284 resultados para palatine torus
Resumo:
Référence bibliographique : Weigert, 310
Resumo:
Référence bibliographique : Weigert, 311
Resumo:
Findings by our group have shown that the dorsolateral telencephalon of Gymnotus carapo sends efferents to the mesencephalic torus semicircularis dorsalis (TSd) and that presumably this connection is involved in the changes in electric organ discharge (EOD) and in skeletomotor responses observed following microinjections of GABA A antagonist bicuculline into this telencephalic region. Other studies have implicated the TSd or its mammalian homologue, the inferior colliculus, in defensive responses. In the present study, we explore the possible involvement of the TSd and of the GABA-ergic system in the modulation of the electric and skeletomotor displays. For this purpose, different doses of bicuculline (0.98, 0.49, 0.245, and 0.015 mM) and muscimol (15.35 mM) were microinjected (0.1 µL) in the TSd of the awake G. carapo. Microinjection of bicuculline induced dose-dependent interruptions of EOD and increased skeletomotor activity resembling defense displays. The effects of the two highest doses showed maximum values at 5 min (4.3 ± 2.7 and 3.8 ± 2.0 Hz, P < 0.05) and persisted until 10 min (11 ± 5.7 and 8.7 ± 5.2 Hz, P < 0.05). Microinjections of muscimol were ineffective. During the interruptions of EOD, the novelty response (increased frequency in response to sensory novelties) induced by an electric stimulus delivered by a pair of electrodes placed in the water of the experimental cuvette was reduced or abolished. These data suggest that the GABA-ergic mechanisms of the TSd inhibit the neural substrate of the defense reaction at this midbrain level.
Resumo:
Introduction : L’expansion palatine rapide assistée chirurgicalement (EPRAC) est une option de traitement privilégiée chez les patients ayant atteint la maturité squelettique et présentant une déficience transverse du maxillaire. L’effet bénéfique de l’EPRAC sur la fonction respiratoire est régulièrement mentionné, toutefois, encore peu d’études ont évalué son impact sur les voies aériennes supérieures. L’objectif de cette étude clinique prospective comparative consistait à évaluer les effets tridimensionnels de l’EPRAC sur la cavité nasale, le nasopharynx et l’oropharynx à l’aide de la tomodensitométrie. Méthodologie : L’échantillon était constitué de 14 patients (5 hommes, 9 femmes) dont l’âge moyen était de 23,0 ± 1,9 ans (16 ans 4 mois à 39 ans 7 mois). Tous ont été traités avec un appareil d’expansion de type Hyrax collé et l’expansion moyenne a été de 9,82 mm (7,5 - 12,0 mm). Tous ont eu une période de contention d’une année avant le début de tout autre traitement orthodontique. Une évaluation par tomodensitométrie volumique à faisceau conique a été réalisée aux temps T0 (initial), T1 (6 mois post-expansion) et T2 (1an post-expansion) et le volume des fosses nasales, du nasopharynx et de l’oropharynx ainsi que les dimensions de la zone de constriction maximale de l’oropharynx ont été mesurés sur les volumes tridimensionnels obtenus. Résultats : Les résultats radiologiques ont démontré une augmentation significative du volume des fosses nasales et du nasopharynx ainsi qu’une augmentation de la zone de constriction maximale de l’oropharynx à 6 mois post-expansion. Par la suite, une portion du gain enregistré pour ces trois paramètres était perdue à un an post-EPRAC sans toutefois retourner aux valeurs initiales. Aucun effet significatif sur le volume de l’oropharynx n’a été observé. De plus, aucune corrélation significative entre la quantité d’expansion réalisée et l’ensemble des données radiologiques n’a été observée. L’analyse de la corrélation intra-classe a démontré une excellente fiabilité intra-examinateur. Conclusions : L’EPRAC entraîne un changement significatif du volume de la cavité nasale et du nasopharynx. L’EPRAC ne modifie pas le volume de l’oropharynx, par contre, un effet significatif sur la zone de constriction maximale de l’oropharynx est noté. Les effets observés n’ont pas de corrélation avec le montant d’activation de la vis d’expansion.
Resumo:
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
Resumo:
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
Resumo:
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
Resumo:
Introduction : Le bruxisme du sommeil est un désordre du mouvement décrit comme un mouvement involontaire de la mastication durant le sommeil. Cette parafonction est observée dans 14-38% de la population pédiatrique. Un lien a été trouvé entre les événements respiratoires et les épisodes de bruxisme. L’expansion palatine rapide (EPR) est un traitement orthopédique effectué chez les enfants en croissance pour régler un manque transverse squelettique du maxillaire supérieur. Quelques études ont observé que l’apnée obstructive du sommeil a été diminuée par un traitement d’expansion palatine rapide. Objectifs : Étant donné que le bruxisme est en lien avec des événements respiratoires et que l’expansion palatine rapide augmente la dimension des cavités nasales, l’objectif de la présente étude est d’évaluer la possible réduction du bruxisme après le traitement d’expansion rapide. Méthodes : Ce projet pilote est une étude clinique randomisée contrôlée de patients consécutifs qui a inclus 27 enfants (8-14 ans, 8 garçons et 19 filles) avec ou sans bruxisme du sommeil. Tous ces patients sont venus à la clinique d’orthodontie de l’Université de Montréal et présentaient un manque transverse du maxillaire supérieur (au moins 5 mm). Dans le cadre de l’étude, les patients devaient passer un enregistrement polysomnographique ambulatoire avant le traitement d’expansion palatine (T0) et après l’activation de l’appareil d’expansion (T1). Résultats : Les résultats démontrent une diminution du bruxisme chez 60% (9 patients) de nos patients bruxeurs. L’interaction entre le traitement et les groupes (Br et Ctl) s’est avérée significative (p=0,05 ANOVA mesures répétées), et démontre une diminution du bruxisme chez les bruxeurs (p=0,04, t-test paire). Les médianes (min, max) du groupe avec bruxisme sont passées de 3,11 (2,06; 7,68) à 2,85 (0,00; 9,51). Les paramètres de sommeil sont restés stables (Stade N1/N2/N3, REM, efficacité du sommeil), ainsi que les paramètres respiratoires et le ronflement. Conclusion : Une réduction du bruxisme a été observée lors de cette étude, mais un échantillonnage plus grand est nécessaire pour conclure.
Resumo:
Generalized honeycomb torus is a candidate for interconnection network architectures, which includes honeycomb torus, honeycomb rectangular torus, and honeycomb parallelogramic torus as special cases. Existence of Hamiltonian cycle is a basic requirement for interconnection networks since it helps map a "token ring" parallel algorithm onto the associated network in an efficient way. Cho and Hsu [Inform. Process. Lett. 86 (4) (2003) 185-190] speculated that every generalized honeycomb torus is Hamiltonian. In this paper, we have proved this conjecture. (C) 2004 Elsevier B.V. All rights reserved.
Resumo:
The determination of the diameter of an interconnection network is essential in evaluating the performance of the network. Parallelogramic honeycomb torus is an attractive alternative to classical torus network due to smaller vertex degree, and hence, lower implementation cost. In this paper, we present the expression for the diameter of a parallelogramic, honeycomb torus, which extends a known result about rhombic: honeycomb torus. (c) 2005 Elsevier Ltd. All rights reserved.