58 resultados para paganism
Resumo:
Integran este número de la revista ponencias presentadas en Studia Hispanica Medievalia VIII: Actas de las IX Jornadas Internacionales de Literatura Española Medieval, 2008, y de Homenaje al Quinto Centenario de Amadis de Gaula
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O presente trabalho investiga as motivações para a escolha do neopaganismo como religião por indivíduos de contextos diferenciados na cidade do Rio de Janeiro e adjacências. Foram etnografados rituais e eventos públicos neopagãos na cidade durante o período de 2012 a 2014. Também foram realizadas entrevistas com neopagãos e analisada sua literatura religiosa. A pesquisa concentrou-se, sobretudo, nas atividades e vivências do coven Chuva Vernal, de Wicca Xamânica. Como conclusão sugerem-se duas hipóteses principais sobre quais elementos explicariam a motivação para aderir e permanecer nessa religião: a lógica da distinção, discutida por Simmel, e o conceito, usado por Manuel Castells, de identidade de projeto.
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This chapter argues that the scribes of Lebor na hUidre show a persistent concern with eschatology, and in particular with the salvation of souls and the Last Judgement. In some cases the texts are overtly religious, but in a substantial number of cases they are explicitly or implicitly historical. The pivotal event is the mission of St Patrick, which is identified in several of the texts examined here as the origin of Christianity in Ireland. Pagans are repeatedly brought into contact with Christians/saints or other representatives of God, revealing the victory of Christianity and the subjugation of paganism. It is argued that the stories are to be placed within the medieval western theory of history according to which God’s plan for humanity was revealed through a study of the events of the past.
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Les anthropologues ont examiné le syncrétisme religieux, soit l’incorporation d’éléments de sources diverses, au sein des religions du monde depuis plusieurs décennies. Cependant, très peu d’intérêt a été accordé au paganisme contemporain, un Nouveau Mouvement Religieux hautement syncrétique. À travers les récits de plusieurs païens/nes contemporain/es à Montréal, j’examine comment et pourquoi les pratiquants sont inspiré/es à faire le choix d’incorporer divers éléments provenant de sources religieuses et non religieuses. Le recours à des sources différentes reflète l’effort de créer une expérience religieuse plus profonde et personnelle. La créativité impliquée dans la construction d’une pratique spirituelle et d’un système de croyance personnels est souvent conduite par un désir de (re)connexion, que ce soit à la terre, aux ancêtres, ou bien à une communauté. Les acteurs acquièrent un sentiment accru d’agentivité dans ce processus. Ma participation dans cette communauté a influencé mes expériences de recherche; j’examine également ma position en tant qu’anthropologue chez soi.
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L’Adversus nationes est un texte polémique où l’auteur, Arnobe de Sicca, défend le christianisme en plus d’attaquer le paganisme. Nous y retrouvons les principales accusations lancées contre le christianisme ainsi que les attaques des intellectuels chrétiens contre les païens. Il s’agit de l’un des derniers textes apologétiques rédigé avant la paix de Milan (311). Arnobe y explique l’importance de s’éloigner des erreurs du paganisme et d’adhérer au christianisme dans le but de sauver son âme. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une œuvre à caractère historique, Arnobe fournit, pour étayer son argumentation, plusieurs indices sur sa conception de l’histoire romaine. L’Adversus nationes, qui n’est pas traduit intégralement en français à ce jour, n’a pas été très souvent étudié du point de vue de l’interprétation de l’histoire. Une telle étude permet de comprendre la pensée de son auteur sur Rome, son histoire et ses périodes politiques. La première partie de ce mémoire présentera une petite biographie d’Arnobe ainsi qu’un survol du contexte historique dans lequel il vivait. Puis, les principales caractéristiques de l’histoire rhétorique seront exposées au deuxième chapitre. La seconde partie du mémoire traitera de l’analyse de passages de l’Adversus nationes. Le troisième chapitre sera consacré aux grands personnages romains. Le quatrième chapitre traitera de la providence divine dans l’histoire romaine. Finalement, le cinquième chapitre cherchera à retrouver les sources d’Arnobe lorsqu’il traite d’évènements historiques importants. Ce mémoire offre, comme conclusions, une nouvelle hypothèse concernant la datation du livre 1 de l’Adversus nationes et une nouvelle influence concernant certains récits historiques rapportés par Arnobe.
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L’expression idéologique du pouvoir impérial romain au IVe siècle apr. J.-C. fut profondément marquée par les contextes religieux, culturel et littéraire dans lesquels elle s’inséra et dans lesquels coexistèrent deux religions et donc deux systèmes différents de pensée et de représentation du monde, soit le paganisme, religion traditionnelle de l’État romain, et le christianisme, religion émergente qui s’imposa de plus en plus dans l’Empire, notamment à partir du règne de Constantin. Cette trame de fond, loin de signifier à cette époque la fin totale du paganisme – comme il a longtemps été admis – au profit de la religion chrétienne qui entretint, grâce au support impérial, une relation nouvelle avec le pouvoir politique, modela de nouveaux critères d’exercice du pouvoir et des conceptions de l’idéal impérial qui s’exprimèrent dans les discours d’éloge destinés à l’empereur. Miroir du prince et moyen de communication entre ce dernier et l’élite, les éloges d’Ambroise de Milan et de Symmaque s’insérèrent dans le débat politique de leur temps en élaborant un archétype de l’empereur et en déterminant ses devoirs. Pour mesurer toute l’ampleur de la symbolique véhiculée dans de tels discours, il importe, pour le IVe siècle, de considérer la mentalité des auteurs, chrétiens et païens, d’où émanaient les éloges – ou encore les critiques – de la personne impériale. Ce mémoire propose ainsi d’analyser l’idéologie du pouvoir impérial selon les discours chrétien et païen, à travers les éloges d’Ambroise et de Symmaque, afin de relever les points de rencontre, d’influence ou de divergence entre ces représentations du monde et, plus spécifiquement, du pouvoir impérial, qui ont longtemps été considérées comme totalement opposées et incompatibles.
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Au cours du vingtième siècle, le Québec a connu un bouleversement identitaire et religieux lorsqu’une majorité de Québécois a délaissé les prescriptions doctrinales catholiques, la religion identitaire du Québec, qui encadrait leur vie et s’imposait en tant que détentrice du « code exclusif du sens » (Hervieu-Léger 1993 : 155). Pour combler la perte de repères (Lemieux 2008) engendrée par les bouleversements décrits précédemment, plusieurs individus se tournèrent vers d’autres formes de spiritualité, soit en se convertissant à un nouveau système religieux ou en s’engageant dans une quête spirituelle. Certains Québécois, au cours de leur quête, ont alors découvert le druidisme, une spiritualité fondée sur le désir de retour à l’ancienne religion païenne des Celtes, et l’ont intégré en tant que composante principale ou secondaire de leur spiritualité. Le but de ce mémoire sera d’apporter quelques éléments d’explication à la présence du druidisme au Québec. Nous soulignerons l’importance du contexte moderne dans la quête de sens amorcée par l’adepte de paganisme celte, car ce contexte semble avoir servi de catalyseur dans le processus de découverte du druidisme pour ces Québécois. Puis, nous mettrons l’accent sur les raisons identitaires mises de l’avant par la CDQ pour justifier leur choix d’intégrer le druidisme à leur cheminement spirituel. Nous verrons que pour le druidisant, cette religion vient à la fois répondre à des besoins spirituels et combler un vide identitaire.
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Ce mémoire porte sur la continuité des rituels divinatoires païens dans le cadre du culte chrétien en Gaule du IVe au VIe siècle. Il comporte une introduction rapportant notre problématique, notre terminologie, notre méthodologie ainsi que nos sources principales. Par la suite, le développement aborde les rites divinatoires des Sortes Sanctorum, des Sortes Sangallenses et les rites d’incubation dans le culte de Saint Martin de Tours. Pour chacun de ces cas, nous étudions leur provenance, leurs sources, leur déroulement, leur évolution et les similarités qui permettent de faire un lien avec des rituels païens déjà existants. Nous avons vérifié l’existence de cette continuité et déterminé qu’elle passait par plusieurs phénomènes, l’acculturation gauloise des rituels gréco-romains, l’importation de rites christianisés en Orient et l’assimilation des pratiques païennes locales par le culte chrétien pour répondre à une demande de divination par la population.
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Les cultes isiaques se répandent autour du bassin méditerranéen entre le IVe s. av. et la fin du IVe s. apr. J.-C., arrivant à Rome au Ier siècle av. notre ère et y disparaissant conjointement aux cultes païens traditionnels avec ou peu après le coup porté par Théodose. Leur diffusion romaine s’étale donc sur une grande partie de l’histoire de l’Empire d’Occident, et ils vont ainsi se retrouver face à l’homme désormais considéré comme primus inter pares, grâce à l’accumulation de ses pouvoirs. L’empereur est pontifex maximus, c’est-à-dire maitre des cultes publics et du droit religieux, et il est ainsi l’agent du pouvoir qui a le potentiel religieux et législatif pour avoir un discours varié sur les autres traditions religieuses. Il semble donc inévitable que la sphère cultuelle isiaque rencontre et interagisse avec la sphère religieuse traditionnelle romaine, et que certains empereurs interfèrent, par renforcement ou au contraire par opposition, avec les cultes isiaques arrivés peu de temps avant l’avènement du pouvoir impérial. Cette thèse se propose non seulement d’étudier la dialectique entre institué romain (la force d’inertie) et instituant isiaque (la force de changements) dans la direction d’une potentielle altérité incluse (soit le dialogue évolutif du Nous par rapport à l’Autre), mais notamment par les liens publics romains et évolutifs entre l’empereur et les divinités isiaques. Nous effectuons cette recherche grâce à quatre types de sources antiques : la littérature pour le point de vue de l’élite littéraire gréco-romaine ; les inscriptions isiaques pour une définition surtout populaire de l’identité évolutive de l’instituant isiaque ; les monnaies et les oeuvres monumentales pour le point de vue public (et parfois plus personnel) impérial. Nous concentrons notre étude à partir de la dynastie sévérienne, qui laisse supposer que les cultes romano-orientaux profitent de la nouvelle configuration impériale avec des empereurs originaires d’Afrique et d’Orient, dans un phénomène d’« impérialisation » isiaque intensifié par un engagement tant impérial que populaire. En outre, nous nuancerons les conséquences sur la diffusion isiaque des troubles qui surviennent dans la deuxième moitié du IIIe siècle. Enfin, le IVe siècle, avec la christianisation de l’Empire et donc un christianisme devenant institué, ouvre sur une analyse des débats entre les défenseurs actifs du paganisme et les auteurs chrétiens, et de là, vers des interrogations sur l’intervention de la sphère isiaque dans ce face-à-face.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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This paper aims to present some characteristics of Hispania in Late Antiquity and Early Middle Ages (4th-8th centuries). Search through a brief analysis of the relationship between Christianity and the Catholic Monarchy stood raise some issues and questions. We understand that Christianity has played and plays a significant role in the historical development of the Iberian countries. But in its installation and attempt to consolidation as hegemonic religion in the peninsula, faced several challenges. His alliance with the monarchy stood represented one of the ways to make stronger its dominance. In turn, the Monarchy, preserving its characteristic elective associated strongly with Christianity, giving him a theocratic character trying to raise the sovereign above the fray aristocratic, without much success. Thus, our text points to some of the paths followed by these two elements, Christianity and Monarchy at the time of the Kingdom of Toledo, proposing more reflections and ways that effectively covering them. We hope to have achieved it.
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What became accustomed to call “paganism” is undoubtedly one of the most significant forms of what is designated as “popular religiosity”. This expression, which seems useful when a generalization is required, shows all its weakness when a more precise and objective observation of a particular religion is attempted. Would the official visigothic kingdom’s “conversion” to Catholicism, with Recardo (586-601) at the Council of Toledo of 589 have effectively matched to the “conversion” of this kingdom’s population? Firstly, it is necessary to consider, in beyond the exalting intentions of the sources of that moment, that mass conversions do not imply a radical change in the convictions and religious practices of an entire people. Secondly, that “conversion” and “Christianization” are not synonymous. “Religiosity”, which includes the “conversion”, implies a fundamental religious attitude, which can simply be interior and personal. On the other hand, “religion”, in which “Christianization” is included, would correspond to a public aspect, institutionalized, which elaborates a set of techniques aiming, as in the case of “religiosity”, the guarantee of the supernatural Thus, elevated to the position of “official religion,” Catholic Christianity would live with a series of rites, rituals, devotions, from the previous “religiosity” that, through its ecclesiastical perspective, would be reprehensible, considered marginal and something that would lead to error. However, on the eve of the Muslim invasion in 711, not only among the laity but even in ecclesiastical segments, the manifestations of the “paganism” still were aim of coactive condemnation in the Catholic kingdom of Toledo’s councils.
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The prehistoric cemetery of Barshalder is located along the main road on the boundary between Grötlingbo and Fide parishes, near the southern end of the island of Gotland in the Baltic Sea. The cemetery was used from c. AD 1-1100. The level of publication in Swedish archaeology of the first millennium AD is low compared to, for instance, the British and German examples. Gotland’s rich Iron Age cemeteries have long been intensively excavated, but few have received monographic treatment. This publication is intended to begin filling this gap and to raise the empirical level of the field. It also aims to make explicit and test the often somewhat intuitively conceived results of much previous research. The analyses deal mainly with the Migration (AD 375–540), Vendel (AD 520–790) and Late Viking (AD 1000–1150) Periods. The following lines of inquiry have been prioritised. 1. Landscape history, i.e. placing the cemetery in a landscape-historical context. (Vol. 1, section 2.2.6) 2. Migration Period typochronology, i.e. the study of change in the grave goods. (Vol. 2, chapter 2) 3. Social roles: gender, age and status. (Vol. 2, chapter 3) 4. Religious identity in the 11th century, i.e. the study of religious indicators in mortuary customs and grave goods, with particular emphasis on the relationship between Scandinavian paganism and Christianity.. (Vol. 2, chapter 4) Barshalder is found to have functioned as a central cemetery for the surrounding area, located on peripheral land far away from contemporary settlement, yet placed on a main road along the coast for maximum visibility and possibly near a harbour. Computer supported correspondence analysis and seriation are used to study the gender attributes among the grave goods and the chronology of the burials. New methodology is developed to distinguish gender-neutral attributes from transgressed gender attributes. Sub-gender grouping due to age and status is explored. An independent modern chronology system with rigorous type definitions is established for the Migration Period of Gotland. Recently published chronology systems for the Vendel and Viking Periods are critically reviewed, tested and modified to produce more solid models. Social stratification is studied through burial wealth with a quantitative method, and the results are tested through juxtaposition with several other data types. The Late Viking Period graves of the late 10th and 11th centuries are studied in relation to the contemporary Christian graves at the churchyards. They are found to be symbolically soft-spoken and unobtrusive, with all pagan attributes kept apart from the body in a space between the feet of the deceased and the end of the over-long inhumation trench. A small number of pagan reactionary graves with more forceful symbolism are however also identified. The distribution of different 11th century cemetery types across the island is used to interpret the period’s confessional geography, the scale of social organisation and the degree of allegiance to western and eastern Christianity. 11th century society on Gotland is found to have been characterised by religious tolerance, by an absence of central organisation and by slow piecemeal Christianisation.
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The prehistoric cemetery of Barshalder is located along the main road on the boundary between Grötlingbo and Fide parishes, near the southern end of the island of Gotland in the Baltic Sea. The ceme-tery was used from c. AD 1-1100. The level of publication in Swedish archaeology of the first millennium AD is low compared to, for instance, the British and German examples. Gotland’s rich Iron Age cemeteries have long been intensively excavated, but few have received monographic treatment. This publication is intended to begin filling this gap and to raise the empirical level of the field. It also aims to make explicit and test the often somewhat intuitively conceived re-sults of much previous research. The analyses deal mainly with the Migration (AD 375–540), Vendel (AD 520–790) and Late Viking (AD 1000–1150) Periods. The following lines of inquiry have been prioritised. 1. Landscape history, i.e. placing the cemetery in a landscape-historical context. (Vol. 1, section 2.2.6) 2. Migration Period typochronology, i.e. the study of change in the grave goods. (Vol. 2, chapter 2) 3. Social roles: gender, age and status. (Vol. 2, chapter 3) 4. Religious identity in the 11th century, i.e. the study of religious indicators in mortuary cus-toms and grave goods, with particular emphasis on the relationship between Scandinavian paganism and Christianity. (Vol. 2, chapter 4) Barshalder is found to have functioned as a central cemetery for the surrounding area, located on pe-ripheral land far away from contemporary settle-ment, yet placed on a main road along the coast for maximum visibility and possibly near a harbour. Computer supported correspondence analysis and seriation are used to study the gender attributes among the grave goods and the chronology of the burials. New methodology is developed to distin-guish gender-neutral attributes from transgressed gender attributes. Sub-gender grouping due to age and status is explored. An independent modern chronology system with rigorous type definitions is established for the Migration Period of Gotland. Recently published chronology systems for the Vendel and Viking Periods are critically reviewed, tested and modified to produce more solid models. Social stratification is studied through burial wealth with a quantitative method, and the results are tested through juxtaposition with several other data types. The Late Viking Period graves of the late 10th and 11th centuries are studied in relation to the contemporary Christian graves at the churchyards. They are found to be symbolically soft-spoken and unobtrusive, with all pagan attributes kept apart from the body in a space between the feet of the deceased and the end of the over-long inhumation trench. A small number of pagan reactionary graves with more forceful symbolism are however also identified. The distribution of different 11th cen-tury cemetery types across the island is used to in-terpret the period’s confessional geography, the scale of social organisation and the degree of alle-giance to western and eastern Christianity. 11th century society on Gotland is found to have been characterised by religious tolerance, by an absence of central organisation and by slow piecemeal Christianisation.