395 resultados para conflit


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Objectifs: Déterminer les caractéristiques en IRM 3T et discuter l'étiologie des fractures dorsales du triquetrum. Evaluer les lésions associées, notamment des ligamentsextrinsèques dorsaux.Matériels et méthodes: Etude rétrospective (septembre 2007 - décembre 2010) incluant 18 patients avec radiographies conventionnelles et IRM du poignet à 3T présentant une fracturedorsale du triquetrum. Protocole IRM comprenant une séquence T1-VIBE coronale haute résolution (0,3mm) isotropique avec suppression de graisse et aprèsinjection intraveineuse de Gadolinium. Lecture consensuelle par 2 radiologues évaluant les caractéristiques suivantes : taille et déplacement du fragment osseux,localisation de l'oedème médullaire, lésion des ligaments extrinsèques dorsaux (radio-triquetral, scapho-triquetral et ulno-triquetral), autres lésions associées.Inclusion d'un groupe contrôle de 20 patients, afin d'évaluer localisation et visibilité des enthèses ligamentaires extrinsèques dorsales .Résultats: Identification de 14 lésions ligamentaires scapho-triquetrales, 12 ulno-triquetrales et 8 radio-triquetrales, corrélées à la localisation de l'oedème osseux. Absenced'oedème de la styloïde ulnaire évocatrice de conflit. Volume moyen des fragments de 210 mm3, avec déplacement le plus fréquemment distal. Dans le groupecontrôle, visibilité des ligaments scapho-triquetral, radio-triquetral et ulno-triquetral dans respectivement 100% (20/20), 90% (18/20) et 70% (14/20) des cas.Conclusion: L'IRM 3T permet d'évaluer précisément les fractures dorsales du triquetrum et leurs lésions associées , y compris la distribution des oedèmes osseux. Cesfractures auraient donc une étiologie mixte.

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« Reconnaissons-le comme un fait, soulignait François Hollande lors du lancement des commémorations du centenaire en novembre 2013, lorsque la mobilisation générale fut proclamée, il n'y eut plus qu'un seul pays, une seule Nation, une seule armée ». A l'heure où les commémorations officielles du premier conflit mondial battent leur plein, il est plus que jamais impossible de s'abstraire du rapport dialectique qui s'instaure entre « usages publics et politiques de l'histoire » et construction de l'histoire savante. Aujourd'hui, le monde ouvrier, les vaincus, semblent ainsi être invoqués pour souligner substantiellement leur « adhésion » substantielle à « leur » nation en guerre. Les mondes et les mouvements ouvriers, dans toute leur complexité sociale et politique s'estompent de la recherche historique comme ont disparu ou presque les questions liées aux rapports de force sociopolitiques. Cette contribution se propose de revenir sur l'un des noeuds historiographiques concernant les socialismes en guerre, soit celui de leur « entrée » dans le conflit. Il s'agit de comprendre comment « la guerre fait irruption » dans les débats du socialisme international, en envisageant les divers positionnements par rapport au "choix" de l'intervention, notamment la question du "revirement" d'une social-démocratie hostile à la guerre qui entre néanmoins en guerre en usant parfois d'une rhétorique patriotique voire nationaliste. Pour ce faire, deux cas d'études ont été choisis partant de deux réalités sociopolitiques différentes qui, chacune à leur manière, offrent une palette des manières qu'a eues la socialdémocratie de se positionner face à la guerre. D'un côté, l'« exception » italienne, de l'autre le « revirement » patriotique français. En point de mire : comprendre si et dans quelle mesure la guerre constitue un tournant, une rupture dans l'histoire des sociétés considérées, et quelles en sont les limites.

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