801 resultados para abdominal fat


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Les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires, telle, que la détérioration du profil lipidique, deviennent plus prononcés après la ménopause, ce qui fait de la maladie coronarienne, l’une des principales causes de décès chez les femmes ménopausées. Une proportion importante de femmes prennent du poids après la ménopause en particulier dans la région abdominale entraînant par conséquent des perturbations métaboliques. Des données récentes suggèrent également que l’absence des œstrogènes observée à la ménopause favorise le développement de la stéatose hépatique. Cette dernière a été incriminée pour incriminée dans le développement de la résistance à l'insuline, et est de ce fait considérée comme une composante hépatique du syndrome métabolique. Il est impératif d'établir des stratégies visant à contrecarrer l'accumulation de graisse dans le foie et l’accroissement du tissu adipeux chez les femmes ménopausées, en tenant compte que l'utilisation de l'hormonothérapie substitutive est de nos jours moins soutenue. Les quatre études de la présente thèse ont été conduites pour tenter de fournir des informations sur le traitement et la prévention de l’augmentation de la masse graisseuse et de la stéatose hépatique qu’entraîne la suppression des œstrogènes, à travers les modifications du mode de vie (diète et exercice physique) chez la rate ovariectomizée (Ovx); un modèle animal de la ménopause. Dans les deux premières études nous nous sommes concentrés sur l’augmentation de la masse graisseuse et sa reprise suite à une perte de poids. Dans la première étude, nous avons montré que les rates Ovx qui ont suivi un programme de restriction alimentaire (FR) ont diminué significativement (P < 0.01) leur poids corporel, leur contenu en graisses intra-abdominales ainsi que leurs triacylglycérols (TAG) hépatiques, comparativement aux rates Ovx nourries à la diète normale. De plus, l’entraînement en résistance (RT) a prévenu la reprise de poids corporel ainsi que l’accroissement du tissu adipeux et l’accumulation de lipides dans le foie des rates Ovx, après l’arrêt du régime amaigrissant. Les résultats de la deuxième étude ont confirmé l'efficacité de la restriction alimentaire associée à l’entraînement en résistance (FR + RT) dans la réduction du poids corporel, des lipides dans le foie et le tissu adipeux chez les rates Ovx. Tenant compte des résultats de notre première étude, l’entraînement en résistance seulement a constitué un atout pour atténuer le poids corporel et la masse grasse reprise par les rates Ovx suite à un programme de perte de poids (FR + RT); bien que l'impact ait été moindre comparé au maintien seul de la restriction alimentaire. De la même manière que la supplémentation en œstrogènes, les résultats de la troisième étude indiquent que l'entraînement en endurance mené concurremment avec l’ovariectomie a significativement atténué l'accumulation de lipides dans le foie ainsi que dans le tissu adipeux. Toutefois, l’entraînement en endurance effectué avant l'ovariectomie n'a pas protégé contre l'accumulation des graisses qu’entraîne l'ovariectomie, si celui-ci est interrompu après l'ovariectomie. Enfin, pour compléter les résultats antérieurs, nous avons montré dans la quatrième étude que l’expression des gènes impliqués dans la synthèse de lipide; SREBP-1c, SCD-1, ChREBP, et ACC dans le foie a augmenté après le retrait des œstrogènes, tandis qu’une diminution (P < 0.01) des niveaux d'ARNm de PPAR-α a été observée. De plus, l'expression hépatique des gènes des cytokines pro-inflammatoires incluant IKKβ, IL-6 ainsi que le contenu protéinique de NF-кB étaient augmentés (P < 0.01) chez les rates Ovx par rapport aux rates ayant subi une Ovx simulée (Sham). Toutes ces perturbations ont été améliorées avec la supplémentation en œstrogènes seulement, ainsi qu'avec l'entraînement en endurance seulement. Dans l'ensemble, nos résultats indiquent que l'exercice physique (en résistance ou en endurance) a un impact significatif sur la réduction de l'accumulation des lipides dans le foie et dans le tissu adipeux des rates Ovx. De plus, chez les rates Ovx, l’entraînement en endurance mimerait les effets des œstrogènes sur l'expression des gènes impliqués dans l'accumulation de lipides et l’inflammation préclinique dans le foie.

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OBJECTIVE: To evaluate whether polymorphisms in the peroxisome proliferator-activated receptor-gamma coactivator-1 alpha (PPARGC1A) gene were related to body fat in Asian Indians. METHODS: Three polymorphisms of PPARGC1A gene, the Thr394Thr, Gly482Ser and +A2962G, were genotyped on 82 type 2 diabetic and 82 normal glucose tolerant (NGT) subjects randomly chosen from the Chennai Urban Rural Epidemiology Study using PCR-RFLP, and the nature of the variants were confirmed using direct sequencing. Linkage disequilibrium (LD) was estimated from the estimates of haplotypic frequencies using an expectation-maximization algorithm. Visceral, subcutaneous and total abdominal fat were measured using computed tomography, whereas dual X-ray absorptiometry was used to measure central abdominal and total body fat. RESULTS: None of the three polymorphisms studied were in LD. The genotype (0.59 vs 0.32, P=0.001) and allele (0.30 vs 0.17, P=0.007) frequencies of Thr394Thr polymorphism were significantly higher in type 2 diabetic subjects compared to those in NGT subjects. The odds ratio for diabetes (adjusted for age, sex and body mass index) for the susceptible genotype, XA (GA+AA) of Thr394Thr polymorphism, was 2.53 (95% confidence intervals: 1.30-5.04, P=0.009). Visceral and subcutaneous fat were significantly higher in NGT subjects with XA genotype of the Thr394Thr polymorphism compared to those with GG genotype (visceral fat: XA 148.2+/-46.9 vs GG 106.5+/-51.9 cm(2), P=0.001; subcutaneous fat: XA 271.8+/-167.1 vs GG 181.5+/-78.5 cm(2), P=0.001). Abdominal (XA 4521.9+/-1749.6 vs GG 3445.2+/-1443.4 g, P=0.004), central abdominal (XA 1689.0+/-524.0 vs GG 1228.5+/-438.7 g, P<0.0001) and non-abdominal fat (XA 18763.8+/-8789.4 vs GG 13160.4+/-4255.3 g, P<0.0001) were also significantly higher in the NGT subjects with XA genotype compared to those with GG genotype. The Gly482Ser and +A2962G polymorphisms were not associated with any of the body fat measures. CONCLUSION: Among Asian Indians, the Thr394Thr (G --> A) polymorphism is associated with increased total, visceral and subcutaneous body fat.

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Um experimento foi realizado com o objetivo de avaliar o efeito do nível de energia da dieta sobre desempenho, rendimento de carcaça e porcentagem de gordura abdominal de frangos de corte. Foram utilizados 2400 pintos de um dia da linhagem Ross 308, criados em boxes até 42 dias de idade. O delineamento experimental adotado foi o inteiramente casualizado em esquema fatorial 6 x 2 (energia x sexo). Os tratamentos consistiram de combinações de seis níveis de energia (2.900, 2.960, 3.020, 3.080, 3.140 e 3.200 kcal EM/kg) e dos sexos, com quatro repetições de 50 aves cada. No período de 1 a 42 dias de idade, houve redução no consumo de ração e melhora na conversão alimentar à medida que se aumentou o nível de energia da ração. Os machos apresentaram melhores resultados de desempenho que as fêmeas, exceto para mortalidade. À medida que se acrescentou energia na dieta, houve efeito linear na porcentagem de gordura abdominal e no rendimento de asas, mas não houve efeito sobre o rendimento de carcaça e das demais partes. Os machos apresentaram maiores porcentagens de pernas e de carne de pernas e menores de carne de peito e de gordura abdominal que as fêmeas.

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Background: Metabolic and morphological changes associated with excessive abdominal fat, after the introduction of Antiretroviral Therapy, increase the risk of cardiovascular disease in people living with HIV/AIDS(PLWHA). Accurate methods for body composition analysis are expensive and the use of anthropometric indices is an alternative. However the investigations about this subject in PLWHA are rare, making this research very important for clinical purpose and to advance scientific knowledge. The aim of this study is to correlate results of anthropometric indices of evaluation of body fat distribution with the results obtained by Dual-energy X-Ray Absorptiometry(DEXA) , in people living with HIV/AIDS. Methods. The sample was of 67 PLWHA(39 male and 28 female), aged 43.6+7.9 years. Body mass index, conicity index, waist/hip ratio, waist/height ratio and waist/thigh were calculated. Separated by sex, each index/ratio was plotted in a scatter chart with linear regression fit and their respective Pearson correlation coefficients. Analyses were performed using Prism statistical program and significance was set at 5%. Results: The waist/height ratio presented the highest correlation coefficient, for both male (r=0.80, p<0.001) and female (r=0.87, p <001), while the lowest were in the waist/thigh also for both: male group (r=0.58, p<0.001) and female group (r=0.03, p=0.86). The other indices also showed significant positive correlation with DEXA. Conclusion: Anthropometric indices, especially waist/height ratio may be a good alternative way to be used for evaluating the distribution of fat in the abdominal region of adults living with HIV/ADIS. © 2012 Segatto et al.; licensee BioMed Central Ltd.

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Background: Among adults, obesity has been positively related to bone mineral density. However, recent findings have pointed out that abdominal obesity could be negatively related to bone density. The above mentioned relationship is not clear among pediatric populations. Therefore, this cross-sectional study analyzed the relationship between thickness of abdominal adipose tissue and bone mineral variables in sedentary obese children and adolescents.Methods: One hundred and seventy five obese children and adolescents (83 male and 92 female) with ages ranging from 6 to 16 years-old were analyzed. Bone mineral content and density were estimated by dual-energy X-ray absorptiometry and ultrasound equipment which estimated the thickness of the abdominal adipose tissue. Pubertal stage was self-reported by the participants.Results: The mean age was 11.1 (SD = 2.6). Thickness of the abdominal adipose tissue was negatively related to bone mineral density (r = -0.17 [r95%CI: -0.03;-0.32]), independent of gender, pubertal stage and other confounders (β = -0.134 ± 0.042 [β95%CI: -0.217; -0.050]).Conclusions: In sedentary obese children and adolescents abdominal obesity is negatively related to bone mineral density, suggesting a potential link between abdominal obesity and osteoporosis. © 2013 Júnior et al.; licensee BioMed Central Ltd.

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Context: Liposuction is suggested to result in long-term body fat regain that could lead to increased cardiometabolic risk. We hypothesized that physical activity could prevent this effect. Objective: Our objective was to investigate the effects of liposuction on body fat distribution and cardiometabolic risk factors in women who were either exercise trained or not after surgery. Design, Setting, and Participants: Thirty-six healthy normal-weight women participated in this 6-month randomized controlled trial at the University of Sao Paulo, Sao Paulo, Brazil. Interventions: Patients underwent a small-volume abdominal liposuction. Two months after surgery, the subjects were randomly allocated into two groups: trained (TR, n = 18, 4-month exercise program) and nontrained (NT, n = 18). Main Outcome Measures: Body fat distribution (assessed by computed tomography) was assessed before the intervention (PRE) and 2 months (POST2), and 6 months (POST6) after surgery. Secondary outcome measures included body composition, metabolic parameters and dietary intake, assessed at PRE, POST2, and POST6, and total energy expenditure, physical capacity, and sc adipocyte size and lipid metabolism-related gene expression, assessed at PRE and POST6. Results: Liposuction was effective in reducing sc abdominal fat (PRE vs. POST2, P = 0.0001). Despite the sustained sc abdominal fat decrement at POST6 (P = 0.0001), the NT group showed a significant 10% increase in visceral fat from PRE to POST6 (P = 0.04; effect size = -0.72) and decreased energy expenditure (P = 0.01; effect size = 0.95) when compared with TR. Dietary intake, adipocyte size, and gene expression were unchanged over time. Conclusion: Abdominal liposuction does not induce regrowth of fat, but it does trigger a compensatory increase of visceral fat, which is effectively counteracted by physical activity. (J Clin Endocrinol Metab 97: 2388-2395, 2012)

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OBJECTIVE: Define links between psychosocial parameters and metabolic variables in obese females before and after a low-calorie diet. METHOD: Nine female obese patients (age 36.1 +/- 7.1 years, body mass index [BMI] > 30 kg/m2) were investigated before and after a 6-week low-calorie diet accompanied by behavior therapy. Blood lipids, insulin sensitivity (Bergman protocol), fat distribution (by dual-energy X-ray absorptiometry [DEXA]), as well as psychological parameters such as depression, anger, anxiety, symptom load, and well-being, were assessed before and after the dieting period. RESULTS: The females lost 9.6 +/- 2.8 kg (p < .0001) of body weight, their BMI was reduced by 3.5 +/- 0.3 kg/m2 (p < .0001), and insulin sensitivity increased from 3.0 +/- 1.8 to 4.3 +/- 1.5 mg/kg (p = .05). Their abdominal fat content decreased from 22.3 +/- 5.5 to 18.9 +/- 4.5 kg (p < .0001). In parallel, psychological parameters such as irritability (p < .05) and cognitive control (p < .0001) increased, whereas feelings of hunger (p < .05), externality (p < .05), interpersonal sensitivity (p < .01), paranoid ideation (p < .05), psychoticism (p < .01), and global severity index (p < .01) decreased. Prospectively, differences in body fat (percent) were correlated to nervousness (p < .05). Waist-to-hip ratio (WHR) differences were significantly correlated to sociability (p < .05) and inversely to emotional instability (p < .05), whereas emotional instability was inversely correlated to differences in insulin sensitivity (p < .01). DISCUSSION: Weight reduction may lead to better somatic risk factor control. Women with more nervousness and better sociability at the beginning of a diet period may lose more weight than others.

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Introdução: O aumento da gordura abdominal e o sedentarismo contribuem para o risco de doença cardiovascular. A utilização de corrente elétrica de baixa intensidade (microcorrente) na região abdominal, associado ao exercício físico, parece ser um método inovador no aumento da taxa lipolítica dos adipócitos abdominais. Objetivos: Analisar os efeitos da utilização da microcorrente associada a um programa de exercícios em indivíduos saudáveis e com doença arterial coronária na gordura abdominal, e ainda, analisar os efeitos de um programa de exercício físico específico realizado no domicílio em indivíduos com doença arterial coronária, na fase de manutenção da reabilitação cardiovascular, na capacidade cardiorrespiratória. Métodos: Foram conduzidos três estudos: Estudo 1, em indivíduos saudáveis, durante 5 semanas (n=42), distribuídos aleatoriamente por quatro grupos experimentais (realizavam microcorrente e exercício físico: grupo 1- frequência 25 a 10Hz, elétrodos transcutâneos, exercício físico após; grupo 2- frequência 25 a 50Hz, elétrodos trancutâneos, exercício físico após; grupo 3- frequência 25 a 10Hz, elétrodos percutâneos e exercício físico após; grupo 4- frequência 25 a 10Hz, elétrodos transcutâneos e exercício físico realizado em simultâneo) e placebo (realizavam apenas exercício físico), onde foram avaliadas medidas de gordura abdominal; Estudo 2, em indivíduos saudáveis, durante uma sessão de microcorrente e exercício físico (n=83), distribuídos aleatoriamente por grupo experimental (realizavam microcorrente e exercício físico) e grupo placebo (realizavam exercício físico), onde foram avaliadas a atividade lipolítica (níveis de glicerol) e a oxidação de ácidos gordos (estimada pelo VO2 e VCO2); Estudo 3, em indivíduos após um ano de evento de síndrome coronária aguda (n=44), distribuídos aleatoriamente em dois grupos experimentais (grupo 1- exercício físico no domicílio; grupo 2- microcorrente e exercício físico no domicílio) e um grupo controlo (cuidados habituais), durante 8 semanas, sendo avaliados a gordura abdominal, o colesterol, a capacidade cardiorrespiratória, os hábitos de atividade física e alimentares e a qualidade de vida. Resultados: No estudo 1, após 5 semanas de intervenção de microcorrente e exercício físico, verificou-se uma redução das medidas de gordura abdominal (p<0,05); No estudo 2 observou-se que uma sessão de microcorrente associada ao exercício físico aumentou a taxa lipolítica, através da medição de glicerol (p<0,05), sem alterações significativas na oxidação de ácidos gordos, durante o exercício. No estudo 3, após as 8 semanas de aplicação de microcorrente associada a um programa de exercícios específicos no domicílio ocorreu uma diminuição significativa na gordura subcutânea (p<0,05). O programa de exercício físico de reabilitação cardiovascular no domicílio, per se, aumentou a capacidade cardiorrespiratória, na fase de manutenção (p<0,05). Não se verificaram alterações do colesterol total, dos hábitos alimentares, da atividade física e da qualidade de vida entre os três grupos. Conclusão: A utilização da microcorrente associada ao exercício físico parece ser um meio coadjuvante ao programa de exercícios, na redução do tecido adiposo abdominal em indivíduos saudáveis e em indivíduos após 1 ano de enfarte agudo do miocárdio. O programa de Reabilitação Cardiovascular no domicílio, em fase de manutenção, demonstrou melhoria da capacidade cardiorrespiratória.

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The objective was to compare ethnic differences in anthropometry, including size, proportions and fat distribution, and body composition in a cohort of seventy Caucasian (forty-four boys, twenty-six girls) and seventy-four urban Indigenous (thirty-six boys, thirty-eight girls) children (aged 9–15 years). Anthropometric measures (stature, body mass, eight skinfolds, thirteen girths, six bone lengths and five bone breadths) and body composition assessment using dual-energy X-ray absorptiometry were conducted. Body composition variables including total body fat percentage and percentage abdominal fat were determined and together with anthropometric indices, including BMI (kg/m2), abdominal:height ratio (AHtR) and sum of skinfolds, ethnic differences were compared for each sex. After adjustment for age, Indigenous girls showed significantly (P < 0·05) greater trunk circumferences and proportion of overweight and obesity than their Caucasian counterparts. In addition, Indigenous children had a significantly greater proportion (P < 0·05) of trunk fat. The best model for total and android fat prediction included sum of skinfolds and age in both sexes (>93 % of variation). Ethnicity was only important in girls where abdominal circumference and AHtR were included and Indigenous girls showed significantly (P < 0·05) smaller total/android fat deposition than Caucasian girls at the given abdominal circumference or AHtR values. Differences in anthropometric and fat distribution patterns in Caucasian and Indigenous children may justify the need for more appropriate screening criteria for obesity in Australian children relevant to ethnic origin.

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Tumour necrosis factor (TNF)alpha is implicated in the relationship between obesity and insulin resistance/ type 2 diabetes. In an effort to understand this association better we (i) profiled gene expression patterns of TNF, TNFR1 and TNFR2 and (ii) investigated the effects of TNF on glucose uptake in isolated adipocytes and adipose tissue explants from omental and subcutaneous depots from lean, overweight and obese individuals. TNF expression correlated with expression of TNFR2, but not TNFR1, and TNF and TNFR2 expression increased in obesity. TNFR1 expression was higher in omental than in subcutaneous adipocytes. Expression levels of TNF or either receptor did not differ between adipocytes from individuals with central and peripheral obesity. TNF only suppressed glucose uptake in insulin-stimulated subcutaneous tissue and this suppression was only observed in tissue from lean subjects. These data support a relationship between the TNF system and body mass index (BMI), but not fat distribution, and suggest depot specificity of the TNF effect on glucose uptake. Furthermore, adipose tissue from obese subjects already appears insulin 'resistant' and this may be a result of the increased TNF levels.

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A prevalência de obesidade infantil vem crescendo em todo o mundo e está associada com aumento da morbimortalidade por doenças cardiovasculares na vida adulta. A obesidade na infância, somada às alterações no metabolismo glicêmico e lipídico e ao aumento do estresse oxidativo e estado inflamatório contribuem para o aumento da espessura do complexo médio-intimal da carótida (carotid artery intima-medial thickness - cIMT) em tenra idade, possibilitando o desenvolvimento precoce do processo aterosclerótico. O objetivo deste estudo foi avaliar e comparar a cIMT, os indicadores do metabolismo glicídico e lipídico, o estado oxidativo e antioxidante, a composição corporal e o consumo alimentar em crianças pré-púberes obesas e eutróficas e determinar as inter-relações entre as variáveis. Foram medidos massa corporal total (MCT), estatura (E), circunferência da cintura (CC); glicemia, insulina, colesterol total (CT), lipoproteína de baixa densidade (LDL-colesterol), lipoproteína de alta densidade (HDL-colesterol), ácido úrico, proteína C-reativa ultra-sensível (PCR-us) e capacidade antioxidante (DPPH) sanguíneos; cIMT (USG, General Eletric); consumo alimentar (3 recordatórios de 24 h) para análise de macronutrientes e ácidos graxos. Foram, ainda, calculados o índice de massa corporal por idade (IMC/I) e HOMA-IR. O grupo de crianças obesas (n = 30) apresentava IMC/I acima do p97 (WHO, 2007) cujos dados foram comparados com os de um grupo controle (n = 25), composto por crianças eutróficas, da mesma faixa etária. As análises estatísticas acompanharam as características da amostra para dados não-paramétricos, com graus de significância de p < 0,05. A idade das crianças, em média, foi de 7,8 1,3 anos. A comparação dos indicadores entre os grupos mostrou valores significativamente maiores de MCT, IMC/I, CC, consumo calórico e de carboidratos, CT, LDL-colesterol, insulina, HOMA-IR, ácido úrico, PCR-us e cIMT no grupo de crianças obesas. Foram encontradas associações positivas da cIMT com MCT, IMC/I e CC. Essa última associou-se positivamente com ácido úrico, insulina e HOMA-IR. A PCR-us mostrou associação positiva com MCT, IMC/I, CC, ácido úrico, insulina e HOMA-IR. Os resultados analisados nos permitem concluir que as crianças obesas apresentaram maior massa adiposa abdominal, maior consumo energético, proveniente de carboidratos e valores maiores dos fatores de risco para doenças cardiovasculares do que seus pares eutróficos. Nossos resultados analisados em conjunto, mostram que a obesidade infantil acarreta danos cardiometabólicos que poderão causar prejuízos a saúde na vida adulta. O processo de aterosclerose precoce sofre influência da massa de gordura total e abdominal, a qual está diretamente relacionada à resistência à insulina, ao estado inflamatório e antioxidante. O conhecimento dos fatores de risco desta população deverá embasar estratégias de tratamento com o objetivo de reduzir a morbimortalidade por doenças cardiovasculares na idade adulta.

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A menopausa, fenômeno fisiológico que ocorre em todas as mulheres, em média, aos 51 anos, é acompanhada em cerca de 80% dos casos de sintomas como fogachos, secura vaginal, irritabilidade e insônia, que interferem na qualidade de vida e na produtividade socioeconômica das mulheres, além de predispô-las a doenças crônico-degenerativas, como arteriosclerose, obesidade e distúrbios cardiovasculares. A terapia de reposição hormonal à base de estrógenos, que visa reduzir os incômodos da menopausa, está associada ao aumento do risco de câncer de mama e do endométrio, como foi demonstrado em estudos científicos. Considerando que as mulheres orientais, consumidoras de soja, apresentam doenças crônico-degenerativas e câncer em taxas inferiores às dos países ocidentais, as isoflavonas da soja têm sido testadas em estudos clínicos e experimentais, porém com obtenção de dados até contraditórios. O presente estudo investigou o efeito da administração crônica de isoflavonas de soja no útero, mamas e tecidos adiposo e ósseo de ratas ovariectomizadas. Quarenta ratas Wistar adultas foram distribuídas em quatro grupos experimentais: a) ovariectomizadas: grupo ISO, recebendo isoflavonas de soja (100mg/kg/dia/v.o.); b) ovariectomizadas: grupo BE, recebendo benzoato de estradiol (10g/kg/dia/s.c.); c) ovariectomizadas: grupo OVX, recebendo salina (0,1ml/100g/dia/v.o.); d) controles: grupo FO, recebendo salina (0,1ml/100g/dia/v.o.). Antes e durante os 90 dias de tratamento, foram analisados os esfregaços vaginais, para acompanhamento do ciclo estral, determinação do peso corporal e do consumo de ração semanal. Após esse período, os animais foram anestesiados e o sangue coletado para análise de estradiol e progesterona séricos, por radioimunoensaio; e lipidograma e glicose, por espectrofotometria. Posteriormente, os animais foram sacrificados e necropsiados, coletando-se o útero, mamas, gordura intra-abdominal e fêmur para macroscopia e pesagem. Os tecidos selecionados para o estudo foram corados em HE, analisados por microscopia óptica e histomorfometria, visando investigar alterações do crescimento celular (software V.S NIH Image-J; imagens digitais-optronicos CCD). No grupo tratado com isoflavonas, o peso corporal diminuiu em relação OVX, no qual ocorreu aumento de peso em comparação aos animais falso-operados. O exame macroscópico revelou que o útero diminuiu de peso nas ratas do grupo ISO, semelhante às do OVX. Além disso, a histopatologia das glândulas endometriais não mostrou alterações entre os grupos ISO e OVX. Contudo, o grupo BE apresentou proliferação glandular, pseudoestratificação epitelial, frequentes mitoses típicas, metaplasia escamosa, infiltrado eosinofílico e hidrométrio. A concentração de estradiol no grupo ISO foi semelhante à do OVX. Porém, no grupo BE, o estradiol e o peso uterino apresentaram-se aumentados em relação ao OVX. Não foram observadas diferenças na histomorfometria mamária entre os grupos. Houve redução no peso do tecido adiposo abdominal no grupo ISO, comparado com o OVX, sem identificação de alterações morfológicas significativas, apenas hipotrofia celular, confirmada pela histomorfometria. Apesar de não ter havido diferenças na concentração de glicose, colesterol total e triglicerídeos, entre os grupos, o colesterol-HDL apresentou aumento no grupo ISO. Não houve diferença na densitometria do fêmur entre os grupos avaliados. Esses resultados indicam que o tratamento crônico com isoflavonas de soja, na dose testada, não induz mudanças significativas no útero, mamas e tecidos adiposo e ósseo, sugerindo segurança no tratamento, sem risco para o desenvolvimento de câncer.

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Numerous epidemiological studies have examined the association between physical activity and pancreatic cancer; however, findings from individual cohorts have largely not corroborated a protective effect. Among other plausible mechanisms, physical activity may reduce abdominal fat depots inducing metabolic improvements in glucose tolerance and insulin sensitivity, thereby potentially attenuating pancreatic cancer risk. We performed a systematic review to examine associations between physical activity and pancreatic cancer. Six electronic databases were searched from their inception through July 2009, including MEDLINE and EMBASE, seeking observational studies examining any physical activity measure with pancreatic cancer incidence/mortality as an outcome. A random effects model was used to pool individual effect estimates evaluating highest vs. lowest categories of activity. Twenty-eight studies were included. Pooled estimates indicated a reduction in pancreatic cancer risk with higher levels of total (five prospective studies, RR: 0.72, 95% CI: 0.52-0.99) and occupational activity (four prospective studies, RR: 0.75, 95% CI: 0.59-0.96). Nonsignificant inverse associations were seen between risks and recreational and transport physical activity. When examining exercise intensity, moderate activity appeared more protective (RR: 0.79, 95% CI: 0.52-1.20) than vigorous activity (RR: 0.97, 95% CI: 0.85-1.11), but results were not statistically significant and the former activity variable incorporated marked heterogeneity. Despite indications of an inverse relationship with higher levels of work and total activity, there was little evidence of such associations with recreational and other activity exposures.

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Diet-induced obesity can induce low-level inflammation and insulin resistance. Interleukin-1β (IL-1β) is one of the key proinflammatory cytokines that contributes to the generation of insulin resistance and diabetes, but the mechanisms that regulate obesity-driven inflammation are ill defined. Here we found reduced expression of the E3 ubiquitin ligase Pellino3 in human abdominal adipose tissue from obese subjects and in adipose tissue of mice fed a high-fat diet and showing signs of insulin resistance. Pellino3-deficient mice demonstrated exacerbated high-fat-diet-induced inflammation, IL-1β expression, and insulin resistance. Mechanistically, Pellino3 negatively regulated TNF receptor associated 6 (TRAF6)-mediated ubiquitination and stabilization of hypoxia-inducible factor 1α (HIF1α), resulting in reduced HIF1α-induced expression of IL-1β. Our studies identify a regulatory mechanism controlling diet-induced insulin resistance by highlighting a critical role for Pellino3 in regulating IL-1β expression with implications for diseases like type 2 diabetes.