43 resultados para matK
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芍药属Paeonia是芍药科Paeoniacea内唯一的一个属。包括大约35个种,间断性的分布于北温带地区。其内三个组分别是牡丹组(sect. Moutan)、北美芍药组(sect. Onaepia)和芍药组(sect. Paeonia)。芍药组是芍药属中最大,也是唯一具有染色体倍性变化的一个组,现有大约25个种。其中,大约半数的种是四倍体(2n=20),主要分布于地中海地区。虽然有证据表明四倍体类群大多为异源起源,但芍药属内一致的核型、相似的形态和重叠的地理分布使得它们的起源和分类一直存在很大的争议。本研究利用了4个细胞核DNA片段(乙醇脱氢酶基因-Adh1和 Adh2;nrDNA的内转录间隔区-ITS;甘油-3磷酸乙酰转移酶基因-GPAT)和4个叶绿体DNA片段(matK基因;基因间隔区trnL-trnF、psbA-trnH和rps16-trnQ)对芍药组的网状进化进行部分重建。并在此基础上,对推测为杂交起源的P. anomala进行了形态学和细胞发生的研究。主要研究结果如下: 1. 芍药组的系统学 利用多个DNA分子标记(cpDNA: matK, rps16-trnQ; nrDNA: ITS, Adh1, Adh2),芍药组的二倍体和四倍体类群的系统发育被部分重建。基于最大简约法、贝叶斯法和最大似然法的系统发育分析表明: (a) 除P. tenuifolia之外,所有地中海地区分布的二倍体类群构成一个单系分支。该支与亚洲分布的二倍体类群以及P. tenuifolia成并系关系。 (b) 核和叶绿体DNA系统发育树的不一致,以及ITS、Adh基因的多态性的分析,表明部分二倍体类群间和四倍体类群间都存在杂交事件。这些类群包括:中国新疆阿勒泰地区分布的二倍体种P. anomala和P. intermedia(杂种个体XJ053);高加索地区分布的二倍体种P. tenuifolia和P. daurica(杂种个体H9933);土耳其分布的四倍体种P. mascula和P. kesrouanensis(杂交个体在两个居群中检测到)。 (c) 不一致的核和叶绿体DNA系统发育树,以及Adh基因表现出的相同多态性模式进一步支持早先的推测,即四倍体类群P. arietina是异源四倍体。同时扩大的数据分析显示P. obovata近缘类群为其母系亲本,P. tenuifolia近缘类群为其父系亲本。此外,形态上具有一定分化的两个亚种P. arietina ssp. arietina和P. arietina ssp. parnassica是多次起源。 (d) 现今地中海分布类群的近缘种参与了四倍体种P. kesrouanensis 和P. coriacea,以及P. wittmanniana和P. mascula的物种形成。依据Adh序列种内的多态性,初步推测P. kesrouanensis 和P. coriacea可能是异源四倍体,其另一个亲本与P. arietina母系亲本近源。而P. wittmanniana和P. mascula可能是同源四倍体。 (e) P. saueri和P. peregrina的两个亲本类群分别与P. tenuifolia和现今地中海分布二倍体种的近缘类群。 (f) Adh1基因序列中近缘的重组类型暗示:四倍体种P. macrophylla和P. banatica很可能是同倍性杂种。 2. P. anomala的杂交起源和细胞发生 P. anomala新疆阿勒泰地区分布的居群核型第一次被报道。该地区分布的类群核型为2A型(核型公式:2n = 2x = 10 = 6m+2sm+2st)。减数分裂的观察统计显示:阿勒泰地区所有检测个体都是臂内倒位杂合子。基于断片大小以及不同个体染色体桥和/或断片出现率的差异,我们发现该类群臂内倒位存在多态性。荧光原位杂交(FISH)证实P. anomala共有8个18S rDNA位点,并且定位了一个倒位片段在3号染色体的短臂上。此外,高频率的棒状二价体和单价体,以及低的同源染色体的配对系数说明该类群同源染色体间存在分化。染色体结构杂合能够导致部分花粉败育,所有被检测个体的花粉败育率约为8.8 – 29.4%。 扩大的居群取样以及多基因(cpDNA: matK, psbA-trnH, rps16-trnQ, trnL-trnF; nrDNA: ITS, Adh1, Adh2, Gpat)的系统发育分析,进一步支持P. anomala杂交起源于P. veitchii 和P. lactiflora的近缘类群。cpDNA片段和核DNA片段(ITS、GPAT)基因树间的不一致,以及P. anomala Adh1和Adh2序列表现出的多态性都支持该类群杂交起源的推测。不过,表型分析显示P. anomala在形态上偏向于P. veitchii。 3. P. obovata Maxim.四倍体类群的起源 与原先基于形态性状的认识不同,P. obovata 四倍体类群并不是一个严格意义上的同源四倍体。它起源于二倍体P. obovata中国和日本分布的两个地理亚种之间的杂交。Adh2基因仅在中国分布二倍体居群的扩增失败支持这一推测。此外,Adh基因系统发育分析显示:间断性分布于中国中部和中国东北部的四倍体类群是独立起源。
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紫堇属(Corydalis DC.),广义罂粟科Papaveraceae的最大属,隶属于荷包牡丹亚科Fumarioideae的紫堇族Corydaleae,属内440余种,广布于北温带地区。我国产300余种,大部分种类为特有且狭域分布。本属形态多变,且网状进化明显,分类上十分困难。首先,鉴于对本属的系统划分及组间关系上所存较多争论,我们期望通过本研究获取一更自然的分类系统并追述真实的属下辐射进程。 研究内容包括两部分:分子系统学及孢粉学。 选取紫堇属100余种,几乎包括各组代表,通过测取叶绿体rps 16及matK序列信息,重建本属系统发育,实验获得98种rps16和78种的matK序列数据。分析显示,两个序列信息分别构建的系统树拓扑结构一致,支持5个分支结构。一些组的系统位置得以确定,一些类群的分类等级被界定,组间发育关系与传统观点差异显著。 根据对130余种,几含全部组代表的孢粉学研究观察,其结果支持分子系统学所得的多数结论,其它部分结论如下:1. 大叶紫堇组及高紫堇组所具的孢粉形态为次生性状,是由更原始的近光滑型及穿孔型演化而来;2. 糙果紫堇组,曲花紫堇组,鳞茎紫堇组做为近缘组,孢粉形态复杂而特化,组内个别系的孢粉形态与其它系的差异大于属下组间,如:Sect. Rupiferae Ser. Feddeana 该系种类外壁纹饰更近于穿孔型。3.刻叶紫堇组是一不自然的类群,支持其中个别种类与毛茎紫堇组这一单型组近缘。此外,也探讨了本属植物孢粉形态的演化趋势。 综合考虑两项研究的结果,结合形态信息,主要结论有: 其一:直茎黄堇组所代表的形态特征,如:植株具主根;叶羽状;花具短距,黄色;花柱柱头简单,乳突不为双生等, 具稀穿孔的近光滑孢粉外壁纹饰等为本属的原始形态特征。 其二:个别形态上一致的种类,实源于趋同进化,系统发育上即非一自然类群,化归为一类也无法真正体现属下真实的网状进化及形态趋同过程,如糙果组及鳞茎组两者的部分种类应并入曲花紫堇组,并且,后者应至少分立出大海黄堇组,并属于不同的亚属;同时,多叶紫堇组与钩距黄堇组近缘;大叶紫堇组与高紫堇组近缘;空根紫堇组与叠生延胡索组等块茎类关系极为密切。 其三:与传统处理不同,主张划分本属为5亚属,即:直茎亚属Subg. Cremnocapnos;黄堇亚属Subg. Sophorocapnos;延胡索亚属Subg. Corydalis;曲花亚属Subg. Rapiferae (C.Y.Wu et H. Chuang) Y. W. Wang stat. nov.;簇根亚属Subg. Fasciculatae (Maxim.) Y. W. Wang stat. nov.。 其四:推测本属植物在其演化历史上发生过至少两次较大规模的分化,第一次发生在晚白垩纪,期间适应各种气候类型的多年生原始种类出现;至第三纪早期开放的白令海峡允许不具长距离扩散能力的陆地植物类群扩散到北美;第二次发生在喜马拉雅隆升过程中,区域的气候变化使须根类群迅速发展,并形成该属位于青藏高原及横断山区的现代分布中心。
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槽舌兰属为(Holcoglossum schltr.)兰科树兰亚科万代兰族指甲兰亚族植物,大部分种类为中国特有种,部分种类分布到越南、泰国、缅甸等国家和地区。本研究利用ITS、trnL-F和matK序列重建了槽舌兰属的系统树,在此基础上对其和植物地理进行了初步探讨并对该属植物的叶表皮特征演化进行了探讨。具体结果如下: 1.槽舌兰的分子系统学研究及分子植物地理学 对槽舌兰属的13个种的12个种进行了取样(H. quasipinifolium未包括),而横断山地区所有已知的槽舌兰属植物的居群进行了取样,共有25个取样代表了槽舌兰属。运用ITS、trnL-F和matK序列重建了槽舌兰属的系统树。槽舌兰属得到了很强的单系支持,并且分为了从南到北的三个分支,其中高山类群得到了很强的支持,尽管该类群内部系统关系没有得到解决。本研究推测槽舌兰属是从南部的热带地区向北部扩散,并在横断山地区辐射分化。槽舌兰高山类群的辐射分化和该地区的迅速隆起密切相关。 2.槽舌兰属的叶表皮演化 在光学显微镜下和电子显微镜下,观察了21个代表槽舌兰属8个种以及5个来自Vanda concolor和 Aerides ordorata的叶表皮样品的常规特征,包括表皮细胞的形状,密度,垂周壁式样,气孔类型,气孔指数,气孔长/宽(L/W), 气孔大小等等。槽舌兰属的气孔除H. omeiense外,其它上、下表皮均有气孔分布,是比较进化的类型。表皮细胞为多边形,垂周壁平直或弓形。槽舌兰属的上表皮细胞都大于下表皮的细胞。与万代兰族的其它类群相似。结果表明,气孔类型和气孔指数与属的系统发育关系一致,可以作为一个很好的特征。 3.槽舌兰属高山组的物种形成初探 槽舌兰属高山组植物在形态上、传粉系统以及生境都有了很大的分化,但该类群在分子序列上却几乎没有区别,本文推测该类群是近期的辐射分化形成的。
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Gemstone Team ANTIDOTE
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La culture de saules (Salix sp.) est une pratique courante en Europe et en Amérique du Nord pour produire de la biomasse végétale. Cependant, le développement d’outils moléculaires est très récent. De plus, la phylogénie des saules est incomplète. Il y a un manque d’information pour les programmes de sélection d'espèces indigènes et pour la compréhension de l’évolution du genre. Le genre Salix inclut 500 espèces réparties principalement dans les régions tempérées et boréo-arctique de l’hémisphère nord. Nous avons obtenu l’ensemble des espèces retrouvées naturellement en Amérique (121 indigènes et introduites). Dans un premier temps, nous avons développé de nouveaux outils moléculaires et méthodes : extraction d’ADN, marqueurs microsatellites et gènes nucléaires. Puis, nous avons séquencé deux gènes chloroplastiques (matK et rbcL) et la région ITS. Les analyses phylogénétiques ont été réalisées selon trois approches : parcimonie, maximum de vraisemblance et Bayésienne. L’arbre d’espèces obtenu a un fort support et divise le genre Salix en deux sous-genres, Salix et Vetrix. Seize espèces ont une position ambiguë. La diversité génétique du sous-genre Vetrix est plus faible. Une phylogénie moléculaire complète a été établie pour les espèces américaines. D’autres analyses et marqueurs sont nécessaires pour déterminer les relations phylogénétiques entre certaines espèces. Nous affirmons que le genre Salix est divisé en deux clades.
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Bauhinia s.l. est le plus vaste genre de la tribu des Cercideae (Ceasalpinioideae, Leguminoseae), avec plus de 300 espèces. Il présente une distribution pantropicale et une grande variabilité morphologique. Ces deux caractéristiques ont limité les études taxonomiques sur le genre complet, résultant en plusieurs études taxonomiques de certains groupes seulement. En 1987, Wunderlin et al. proposent une vaste révision taxonomique de la tribu des Cercideae, basée sur des données morphologiques, et divisent le genre Bauhinia en quatre sous-genres. En 2005, Lewis et Forest publient une nouvelle classification préliminaire basée sur des données moléculaires, mais sur un échantillonnage taxonomique restreint. Leurs conclusions remettent en question le monophylétisme du genre Bauhinia et suggèrent plutôt la reconnaissance de huit genres au sein du grade Bauhinia s.l. Afin de vérifier les hypothèses de Lewis et Forest, et obtenir une vision plus claire de l’histroire de Bauhinia s.l., nous avons séquencé deux régions chloroplastiques (trnL-trnF et matK-trnK) et deux régions nucléaires (Leafy et Legcyc) pour un vaste échantillonnage représentatif des Cercideae. Une première phylogénie de la tribu a tout d’abord été réalisée à partir des séquences de trnL-trnF seulement et a confirmé le non-monoplylétisme de Bauhinia s.l., avec l’inclusion du genre Brenierea, traditionnellement reconnu comme genre frère de Bauhinia s.l. Afin de ne pas limiter notre vision de l’histoire évolutive des Cercideae à un seul type de données moléculaires et à une seule région, une nouvelle série d’analyse a été effectuée, incluant toutes les séquences chloroplastiques et nucléaires. Une phylogénie individuelle a été reconstruite pour chacune des régions du génome, et un arbre d’espèce ainsi qu’un arbre de supermatrice ont été reconstruits. Bien que certaines contradictions apparaissent entre les phylogénies, les grandes lignes de l’histoire des Cercideae ont été résolues. Bauhinia s.l. est divisée en deux lignées : les groupes Phanera et Bauhinia. Le groupe Bauhinia est constitué des genres Bauhinia s.s., Piliostigma et Brenierea. Le groupe Phanera est constitué des genres Gigasiphon, Tylosema, Lysiphyllum, Barklya, Phanera et Schnella. Les genres Cercis, Adenolobus et Griffonia sont les groupes-frères du clade Bauhinia s.l. Au minimum un événement de duplication de Legcyc a été mis en évidence pour la totalité de la tribu des Cercideae, excepté Cercis, mais plusieurs évènements sont suggérés à la fois par Legcyc et Leafy. Finalement, la datation et la reconstruction des aires ancestrales de la tribu ont été effectuées. La tribu est datée de 49,7 Ma et est originaire des régions tempérées de l’hémisphère nord, probablement autour de la mer de Thétys. La tribu s’est ensuite dispersée vers les régions tropicales sèches de l’Afrique, où la séparation des groupes Bauhinia et Phanera a eu lieu. Ces deux groupes se sont ensuite dispersés en parallèle vers l’Asie du sud-est au début du Miocène. À la même période, une dispersion depuis l’Afrique de Bauhinia s.s. a permis la diversification des espèces américaines de ce genre, alors que le genre Schnella (seul genre américain du groupe Phanera) est passé par l’Australie afin de rejoindre le continent américain. Cette dispersion vers l’Australie sera également à l’origine des genres Lysiphyllum et Barklya
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Die tropischen Anden sind eines der artenreichsten Gebiete der Erde. Fast die Hälfte der 45.000 in diesem Gebiet vorkommenden Gefäßpflanzenarten sind in den Anden endemisch (Myers et al. 2000). Die Gattung Fosterella (Bromeliaceae) ist eine den Anden zugeordnete Pflanzengruppe, denn die meisten ihrer 31 Arten kommen in den Anden vor. Achtzehn Arten sind kleinräumige Endemiten. Fosterella hat damit Modellcharakter für diese Region. In der vorliegenden Arbeit wurde die Evolution der Gattung in Raum und Zeit mithilfe der vergleichenden Sequenzierung von sechs plastidären Loci (atpB-rbcL, matK, psbB-psbH, rpl32-trnL, rps16-trnK, rps16-Intron) und einem nukleären Marker (PHYC) untersucht. Es wurden über 90 Akzessionen von 24 Fosterella-Arten untersucht. Mit 5,6 % informativer Merkmale innerhalb der Gattung war rpl32-trnL der informativste Chloroplastenmarker. Es wurden mit den kombinierten Sequenzdaten eine Maximum Parsimony-, eine Maximum Likelihood- und eine Bayes´sche Analyse berechnet. Weiterhin wurden biogeographische und ultrametrische Untersuchungen durchgeführt. Die 6-Locus-Phylogenie zeigt eine Aufteilung der monophyletischen Gattung Fosterella in sechs Gruppen, von denen vier – die penduliflora-, weddelliana-, weberbaueri- und micrantha-Gruppe - klar monophyletisch und gut gestützt sind. Die albicans- und die rusbyi-Gruppe bilden hingegen einen Komplex. Ultrametrische Analysen legen ein Alter der Gattung von ca. 9,6 Mio. Jahren nahe. Der geographische Ursprung von Fosterella befindet sich nach den vorliegenden biogeographischen Analysen in den Anden und nach der Biom-Analyse zu gleicher Wahrscheinlichkeit entweder in andinen Trockenwäldern (seasonally dry tropical forests, SDTFs) oder in azonalen Standorten des amazonischen Tieflands östlich der Anden. Es gab mehrere Ausbreitungsereignisse, von denen die beiden Fernausbreitungsereignisse nach Mittelamerika (F. micrantha) und in das zentrale Amazonasgebiet (F. batistana) die auffälligsten sind. Die feuchten Bergregenwälder (Yungas) der Anden wurden offenbar mehrfach unabhängig von Fosterella-Arten besiedelt. Insgesamt wurden elf nukleäre Marker (XDH, GS, RPB2, MS, ADH, MS, GLO/PI, CHS, FLO/LFY, NIAi3 und PHYC) auf ihre Anwendbarkeit für molekularsystematische Studien in Fosterella getestet. Davon konnten acht Marker erfolgreich mithilfe einer PCR amplifiziert werden. Die Fragmentgrößen lagen zwischen 350 bp und 1.500 bp. Nur für drei Loci (FLO/LFY, NIAi3 und PHYC) konnten lesbare DNA-Sequenzen in Fosterella erzeugt werden. FLO/LFY zeigte nur 1,5 % Variabilität innerhalb der Gattung. Der NIA-Locus erzeugte bei der Amplifikation mehrere Fragmente, die separat voneinander sequenziert wurden. Der Locus PHYC konnte hingegen aufgrund der guten Amplifizier- und Sequenzierbarkeit für das gesamte Probenset sequenziert werden. Dieser Marker zeigte eine Variabilität innerhalb der Gattung von 10,2 %, davon waren 6,8 % informativ. In der Phylogenie basierend auf PHYC ist Fosterella klar monophyletisch, innerhalb der Gattung zeigt sich jedoch an der Basis eine unaufgelöste Polytomie. Es lassen sich neun mehr oder weniger gut gestützte Artengruppen definieren – rusbyi-, villosula-, albicans-, weddelliana-, penduliflora-, weberbaueri-, micrantha-, robertreadii- und spectabilis-Gruppe - die sich in ihrer Zusammensetzung mit Ausnahme der weddelliana-Gruppe von den nach Chloroplastendaten definierten Gruppen unterscheiden. Viele Arten sind para- oder polyphyletisch, so z. B. F. albicans, F. penduliflora und F. rusbyi. Bei den beiden erstgenannten Arten weisen die unterschiedlichen Stellungen in Chloroplasten- und Kernphylogenie auf Hybridisierungsereignisse hin.
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An in silico screen of 41 of the 81 coding regions of the Nicotiana plastid genome generated a shortlist of 12 candidates as DNA barcoding loci for land plants. These loci were evaluated for amplification and sequence variation against a reference set of 98 land plant taxa. The deployment of multiple primers and a modified multiplexed tandem polymerase chain reaction yielded 85–94% amplification across taxa, and mean sequence differences between sister taxa of 6.1 from 156 bases of accD to 22 from 493 bases of matK. We conclude that loci should be combined for effective diagnosis, and recommend further investigation of the following six loci: matK, rpoB, rpoC1, ndhJ, ycf5 and accD.
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The phylogenetics of Sternbergia (Amaryllidaceae) were studied using DNA sequences of the plastid ndhF and matK genes and nuclear internal transcribed spacer (ITS) ribosomal region for 38, 37 and 32 ingroup and outgroup accessions, respectively. All members of Sternbergia were represented by at least one accession, except S. minoica and S. schubertii, with additional taxa from Narcissus and Pancratium serving as principal outgroups. Sternbergia was resolved and supported as sister to Narcissus and composed of two primary subclades: S. colchiciflora sister to S. vernalis, S. candida and S. clusiana, with this clade in turn sister to S. lutea and its allies in both Bayesian and bootstrap analyses. A clear relationship between the two vernal flowering members of the genus was recovered, supporting the hypothesis of a single origin of vernal flowering in Sternbergia. However, in the S. lutea complex, the DNA markers examined did not offer sufficient resolving power to separate taxa, providing some support for the idea that S. sicula and S. greuteriana are conspecific with S. lutea
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DNA barcodes could be a useful tool for plant conservation. Of particular importance is the ability to identify unknown plant material, such as from customs seizures of illegally collected specimens. Mexican cacti are an example of a threatened group, under pressure because of wild collection for the xeriscaping trade and private collectors. Mexican cacti also provide a taxonomically and geographically coherent group with which to test DNA barcodes. Here, we sample the matK barcode for 528 species of Cactaceae including approximately 75% of Mexican species and test the utility of the matK region for species-level identification. We find that the matK DNA barcode can be used to identify uniquely 77% of species sampled, and 79-87% of species of particular conservation importance. However, this is far below the desired rate of 95% and there are significant issues for PCR amplification because of the variability of primer sites. Additionally, we test the nuclear ITS regions for the cactus subfamily Opuntioideae and for the genus Ariocarpus (subfamily Cactoideae). We observed higher rates of variation for ITS (86% unique for Opuntioideae sampled) but a much lower PCR success, encountering significant intra-individual polymorphism in Ariocarpus precluding the use of this marker in this taxon. We conclude that the matK region should provide useful information as a DNA barcode for Cactaceae if the problems with primers can be addressed, but matK alone is not sufficiently variable to achieve species-level identification. Additional complementary regions should be investigated as ITS is shown to be unsuitable
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Bayesian, maximum-likelihood, and maximum-parsimony phylogenies, constructed using nucleotide sequences from the plastid gene region trnK-matK, are employed to investigate relationships within the Cactaceae. These phylogenies sample 666 plants representing 532 of the 1438 species recognized in the family. All four subfamilies, all nine tribes, and 69% of currently recognized genera of Cactaceae are sampled. We found strong support for three of the four currently recognized subfamilies, although relationships between subfamilies were not well defined. Major clades recovered within the largest subfamilies, Opuntioideae and Cactoideae, are reviewed; only three of the nine currently accepted tribes delimited within these subfamilies, the Cacteae, Rhipsalideae, and Opuntieae, are monophyletic, although the Opuntieae were recovered in only the Bayesian and maximum-likelihood analyses, not in the maximum-parsimony analysis, and more data are needed to reveal the status of the Cylindropuntieae, which may yet be monophyletic. Of the 42 genera with more than one exemplar in our study, only 17 were monophyletic; 14 of these genera were from subfamily Cactoideae and three from subfamily Opuntioideae. We present a synopsis of the status of the currently recognized genera
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Relationships between the four families placed in the angiosperm order Fabales (Leguminosae, Polygalaceae, Quillajaceae, Surianaceae) were hitherto poorly resolved. We combine published molecular data for the chloroplast regions matK and rbcL with 66 morphological characters surveyed for 73 ingroup and two outgroup species, and use Parsimony and Bayesian approaches to explore matrices with different missing data. All combined analyses using Parsimony recovered the topology Polygalaceae (Leguminosae (Quillajaceae + Surianaceae)). Bayesian analyses with matched morphological and molecular sampling recover the same topology, but analyses based on other data recover a different Bayesian topology: ((Polygalaceae + Leguminosae) (Quillajaceae + Surianaceae)). We explore the evolution of floral characters in the context of the more consistent topology: Polygalaceae (Leguminosae (Quillajaceae + Surianaceae)). This reveals synapomorphies for (Leguminosae (Quillajaceae + Surianaceae)) as the presence of free filaments and marginal/ventral placentation, for (Quillajaceae + Surianaceae) as pentamery and apocarpy, and for Leguminosae the presence of an abaxial median sepal and unicarpellate gynoecium. An octamerous androecium is synapomorphic for Polygalaceae. The development of papilionate flowers, and the evolutionary context in which these phenotypes appeared in Leguminosae and Polygalaceae, shows that the morphologies are convergent rather than synapomorphic within Fabales.
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Tribe Merremieae, as currently circumscribed, comprise c. 120 species classified in seven genera, the largest of which (Merremia) is morphologically heterogeneous. Previous studies, with limited sampling, have suggested that neither Merremieae nor Merremia are monophyletic. In the present study, the monophyly of Merremia and its allied genera was re-assessed, sampling 57 species of Merremieae for the plastid matK, trnL–trnF and rps16 regions and the nuclear internal transcribed spacer (ITS) region. All genera of Merremieae and all major morphotypes in Merremia were represented. Phylogenetic analyses resolve Merremieae in a clade with Ipomoeae, Convolvuleae and Daustinia montana. Merremia is confirmed as polyphyletic and a number of well-supported and morphologically distinct clades in Merremieae are recognized which accommodate most of the species in the tribe. These provide a framework for a generic revision of the assemblage.
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Molecular and morphological data have shown that Bombacoideae and Malvoideae together form a well-supported Malvatheca clade. Phylogenetic relationships in Bombacoideae have been studied, but some genera in Bombax s. I. have not been adequately sampled for sufficiently variable molecular markers. The relationships of Eriotheca, for example, have yet to be resolved. Here, nuclear (ITS) and chloroplast (trnL-Fand matK) sequence data from 50 exemplars of Bombacoideae and seven additional taxa from other genera of Malvatheca were used to test monophyly of Eriotheca and its relationships with related genera of Bombax s. I. Parsimony and Bayesian analyses of individual and combined sequence data suggest that Eriotheca is not monophyletic as currently circumscribed but forms a paraphyletic grade containing Pachira s. 1. The newly discovered Eriotheca + Pachira clade has a probable synapomorphy of striate seeds. In addition, two other moderately supported clades emerged within the core Bombacoideae: Pseudobombax + Ceiba s. 1. and Bombax + Spirotheca + Pachira quinata. These three clades, and the African Rhodognaphalon together constitute the major clade of core Bombacoideae, whereas Adansonia appears to be more closely related to Catostemma, Scleronema, and Cavanillesia. The phylogenetic results imply three independent migrations from the New to Old World and homoplasy in staminal morphology.
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Parsimony-based phylogenetic analyses of the neotropical tribe Helieae (Gentianaceae) are presented, including 22 of the 23 genera and 60 species. This study is based on data from morphology, palynology, and seed micromorphology (127 structural characters), and DNA sequences (matK, trnL intron, ITS). Phylogenetic reconstructions based on ITS and morphology provided the greatest resolution, morphological data further helping to tentatively place several taxa for which DNA was not available (Celiantha, Lagenanthus, Rogersonanthus, Roraimaea, Senaea, Sipapoantha, Zonanthus). Celiantha, Prepusa and Senaea together appear as the sister clade to the rest of Helieae. The remainder of Helieae is largely divided into two large subclades, the Macrocarpaea subclade and the Symbolanthus subclade. The first subclade includes Macrocarpaea, sister to Chorisepalum, Tochia, and Zonanthus. Irlbachia and Neblinantha are placed as sisters to the Symbolanthus subclade, which includes Aripuana, Calolisianthus, Chelonanthus, Helia, Lagenanthus, Lehmanniella, Purdieanthus, Rogersonanthus, Roraimaea, Sipapoantha, and symbolanthus. Generic-level polyphyly is detected in Chelonanthus and Irlbachia. Evolution of morphological characters is discussed, and new pollen and seed characters are evaluated for the first time in a combined morphological-molecular phylogenetic analysis.