum luminal digesta from three groups of individually housed growing pigs fed either a corn-soybean basal diet (CON diet) or a prebiotic diet containing 10 g/kg oligofructose (FOS diet) or trans-galactooligosaccharides (TOS diet) at the expense of cornstarch were analysed. DAPI staining was used to enumerate total number of cells in the samples. Populations of total cells, Bacteroides, Eubacterium, Clostridium and Bifidobacterium, declined significantly (P < 0.05) from caecum to rectum, and were not affected by dietary treatments. Populations of Lactobacillus/ Enterococcus and E coli did not differ throughout the large intestine. The relative percent (%) contribution of each bacterial group to the total cell count did not differ between caecum and rectum, with the exception of Eubacterium that was higher in the AC digesta. FISH analysis showed that the sum of all bacterial groups made up a small percentage of the total cells, which was 12.4%, 21.8% and 10.3% in caecum, AC and rectum, respectively. This supports the view that in swine, the diversity of GI microflora might be higher compared to other species. In terms of microflora metabolic activity, the substantially higher numerical trends seen in FOS and TOS treatments regarding total volatile fatty acid, acetate concentrations and glycolytic activities, it could be postulated that FOS and TOS promoted saccharolytic activities in the porcine colon. (c) 2006 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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The aim of this work was to study the effects of drying methods and conditions (i.e., ambient drying, hot air drying at 40 degrees C, vacuum drying and low-pressure superheated steam drying within the temperature range of 70-90 degrees C at an absolute pressure of 10 kPa) as well as the concentration of galangal extract on the antimicrobial activity of edible chitosan films against Staphylococcus aureus. Galangal extract was added to the film forming solution as a natural antimicrobial agent in the concentration range of 0.3-0.9 g/100 g. Fourier transform infrared (FTIR) spectra and swelling of the films were also evaluated to investigate interaction between chitosan and the galangal extract. The antimicrobial activity of the films was evaluated by the disc diffusion and viable cell count method, while the morphology of bacteria treated with the antimicrobial films was observed via transmission electron microscopy (TEM). The antimicrobial activity, swelling and functional group interaction of the antimicrobial films were found to be affected by the drying methods and conditions as well as the concentration of the galangal extract. The electron microscopic observations revealed that cell wall and cell membrane of S. aureus treated by the antimicrobial films were significantly damaged. (C) 2009 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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During the stationary phase of Campylobacter jejuni NCTC 11351 viable numbers fluctuate in a characteristic fashion. After reaching the maximum cell count (ca. 2 X 10(9) CFU/ml) in early stationary phase (denoted phase 1), viable numbers subsequently decrease to about 10(6) CFU/ml after 48 h and then increase again to about 10(8) CFU/ml (denoted phase 2) before decreasing once more to a value intermediate between the previous maximum and minimum values. To investigate whether the increase in viable numbers following the initial decline was due to the emergence of a new strain with a growth advantage in stationary phase analogous to the 'GASP' phenotype described in Escherichia coli [Science 259 (1993) 1757], we conducted mixed culture experiments with cells from the original culture and antibiotic-resistant marked organisms isolated from the re-growth phase. In many experiments of this type, strains isolated from phase 2 failed to out-compete the original strain and we have thus been unable to demonstrate a convincing GASP phenotype. However, strains isolated from phase 2 showed a much lower rate of viability loss in early stationary phase and a small increase in resistance to aeration, peroxide challenge and heat, indicating that the emergent strain was different from the parent. These results support the view that dynamic population changes occur during the stationary phase of C jejuni that may play a role in the survival of this organism. (C) 2003 Published by Elsevier B.V.
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Chilled breasts of chicken were inoculated with Salmonella infantis or Pseudomonas aeruginosa and then given one of the following treatments: (i) exposure to gaseous ozone (>2000 ppm for up to 30 min); (ii) storage under 70% CO2:30% N-2; and (iii) exposure to gaseous ozone (>2000 ppm for 15 min) followed by storage under 70% CO2:30% N-2; all storage at 7degreesC. Gaseous ozone reduced the counts of samnonellae by 97(Y,, and pseudomonads by 95%, but indigenous coliforms were unaffected. Under the modified atmosphere, the cell count of S. infantis was reduced by 72% following initial exposure and then stabilised, coliforms grew, but Ps. aeruginosa behaved like S. infantis-initial reduction (58%) followed by stability. Exposure to gaseous ozone followed by gas packaging allowed survival of S. infantis, Ps. aeruginosa and coliforms over 9 days at 7degreesC, but there was no evidence of any sensory deterioration. It is proposed that the latter treatment could, in a modified form perhaps, be used to reduce the contamination of chicken carcasses with salmonellae and improve their shelf-life. (C) 2004 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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The aim of this study was to investigate the effects of numerous milk compositional factors on milk coagulation properties using Partial Least Squares (PLS). Milk from herds of Jersey and Holstein-Friesian cattle was collected across the year and blended (n=55), to maximize variation in composition and coagulation. The milk was analysed for casein, protein, fat, titratable acidity, lactose, Ca2+, urea content, micelles size, fat globule size, somatic cell count and pH. Milk coagulation properties were defined as coagulation time, curd firmness and curd firmness rate measured by a controlled strain rheometer. The models derived from PLS had higher predictive power than previous models demonstrating the value of measuring more milk components. In addition to the well-established relationships with casein and protein levels, CMS and fat globule size were found to have as strong impact on all of the three models. The study also found a positive impact of fat on milk coagulation properties and a strong relationship between lactose and curd firmness, and urea and curd firmness rate, all of which warrant further investigation due to current lack of knowledge of the underlying mechanism. These findings demonstrate the importance of using a wider range of milk compositional variable for the prediction of the milk coagulation properties, and hence as indicators of milk suitability for cheese making.