55 resultados para Snoring


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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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L’activité rythmique des muscles masticateurs (ARMM) pendant le sommeil se retrouve chez environ 60% de la population générale adulte. L'étiologie de ce mouvement n'est pas encore complètement élucidée. Il est cependant démontré que l’augmentation de la fréquence des ARMM peut avoir des conséquences négatives sur le système masticatoire. Dans ce cas, l'ARMM est considérée en tant que manifestation d'un trouble moteur du sommeil connue sous le nom de bruxisme. Selon la Classification Internationale des Troubles du Sommeil, le bruxisme est décrit comme le serrement et grincement des dents pendant le sommeil. La survenue des épisodes d’ARMM est associée à une augmentation du tonus du système nerveux sympathique, du rythme cardiaque, de la pression artérielle et elle est souvent en association avec une amplitude respiratoire accrue. Tous ces événements peuvent être décrits dans le contexte d’un micro-éveil du sommeil. Cette thèse comprend quatre articles de recherche visant à étudier i) l'étiologie de l’ARMM pendant le sommeil en relation aux micro-éveils, et à évaluer ii) les aspects cliniques du bruxisme du sommeil, du point de vue diagnostique et thérapeutique. Pour approfondir l'étiologie de l’ARMM et son association avec la fluctuation des micro-éveils, nous avons analysé le patron cyclique alternant (ou cyclic alternating pattern (CAP) en anglais), qui est une méthode d’analyse qui permet d’évaluer l'instabilité du sommeil et de décrire la puissance des micro-éveils. Le CAP a été étudié chez des sujets bruxeurs et des sujets contrôles qui ont participé à deux protocoles expérimentaux, dans lesquels la structure et la stabilité du sommeil ont été modifiées par l'administration d'un médicament (la clonidine), ou avec l'application de stimulations sensorielles (de type vibratoire/auditif) pendant le sommeil. Dans ces deux conditions expérimentales caractérisées par une instabilité accrue du sommeil, nous étions en mesure de démontrer que les micro-éveils ne sont pas la cause ou le déclencheur de l’ARMM, mais ils représentent plutôt la «fenêtre permissive» qui facilite l'apparition de ces mouvements rythmiques au cours du sommeil. Pour évaluer la pertinence clinique du bruxisme, la prévalence et les facteurs de risque, nous avons effectué une étude épidémiologique dans une population pédiatrique (7-17 ans) qui était vue en consultation en orthodontie. Nous avons constaté que le bruxisme est un trouble du sommeil très fréquent chez les enfants (avec une prévalence de 15%), et il est un facteur de risque pour l'usure des dents (risque relatif rapproché, RRR 8,8), la fatigue des muscles masticateurs (RRR 10,5), les maux de tête fréquents (RRR 4,3), la respiration bruyante pendant le sommeil (RRR 3,1), et divers symptômes liés au sommeil, tels que la somnolence diurne (RRR 7,4). Ces résultats nous ont amenés à développer une étude expérimentale pour évaluer l'efficacité d'un appareil d'avancement mandibulaire (AAM) chez un groupe d'adolescents qui présentaient à la fois du bruxisme, du ronflement et des maux de tête fréquents. L'hypothèse est que dans la pathogenèse de ces comorbidités, il y a un mécanisme commun, probablement lié à la respiration pendant le sommeil, et que l'utilisation d'un AAM peut donc agir sur plusieurs aspects liés. À court terme, le traitement avec un AAM semble diminuer l'ARMM (jusqu'à 60% de diminution), et améliorer le ronflement et les maux de tête chez les adolescents. Cependant, le mécanisme d'action exact des AAM demeure incertain; leur efficacité peut être liée à l'amélioration de la respiration pendant le sommeil, mais aussi à l'influence que ces appareils pourraient avoir sur le système masticatoire. Les interactions entre le bruxisme du sommeil, la respiration et les maux de tête, ainsi que l'efficacité et la sécurité à long terme des AAM chez les adolescents, nécessitent des études plus approfondies.

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Introduction: L’expansion palatine du maxillaire a beaucoup d’effets positifs sur la respiration et la qualité du sommeil, mais peu d'études ont examiné ces données sur des adultes ayant dépassé l’âge permettant de bénéficier d'une expansion palatine conventionnelle. Le but de cette recherche est d’évaluer la stabilité de l’EPRAC (expansion palatine rapide assistée chirurgicalement) et son effet sur les troubles respiratoires après l’ablation des appareils orthodontiques. Méthodes: Neuf patients (Âge moyen 21, entre 16-39 ans) nécessitant une EPRAC ont passé des nuits dans un laboratoire de sommeil, et ce avant l’EPRAC, après l’EPRAC, et après l’ablation des appareils fixes. Les radiographies céphalométriques postéroantérieures ainsi que les modèles d’étude ont été pris pendant ces trois périodes de temps. Résultats: L’analyse des modèles d’étude a démontré une récidive significative au niveau des distances inter-molaires et inter-canines au niveau du maxillaire seulement. Les analyses céphalométriques ont démontré une récidive au niveau de la largeur maxillaire. Aucun changement important n'a été observé dans les stades de sommeil, mais une réduction importante dans l’index de ronflement a été notée. De plus, il y avait moins de changements entre les stades de sommeil. Conclusions: La récidive squelettique est minime et cliniquement non significative. Par contre, les changements dans les distances intermolaires et intercanines sont cliniquement importants. Il semble également qu'une EPRAC ait un effet positif sur la qualité de sommeil par la réduction de l’indice de ronflement ainsi que sur la diminution des changements entre les stades de sommeil.

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Introduction : Le bruxisme du sommeil est un désordre du mouvement décrit comme un mouvement involontaire de la mastication durant le sommeil. Cette parafonction est observée dans 14-38% de la population pédiatrique. Un lien a été trouvé entre les événements respiratoires et les épisodes de bruxisme. L’expansion palatine rapide (EPR) est un traitement orthopédique effectué chez les enfants en croissance pour régler un manque transverse squelettique du maxillaire supérieur. Quelques études ont observé que l’apnée obstructive du sommeil a été diminuée par un traitement d’expansion palatine rapide. Objectifs : Étant donné que le bruxisme est en lien avec des événements respiratoires et que l’expansion palatine rapide augmente la dimension des cavités nasales, l’objectif de la présente étude est d’évaluer la possible réduction du bruxisme après le traitement d’expansion rapide. Méthodes : Ce projet pilote est une étude clinique randomisée contrôlée de patients consécutifs qui a inclus 27 enfants (8-14 ans, 8 garçons et 19 filles) avec ou sans bruxisme du sommeil. Tous ces patients sont venus à la clinique d’orthodontie de l’Université de Montréal et présentaient un manque transverse du maxillaire supérieur (au moins 5 mm). Dans le cadre de l’étude, les patients devaient passer un enregistrement polysomnographique ambulatoire avant le traitement d’expansion palatine (T0) et après l’activation de l’appareil d’expansion (T1). Résultats : Les résultats démontrent une diminution du bruxisme chez 60% (9 patients) de nos patients bruxeurs. L’interaction entre le traitement et les groupes (Br et Ctl) s’est avérée significative (p=0,05 ANOVA mesures répétées), et démontre une diminution du bruxisme chez les bruxeurs (p=0,04, t-test paire). Les médianes (min, max) du groupe avec bruxisme sont passées de 3,11 (2,06; 7,68) à 2,85 (0,00; 9,51). Les paramètres de sommeil sont restés stables (Stade N1/N2/N3, REM, efficacité du sommeil), ainsi que les paramètres respiratoires et le ronflement. Conclusion : Une réduction du bruxisme a été observée lors de cette étude, mais un échantillonnage plus grand est nécessaire pour conclure.

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Problématique : L’édentement et les troubles du sommeil sont des affections chroniques fréquentes chez les personnes âgées et qui peuvent avoir des conséquences défavorables sur le bien-être de ces personnes, ainsi que sur leur qualité de vie. L’édentement pourrait perturber le sommeil par la modification de la structure crânio-faciale et des tissus mous environnants. Cependant, cette relation n'est pas suffisamment documenté. Objectifs : Le but de cette étude pilote était de préparer la mise en œuvre d’une étude clinique randomisée contrôlée concernant l’effet du port nocturne des prothèses complètes sur la qualité du sommeil. Méthodologie : Treize aînés édentés ont participé à cette étude clinique randomisée contrôlée de type croisé. L’intervention consistait à dormir avec ou sans les prothèses durant la nuit. Les participants à l'étude ont été assignés à porter et ne pas porter leurs prothèses dans des ordres alternatifs pour des périodes de 30 jours. La qualité du sommeil a été évaluée par la polysomnographie portable et le questionnaire Pittburgh Sleep Quality Index (PSQI). Les données supplémentaires incluent la somnolence diurne, évaluée par le questionnaire Epworth Sleepiness Scale (ESS), et la qualité de vie liée à la santé buccodentaire, évaluée par le questionnaire Oral Health Impact Profile 20 (OHIP-20). De plus, à travers les examens cliniques et radiologiques, les données des caractéristiques sociodémographiques, de la morphologie oropharyngée, des caractéristiques buccodentaires et des prothèses ont été recueillies. Les modèles de régression linéaire pour les mesures répétées ont été utilisés pour analyser les résultats. Résultats : L’étude de faisabilité a atteint un taux de recrutement à l’étude de 59,1% et un taux de suivi de 100%. Le port nocturne des prothèses dentaires augmentait l’index d'apnée-hypopnée (IAH) et le score PSQI par rapport au non port nocturne des prothèses : (IAH : Médiane = 20,9 (1,3 - 84,7) versus 11,2 (1,9 - 69,6), p = 0,237; le score PSQI : Médiane = 6,0 (3,0 - 11,0) versus 5,0 (1,0 - 11,0), p = 0,248). Cependant, ces différences n'étaient pas statistiquement significatives, sauf que pour le temps moyen d’apnée (plus long avec des prothèses) (p < 0,005) et le temps de ronflement relatif (moins élevé avec des prothèses) (p < 0,05). La somnolence diurne excessive et la qualité de vie liée à la santé buccodentaire étaient semblables pour les deux interventions (le score ESS : Médiane = 4,0 (3,0-10,0) versus 5,0 (2,0-10,0), p = 0,746; le score OHIP-20: Médiane = 31,0 (20,0-64,0) versus 27,0 (20,0-49,0), p = 0,670). L’impact néfaste du port nocturne des prothèses complètes sur le sommeil a été statistiquement significatif chez les personnes souffrant de l’apnée-hypopnée moyenne à sévère (p < 0,005). Conclusion : L’essai clinique pilote a montré que le port nocturne des prothèses complètes a un impact négatif sur la qualité du sommeil des gens âgés édentés, surtout chez les personnes avec l’apnée obstructive du sommeil modérée à sévère. Les résultats doivent être confirmés par l’étude clinique randomisée contrôlée de phase II.

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Objetivo: determinar la frecuencia de las diferentes alteraciones respiratorias durante el sueño (ARS) e hipertensión pulmonar (HTP) y establecer la saturación de oxígeno (SpO2) en vigilia, sueño y durante los eventos en niños con Síndrome Down (SD) a la altura de Bogotá (2640m) de acuerdo a grupos de edad e IMC. Métodos: estudio descriptivo de corte transversal, se incluyeron todos los niños con SD con sospecha de ARS remitidos a polisonograma (PSG) de octubre de 2011 a enero de 2013 a la Fundación Neumológica Colombina (FNC). Se dividieron en 3 grupos: apnea obstructiva, apnea obstructiva y central, sin apneas. Resultados: 74 niños, el 36,5% mujeres, edad media 4 años. 47,3% presento apnea obstructiva, más frecuente en >2 años, 35,1% apnea obstructiva y central, más frecuente en < 2 años y 17,6 % sin apnea. SpO2 promedio en apnea obstructiva 84,63%, apnea obstructiva y central: 81,8% y sin apnea: 86,85% (p 0,058). 23% presento obesidad, 16% con apnea obstructiva. 53 pacientes tenían ecocardiograma: 28% HTP, 53,3% tuvo apnea obstructiva y 26,7 apnea obstructiva y central, no diferencias significativas. SpO2 promedio en HTP 88,3% vigilia, 86,2% sueño REM, 85,7 % sueño no REM, no diferencia significativa comparada con pacientes sin HTP. Conclusiones: Las ARS son frecuentes en los niños con SD, La desaturación está presente en los niños con SD independiente del tipo de apnea. A todos los niños SD se les debe practicar un PSG en el primer año de vida.

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El objetivo de esta investigación es describir la calidad de vida y la calidad del sueño en los pacientes con diagnóstico de Síndrome de Apnea Hipoapnea del sueño, mediante el uso de un grupo de cuestionarios para obtener datos demográficos, la evaluación del grado de somnolencia diurna percibida, la percepción de la calidad del sueño y la percepción de la calidad de vida relacionada con la salud con encuestas en sus respectivas versiones validadas para Colombia.

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Objective : Our purpose was to determine if babies breastfed at 6 months of age were more likely to wake at night and less likely to sleep alone than formula-fed babies.

Patients and Methods :
Data were drawn from the first wave of The Longitudinal Study of Australian Children, an ongoing, nationally representative study of the growth and development of Australia's children. The 4507 participants met the criteria for this study. The measures examined infant sleep problems as the outcome and breastfeeding at 6 months of age as the exposure in addition to the demographic data, maternal mental health, infant birthweight and gestational age at delivery.

Results :
After adjustment for covariates, reports by mothers of infants that breastfed at 6 months of age suggested infants were 66% more likely to wake during the night and 72% more likely to report difficulty sleeping alone. However, breastfeeding had a strongly protective effect on wheezing, coughing, snoring and breathing problems, and it was not associated with restless sleep or problems getting to sleep for the infant.

Conclusions :
Breastfeeding was found to be associated with increased night waking and this is consistent with other studies. There are biological reasons why this might be required to ensure breastfeeding continues to 6 months and beyond. The current low rates of sustained breastfeeding in many Western countries needs to be reconsidered in relation to parental and public health practices promoting prolonged nocturnal infant sleep patterns.

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Objective: To determine the association between insomnia, obstructive sleep apnoea (OSA), and comorbid insomnia- OSA and depression, while controlling for relevant lifestyle and health factors, among a large population-based sample of US adults. Method: We examined a sample of 11,329 adults (≥18 years) who participated in the National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES) during the years 2005-2008. Insomnia was classified via a combination of self-reported positive physician diagnosis and high-frequency 'trouble falling asleep', 'waking during the night', 'waking too early', and 'feeling unrested during the day'. OSA was classified as a combination of a positive response to a physician-diagnosed condition, in addition to a high frequency of self-reported nocturnal 'snoring', 'snorting/stopping breathing' and 'feeling overly sleepy during the day'. Comorbid insomnia-OSA was further assessed by combining a positive response to either insomnia (all), or sleep apnoea (all), as classified above. Depressive symptomology was assessed by the Patient Health Questionnaire-9 (PHQ-9), with scores of >9 used to indicate depression. Odds ratios (ORs) and 95% confidence intervals (CIs) for sleep disorders and depression were attained from logistic regression modelling adjusted for sex, age, poverty level, smoking status and body mass index (BMI). Results: Those who reported insomnia, OSA or comorbid insomnia-OSA symptoms reported higher rates of depression (33.6%, 22.2%, 27.1%, respectively), and consistently reported poorer physical health outcomes than those who did not report sleep disorders. After adjusting for sex, age, poverty level, smoking status and BMI (kg/m2), insomnia (OR 6.57, 95% CI 3.89-11.11), OSA (OR 5.14, 95% CI 3.14-8.41) and comorbid insomnia-OSA (OR 6.67, 95% CI 4.44-10.00) were associated with an increased likelihood of reporting depression. © The Royal Australian and New Zealand College of Psychiatrists 2014.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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The restriction of physical fitness is directly related with hypertension and sleep disorders, while the respiratory muscle strength is associated with hypertension, but the literature is scarce regarding its relationship with sleep disorders and particularly with excessive daytime sleepiness. Objectives: To compare physical fitness and strength of respiratory muscles between people with hypertension with excessive daytime sleepiness (EDS) and non EDS people, those who do not feel excessive daytime sleepiness, in addition to relate aerobics resistance and functional mobility of patients. Methods: An observational, analytical and transversal study, evaluated 32 elderly with hypertension, divided into two groups (EDS and non EDS), in which the following topics were measured; respiratory muscular strength, functional fitness, level of physical activity, level of excessive daytime sleepiness, quality of sleep and intensity of the patients snoring. Results: There was a significant difference in the level of EDS (P=0,00) and quality of sleep (p=0,03), however, the data related to snoring intensity (p=0,18), maximum inspiratory pressure PImax (p=0,39) and maximum expiratory pressure PEmax (p=0,98) did not show any difference. Also, no significant difference was observed concerning physical fitness, presenting p=0,08 for the sitting and getting up test on the chair in 30 ; p=0,54 for the extension and flexing of the elbow test in 30 ; p=0,38 for the walking test 6 ; p=0,38 for the parking gear test 2 , p=0,08 for the sitting and reaching test; p=0,42 for the scratching the back test; p=0,49 for the getting up and walking test; and p=0,62 for the global rate of activity limitation. There was moderate positive correlation between 6MWT and 2MST, r=0,54 (p=0,01) and negative moderate correlation between 6MWT and TUG, r=-0,61 (p=0,000) and between 2MST and TUG, r=-0,60 (p=0,000). Conclusion: The presence of EDS in the hypertension people studied, showed a bad quality of sleep, however this sleepiness did not influence the strength of the respiratory muscles. The physical fitness came out diminished in all hypertension people, regardless of the presence or non presence of sleep disturbance; and there is a close relationship between cardiovascular resistance and physical mobility, since when there is less cardiovascular resistance, there is precarious physical mobility and vice-versa

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Background: Obesity impairment to the pulmonary function related to the magnitude of adiposity and is associated with excessive daytime sleepiness (EDS) and snoring, among others symptoms of respiratory disorders related to sleep. It is possible that obese individuals with excessive daytime sleepiness may make changes in lung function on spirometry monitored during the day as a consequence of fragmented sleep or episodes of nocturnal hypoventilation that cause respiratory and changes that can persist throughout the day. The combination of these findings alone sleepiness observed by subjective scales with pulmonary function in obese patients is unknown. Objective: To assess the influence of EDS and snoring on pulmonary function in morbidly obese and distinguish between different anthropometric markers, the snoring and sleepiness which the best predictors of spirometric function and respiratory muscle strength and endurance of these patients. Methods: We evaluated 40 morbidly obese markers on the anthropometric, spirometric respiratory variables, maximal inspiratory and expiratory pressures (MIP and MEP) and maximal voluntary ventilation (MVV) and the measured excessive daytime sleepiness (the Epworth sleepiness scale) and snoring (snoring scale of Stanford). The data were treated when the differences between the groups of obese patients with and without sleepiness, whereas the anthropometric variables, respiratory and snoring. Pearson's correlation was performed, and multiple regression analysis assessed the predictors of pulmonary function. For this we used the software SPSS 15.0 for windows and p <0.05. Results: 39 obese patients were included (28 women), age 36.92+11.97y, body mass index (BMI) 49.3+5.1kg/m², waist-hip ratio (WHR) 0.96+0.07 and neck circumference (NC) 44.1+4.2 cm. Spirometric values and respiratory pressures were up 80% of predicted values, except for endurance (MVV <80%). Obese with EDS have lower tidal volume. Positive correlation was observed between BMI and EDS, EDS and NC and between snoring and BMI, and negative correlation between EDS and tidal volume (TV), and between snoring and snoring FVC and FEV1. In linear regression the best predictor of pulmonary function was snoring, followed by NC. NC has more obese with higher strength (MEP, p = 0.031) and endurance (MVV p = 0.018) respiratory muscle. Conclusion: Obese with EDS tend to have lower TV. In addition, snoring and NC can better predict pulmonary function in obese when compared with other anthropometric markers or EDS. Obese patients with higher NC tend to have greater capacity for overall strength of respiratory muscles, but may have low muscle endurance

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Introduction: Actually the obesity is a public health problem throughout the world. Bariatric surgery has been an efficient method of weight reduction body in severe obesity, reducing its associated effects and presenting low levels of immediate and late postoperative complications. In Brazil, bariatric surgery asa recent therapeutic that has been growing recently. Being Brazil a country with continental dimensions and with a huge diversity socioeconomic and cultural, it is essential to understand the reality of patients undergoing bariatric surgery in less economically privileged regions of Brazil. Objectives: To evaluate the epidemiological, clinical outcomes and mortality of patients undergoing videolaparoscopic bariatric surgery through the public health system in the Brazilian state of Rio Grande do Norte- Brazil. Methods: Observational descriptive study of a prospective, carried out from February 2009 to February 2011, the Clinic Obesity and Bariatric Surgery at Universitary Hospital Onofre Lopes - Federal University of Rio Grande do Norte (HUOL-UFRN). Anthropometric measures, comorbidity and deaths register were made in the postoperative period. Results: Seventy patients (54 women) with low income aged 22 to 63 years completed the study. We recorded the death of three patients during the study period. The results show significant decrease anthropometric parameters, especially in relation to body weight, waist circumference and hipin both sexes. Only Waist / Hip ratio showed no difference after intervention in male patients It had a resolution of comorbidities. No significant differences in reports of daily sleepiness and the snoring male patients. Conclusion: Our findings attest laparoscopic bariatric surgery as an effective method reducing weight and comorbidities in morbidly obese patients

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A prevalência de SAOS em crianças é de 0,7-3%, com pico de incidência nos pré-escolares. Fatores anatômicos (obstrução nasal severa, más-formações craniofaciais, hipertrofia do tecido linfático da faringe, anomalias laríngeas, etc.) e funcionais (doenças neuromusculares) predispõem à SAOS na infância. A principal causa da SAOS em crianças é a hipertrofia adenotonsilar. As manifestações clínicas mais comuns são: ronco noturno, pausas respiratórias, sono agitado e respiração bucal. A oximetria de pulso noturna, a gravação em áudio ou vídeo dos ruídos respiratórios noturnos e a polissonografia breve diurna são métodos úteis para triagem dos casos suspeitos de SAOS em crianças, e o padrão-ouro para diagnóstico é a polissonografia em laboratório de sono durante uma noite inteira. Ao contrário dos adultos com SAOS, as crianças costumam apresentar: menos despertares associados aos eventos de apnéia, maior número de apnéias/hipopnéias durante o sono REM e dessaturação mais acentuada da oxihemoglobina mesmo nas apnéias de curta duração. O tratamento da SAOS pode ser cirúrgico (adenotonsilectomia, correção de anomalias craniofaciais, traqueostomia) ou clínico (higiene do sono, pressão positiva contínua nas vias aéreas - CPAP).

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OBJETIVOS: Avaliar os efeitos da utilização do biofeedback respiratório (BR) associado ao padrão quiet breathing sobre a perimetria torácica, função pulmonar, força dos músculos respiratórios e os seguintes hábitos de respiradores bucais funcionais (RBF): vigília de boca aberta, boca aberta durante o sono, baba no travesseiro, despertar difícil, ronco e sono inquieto. MÉTODOS: Foram avaliadas 20 crianças RBF, as quais foram submetidas a 15 sessões de BR por meio do biofeedback pletsmovent (MICROHARD® V1.0), o qual proporciona o biofeedback dos movimentos tóraco-abdominais. Perimetria torácica, espirometria e medidas das pressões respiratórias máximas estáticas foram realizadas antes e após a terapia. Questões respondidas pelos responsáveis foram utilizadas para avaliar os hábitos dos RBF. Os dados foram analisados por meio de teste t de Student para dados pareados e testes não paramétricos. RESULTADOS: O uso do BR associado ao padrão quiet breathing não produziu alterações significativas na perimetria torácica e nos valores de volume expiratório forçado no primeiro segundo (VEF1), capacidade vital forçada (CVF), pico de fluxo expiratório (PFE), índice de Tiffeneau (IT) e na pressão expiratória máxima (PEmáx). Entretanto, a pressão inspiratória máxima (PImáx) apresentou diferença estatisticamente significativa (-53,6 ± 2,9 cmH2O vs. -65,0 ± 6,0 cmH2O; p< 0,05) e ocorreram mudanças significativas nos hábitos avaliados. CONCLUSÃO: Os resultados permitem concluir que o BR associado ao padrão quiet breathing melhora a força da musculatura inspiratória e hábitos em RBF, podendo ser, portanto, utilizado como uma das formas de terapia nesses indivíduos.