1000 resultados para Saint Lawrence Iroquoians
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Ce mémoire porte sur l’étude des macrorestes végétaux provenant du site villageois Droulers occupé durant la 2e moitié du XVe siècle par une communauté iroquoienne du Saint-Laurent. Il vise à vérifier les pratiques de ces habitants en ce qui a trait à la part végétale de leur alimentation à moins d’un siècle avant la fin de la préhistoire. Des vestiges découlant de la pratique de l’agriculture et de la cueillette sont présents sur différents contextes du site. L’analyse de ces derniers permet d’établir l’importance de ces activités dans la vie quotidienne des habitants du site. Ainsi, il est possible de valider l’importance du maïs dans le mode de subsistance de ce groupe par l’ubiquité de cette espèce sur le site. Le maïs est effectivement l’espèce végétale la plus présente dans les différents contextes étudiés. La présence de cette espèce jumelée à celle du haricot en quantité considérable et à celle de la courge démontre la pratique de l’agriculture des Trois Soeurs au site Droulers, une pratique documentée historiquement par les premiers chroniqueurs. Les macrorestes de fruits et de noix sont relativement bien représentés sur le site ce qui suggère la place importante de la cueillette dans la diète des habitants de Droulers. L’étude comparative synchronique et diachronique de ces macrorestes avec ceux recueillis ailleurs en Iroquoisie aide à mieux situer le degré d’importance des activités mentionnées ci-haut au site Droulers par rapport à celui sur d’autres sites plus anciens, contemporains et plus récents du même grand groupe culturel. La majorité des fruits présents sur ce site étaient également cueillis par les groupes proto-iroquoiens Glen Meyer et Princess Point et par d’autres groupes iroquoiens (préhistoriques et historiques). Le degré d’utilisation des fruits sauvages sur le site Droulers est en continuité avec celui des groupes apparentés plus anciens et plus récents. L’utilisation des cultigènes et des noix par les occupants du site Droulers est comparable à celle d’autres groupes iroquoiens.
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Ce mémoire tente d’établir la position sociale et culturelle de la communauté villageoise du XVᵉ siècle du site Droulers dans l’espace iroquoien du Saint-Laurent. À partir d’une analyse morpho-stylistique de la poterie, et particulièrement les vases décorés au dentelé, ce mémoire examine la variabilité culturelle du site et sa participation au sein de la sphère d’interactions des Iroquoiens du Saint-Laurent. La comparaison des tendances stylistiques de Droulers et des communautés voisines contribue ainsi à cerner la position chronologique ainsi que l’apparentement culturel du site au sein de sa région immédiate et des régions occidentale et centrale. Les caractères stylistiques à la fois conservateurs et progressistes relevés sur le site Droulers lui sont propres et expriment à la fois l’homogénéité du site et une certaine indépendance stylistique au sein de sa région. Sur cette base, nous avons déterminé que l’usage du dentelé n’a pas une valeur chronologique fiable à des fins de sériation dans le cas spécifique de Droulers, mais qu’il peut toutefois servir comme marqueur régional distinctif. Cet attribut ainsi que d’autres tendances régionales significatives nous ont ainsi servi à mieux cerner les similarités stylistiques entre les sites et à déterminer que Droulers s’apparente plus particulièrement aux sites Mandeville et Lanoraie, et dans une moindre mesure au site McIvor. De plus, nous avons pu établir que le site Droulers s’intègre dans un réseau d’interactions complexe, le rapprochant de communautés situées autant à l’Est qu’à l’Ouest le long de la vallée du Saint-Laurent. Finalement, l’ensemble des tendances morpho-stylistiques confirme la position chronologique du site, soit à la fin du XVᵉ siècle, et ce malgré une proportion importante du décor au dentelé, traditionnellement considéré comme une caractéristique des sites plus anciens.
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En archéologie, l’identification des identités culturelles spécifiques pose souvent problème. Cependant, lorsqu’on en arrive à la fin de la Paléohistoire et plus particulièrement au cours de la Protohistoire, les vestiges archéologiques trouvent alors des alliées sous la forme de sources littéraires et iconographiques qui documentent tant bien que mal la géographie humaine de l’époque. Sur le bassin hydrographique de la rivière Saguenay, quelques-unes de ces mentions révèlent que se trouvaient au cours de la Protohistoire un certain nombre de groupes distincts parmi lesquels des Iroquoiens du Saint-Laurent, des Montagnais de Tadoussac, des Kakouchacks et autres groupes du Nord. Les vestiges archéologiques des 393 sites archéologiques qui comptent au moins une composante de la Protohistoire ou de la Paléohistoire récente sur le bassin hydrographique de la rivière Saguenay ont été mis à contribution afin de déterminer si ce qui est mentionné où illustré dans les documents historiques est vérifiable du point de vue archéologique. Que ce soit les vestiges céramiques, lithiques, ostéologiques ou autres, ceux-ci ont en effet révélé certaines tendances qui ne peuvent s’expliquer que par des trames culturelles spécifiques. Après avoir constaté la présence de cette mosaïque culturelle au cours de la Protohistoire, le défi était de déterminer depuis quand celle-ci s’était mise en place et surtout d’en identifier les causes. Si l’environnement très variable qui caractérise le bassin hydrographique de la rivière Saguenay (incluant le lac Saint-Jean) a certes joué un rôle, d’autres événements ou comportements ont assurément contribué à diversifier les populations. Parmi ceux-ci, il y a la provenance des populations qui fréquentaient la rivière et ses affluents, les axes de circulations qu’ils empruntaient dans le cadre de leur cycle saisonnier, de même que le contexte des échanges qui se pratiquaient à l’échelle pan-bassin hydrographique. Tous ces aspects ont assurément joué un rôle dans la détermination de ce qu’était une population des basses terres du lac Saint-Jean versus une population du Bas-Saguenay.
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English abstract: We hypothesized that the arctic fox, Alopex lagopus (Linnaeus), population on St. Lawrence Island was cyclic and that its fluctuations in size. structure, and productivity were correlated with the relative size of the population of northern voles, Microtus oeconomus Pallas, the primary prey. Based on a nine-year study, we determined that the variations in size of the fox and vole populations were similar, but they both were of low amplitude and not closely correlated. The high pregnancy rate (mean, 86%/yr) and numbers of young conceived (mean, 11.5/pregnancy) did not vary significantly among years, probably because of the consistently abundant and diverse food supply available to the foxes. The age composition of the trappers' catch of foxes each winter also was comparatively stable, but it was closely correlated with the size of the vole population in the previous summer. The survival of the young foxes during the summer probably was dependent on the availability of the voles, The composition of the catch also appeared to be influenced by immigration of faxes from the adjacent continents via the pack ice. French abstract: Nous avons émis I'hypothèse que la population du renard arctique, Alopex lagopus (Linnaeus), sur I'île Saint Lawrence était cyclique el que les fluctuations concernant sa tailIe, sa structure et sa productivité étaient corrélées à la taille relative de la population du campagnol nordique. Microtus oeconomus Pallas, sa principale proie. En nous appuyant sur une étude menée sur neuf ans, nous avons déterminé que les variations dans la taille des populations du renard et du campagnol étaient semblables. mais que toutes deux avaient une faible amplitude et n'étaient pas corrélées de façon étroite. Le taux de grossesse élevé (moyenne 86 p. cent/an) et Ie nombre dc petits conçus (moyenne 11,5/grossesse) ne variaient pas de façon significative au cours des ans, probablement à cause de I'abondance et de la variété de sources de nourriture pour les renards. La composition d'âge des prises des trappeurs était également stable d'un hiver à I'autre, mais elle était corrélée de façon étroite avec la taille de la population dc campagnols au cours de I'été précédent. La survie des renardeaux au cours de I'été dépendait probablement de la disponibilité des campagnols. La composition des prises semblait aussi être influencée par I'immigration des renards venant des terres continentales adjacentes par la voie de la banquise.
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Bien que l’os soit une matière première ayant joué un rôle essentiel au sein des activités quotidiennes des Iroquoiens du Saint-Laurent, il existe à ce jour très peu d’analyses systématiques de l’outillage en os et des débris de fabrication retrouvés en Iroquoianie. Afin de pallier ces lacunes, ce mémoire de maitrise porte sur l’analyse des vestiges en os ouvragés récupérés sur le site villageois Mailhot-Curran (BgFn-2), occupé durant le Sylvicole supérieur tardif par une communauté iroquoienne du Saint-Laurent. Plus précisément, l’étude consiste à analyser l’industrie osseuse en portant une attention particulière aux déchets de fabrication. Cet examen attentif a pour principal objectif de documenter les modes de gestion et de sélection de la matière première ainsi que d’améliorer la compréhension des techniques préhistoriques employées pour la fabrication des objets en os. Au moyen d’analyses technologiques, zooarchéologiques et tracéologiques, il sera possible de classifier les déchets de fabrication, de documenter leur origine technologique et, ultimement, de reconstituer un certain nombre de chaines opératoires. Une étude détaillée de la distribution spatiale des artéfacts permettra également de mieux comprendre l’organisation des activités dans l’espace villageois. Ce mémoire a aussi pour objectif de fournir des balises méthodologiques et empiriques relatives à l’étude des déchets de fabrications en os, afin de démontrer la pertinence de considérer ces derniers dans la compréhension des systèmes socioéconomiques et culturels.
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Bien que l’os soit une matière première ayant joué un rôle essentiel au sein des activités quotidiennes des Iroquoiens du Saint-Laurent, il existe à ce jour très peu d’analyses systématiques de l’outillage en os et des débris de fabrication retrouvés en Iroquoianie. Afin de pallier ces lacunes, ce mémoire de maitrise porte sur l’analyse des vestiges en os ouvragés récupérés sur le site villageois Mailhot-Curran (BgFn-2), occupé durant le Sylvicole supérieur tardif par une communauté iroquoienne du Saint-Laurent. Plus précisément, l’étude consiste à analyser l’industrie osseuse en portant une attention particulière aux déchets de fabrication. Cet examen attentif a pour principal objectif de documenter les modes de gestion et de sélection de la matière première ainsi que d’améliorer la compréhension des techniques préhistoriques employées pour la fabrication des objets en os. Au moyen d’analyses technologiques, zooarchéologiques et tracéologiques, il sera possible de classifier les déchets de fabrication, de documenter leur origine technologique et, ultimement, de reconstituer un certain nombre de chaines opératoires. Une étude détaillée de la distribution spatiale des artéfacts permettra également de mieux comprendre l’organisation des activités dans l’espace villageois. Ce mémoire a aussi pour objectif de fournir des balises méthodologiques et empiriques relatives à l’étude des déchets de fabrications en os, afin de démontrer la pertinence de considérer ces derniers dans la compréhension des systèmes socioéconomiques et culturels.
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In March 1931, Captain Bruce Angus was sent to Sarnia by Gordon C. Leitch, general manager of Toronto Elevators. He was sent to inspect the Sarnian to ensure it was still seaworthy. Leitch was a savvy business man, who had been active in the business community for a number of years. Leitch began his career with a partner in the lumber business. When that went under he moved into graineries and worked for the Winnipeg Wheat Pool for 12 years. After Winnipeg he moved to Toronto, which was closer to his home town of Ridgetown, Ontario. In Toronto Leitch became manager of the Toronto branch of the Canadian Wheat Pool. While managing the wheat pools in Toronto Leitch became aware of huge costs associated with shipping the grains from the praries into the Toronto area. He felt that there was no need for such costs and decided to do something to make them better and cheaper for the business. Originally the grain was loaded onto Lakers that would bring the grain from the praries to Lake Huron and Georgian Bay. It was stored there until needed by the Toronto graineries and then hauled across land by either truck or train. The land journey was the most expensive and the one which Leitch wanted to eliminate. This was a fine plan except for 2 obstacles that were quickly overcome. First of all the Welland canals were not large enough to accommodate the large carriers that were bringing in the grain. This was changing as the expansion and widening of the canals was already underway. The second issue was the lack of storage in Toronto for the grain. The grain elevators had been destroyed by fire in the late 1880s and never replaced. Leitch propsed his company built its own storage elevators along the water front to allow not only for easier access to the grain, and more timely production of products. The elevators would aslo create a reduction in shipping costs and an overall more competitoive price for the customers of the grainery. The company refused, so Leitch went elsewhere to friends and contacts within the grain industry. The elevators were built and Leitch quit his job with the Canadian Wheat Pool and became the general manager of the elevators. Although the elevators were built and ready for storage the next issue was filling them. None of the carriers wanted to do business with Leitch because the competition in Georgian Bay threatened to cancel their contracts if they did. Leitch saw no way around this, but to provide his own transportation. This is when he sent Captain Bruce Angus to scout out potential ships. The ship was purchased for $37,000 and after another $30,000 was spent to fix it up, it was ready for business. The need for transportation and the finding of a seaworthy ship, lead to the beginnings of the Northland Steamship Company. The Sarnian proved to not be enough for the business underway. Leitch decided another ship was necessary. He joined forces with James Norris the owner of the Norris Grain Company. He proposed they join forces to create a more economical means of transportating their products.
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This archive contains materials relating to the Great Lakes Waterways Development Association. The collection contains correspondence, financial information, clippings, biographical materials, media releases, presentations and publications. The bulk of the materials are correspondence.
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Sailing schedule and trip guide for Canada Steamship Lines Limited for the year 1923
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Includes schedules and rates.
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Sailing schedule and trip guide for Canada Steamship Lines Limited for the year 1917.
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Sailing schedule and trip guide for Canada Steamship Lines Limited for July 1916.
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Sailing schedule and trip guide for Canada Steamship Lines Limited for July 1915.
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Descriptive of that delightful trip down the River St. Lawrence and up the world-famed Saguenay. The finest inland water trip in the world.