999 resultados para Tunis (Tunisia)--History
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This layer is a georeferenced raster image of the historic paper map entitled: North Africa or Barbary : III Tunis and part of Tripoli, Society for the Diffusion of Useful Knowledge ; engraved by J. & C. Walker. This is map 3 of a 5 map set published by George Cox Jan. 1st, 1853. Scale [ca. 1:2,000,000]. Covers portions of Tunisia and Libya, and Malta. The image inside the map neatline is georeferenced to the surface of the earth and fit to a modified 'Europe Lambert Conformal Conic' projection with a central meridian of 12 degrees East. All map collar and inset information is also available as part of the raster image, including any inset maps, profiles, statistical tables, directories, text, illustrations, index maps, legends, or other information associated with the principal map. This map shows features such as drainage, aqueducts, cities, villages and other human settlements, roads, trails, territorial boundaries, tribes, mines, and more. Relief shown by hachures. This layer is part of a selection of digitally scanned and georeferenced historic maps from the Harvard Map Collection as part of the Open Collections Program at Harvard University project: Islamic Heritage Project. Maps selected for the project represent a range of regions, originators, ground condition dates, scales, and purposes. The Islamic Heritage Project consists of over 100,000 digitized pages from Harvard's collections of Islamic manuscripts and published materials. Supported by Prince Alwaleed Bin Talal and developed in association with the Prince Alwaleed Bin Talal Islamic Studies Program at Harvard University.
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by Mounsieur Sanson ; rendred into English and illustrated by Richard Blome ; Francis Lamb Sculpit.
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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
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Paged continuously.
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"This brochure was prepared in the U.S. Army Center of Military History by Charles R. Anderson"--P. [2].
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Partial sequences of the mitochondrial control region and its comparison with previously published cytochrome b (cyt-b) and microsatellite data were used to investigate the influence of island isolation and connectivity on white seabream genetic structure. To achieve this, a total of 188 individuals from four island localities (Castellamare and Mallorca, Mediterranean Sea; Azores and Canary Islands, Atlantic Ocean) and five coastal localities (Banyuls, Murcia and Tunisia, Mediterranean Sea; Galicia and Faro, Atlantic Ocean) were analysed. Results showed high haplotype diversity and low to moderate nucleotide diversity in all populations (except for the Canary Islands). This pattern of genetic diversity is attributed to a recent population expansion which is corroborated by other results such as cyt-b network and demographic analyses. Low differentiation among Mediterranean/Atlantic and coastal/island groups was shown by the AMOVA and FST values, although a weak phylogeographic break was detected using cyt-b data. However, we found a clear and significant island/ distance effect with regard to the Azores islands. Significant genetic differentiation has been detected between the Azores islands and all other populations. The large geographical distance between the European continental slope and the Azores islands is a barrier to gene flow within this region and historic events such as glaciation could also explain this genetic differentiation.
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Morocco was the last North African country in which a Pasteur institute was created, nearly two decades later than in Tunisia and Algeria. In fact, two institutes were opened, the first in Tangier in 1913 and the second in Casablanca in 1932. This duplication, far from being a measure of success, was the material expression of the troubles Pastorians had experienced in getting a solid foothold in the country since the late 19th century. These problems partly derived from the pre-existence of a modest Spanish-Moroccan bacteriological tradition, developed since the late 1880s within the framework of the Sanitary Council and Hygiene Commission of Tangier, and partly from the uncoordinated nature of the initiatives launched from Paris and Algiers. Although a Pasteur Institute was finally established, with Paul Remlinger as director, the failure of France to impose its colonial rule over the whole country, symbolized by the establishment of an international regime in Tangier, resulted in the creation of a second centre in Casablanca. While elucidating many hitherto unclear facts about the entangled origins of both institutes, the author points to the solidity of the previously independent Moroccan state as a major factor behind the troubled translation of Pastorianism to Morocco. Systematically dismissed or downplayed by colonial and postcolonial historiography, this solidity disrupted the French takeover of the country and therefore Pastorian expectations.
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This is the first volume to capture the essence of the burgeoning field of cultural studies in a concise and accessible manner. Other books have explored the British and North American traditions, but this is the first guide to the ideas, purposes and controversies that have shaped the subject. The author sheds new light on neglected pioneers and a clear route map through the terrain. He provides lively critical narratives on a dazzling array of key figures including, Arnold, Barrell, Bennett, Carey, Fiske, Foucault, Grossberg, Hall, Hawkes, hooks, Hoggart, Leadbeater, Lissistzky, Malevich, Marx, McLuhan, McRobbie, D Miller, T Miller, Morris, Quiller-Couch, Ross, Shaw, Urry, Williams, Wilson, Wolfe and Woolf. Hartley also examines a host of central themes in the subject including literary and political writing, publishing, civic humanism, political economy and Marxism, sociology, feminism, anthropology and the pedagogy of cultural studies.
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This paper traces the history of store (retailer-controlled) and national (manufacture controlled)brands; identifies the key historical characteristics of the past 200 years of marketing history;describes the four main time periods of U.S. retail marketing (1800 - 2000); and comments on the most likely developments within the current phases of brand marketing. Will the future focus on technology and new forms of communications? The Internet exemplifies an unconventional retailing environment, with etailer numbers growing rapidly. The central proposition of this paper is that a "cycle of control" - a pattern of marketing developments within the history of retailing and national marketing communications - Can indicate the success of marketing strategies in the future.