958 resultados para State violence


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En el presente trabajo abordamos los textos Los topos, de Félix Bruzzone y Diario de una Princesa Montonera, de Mariana Eva Perez para analizar en ellos los modos de recuperación del pasado reciente ligado con la última dictadura militar argentina desde la mirada de dos hijos de desaparecidos.

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En este artículo abordo los modos en que los ex-obreros del frigorífico Swift de Berisso, evocan los acontecimientos más resonantes de la violencia política, paraestatal y estatal en la década de 1970, ligados a la fábrica. Para ello analizo los relatos, construidos con entrevistas en profundidad, de los ex-obreros que en aquellos años fueron militantes de izquierda y de otros con diversas orientaciones políticas y actitudes frente a la organización gremial. Por un lado, exploro las huellas del disciplinamiento social en las vivencias narradas y el desdibujamiento de su significación en algunos casos. Por otro lado, doy cuenta de la heterogeneidad de sentidos atribuidos a dos expresiones nativas que estructuran los relatos y aluden a dos agrupamientos sociales: los que estaban metidos en algo y lo que no estaban metidos en nada. Muestro el carácter difuso de la frontera entre ambos grupos y algunas valoraciones en torno a la igualación de violencias

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En el presente trabajo abordamos los textos Los topos, de Félix Bruzzone y Diario de una Princesa Montonera, de Mariana Eva Perez para analizar en ellos los modos de recuperación del pasado reciente ligado con la última dictadura militar argentina desde la mirada de dos hijos de desaparecidos.

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Cette thèse propose une ethnographie de la gestion de la population rom en Albanie, saisie sur deux périodes historiques : communisme et postcommunisme. L’analyse porte sur la façon dont divers instruments de gestion des populations en tant que techniques de pouvoir, sont mises en œuvre ; comment une population donnée devient-elle un sujet politique ? Quels sont les effets d’une telle gestion sur les populations en général et sur les populations roms en particulier ? Cette approche, une approche foucaldienne, replace ainsi au centre de l’analyse empirique les politiques, les pratiques et les discours concernant les Roms en Albanie et essaye de saisir les effets qu’ils produisent sur cette population. Cette thèse part de ces éléments pour interroger plus largement les transformations sociétales dans l’Albanie postcommuniste. Ce travail s’inscrit dans le champ de l’anthropologie politique et conjugue à la fois une anthropologie de l’État et une anthropologie de la violence. Il s’articule autour de trois parties. La première porte sur la contextualisation de cette thèse, du point de vue conceptuel, méthodologique et théorique. La deuxième partie propose une analyse des relations que l’État a entretenues avec les Roms pendant la période communiste, phase durant laquelle la population rom a été exposée à diverses mesures administratives visant sa normalisation, à travers une sédentarisation forcée et d’autres mesures coercitives. La troisième partie, précédée par un intermède sur la période de la transition, interroge la relation entre l’État, la violence, la mobilité et la gestion de la population rom en Albanie depuis la chute du communisme. L’analyse se fait à partir d’un cas spécifique, celui des familles roms déplacées et en déplacement aux alentours de Tirana ; une mobilité forcée notamment par peu d’opportunités de sortir de la précarité pour plusieurs familles roms, mais aussi une mobilité induite par les politiques, les pratiques et les discours étatiques, notamment par leur non-action. Au fur et à mesure que l’analyse des pratiques et des discours – complétée par une ethnographie des documents d’archives et dans les quartiers et les campements roms – s’approfondit pendant les deux périodes historiques, elle dévoile de nombreuses – mais différentes – contradictions et controverses au sein du dispositif, lesquelles produisent à leur tour discrimination, exclusion, violence, indifférence et abandon.

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Cette thèse propose une ethnographie de la gestion de la population rom en Albanie, saisie sur deux périodes historiques : communisme et postcommunisme. L’analyse porte sur la façon dont divers instruments de gestion des populations en tant que techniques de pouvoir, sont mises en œuvre ; comment une population donnée devient-elle un sujet politique ? Quels sont les effets d’une telle gestion sur les populations en général et sur les populations roms en particulier ? Cette approche, une approche foucaldienne, replace ainsi au centre de l’analyse empirique les politiques, les pratiques et les discours concernant les Roms en Albanie et essaye de saisir les effets qu’ils produisent sur cette population. Cette thèse part de ces éléments pour interroger plus largement les transformations sociétales dans l’Albanie postcommuniste. Ce travail s’inscrit dans le champ de l’anthropologie politique et conjugue à la fois une anthropologie de l’État et une anthropologie de la violence. Il s’articule autour de trois parties. La première porte sur la contextualisation de cette thèse, du point de vue conceptuel, méthodologique et théorique. La deuxième partie propose une analyse des relations que l’État a entretenues avec les Roms pendant la période communiste, phase durant laquelle la population rom a été exposée à diverses mesures administratives visant sa normalisation, à travers une sédentarisation forcée et d’autres mesures coercitives. La troisième partie, précédée par un intermède sur la période de la transition, interroge la relation entre l’État, la violence, la mobilité et la gestion de la population rom en Albanie depuis la chute du communisme. L’analyse se fait à partir d’un cas spécifique, celui des familles roms déplacées et en déplacement aux alentours de Tirana ; une mobilité forcée notamment par peu d’opportunités de sortir de la précarité pour plusieurs familles roms, mais aussi une mobilité induite par les politiques, les pratiques et les discours étatiques, notamment par leur non-action. Au fur et à mesure que l’analyse des pratiques et des discours – complétée par une ethnographie des documents d’archives et dans les quartiers et les campements roms – s’approfondit pendant les deux périodes historiques, elle dévoile de nombreuses – mais différentes – contradictions et controverses au sein du dispositif, lesquelles produisent à leur tour discrimination, exclusion, violence, indifférence et abandon.

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En La lengua de las mariposas y El lápiz del carpintero Manuel Rivas presenta conflictos y personajes inmersos en el contexto de violencia y opresión desatados por el accionar de las fuerzas franquistas triunfantes en Galicia. Por su parte, uno de los hilos narrativos desarrollados por Eduardo Sacheri en La pregunta de sus ojos, se interna en la relación entre el delito, la impunidad y el castigo en el marco de la violencia estatal que se instala en Argentina en los años anteriores al golpe militar de 1976. En los tres relatos los comportamientos indignos o criminales, cuya génesis es inseparable del terror impuesto por una dictadura u otras formas de violencia emanadas de un poder opresor, disparan interrogantes de complejas respuestas. El concepto de zona gris que acuñó Primo Levi en su obra dedicada a testimoniar su experiencia de deportado en Auschwitz ofrece una vía de reflexión para volver más inteligible la respuesta del ser humano en situaciones límite.

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En La lengua de las mariposas y El lápiz del carpintero Manuel Rivas presenta conflictos y personajes inmersos en el contexto de violencia y opresión desatados por el accionar de las fuerzas franquistas triunfantes en Galicia. Por su parte, uno de los hilos narrativos desarrollados por Eduardo Sacheri en La pregunta de sus ojos, se interna en la relación entre el delito, la impunidad y el castigo en el marco de la violencia estatal que se instala en Argentina en los años anteriores al golpe militar de 1976. En los tres relatos los comportamientos indignos o criminales, cuya génesis es inseparable del terror impuesto por una dictadura u otras formas de violencia emanadas de un poder opresor, disparan interrogantes de complejas respuestas. El concepto de zona gris que acuñó Primo Levi en su obra dedicada a testimoniar su experiencia de deportado en Auschwitz ofrece una vía de reflexión para volver más inteligible la respuesta del ser humano en situaciones límite.

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Del año 2013 al 2015, los indígenas Emberá desplazados en Bogotá, a causa del reconocimiento que el estado les dio por ser sujetos del desplazamiento, estuvieron obligados a encarar dos formas de gubernamentalidad estatal que tuvieron múltiples consecuencias en su vida cotidiana. La primera de estas formas de gubernamentalidad se manifestó en una ciudadanía multicultural (aquí llamada ciudadanía transitoria) la cual, desde el subsidio de vivienda reconocido con albergues en la ciudad, limitó diferentes derechos Emberá bajo el argumento multicultural de que en la ciudad la cultura y, ellos mismos físicamente, eran vulnerables. La consecuencia de este discurso, con el que se les permitió dormir en un techo digno, fue la de obligarlos en buena medida a asumir su vida en la ciudad como un transito hacia el retorno a su territorio de origen, desde donde habían salido, sobre todo, huyendo de la violencia. Por otra parte, la segunda forma de gubernamentalidad tuvo que ver con una serie de itinerarios burocráticos que asumían los Emberá una vez llegaban a la ciudad. Estos eran recorridos que emprendían por diferentes burocracias de los gobiernos nacional y local con el propósito de exigirle al estado el reconocimiento de sus derechos. En cada uno de estos recorridos se desenmascaraba una forma de violencia estatal (característica del funcionamiento de las burocracias) que, como se puede ver en esta tesis, tenía profundas repercusiones en el día a día de los indígenas Emberá dentro de la urbe.

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In the last five years the forces of organised right-wing extremism have made electoral advances across many states in contemporary Europe. Germany has not been immune and the extreme right party, the National Democratic Party of Germany won its first seat in the European Parliament since 1989. The recent successes of the extreme right pose issues for European society about tolerance and immigration policy, but this scene has also been associated with an upsurge in racially motivated political violence and acts of right-wing terrorism. Much of this violence is perpetrated by small neo-Nazi styled groups. This paper looks at the most notorious and recent of such groups to emerge in Germany, the National Socialist Underground. The paper explores the origins and personalities behind this terror cell, provides derails of its criminal activities and murder spree, and questions why it took so long for the authorities to identify the NSU.

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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-06