907 resultados para Woodward
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Includes Woodward Arcade, Hippodrome and Majestic Theatre
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Mode of access: Internet.
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Certains philosophes affirment que les relations causales sont fondées sur les lois de la nature. Cette conception cadre mal avec la réalité des sciences biomédicales et des sciences humaines. Pour se rapprocher de la pratique réelle des diverses sciences, James Woodward propose une conception de la causalité et de l’explication causale fondée sur une relation beaucoup moins exigeante que celle de loi de la nature, qu’il appelle l’invariance. Le but de ce mémoire est de présenter le concept d’invariance et les autres concepts causaux qui s’y rattachent et, d’identifier certaines difficultés, dans le but de cerner l’usage approprié de cette famille de concepts. La conception causale de Woodward suppose que le but de la recherche des causes est pratique plutôt que simplement épistémique : il s’agit pour les agents de s’appuyer sur les causes pour modifier les phénomènes. Cette conception est également non-réductive; elle utilise des contrefactuels et reflète les méthodes expérimentales des diverses sciences. La cohérence de cette conception avec les généralisations causales réelles des sciences fait en sorte qu’elle abandonne l’objectif d’universalité rattaché à la notion de loi de la nature, en faveur d’un objectif de fiabilité temporaire. De plus, comme le critère d’invariance est peu exigeant, d’autres critères doivent lui être ajoutés pour identifier, parmi les relations causales (c’est-à-dire invariantes), les relations les plus susceptibles d’être employées pour modifier les phénomènes de façon fiable.
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Certains philosophes affirment que les relations causales sont fondées sur les lois de la nature. Cette conception cadre mal avec la réalité des sciences biomédicales et des sciences humaines. Pour se rapprocher de la pratique réelle des diverses sciences, James Woodward propose une conception de la causalité et de l’explication causale fondée sur une relation beaucoup moins exigeante que celle de loi de la nature, qu’il appelle l’invariance. Le but de ce mémoire est de présenter le concept d’invariance et les autres concepts causaux qui s’y rattachent et, d’identifier certaines difficultés, dans le but de cerner l’usage approprié de cette famille de concepts. La conception causale de Woodward suppose que le but de la recherche des causes est pratique plutôt que simplement épistémique : il s’agit pour les agents de s’appuyer sur les causes pour modifier les phénomènes. Cette conception est également non-réductive; elle utilise des contrefactuels et reflète les méthodes expérimentales des diverses sciences. La cohérence de cette conception avec les généralisations causales réelles des sciences fait en sorte qu’elle abandonne l’objectif d’universalité rattaché à la notion de loi de la nature, en faveur d’un objectif de fiabilité temporaire. De plus, comme le critère d’invariance est peu exigeant, d’autres critères doivent lui être ajoutés pour identifier, parmi les relations causales (c’est-à-dire invariantes), les relations les plus susceptibles d’être employées pour modifier les phénomènes de façon fiable.
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What characterises late modern variety of cosmopolitanism from its classical predecessors is the inherent connection between cosmopolitanism and technology. Technology enables a vital dimension of the cosmopolitan experience – to move beyond the cosmopolitan imagination to enable active, direct engagement with other cultures. Different types of technologies contribute to cosmopolitan practice but in this paper we focus on a specific set of these enabling technologies: technologies which play a crucial role in regulating the free movement of people and populations. We briefly examine how three of the great surveillance states of the 20th century – Nazi Germany, the Soviet Union, and the German Democratic Republic – used hightech solutions in pursuing an anti-cosmopolitanism. We suggest that in the period from 2001 to the present, important elements of the cosmopolitan ethos are being closed down, and once again high-tech is intimately connected to this moment. The increasing (and proposed) use of identity cards, biometric identification systems, ITS and GIS all work to make the globalised world much harder to traverse and inhibit the full expression and experience of cosmopolitanism. The result of these trends may be that the type of cosmopolitan sentiment exhibited in western countries is an ersatz, emptied out variety with little political-ethical robustness.
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Globality generates increasingly diffuse networks of human and non-human innovators, carriers and icons of exotic, polyethnic cosmopolitan difference; and this diffusion is increasingly hard to ignore or police (Latour 1993). In fact, such global networks of material-symbolic exchange can frequently have the unintended consequence of promoting status systems and cultural relationships founded on uncosmopolitan values such as cultural appropriation and status-based social exclusion. Moreover, this materialsymbolic engagement with cosmopolitan difference could also be rather mundane, engaged in routinely without any great reflexive consciousness or capacity to destabilise current relations of cultural power, or interpreted unproblematically as just one component of a person’s social environment. Indeed, Beck’s (2006) argument is that cosmopolitanism, in an age of global risk, is being forced upon us unwillingly, so there should be no surprise if it is a bitter pill for some to swallow. Within these emergent cosmopolitan networks, which we call ‘cosmoscapes’, there is no certainty about the development of ethical or behavioural stances consistent with claims foundational to the current literature on cosmopolitanism. Reviewing historical and contemporary studies of globality and its dynamic generative capacity, this paper considers such literatures in the context of studies of cultural consumption and social status. When one positions these diverse bodies of literature against one another, it becomes clear that the possibility of widespread cosmopolitan cultural formations is largely unpromising.