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The streams flowing through the Niagara Escarpment are paved by coarse carbonate and sandstone sediments which have originated from the escarpment units and can be traced downstream from their source. Fifty-nine sediment samples were taken from five streams, over distances of 3,000 to 10,000 feet (915 to 3050 m), to determine downstream changes in sediment composition, textural characteristics and sorting. In addition, fluorometric velocity measurements were used in conjunction with measured -discharge and flow records to estimate the frequency of sediment movement. The frequency of sediments of a given lithology changes downstream in direct response to the outcrop position of the formations in the channels. Clasts derived from a single stratigraphic unit usually reach a maximum frequency within the first 1,000 feet (305 m) of transport. Sediments derived from formations at the top of waterfalls reach a modal frequency farther downstream than material originating at the base of waterfalls. Downstream variations in sediment size over the lengths of the study reaches reflect the changes in channel morphology and lithologic composition of the sediment samples. Linear regression analyses indicate that there is a decrease in the axial lengths between the intial and final samples and that the long axis decreases in length more rapidly than the intermediate, while the short axis remains almost constant. Carbonate sediments from coarse-grained, fossiliferous units - iii - are more variable in size than fine-grained dolostones and sandstones. The average sphericity for carbonates and sandstones increases from 0.65 to 0.67, while maximum projection sphericity remains nearly constant with an average value of 0.52. Pebble roundness increases more rapidly than either of the sphericity parameters and the sediments change from subrounded to rounded. The Hjulstrom diagram indicates that the velocities required to initiate transport of sediments with an average intermediate diameter of 10 cm range from 200 cm/s to 300 cm/s (6.6 ft./sec. to 9.8 ft./sec.). From the modal velocitydischarge relations, the flows corresponding to these velocities are greater than 3,500 cfs (99 m3s). These discharges occur less than 0.01 p~r cent (0.4 days) of the time and correspond to a discharge occurring during the spring flood.
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Volumes of interest were published between 1812 and 1815 with articles about the War of 1812.
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License no. 67 of season 1873/74 made out to S.D. Woodruff for 36 square miles in berth no. 192, June 13, 1873
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Letter (typed) from the H.H. Warner Co. to S.D. Woodruff which was enclosed with a payment of $2,500.00 for the shooting share transferred to Mr. Warner. The letter also requests that Mr. Woodruff send a note explaining the general customs of the club, May 21, 1886.
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Letter of agreement to Welland D. Woodruff to pay Hamilton K. Woodruff $27, 500 for the property known as DeVeaux Hall.
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UANL
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UANL
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UANL
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Rapport de recherche
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UANL
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Rapport de recherche
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Tesis (Doctor en Ciencias con orientación en Farmacología y Toxicología) UANL, 2014.
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RÉSUMÉ Cette étude porte sur la présence phénicienne en Syrie du Nord uniquement pendant la première moitié de l’Âge du Fer, i.e entre 1000 et 500 av. J.C. Elle est fondée sur l’analyse des données archéologiques et littéraires des principaux sites côtiers de cette région, al Mina, Ras el Bassit, Tell Kazel, Tell Soukas et Amrit. Après une présentation des caractéristiques culturelles de la civilisation phénicienne, j’aborde l’analyse de ces sites. Les données qui permettent de prouver une présence phénicienne dans la région s’avèrent nombreuses et j’en conclus que les Phéniciens devaient constituer une minorité importante de la population de ces sites, au même titre que les Grecs ou les Chypriotes, la majorité étant d’origine syrienne. Mais dans certains cas, notamment sur les sites les plus proches des grandes capitales phéniciennes, il n’est pas impossible qu’ils aient été majoritaires. L’étude illustrera par ailleurs l’importance du rôle des cités de la Syrie du Nord dans les échanges commerciaux et culturels avec les autres cultures du Sud-Est du bassin méditerranéen, notamment celles de la Grèce, île de Chypre, de la Cilicie et de la Syrie intérieure.
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Ce mémoire porte sur la variabilité observée dans un assemblage, composé à la fois d’artéfacts lithiques et céramiques, représentatif de la plus grande collection archéologique dominée par une composante du Sylvicole moyen ancien connue au Québec. Les traits caractéristiques des poteries qui ont été transportées, abandonnées, et en partie manufacturées sur la station 3-arrière du complexe de Pointe-du-Buisson, sont appréhendés à travers une acception holistique de la notion de «style», qui inclut tous les aspects des attributs qu’elle couvre, à savoir les technologiques, les morphologiques, les décoratifs et les fonctionnels. Grâce à l’application d’une méthode typologique, une approche peu utilisée depuis plusieurs décennies, du moins dans le Nord-Est américain, et dont le mérite propre réside dans sa capacité à traiter l’artéfact dans son ensemble, des schémas comportementaux (cognitifs et procéduraux) visibles sur les tessons de bord décorés ont été mis en lumière. Ces derniers sont intimement liés aux techniques décoratives employées par les potières, et semblent s’être modifiés au fil du temps de la manière suivante : type «sigillé» précédant les types plus récents «repoussé» et «basculant». Une analyse comparative, basée sur un échantillon de sites localisés dans la région de Haut-Saint-Laurent et dans celles avoisinantes, a par ailleurs souligné d’importantes similarités entre l’assemblage céramique de la composante du Sylvicole moyen ancien de BhFl-1d’ et ceux des sites de Vieux-Pont (Estrie), d’Oka (rivière des Outaouais), de Pointe-du-Gouvernement (Haut-Richelieu) et de Winooski (aux abords du Lac Champlain dans le Vermont). Ces résultats appuient l’identification d’une manifestation culturelle qui est très étroitement connectée aux phases Canoe Point et Winooski de la tradition Point Peninsula. Résultant des conclusions susmentionnées, et d’autres issues d’enquêtes récentes, des considérations d’ordre taxonomique s’ensuivent. Bien qu’une refonte complète du taxon «Sylvicole moyen» soit prématurée, une critique de ce taxon s’avère nécessaire. Aussi des taxons tels que l’Early Horticultural Period de Snow ou le «Sylvicole initial» de Wright et Clermont sont discutés, dans la mesure où ils pourraient renvoyer à une définition plus générale, mais aussi peut-être plus fidèle, des caractéristiques anthropologiques propres aux populations qui ont vécu le long du Saint-Laurent et de ses tributaires depuis le Sylvicole inférieur jusqu’à la fin du Sylvicole moyen tardif.