952 resultados para diagnostic différentiel


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Les pneumonies causent une mortalité et une morbidité significatives. De manière simplifiée, deux types de pneumonie sont décrits : la pneumonie communautaire et la pneumonie nosocomiale avec le pneumocoque et l'Haemophilus influenzae comme causes principales pour la première, le Pseudomonas et diverses entérobactéries pour la deuxième. La réalité est cependant plus complexe puisque l'on distingue aussi la pneumonie d'aspiration par exemple. La culture est très importante dans le cas des pneumonies nosocomiales car elle permet de déterminer la sensibilité aux antibiotiques de l'agent infectieux et d'adapter le traitement. Pour les patients immunosupprimés, le diagnostic différentiel est plus large et la recherche par tests moléculaires de certains virus, de champignons filamenteux et du Pneumocystis peut se révéler informative. Pneumonia is an importance cause of mortality and morbidity in adults. Two types of pneumonia are defined: community-acquired and nosocomial pneumonia with their corresponding etiology such as pneumococci or Haemophilus influenzae and Pseudomonas or enterobacteriaceae, respectively. However, the reality is more complex with aspiration pneumonia, pneumonia in immunocompromised patient, and pneumonia in ventilated patients. Culture in the case of nosocomial pneumonia is especially important to obtain the antibiotic susceptibility of the infectious agent and to adjust therapy. Moreover for immunocompromised patients, the differential diagnosis is much wider looking for viruses, filamentous fungi and Pneumocystis can be very informative, using new molecular assays.

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Introduction : Faute de tests diagnostiques précis, une étude histologique est souvent nécessaire pour diagnostiquer les tuméfactions latérales solides cervicales (TLSC) chez l’enfant. Nous étudierons les modalités diagnostiques pour les TLSC afin de créer une approche diagnostique standardisée intégrant de nouveaux outils diagnostics à ceux actuellement offerts. Méthodologie : Après révision des étiologies et des modalités diagnostiques, une revue de la littérature a été effectuée. Une étude rétrospective entre 2002 à 2012 est présentée suivie d’une étude de faisabilité de la cytoponction. Puis, un arbre décisionnel est créé basé sur nos résultats et sur l’avis d’un groupe d’experts de différentes disciplines médicales. Résultats : Le diagnostic différentiel des TLSC est varié, la littérature scientifique est désuète et la comparaison reste difficile. Pour nos 42 enfants avec un âge médian de sept ans, les tuméfactions inflammatoires représentent 59% (26/44 biopsies) des TLSC, surtout des lymphadénites à mycobactérie atypique (13/26) qui ont un dépistage ardu et multimodal. La biopsie fut peu contributive à la prise en charge dans 39% (17/44) des cas. La cytoponction sous échoguidance est une technique diagnostique faisable et moins invasive que la biopsie. L’arbre décisionnel offre aux cliniciens une approche diagnostique standardisée des TLSC appuyée sur des faits scientifiques que nous souhaitons valider par une étude prospective. Conclusion : Les TLSC chez l’enfant représentent un défi diagnostic et notre arbre décisionnel répond au manque de standardisation dans l’approche diagnostique. Une étude prospective sur notre arbre décisionnel est en voie d’acceptation au CHU Sainte-Justine.

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Résumé « Laennec CD-ROM » est un programme d'enseignement assisté par ordinateur (EAO) pour l'apprentissage de la sémiologie en pneumologie. Son idée de base était de fournir aux étudiants et aux enseignants un outil d'apprentissage interactif et richement illustré des différents gestes cliniques en pneumologie. Primé en 1994 pour la meilleure contribution multimédia à la European Academie Software Award (EASA-94), il représente un bon exemple de ce qui pouvait être réalisé alors. Mais l'histoire de l'EAO remonte aux années 1960. Un bref historique de l'EAO permet de mieux situer ce programme dans le temps. Et comme tout outil pédagogique, celui-ci s'appuie sur une représentation de comment l'apprentissage se fait. Trois courants pédagogiques majeurs sont présentés. Le behaviorisme ou comportementalisme pour qui le savoir est transmis pour être stocké tel quel par l'apprenant. Pour le cognitivisme, par contre, le contenu est retravaillé par l'apprenant avant d'être stocké, et ce traitement de l'information peut être influencé. Quant au constructivisme, celui-ci prédit que le savoir est construit à l'aide des contenus mis à disposition, mettant en avant l'importance du contexte dans lequel l'apprentissage se fait. Mais indépendamment des orientations pédagogiques, une des question fondamentale est : un enseignement assisté par ordinateur est-il meilleur qu'un enseignement traditionnel ? Étonnamment, il n'est pas facile de répondre à cette question, malgré de . nombreuses études sur le sujet. « Laennec CD-ROM » est constitué de trois parties. Un tutoriel présentant de manière didactique l'inspection, la palpation, la percussion et l'auscultation pulmonaire. Il est richement illustré par des dessins, photos, vidéo et sons d'auscultation. La deuxième partie présente sept patients souffrant de maladies pulmonaires fréquentes. Ce volet du cd-rom permet d'appliquer à des cas les principes de sémiologie appris dans le tutoriel. Pour chaque patient, une anamnèse, un examen clinique (avec des sons d'auscultation) et une série d'examens para-cliniques (imagerie, laboratoire) permettent à l'utilisateur de poser un diagnostic différentiel et un traitement. La troisième partie du cd-rom est un petit historique sur René, Théophile, Hyacinthe Laennec, l'inventeur du stéthoscope. Pour terminer, la conception et la réalisation du programme sont présentées en détail ainsi que sa validation et son utilisation.

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Les hépatopathies sont rares au cours de la grossesse, mais peuvent avoir des conséquences dramatiques pour la mère et l'enfant si elles ne sont pas diagnostiquées à temps. On différencie principalement les hépatopathies spécifiquement secondaires à la grossesse des intercurrentes. Parmi les premières, on peut citer les manifestations hépatiques de l'hyperemesis gravidarum, la cholestase intrahépatique gravidique, les atteintes hépatiques lors d'une (pré-)éclampsie, y compris le syndrome HELLP, et la stéatose hépatique aiguë gravidique. Le diagnostic différentiel est basé sur l'anamnèse (stade de la grossesse), la clinique, quelques examens de laboratoire et l'échographie comme imagerie de première intention. Le traitement d'une cholestase intrahépatique gravidique par acide ursodésoxycholique améliore le prurit et les tests hépatiques maternels. Une surveillance rapprochée de la grossesse reste cependant indispensable. Lors d'un syndrome HELLP ou d'une stéatose hépatique aiguë gravidique, il faut procéder à l'accouchement le plus vite possible. Toutes les hépatopathies déjà connues nécessitent un suivi strict durant la grossesse. While liver diseases are a rare occurrence in pregnancy, they may have dramatic implications for mother and child if not detected in good time. A distinction is drawn between pregnancy-specific liver diseases and intercurrent liver diseases during pregnancy. The former include hepatic manifestations of hyperemesis gravidarum, intrahepatic cholestasis of pregnancy, hepatic involvement in preeclampsia or eclampsia, including the HELLP syndrome, and acute fatty liver of pregnancy. Differential diagnosis of pregnancy-associated liver disorders is based on history (stage of pregnancy), clinical findings, a few laboratory tests and ultrasound as the primary imaging technique. Treatment of intrahepatic cholestasis of pregnancy with ursodeoxycholic acid improves pruritus and maternal liver tests. Close monitoring of pregnancy remains however indispensable. In HELLP syndrome and acute fatty liver of pregnancy the aim should be rapid delivery. Preexisting liver diseases require intensified monitoring during pregnancy.

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Les maladies autoinflammatoires font partie du diagnostic différentiel de l'état fébrile à répétition chez l’enfant. Ces maladies sont caractérisées par des poussées inflammatoires sans cause évidente. Certaines de ces maladies, comme la Fièvre méditerranéenne familiale, ont une origine génétique et nécessitent un traitement régulier pour éviter des conséquences graves à long terme. Le syndrome de PFAPA est la plus fréquente des fièvres récurrentes et son diagnostic se base sur des critères diagnostiques peu précis. Son traitement reste controversé. La prednisone en dose unique permet d'interrompre la poussée et l'amygdalectomie peut induire une rémission dans une majorité des cas. The autoinflammatory diseases should be considered in the differential diagnosis of recurrent fever in childhood. These diseases are characterized by inflammatory episodes without an evident cause. Some of these diseases, like the Familial Mediterranean Fever, have a genetic origin and need a chronic treatment to avoid severe complications on the long term. PFAPA syndrome is the most frequent cause of recurrent fever and is diagnosed based on unspecific criteria. The treatment is still controversial. One dose of Prednisone is able to interrupt the flare and tonsillectomy may induce a remission in the majority of the cases

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Contexte¦Le VIH reste une des préoccupations majeures de santé publique dans le monde. Le nombre de patients infectés en Europe continue de croître et s'élève, en 2008, à 2.3 millions (1). De plus, environ 30 % des personnes séropositives ignorent leur statut et, de ce fait, contribuent à la propagation de l'épidémie. Ces patients sont responsables de la moitié des nouveaux cas du VIH (2) ; ils transmettent, en effet, 3.5 fois plus l'infection que les patients dont le diagnostic est connu (3).¦Aux USA, en raison de l'épidémiologie actuelle du VIH, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont, en septembre 2006, mis le point sur la nécessité d'étendre drastiquement les tests et, de ce fait, ont publié de nouvelles recommandations. Non seulement, le test devra dépasser les groupes à risque dans les zones à grande prévalence mais aussi, être répandu à toute la population adulte de 13 à 64 ans sauf si la prévalence du VIH est en dessous de 0.1 % (4). Cette démarche est appelée routine opt-out HIV screening et plusieurs arguments parlent en faveur d'un dépistage systématique. Cette maladie rempli tout d'abord les 4 critères pour l'introduction d'un dépistage systématique : une maladie grave pouvant être mise en évidence avant l'apparition des symptômes, son diagnostic améliore la survie par une progression moins rapide et diminution de la mortalité, des tests de dépistage sensibles et spécifiques sont disponibles et les coûts sont moindres en comparaison aux bénéfices (5). Aux USA, 73 % des patients diagnostiqués à un stade avancé de l'infection VIH entre 2001 et 2005 avaient eu recours à l'utilisation des systèmes de soins au moins une fois dans les 8 ans précédant le diagnostic (6). Ces occasions manquées font aussi partie des arguments en faveur d'un dépistage systématique. En règle générale, le médecin se basant uniquement sur les symptômes et signes, ainsi que sur l'anamnèse sexuelle sous-estime la population à tester. Ce problème de sélection des candidats n'a plus lieu d'être lors d'un tel screening. Après cette publication des recommandations du CDC, qui introduit le dépistage systématique, il a été constaté que seulement 1/3 du personnel soignant interrogé connaissait les nouvelles directives et seulement 20 % offrait un dépistage de routine à tous les patients concernés (7). Cette étude nous montre alors qu'il est impératif de vérifier le niveau de connaissances des médecins après la publication de nouvelles recommandations.¦Devant le problème de l'épidémie du VIH, la Suisse opte pour une stratégie différente à celle des Etats-Unis. La Commission d'experts clinique et thérapie VIH et SIDA (CCT) de l'OFSP a tout d'abord publié, en 2007, des recommandations destinées à diminuer le nombre d'infections VIH non diagnostiquées, grâce à un dépistage initié par le médecin (8). Cette approche, appelée provider initiated counselling and testing (PICT), complétait alors celle du voluntary counselling and testing (VCT) qui préconisait un dépistage sur la demande du patient. Malheureusement, le taux d'infections diagnostiquées à un stade avancé a stagné aux environs de 30 % jusqu'en 2008 (9), raison pour laquelle l'OFSP apporte, en 2010, des modifications du PICT. Ces modifications exposent différentes situations où le test du VIH devrait être envisagé et apportent des précisions quant à la manière de le proposer. En effet, lors d'une suspicion de primo-infection, le médecin doit expliquer au patient qu'un dépistage du VIH est indiqué, un entretien conseil est réalisé avec des informations concernant la contagiosité élevée du virus à ce stade de l'infection. Si le patient présente un tableau clinique qui s'inscrit dans le diagnostic différentiel d'une infection VIH, le médecin propose le test de manière systématique. Il doit alors informer le patient qu'un tel test sera effectué dans le cadre d'une démarche diagnostique, sauf si celui-ci s'y oppose. Enfin, dans d'autres situations telles que sur la demande du patient ou si celui-ci fait partie d'un groupe de population à grande prévalence d'infection VIH, le médecin procède à une anamnèse sexuelle, suivie d'un entretien conseil et du test si l'accord explicite du patient a été obtenu (10).¦Nous pouvons donc constater les différentes stratégies face à l'épidémie du VIH entre les USA et la Suisse. Il est nécessaire d'évaluer les conséquences de ces applications afin d'adopter la conduite la plus efficace en terme de dépistage, pour amener à une diminution des transmissions, une baisse de la morbidité et mortalité. Aux USA, des études ont été faites afin d'évaluer l'impact de l'approche opt-out qui montrent que le screening augmente la probabilité d'être diagnostiqué (11). En revanche, en Suisse, aucune étude de ce type n'a été entreprise à l'heure actuelle. Nous savons également qu'il existe un hiatus entre la publication de nouvelles recommandations et l'application de celles-ci en pratique. Le 1er obstacle à la mise en oeuvre des guidelines étant leur méconnaissance (12), il est alors pertinent de tester les connaissances des médecins des urgences d'Hôpitaux de Suisse au sujet des nouvelles recommandations sur le dépistage du VIH de l'OFSP de mars 2010.¦Objectifs¦Montrer que les recommandations de l'OFSP de mars 2010 ne sont pas connues des médecins suisses.¦Méthodes¦Nous testerons la connaissance des médecins concernant ces recommandations via un questionnaire qui sera distribué lors d'un colloque organisé à cet effet avec tous les médecins du service des urgences d'un même établissement. Il n'y aura qu'une séance afin d'éviter d'éventuels biais (transmission d'informations d'un groupe à un autre). Ils recevront tout d'abord une lettre informative, accompagnée d'un formulaire de consentement pour l'utilisation des données de manière anonyme. La feuille d'information est rédigée de façon à ne pas influencer les candidats pour les réponses aux questions. Le questionnaire comprend deux parties, une première qui comprend divers cas cliniques. Les candidats devront dire si ces situations se trouvent, selon eux, dans les nouvelles recommandations de l'OFSP en termes de dépistage du VIH et indiquer la probabilité d'effectuer le test en pratique. La deuxième partie interrogera sur la manière de proposer le test au patient. La durée nécessaire pour remplir le questionnaire est estimée à 15 minutes.¦Le questionnaire élaboré avec la collaboration de Mme Dubois de l'UMSP à Lausanne et vont être testés par une vingtaine de médecins de premier recours de Vidy Med et Vidy Source, deux centres d'urgences lausannois.¦Réstulats escomptés¦Les médecins suisse ne sont pas au courant des nouvelles recommandations concernant le dépistage du VIH.¦Plus-value escomptée¦Après le passage du questionnaire, nous ferons une succincte présentation afin d'informer les médecins au sujet de ces recommandations. Aussi, l'analyse des résultats du questionnaire nous permettra d'agir au bon niveau pour que les nouvelles recommandations de l'OFSP de mars 2010 soient connues et appliquées, tout en ayant comme objectif l'amélioration du dépistage du VIH.

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Introduction : Les tumeurs solides pseudo-papillaires du pancréas (SPT) sont des tumeurs rares, d'étiopathogénie encore incertaine.Le but de notre travail était de décrire les caractéristiques radiologiques des SPT dans le groupe d'âge pédiatrique et d'étudier leur corrélation avec les études anatomopathologiques en vue d'établir un diagnostic.Patients et Méthodes : Nous avons étudié rétrospectivement trois malades pédiatriques pour lesquelles le diagnostic de tumeur solide pseudo-papillaire du pancréas a été porté à l'examen d'une pièce opératoire. Ce groupe comprenait 3 jeunes filles et femmes (âge médian: 13 ans).Résultats : La tumeur a été découverte pendant le bilan de symptômes digestifs non spécifiques. Les examens biologiques n'étaient pas informatifs. Des investigations radiologiques complètes ont été réalisées y compris les ultrasons (US), la tomodensitométrie (CT) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM).Celles-ci ont montré de volumineuses lésions nodulaires, peu vascularisées, de compositions habituellement hétérogènes, avec des composantes kystiques et hémorragiques identifiées dans les 3 cas. Un traitement chirurgical a été pratiqué chez toute les patientes. L'étude de la pièce opératoire a montré une tumeur encapsulée dans les 3 cas. Aucune métastase n'a été mise en évidence.Conclusion : Les SPT doivent être considérées dans le diagnostic différentiel des masses pancréatiques pédiatriques, en particulier chez les adolescentes. Certaines caractéristiques radiologiques comme des masses volumineuses bien circonscrites, des lésions hétérogènes avec des zones kystiques et hémorragiques, de plus entourées d'une pseudocapsule fibreuse réactive, suggèrent fortement le diagnostic de SPT. Celui-ci devrait ensuite être confirmé par une biopsie avant que la résection chirurgicale soit effectuée. Chez les enfants, Γ écho graphie abdominale reste la méthode de première intention, suivie par l'IRM comme technique d'imagerie de choix pour évaluer les caractéristiques et l'extension de la lésion, tout en évitant l'exposition des patients aux rayonnements ionisants.

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La découverte d'une ascite en médecine interne ambulatoire ou hospitalière est relativement fréquente. Toutefois, le diagnostic différentiel s'étend parfoisà des pathologies plus rares qu'il convient d'investiguer rapidement afin de débuter un traitement et d'améliorer le pronostic du patient. Nous présentons le cas d'un patient de 50 ans avec une ascite d'apparition progressive dans le contexte d'une carcinose péritonéale avec un diagnostic histopathologique de mésothéliome malin péritonéal.[The finding of an ascites in in- or out-patients in inner medicine is relatively frequent. However, the differential diagnosis sometimes extends in rarer pathologies which need rapid investigations to begin a treatment and improve the patient's prognosis. We present the case of a 50-year-old patient with a progressive ascites in the context of a peritoneal carcinosis due to a malignant peritoneal mesothelioma.]

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Introduction : Les carcinomes de la conjonctive sont les tumeurs oculaires épithéliales des plus fréquentes. Ces tumeurs peuvent se limiter à la membrane basale ou l'envahir pour devenir des tumeurs invasifs. Le diagnostic différentiel entre tumeurs intra‐épithéliales (CIN) et invasifs est exclusivement fait histologiquement. Le but de la présente étude est de définir les caractéristiques cliniques qui sont en faveur du diagnostic d'une CIN ou d'un carcinome invasif afin de améliorer le traitement. Méthode : étude rétrospective des carcinomes de la conjonctive examinés et traités à la Clinique Ophtalmologique Universitaire de Lausanne. Au total 100 dossiers de patients sont étudiés : divers signes cliniques sont notés et analysé selon le type de tumeur (intra‐épithélial et invasif). Résultats : 20 des tumeurs étudié étaient invasifs et 80 intra‐épihteliales, avec une moyenne d'âge de 65 ans. La lésion conjonctivale était localisée pour 40 cas sur 100 dans la région nasale, 22 temporale, 7 inférieures, 3 supérieurs. La forme gélatineuse de la tumeur se présente dans 36 cas sur 100 avec une fréquence relative de 17% en tumeur invasive et 83% en CIN. La forme nodulaire apparait dans 26 cas sur 100 avec 15% en tumeurs invasive et 85% en CIN. La forme papillaire elle se trouve dans 17 cas sur 100 avec 24% invasif et 76% CIN. 21 cas sur 100 sont de type diffus avec 29% invasif et 71% CIN. La kératine était présente dans 40 cas sur 100 avec 23% dans la tumeur invasive et 77% dans CIN. La cornée était touchée dans 74 cas sur 100 avec 20% des cas invasifs et 80% CIN. La taille la plus commune avec 57 cas sur 100 cas est la petite, 21 cas étaient de taille moyenne et 22 cas de taille volumineuse. La grande partie des tumeurs se présente avec un vasodilatation et 45 tumeurs avaient un vascularisation des muscles rectilignes VxR (18% invasif et 82% CIN), 25 cas avaient une vascularisation conjonctivale VxC (0% invasif et 100% CIN), et 30 cas plutôt une vascularisation mixte VxM (33% invasif et 67% CIN). On a trouvé qu'une vasodilatation de la vascularisation mixte (P=0,0294) est statistiquement significative pour caractériser une tumeur invasive et une vasodilatation de la vascularisation de la conjonctive est indicatif pour diagnostiquer un CIN (P=0,0159). La taille de la tumeur joue aussi un rôle important ; dans notre cas la taille volumineuse est statistiquement significative pour déterminer le risque d'avoir une tumeur invasive (P=0,0234). Conclusion : Pour le moment l'excision de la lésion est la méthode la plus plausible pour différencier les carcinomes de la conjonctive. Différents critères permettent de suspecter si la tumeur est invasive ou un CIN, mais ils ne sont pas suffisamment forts pour baser la décision thérapeutique là dessus.

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Les patients schizophrènes avant l'éclosion des premiers symptômes psychotiques, ainsi que ceux atteints d'un Trouble schizotypique (troubles des relations à autrui, excentricité, mais absence de phénomènes psychotiques durables) souffrent souvent de perturbations perceptives, motrices, cénesthésiques, et de troubles des «fondements» du sens de soi et de la relation au monde -perturbations qui ne se manifestent pas dans le comportement et sont souvent, pour le patient, très difficiles ù exprimer. Il est pourtant important que le médecin les reconnaisse, pour soulager le patient qui en souffre, et comme aide au diagnostic différentiel dans des situations atypiques. La première partie de cet article décrit ces troubles; la seconde évoque l'expérience d'un médedn de premier recours familier de ces «troubles de l'expérience subjective».