53 resultados para ostéoporose
Resumo:
Hormone replacement therapy (HRT) is an established approach for the treatment and the prevention of osteoporosis. Many studies with bone mineral density as primary outcome have shown significant efficacy. Observational studies have indicated a significant reduction of hip fracture risk in cohorts of women who maintained HRT therapy. The Women's Health Initiative is the first prospective randomised controlled study which showed a positive effect of HRT in terms of reduction of vertebral and hip fractures risk. Unfortunately, this study has been interrupted after 5.2 years because of the unsupportable increase of risk of cardiovascular disease and breast cancer. Compliance with HRT, however, is typically poor because of the potential side effects and possible increased risk of breast or endometrial cancer. Nevertheless, there is now evidence that lower doses of estrogens in elderly women may prevent bone loss while minimizing the side effects seen with higher doses. Combination therapies using low doses estrogen should probably be reserved for patients who continue to fracture on single therapy. Selective estrogen receptor modulators (SERMs) are very interesting drugs. The goal of these agents is to maximize the beneficial effect of estrogen on bone and to minimize or antagonize the deleterious effects on the breast and endometrium. Raloxifene, approved for the prevention and the treatment of osteoporosis, has been shown to reduce the risks of vertebral fracture in large clinical trials. However, they don't reduce non vertebral fractures. Tibolone is a synthetic steroid that increased bone mineral density at lumbar spine and femoral neck. But no trial has been performed with fractures as end point.
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Calcium and vitamin D supplementation are warranted for the treatment of osteoporosis, when other specific drugs are used. Vitamin D supplementation is necessary when the plasma level of 25-hydroxy-vitamin D is below 30 nmol/l (12 pg/l) in order to avoid any increase of the plasma parathyroid hormone level. Bisphosphonates are the most widely drugs used. Recent advances will provide patients with a more convenient therapeutically equivalent alternative: the once-weekly oral dosing regimen and probably the possibility to give infusions at intervals of up to one year. Parathyroid hormone administered subcutaneously daily produced a dramatic increase of trabecular and cortical bone mineral density, and an important decrease of vertebral and nonvertebral fracture risk. Strontium is a new original drug, which stimulates bone formation, and inhibits bone resorption. It significantly improves trabecular and cortical bone mass. Calcitonin not only prevents the recurrence of vertebral fractures, but possibly could decrease hip fractures risk. Hydrochlorothiazide preserves the bone mineral density, and decreases nonvertebral fracture risk, as showed in epidemiological studies. Large clinical trials with statins therapy in appropriate populations are required to find out whether these drugs have any role in preventing fractures.
Resumo:
Osteoporosis is a silent chronic disease. The human, medical and economic impacts, as well as the easy access to the screening and specific treatments incite us to introduce a treatment as soon as this one is justified. The maximal efficiency of treatments is possible only if the therapeutic adherence (which includes compliance and persistence) is good. Regrettably, as frequently in the chronic diseases, this one is often bad. It can be strengthened by a better patient's education and information, a better follow-up, but also by a today available variety of treatments.
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The osteoporosis of the child and the teenager is a pathological reality; its multifactorial pathogenesis often requires a collaborative approach and multidisciplinary. The osteoporosis characterized by a reduction in the bone mineral density is not a uniform pathology; it must be dealt with on all the levels by analyzing the factors of risks, by giving itself the diagnostic means and while insisting on the importance of a preventive approach as well as therapeutic.
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L’ostéoporose est une maladie caractérisée par une faible masse osseuse et une détérioration du tissu osseux. Cette condition entraîne une plus grande fragilité osseuse et des risques de fractures. Plusieurs études ont associé l’ostéoporose à la faible densité osseuse des mandibules, à la perte d’attache parodontale, à l’augmentation de la hauteur de la crête alvéolaire et à la chute des dents. Cette étude vise à comprendre les mécanismes sous-jacents cette perte osseuse. En effet, au cours du développement des souris, PITX1 joue un rôle clé dans l'identité des membres postérieurs et dans le bon développement des mandibules et des dents. Son inactivation complète chez la souris mène à un phénotype squelettique sévère. Tandis que, son inactivation partielle provoque des symptômes apparentés à l'arthrose avec une augmentation de la masse osseuse au niveau de l’os cortical et de l’os trabéculaire. Inversement, une étude antérieure chez des jumelles monozygotiques discordantes pour l’ostéoporose, montrent une augmentation d’environ 8.6 fois du niveau d’expression du gène Pitx1 chez la jumelle ostéoporotique. Collectivement, ces données nous ont poussés à investiguer sur le rôle du facteur de transcription PITX1 dans le métabolisme osseux normal et pathologique. Dans ce contexte, des souris transgéniques Col1α1-Pitx1 sur-exprimant Pitx1 spécifiquement dans le tissu osseux sous le promoteur du collagène de type-I (fragment 2.1kpb) ont été générées et phénotypiquement caractérisées. Ces résultats ont révelé que les souris transgéniques Col1α1-Pitx1 présentaient un phénotype similaire à celui des patients ostéoporotiques accompagné d'une perte de dents et des problèmes dentaires et parodontaux. De plus, cette étude a révélé que la surexpression de Pitx1 induit une altération de l’homéostasie osseuse via l’inactivation de la voie de signalisation Wnt/β-caténine canonique. Cette hypothèse a été appuyée par le fait que le traitement des souris transgéniques Col1α1-Pitx1 avec du chlorure de lithium, un activateur de la voie Wnt canonique, prévient le phénotype ostéoporotique chez ces souris. Finalement, cette étude établit un rôle crucial de PITX1 dans la régulation de la masse osseuse et une implication possible dans l’ostéoporose et les maladies parodontales via l’inactivation de la voie de signalisation Wnt/β-caténine canonique.
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L’ostéoporose est une maladie caractérisée par une faible masse osseuse et une détérioration du tissu osseux. Cette condition entraîne une plus grande fragilité osseuse et des risques de fractures. Plusieurs études ont associé l’ostéoporose à la faible densité osseuse des mandibules, à la perte d’attache parodontale, à l’augmentation de la hauteur de la crête alvéolaire et à la chute des dents. Cette étude vise à comprendre les mécanismes sous-jacents cette perte osseuse. En effet, au cours du développement des souris, PITX1 joue un rôle clé dans l'identité des membres postérieurs et dans le bon développement des mandibules et des dents. Son inactivation complète chez la souris mène à un phénotype squelettique sévère. Tandis que, son inactivation partielle provoque des symptômes apparentés à l'arthrose avec une augmentation de la masse osseuse au niveau de l’os cortical et de l’os trabéculaire. Inversement, une étude antérieure chez des jumelles monozygotiques discordantes pour l’ostéoporose, montrent une augmentation d’environ 8.6 fois du niveau d’expression du gène Pitx1 chez la jumelle ostéoporotique. Collectivement, ces données nous ont poussés à investiguer sur le rôle du facteur de transcription PITX1 dans le métabolisme osseux normal et pathologique. Dans ce contexte, des souris transgéniques Col1α1-Pitx1 sur-exprimant Pitx1 spécifiquement dans le tissu osseux sous le promoteur du collagène de type-I (fragment 2.1kpb) ont été générées et phénotypiquement caractérisées. Ces résultats ont révelé que les souris transgéniques Col1α1-Pitx1 présentaient un phénotype similaire à celui des patients ostéoporotiques accompagné d'une perte de dents et des problèmes dentaires et parodontaux. De plus, cette étude a révélé que la surexpression de Pitx1 induit une altération de l’homéostasie osseuse via l’inactivation de la voie de signalisation Wnt/β-caténine canonique. Cette hypothèse a été appuyée par le fait que le traitement des souris transgéniques Col1α1-Pitx1 avec du chlorure de lithium, un activateur de la voie Wnt canonique, prévient le phénotype ostéoporotique chez ces souris. Finalement, cette étude établit un rôle crucial de PITX1 dans la régulation de la masse osseuse et une implication possible dans l’ostéoporose et les maladies parodontales via l’inactivation de la voie de signalisation Wnt/β-caténine canonique.