980 resultados para Sens de l’Histoire


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Wydział Neofilologii Instytut Filologii Romańskiej

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Il y a un malentendu en ce qui concerne l’expression « Le media est le message » de Marshall McLuhan, car l'on méprend le sens du mot anglais médium pour l’acception canadienne de média, comme dans l’expression mass media/médias de masse. Dans cet article, Mark Federman, nous apprend qu’un media est une extension de l’être humain et que le message est le changement que le media suscite dans notre environnement.

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Il y a un malentendu en ce qui concerne l’expression « Le media est le message » de Marshall McLuhan, car l'on méprend le sens du mot anglais médium pour l’acception canadienne de média, comme dans l’expression mass media/médias de masse. Dans cet article, Mark Federman, nous apprend qu’un media est une extension de l’être humain et que le message est le changement que le media suscite dans notre environnement.

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This article presents the poetics of Paul Celan with regard to the constitution of the subject in poetry and the anthropological dimension of poetics.

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Staged as an attempt to ‘bring together Shakespeare’s plays and Tang Xian Zu’s classical Kunqu opera, The Peony Pavilion,’ (Ong, Programme Notes) Awaking stands as Singapore Director Ong Keng Sen’s most recent and prominent attempt at engaging issues of the intercultural through music and sound. While Ong’s previous intercultural projects sought to explore the politics of intercultural performance through the exchange, layering, confrontation and inter-mixing of Asian performance modes as visual aesthetics, Awaking is a performance at the borders of theatrical and musical conventions, as it features the music and musicians as central performative devices of staging the intercultural. Northern Kunqu opera, Chinese classical music and Elizabethan folk tunes from Shakespeare’s plays were re-moved, re-contextualised, and juxtaposed to explore ‘differing yet connected philosophies on love, death, and the afterlife’ (Awaking, Publicity). These humanist and ‘universal’ themes found expression in the ‘universal’ language of music. Through a study of the musicalities and sonic expressions of Awaking, the paper seeks to explore the implications of such cultural-musical juxtapositions. The paper engages, specifically, with the problematics and possibilities of music as a ‘universal language’ as implied by Ong’s concordance of Eastern and Western sounds in the final act. It further considers the politics of an intercultural soundscape and the acoustemologies of such an intercultural approach.

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Arguably, the myth of Shakespeare is a myth of universality. Much has been written about the dramatic, thematic and ‘humanistic’ transference of Shakespeare’s works: their permeability, transcendence of cultures and histories, geographies and temporalities. Located within this debate is a belief that this universality, among other dominating factors, is founded upon the power and poeticism of Shakespeare’s language. Subsequently, if we acknowledge Frank Kermode’s assertion that “the life of the plays is the language” and “the secret (of Shakespeare’s works) is in the detail,” what then becomes of this myth of universality, and how is Shakespeare’s language ‘transferred’ across cultures? In Asian intercultural adaptations, language becomes the primary site of confrontation as issues of semantic accuracy and poetic affiliation abound. Often, the language of the text is replaced with a cultural equivalent or reconceived with other languages of the stage – song and dance, movement and music; metaphor and imagery consequently find new voices. Yet if myth is, as Roland Barthes propounds, a second-order semiotic system that is predicated upon the already constituted sign, here being language, and myth is parasitical on language, what happens to the myth of Shakespeare in these cultural re-articulations? Wherein lies the ‘universality’? Or is ‘universality’ all that it is – an insubstantial (mythical) pageant? Using Ong Keng Sen’s Search Hamlet (2002), this paper would examine the transference of myth and / as language in intercultural Shakespeares. If, as Barthes argues, myths are to be understood as metalanguages that adumbrate social hegemonies, intercultural imaginings of Shakespeare can be said to expose the hollow myth of universality yet in a paradoxical double-bind reify and reinstate this self-same myth.

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Cette recherche pose la question du sens de la création chez la personne qui se prépare à enseigner les arts visuels au primaire et au secondaire. Bien que plusieurs chercheurs en éducation artistique s'entendent sur le fait qu'au coeur de la formation à l'enseignement des arts réside la formation à la création, étonnamment, il semble que la formation à la création est peu probante à cet égard. En effet, plusieurs étudiantes ou étudiants, lorsqu'ils sont en stage, ont tendance à utiliser une approche peu significative et particulièrement centrée sur la technicité des procédés artistiques, et ce, bien que la finalité de l'enseignement des arts repose sur la transmission des conduites créatrices. Avant de se demander comment il se fait qu'il en soit ainsi, nous avons souhaité remonter en amont de cette interrogation pour comprendre quel est justement le sens qu'ils attribuent à la création, et ce, non seulement depuis le début de leur formation universitaire mais bien au cours de leur existence.Cette recherche a été réalisée auprès de huit étudiantes et étudiant de la première cohorte du nouveau programme de baccalauréat en enseignement des arts d'une université issue d'un milieu urbain. La méthodologie retenue relève de la combinaison de l'approche du récit de vie associée à celle de la phénoménologie. L'entretien biographique est le principal instrument de cueillette des données. L'analyse des données s'est effectuée au moyen de l'examen phénoménologique et de la théorisation ancrée. L'examen phénoménologique a fait état de ce qu'il y a de particulier à chacune des personnes participant à la recherche en traduisant leur vécu artistique et en précisant également les motivations intrinsèques qui orientent leur choix de carrière. La théorisation ancrée a permis d'articuler les récits autour de trois logiques. Elles relèvent des logiques ontologique, épistémologique et sociale (Fabre, 2000). Les résultats de la recherche ciblent trois mouvements dominants:"l'être vers la création","l'être vers l'autre" et"la création vers l'enseignement des arts". Chacun de ces mouvements comporte différentes caractéristiques et s'inscrit dans une structure dynamique qui montre comment le sens de la création fonde l'enseignement des arts.

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F. 407-513. La Légende de saint Julien l’Hospitalier. F. 407-480. Brouillons foliotés par l’auteur (alternance de chiffres arabes, ou romains, de lettres) : page de titre portant « St Julien l’hospitalier/Brouillons » (f. 407). Les feuillets sont utilisés recto-verso, les versos étant rédigés tête bêche (sauf f. 414v, 451v, 480v). Les rectos et les versos peuvent se rapporter à des chapitres différents. F. 481-513. La Légende de saint Julien l’Hospitalier. Notes, plan, scénario. F. 481-486, 490, 495-513. Notes et plan de 1856 : notes sur l’architecture militaire (f. 481-486) ; notes sur la chevalerie, extraites de Jean-Baptiste de La Curne de Sainte Palaye, Mémoires sur l’ancienne chevalerie (f. 495-496) ; notes sur la chasse (f. 497) ; notes extraites du Mesnagier de Paris (f. 498-501, 503bis-504) ; notes extraites de Jean-Baptiste-Jacques Le Verrier de la Conterie, L’Ecole de la chasse au chien courant (f. 502-503) ; notes extraites de Jacques Du Fouilloux, La Vénerie (505-510v) ; notes et dessins de bois de cerfs et de « fumées » d’après Jacques Du Fouilloux (f. 511-512) ; notes sur la vénerie (f. 513) ; plan en cinq parties (f. 490). F. 487-489, 491-494. Notes et scénario de 1875 : « Cerf » (f. 487) ; « Vol » (f. 488) ; « Vautrait » (f. 489) ; « Pièges » (f. 491) ; « Chiens » (f. 491v) ; scénario de 1875, chapitre I (f. 492), chapitre II (f. 493), chapitre III (f. 494). F. 514-759. Hérodias. F. 514-536v. Manuscrit de travail incomplet d’une grande partie du chapitre I, foliotée 7-29 par l’auteur : page de titre portant : « Herodias/Ms incomplet. » (f. 514) ; fin du chapitre I (f. 515-516) ; chapitre II (f. 517-526) ; chapitre III (f. 527-536) ; au f. 536v, brouillon, rédigé tête-bêche, d’un passage du chapitre I. F. 537-656. Brouillons foliotés par l’auteur (alternance de chiffres arabes, ou romains, de lettres) : page de titre portant « Herodias/brouillons » (f. 537) ; chapitre I (f. 538-551) ; chapitre II (f. 552-615) ; chapitre III (f. 616-656) daté : « mercredi soir 31 janvier 1877/ 10h 10m » (f. 656). Les feuillets sont utilisés recto-verso, les versos étant rédigés tête bêche ; les rectos et les versos peuvent se rapporter à des chapitres différents. F. 657-759. Hérodias. Notes et scénarios parfois foliotés par l’auteur (alternance de chiffres arabes, ou romains, de lettres) : page de titre portant « Herodias./notes. » (f. 657). F. 658-701. Notes de lecture et de travail : notes de lecture extraites de Etienne-Marc Quatremère, Mémoire sur les Nabatéens (f. 658) ; notes de lecture extraites de Henry-Baker Tristram, The Land of Moab (f. 659) ; notes de lecture extraites d’Auguste Parent, Machaerous (f. 660-661) ; notes de lecture sur Jérusalem (f. 662) ; notes de lecture extraites de Joseph Derenbourg, Essai sur l’histoire et la géographie de la Palestine (f. 663-664) ; notes de lecture extraites de Champagny, Rome et la Judée au temps de la chute de Néron (f. 665) ; notes sur l’histoire biblique (f. 666) ; « Romains » (f. 667-668) ; notes extraites de Suétone sur Auguste, Tibère et Vitellius (f. 669) ; « Mœurs romano-orientales » (f. 670) ; notes de lecture extraites de Flavius Josèphe, la Guerre des Juifs (f. 671-674, 692) ; « Parthes » (f. 675-676) ; « Arabes » (f. 677) ; « Religions orientales et romaines » (f. 678) ; notes sur la magie (f. 679) ; « Doctrines religieuses des juifs » (f. 680) ; « St Jean Baptiste » (f. 681) ; « Jean Baptiste/évangiles » (f. 682) ; « Juifs » (f. 683-684) ; « Prophètes » (f. 685-686) ; « Psaumes » (f. 687) ; notes sur l’histoire biblique (f. 688) ; « Apocryphes » (f. 689-690) ; « Juifs » (f. 691) ; « Festins » (f. 693) ; notes de lecture extraites de Smith, Dictionnary of the Bible (f. 694) ; « Machabées » (f. 695) ; notes de lecture extraites de Félicien de Saulcy, Histoire d’Hérode (f. 696-697) ; « Administration militaire et religieuse » (f. 698) ; « Paysages, notes de voyage » (f. 699) ; « Festin » (f. 700) ; « Personnages » (f. 701). F. 701v-759. Scénarios et brouillons. Quelques feuillets portent des notes diverses : « Personnages » (f. 702) ; « Festin » (f. 703) ; « Résumé » en trois parties (f. 704) ; « Machaerous » (f. 705) ; « Sens du mot messie »(f. 706) ; « Messie (f. 707) ; notes pour la scène du festin (f.740, 744v) ; notes de lecture extraites de Saulcy et de Renan (f. 741-743v) ; « St jean » (f. 747) ; notes sur l’histoire biblique (f. 756).