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La pierre et l'image. Etude monographique de l'église de Saint-Chef en Dauphiné: L'ancienne abbatiale de Saint-Chef-en-Dauphiné est située dans l'Isère, à 10 km de Bourgoin-Jallieu et à 2 km de l'ancienne voie romaine qui joignait Vienne à Aoste par le col du Petit-Saint-Bernard. L'abbaye dépendait, dès sa fondation, des archevêques de Vienne, dont la cité se trouvait à 70 km plus à l'ouest. Selon le récit de l'archevêque Adon de Vienne, écrit à la fin du IXe siècle, l'abbaye de Saint-Chef aurait été fondée au cours du VIe siècle par saint Theudère sur un territoire appartenant à sa famille, le Val Rupien. D'abord dédié à la Vierge le monastère est placé, dès l'époque carolingienne, sous le double patronage de la Vierge et du saint fondateur, dont les reliques furent déposées dans l'église. Sans doute détruite et abandonnée lors des guerres bosonides qui provoquèrent la ruine de Vienne (882), l'abbaye est restaurée quelques années plus tard par des moines venus de Champagne : en 887 les moines de Montier-en-Der, fuyant leur abbaye menacée par les invasions normandes, trouvent refuge à Saint-Chef. Afin de promouvoir la reconstruction de l'abbaye, l'archevêque Barnoin, soutenu par Louis l'Aveugle, roi de Bourgogne, lui offrent des privilèges d'exemption et plusieurs donations. Signe de la renommée et de la prospérité dont bénéficiait alors le monastère, Hugues, héritier de Louis l'Aveugle, y reçoit son éducation. Vers 925 ou 926, alors que la Champagne est à. nouveau pacifiée, les moines de Montier-en-Der regagnent leur abbaye d'origine après avoir reconstruit, selon les sources, le « petit monastère de Saint-Chef ». L'abbaye dauphinoise n'est pas pour autant abandonnée et reste vraisemblablement en contact avec les moines champenois : en 928, Hugues de Provence fait des donations importantes d l'abbaye qui est alors formellement placée sous la juridiction de l'Eglise de Vienne. En 962, le Viennois est intégré au royaume de Bourgogne puis, en 1032, au domaine impérial. Construction de l'abbaye : Après le départ des moines de Montier-en-Der, l'église dauphinoise a vraisemblablement été reconstruite par saint Thibaud, archevêque de Vienne entre 970 et l'an mil. Ayant peut-être reçu son éducation dans l'abbaye dauphinoise, il est enterré dans l'église qui, selon certaines sources, associe dès lors son patronage à celui du saint fondateur. Elevée en petit appareil irrégulier, la nef actuelle de l'église de Saint-Chef pourrait appartenir à cette phase de construction de l'église. Fils du comte Hugues de Vienne qui possédait d'importants territoires autour de Saint-Chef, Thibaud était aussi lié aux comtes de Troyes et de Champagne : ce sont ces liens qui expliquent la présence répétée de l'archevêque en Champagne et dans la région de Montier-en-Der. Or, à la même époque, l'église champenoise est reconstruite par le célèbre Adson, abbé de 968 à 992. Des ressemblances entre cette construction et celle de Saint-Chef suggèrent la réalisation, au Xe siècle, de deux églises-soeurs. L'église préromane de Montier-en-Der possédait, à. l'ouest, un massif à double étage et l'est, des tours jumelles s'élevant au-dessus des deux chapelles latérales entourant l'abside. Ce plan présente plusieurs points de comparaison avec l'église actuelle de Saint-Chef : on constate en particulier une équivalence au niveau des dimensions (largeur-longueur des nefs et le diamètre de l'abside), un choix identique pour l'emplacement du choeur et des entrées secondaires : à l'extrémité ouest du bas-côté nord et à l'extrémité orientale du bas-côté sud. Ces analogies nous aident à. restituer le plan de Saint-Chef, tel qu'il pouvait apparaître du temps de Thibaud : la partie orientale de l'église, alors élevée en petit appareil irrégulier comme la nef actuelle, était sans doute dépourvue de transept ; à l'image de l'église champenoise, des tours jumelles pouvaient toutefois s'élever au-dessus des deux chapelles orientales. Si notre hypothèse est exacte, le parti architectural adopté à Saint-Chef comme à Montier¬en-Der correspond au plan des églises monastiques réformées au Xe siècle par les abbayes de Fleury et de Gorze (dès 934). Dans ce type d'églises que l'on rencontre essentiellement dans l'ancienne Lotharingie, mais aussi dans une région proche de Saint-Chef, en Savoie, les tours orientales possédaient, à l'étage, des tribunes qui donnaient sur le choeur. La forme caractéristique de ces églises est déterminée par l'observance de coutumes liturgiques communes aux abbayes réformées. Ainsi, la règle établie par la réforme indiquait la nécessité d'espaces surélevés situés à l'est et à l'ouest de l'église : ces espaces avaient pour fonction d'accueillir les choeurs des moines dont les chants alternaient avec ceux des moines réunis au niveau inférieur, devant le sanctuaire. Par la suite, sans doute en raison de nouvelles pratiques liturgiques, la partie orientale de l'église de Saint-Chef, reconstruite en moyen appareil régulier, est augmentée d'un transept à quatre chapelles latérales. Les deux tours, si elles existaient, sont détruites pour être reconstruites aux extrémités du transept, abritant des chapelles hautes qui donnaient sur les bras du transept et le choeur. La vision latérale entre les deux tribunes est alors favorisée par l'alignement des baies des tribunes et des arcades du transept. Grâce à ce système d'ouverture, les choeurs des moines se voyaient et s'entendaient parfaitement. Ce système de tribunes orientales apparaît dans certaines églises normandes du XIe siècle ou dans d'autres églises contemporaines qui semblent s'en inspirer, telles que la cathédrale du Puy ou l'abbatiale de Saint-Sever-sur-l'Adour. L'importance croissante des chants alternés dans les offices semble avoir favorisé l'émergence d'une telle architecture. L'étude du décor sculpté, et notamment des chapiteaux ornant les différentes parties de l'édifice, permet de dater les étapes de transformation de l'abbatiale. L'aménagement des chapelles orientales semble remonter à la première moitié du XIe siècle ; l'installation des piliers soutenant le transept et les deux tours de l'édifice est datable des années 1060-1080. Par la suite, sans doute du temps de Guillaume de la Tour-du-Pin, archevêque de Vienne entre 1165 et 1170, le transept et la croisée sont surélevés et voûtés et des fenêtres viennent ajourer le mur pignon oriental. Les indices de datation tardives, rassemblés au niveau supérieur du transept, ont été utilisés par les spécialistes de l'architecture, tels Raymond Oursel et Guy Barruol, pour dater l'ensemble de l'église du XIIe siècle. Pourtant, dans d'autres études, Otto Demus, Paul Deschamp et Marcel Thiboud dataient les peintures de Saint-Chef de la seconde moitié du XIe siècle, soit un demi-siècle au moins avant la datation proposée pour l'élévation architecturale. Cette contradiction apparente se trouve désormais résolue par la mise en évidence de phases distinctes de construction et de transformations de l'édifice. Les peintures : Le décor peint de l'abbatiale est conservé dans trois chapelles du transept : dans la chapelle Saint-Theudère, à l'extrémité sud du transept, dans la chapelle Saint-Clément, à son autre extrémité, et dans la chapelle haute s'élevant au-dessus de celle-ci. Selon une dédicace peinte derrière l'autel, cette chapelle est dédiée au Christ, aux archanges et à saint Georges martyr. L'analyse stylistique permet de dater les peintures du troisième ou du dernier quart du XIe siècle : leur réalisation semble donc succéder immédiatement à l'élévation du transept et des deux tours que l'on situe, on l'a vu, dans les années 1060-1080. Au cours de cette étude, on a aussi relevé la parenté des peintures avec des oeuvres normandes et espagnoles : ces ressemblances s'affirment par certaines caractéristiques de style, mais aussi par le traitement de l'espace. Par exemple, l'alignement des anges sur la voûte, ou des élus sur le mur ouest de la chapelle haute de Saint-Chef, rappellent certains Beatus du XIe siècle, tels que celui de Saint-Sever antérieur à 1072. Dans la chapelle haute, la hiérarchie céleste est distribuée par catégories autour du Christ, représenté au centre de la voûte ; cette disposition se retrouve à Saint-Michel d'Aiguilhe au Xe siècle, ainsi que dans le premier quart du XIIe siècle à Maderuelo en Catalogne et à Fenouilla en Roussillon. D'autres rapprochements avec des oeuvres ottoniennes et carolingiennes ont aussi été observés, ainsi qu'avec certaines enluminures d'Ingelard, moine à Saint-Germain des Prés entre 1030 et 1060. L'iconographie: Le sens de l'image avait donné lieu à quelques études ponctuelles. Cette thèse a permis, d'une part, la mise en évidence d'un unique programme iconographique auquel participent les peintures des trois chapelles de l'abbatiale et, d'autre part, la découverte des liens entre le choix iconographique de Saint-Chef et certaines sources littéraires. Ces rapports ont par exemple été relevés pour la figure de l'ange conduisant saint Jean à la Jérusalem céleste, sur le voûtain ouest de la chapelle haute. La figure très soignée de l'ange, portant les mêmes vêtements que le Christ peint au centre de la voûte, présente sur son auréole quelques traces sombres qui devaient à l'origine dessiner une croix : ce détail fait de l'ange une figure du Christ, figure qui apparaît dans certaines exégèses apocalyptiques telles que le Commentaire d'Ambroise Autpert au Ville siècle, celui d'Haymon d'Auxerre au IXe siècle ou, au début du XIIe siècle, de Rupert de Deutz. Pour Ambroise Autpert, l'ange guidant saint Jean est une image du Christ amenant l'Eglise terrestre à la Jérusalem céleste, à laquelle elle sera unie à la fin des temps. Les deux figures symboliquement unies par le geste du Christ empoignant la main de saint Jean est une image du corps mystique de Jésus, le corps étant l'Eglise et la tête, le Christ qui enseigne aux fidèles. L'iconographie des peintures de la chapelle haute est centrée autour de l'oeuvre de Rédemption et des moyens pour gagner le salut, la Jérusalem céleste étant le lieu de destination pour les élus. Au centre de la voûte, le Christ présente ses deux bras écartés, en signe d'accueil. Sur le livre ouvert qu'il tient entre les genoux, les mots pax vobis - ego sum renvoient aux paroles prononcées lors de son apparition aux disciples, après sa Résurrection et au terme de son oeuvre de Rédemption. A ses pieds, sur le voûtain oriental, la Vierge en orante, première médiatrice auprès de son Fils, intercède en faveur des humains. Grâce au sacrifice du Christ et à travers la médiation de la Vierge, les hommes peuvent accéder à la Jérusalem céleste : les élus sont ici représentés sur le dernier registre du mur ouest, directement sous la Jérusalem ; un cadre plus sombre y indique symboliquement l'accès à la cité céleste. A l'autre extrémité du voûtain, Adam et Eve sont figurés deux fois autour de l'arbre de la connaissance : chassés du paradis, ils s'éloignent de la cité ; mais une fois accomplie l'oeuvre de Rédemption, ils peuvent à nouveau s'acheminer vers elle. Les peintures de la chapelle inférieure participent elles aussi au projet iconographique de la Rédemption. Sur la voûte de la chapelle, les quatre fleuves paradisiaques entouraient à l'origine une colombe. Selon l'exégèse médiévale, ces fleuves représentent les quatre temps de l'histoire, les vertus ou les quatre évangiles, diffusés aux quatre coins de la terre. Selon une tradition littéraire et iconographique d'origine paléochrétienne, ce sont aussi les eaux paradisiaques qui viennent alimenter les fonts baptismaux : l'association de la colombe, figure du Saint-Esprit et des fleuves du paradis suggère la présence, au centre de la chapelle, des fonts baptismaux. L'image de la colombe se trouve, on l'a vu, dans le prolongement vertical du Christ ressuscité, représenté au centre de la voûte supérieure. Or, selon une tradition qui remonte à Philon et Ambroise de Milan, la source des quatre fleuves, de la Parole divine diffusée par les quatre Evangiles, c'est le Christ. Dans son traité sur le Saint-Esprit, l'évêque de Milan place à la source de l'Esprit saint l'enseignement du Verbe fait homme. Il ajoute que lorsqu'il s'était fait homme, le Saint-Esprit planait au-dessus de lui ; mais depuis la transfiguration de son humanité et sa Résurrection, le Fils de Dieu se tient au-dessus des hommes, à la source du Saint-Esprit : c'est la même logique verticale qui est traduite dans les peintures de Saint-Chef, le Christ ressuscité étant situé au-dessus du Saint-Esprit et des eaux paradisiaques, dans la chapelle haute. Si les grâces divines se diffusent de la source christique aux hommes selon un mouvement descendant, l'image suggère aussi la remontée vers Dieu : en plongeant dans les eaux du baptême, le fidèle initie un parcours qui le ramènera à la source, auprès du Christ. Or, cet ascension ne peut se faire qu'à travers la médiation de l'Eglise : dans la chapelle Saint-Clément, autour de la fenêtre nord, saint Pierre et Paul, princes de l'Eglise, reçoivent la Loi du Christ. Dans la chapelle supérieure, ici aussi autour de la fenêtre septentrionale, deux personnifications déversaient les eaux, sans doute contenues dans un vase, au-dessus d'un prêtre et d'un évêque peints dans les embrasures de la fenêtre : c'est ce dont témoigne une aquarelle du XIXe siècle. Ainsi baignés par l'eau vive de la doctrine, des vertus et des grâces issue de la source divine, les représentants de l'Eglise peuvent eux aussi devenir sources d'enseignement pour les hommes. Ils apparaissent, en tant que transmetteurs de la Parole divine, comme les médiateurs indispensables entre les fidèles et le Christ. C'est par les sacrements et par leur enseignement que les âmes peuvent remonter vers la source divine et jouir de la béatitude. Si l'espace nord est connoté de manière très positive puisqu'il est le lieu de la représentation théophanique et de la Rédemption, les peintures de la chapelle sud renvoient à un sens plus négatif. Sur l'intrados d'arc, des monstres marins sont répartis autour d'un masque barbu aux yeux écarquillés, dont les dents serrées laissent échapper des serpents : ce motif d'origine antique pourrait représenter la source des eaux infernales, dont le « verrou » sera rompu lors du Jugement dernier, à la fin des temps. La peinture située dans la conque absidale est d'ailleurs une allusion au Jugement. On y voit le Christ entouré de deux personnifications en attitude d'intercession, dont Misericordia : elle est, avec Pax, Justifia et Veritas, une des quatre vertus présentes lors du Jugement dernier. Sur le fond de l'absidiole apparaissent des couronnes : elles seront distribuées aux justes en signe de récompense et de vie éternelle. L'allusion au Jugement et à l'enfer est la vision qui s'offre au moine lorsqu'il gagnait l'église en franchissant la porte sud du transept. S'avançant vers le choeur où il rejoignait les stalles, le moine pouvait presque aussitôt, grâce au système ingénieux d'ouvertures que nous avons mentionné plus haut, contempler les peintures situées sur le plafond de la chapelle haute, soit le Christ en attitude d'accueil, les anges et peut-être la Jérusalem céleste ; de là jaillissaient les chants des moines. De façon symbolique, ils se rapprochaient ainsi de leurs modèles, les anges. Dans ce parcours symbolique qui le conduisait de la mer maléfique, représentée dans la chapelle Saint¬Theudère, à Dieu et aux anges, les moines pouvaient compter sur les prières des intercesseurs, de la Vierge, des anges et des saints, tous représentés dans la chapelle haute. A Saint-Chef, l'espace nord peut-être assimilé, pour plusieurs aspects, aux Westwerke carolingiens ou aux galilées clunisiennes. Les massifs occidentaux étaient en effet le lieu de commémoration de l'histoire du salut : sites Westwerke étaient surtout le lieu de la liturgie pascale et abritaient les fonts baptismaux, les galilées clunisiennes étaient réservées à la liturgie des morts, les moines cherchant, par leurs prières, à gagner le salut des défunts. A l'entrée des galilées comme à Saint-Chef, l'image du Christ annonçait le face à face auquel les élus auront droit, à la fin des temps. Elevée au Xe siècle et vraisemblablement transformée dans les années 1060-1080, l'église de Saint-Chef reflète, par son évolution architecturale, celle des pratiques liturgiques ; son programme iconographique, qui unit trois espaces distincts de l'église, traduit d'une manière parfois originale les préoccupations et les aspirations d'une communauté monastique du XIe siècle. On soulignera toutefois que notre compréhension des peintures est limitée par la perte du décor qui, sans doute, ornait l'abside et d'autres parties de l'église ; la disparition de la crypte du choeur nuit aussi à l'appréhension de l'organisation liturgique sur cette partie de l'édifice. Seules des fouilles archéologiques ou la découverte de nouvelles peintures pourront peut-être, à l'avenir, enrichir l'état de nos connaissances.
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Located at the internal border of the Grand-Saint-Bernard Zone, the diorite and its aureole lie on top of intensively studied Alpine eclogitic units but this pluton, poorly studied yet, has kept locally almost undeformed. The pluton intruded, at similar to 360 Ma, country-rocks mostly composed of dark shales with Na2O > K2O and minor mafic intercalations of tholeiitic basalt affinity. This association is characteristic of the Vanoise (France) basement series, where available age determinations suggest an Early Paleozoic age. Parts of the pluton, and of its hornfels aureole that is evidenced here for the first time, in the Punta Bioula section of Valsavaranche valley (NW-Italy), have been well-preserved from the Alpine deformation. Syn-emplacement hardening, dehydration-induced, probably prevented strain-enhanced Alpine recrystallization. Magmatic rock-types range continuously from subordinate mafic types at SiO2 similar to 48%, of hornblendite with cumulative or appinite affinities, to the main body of quartz diorite to quartz monzonite (SiO2 up to 62%). P-T estimates for the pluton emplacement, based on the abundance of garnet in the hornfelses, using also zircon and apatite saturation thermometry and Al-in-hornblende barometry, suggest T similar to 800-950 degrees C and minimum P in the 0.2-0.5 GPa range, with records of higher pressure conditions (up to 1-2 GPa?) in hornblendite phlogopite-cored amphibole. The high-K, Na > K, calcalkaline geochemistry is in line with a destructive plate-margin setting. Based on major element data and radiogenic isotope signature (epsilon Nd-360 Ma from -1.2 to + 0.9, Sr-87/Sr-86(360 MA) from 0.7054 to 0.7063), the parental magmas are interpreted in terms of deep-seated metabasaltic partial melts with limited contamination from shallower sources, the low radiogenic Nd-content excluding a major contribution from Vanoise tholeiites. There is no other preserved evidence for Variscan magmatism of similar age and composition in the Western Alps, but probable analogs are known in the western and northern parts of French Massif Central. Regarding the Alpine tectonics, not only the age of the pluton and its host-rocks (instead of the Permo-Carboniferous age previously believed), but also its upper mylonitic contact, suggest revisions of the Alpine nappe model. The Cogne diorite allegedly constituted the axial part of the E-verging ``pli en retour [backfold] du Valsavaranche'', a cornerstone of popular Alpine structural models: in fact, the alleged fold limbs, as attested here by field and geochemical data, do not belong to the same unit, and the backfold hypothesis is unfounded. (C) 2012 Elsevier B.V. All rights reserved.
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Contient : 1° Heures canoniales, traduites en vers ; 2° Les Psaumes de la pénitence, traduits en vers ; 3° « Les sept Vers saint Bernard »
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Contient : 1° « Les Lamentacions monseigneur sainct BERNARD » ; 2° « Le Livre des Meditacions monseigneur saint BERnard » ; 3° « Les Contemplacions monseigneur saint AUGUSTIN » ; 4° « Une belle Oroison de saint AUGUSTIN » (fol. 55) : ; 5° « Les Meditacions saint AUGUSTIN pensant à Dieu » ; 6° « Ung Traitié comment on doit Dieu amer de tout son cueir » ; 7° « L'Ordonnance du char Heliez le prophete » (fol. 67) : ; 8° « Un Preschement de Nostre Seigneur Jhesu Crist » (fol. 69), parabole de la semence ; 9° « Ce sont les sept choses que cuer en qui Dieu habite doit avoir » (fol. 71) : ; 10° « Comment.IIII. pechiés mortelz sont signifiés par.IIII. bestes sauvaiges » (fol. 72) : ; 11° « De la Demande que fist la mere de saint Jehan et de saint Jaques à Nostre Seigneur Jhesu Crist » ; 12° « Le Livre de la misere de l'omme », par « LOTHIER » ; 13° « Le Livre des biens que tribulacion fait à l'ame » ; 14° « Aucuns bons Enseignements pour eschiver les pechies de luxure, d'avarice et d'accide » ; 15° « De l'Aage Adam, et comment il envoya Seth son filz en paradis terrestre » (fol. 130) : ; 16° « La Devise de la messe » (fol. 132) : ; 17° « L'Ordonnance comment on se doit confesser » (fol. 135) : ; 18° « Les Enseignements que le bon roy saint Loys fist et escript de sa main, et les envoya de Cartaige où il estoit au roy Phelippes son filz » ; 19° « Les Enseignements que... saint Loys... envoya... à la royne de Navarre sa fille » (fol. 140) : ; 20° « La Fin que le bon roy saint Loys ot à sa mort, que l'evesque de Thunes envoya à Thibaut, roy de Navarre » (fol. 141) : ; 21° « Le Livre maistre HUGUES DE SAINT VICTOR » ; 22° « Les Proverbes de SENEQUE, en prose » ; 23° « Les Dictz et Proverbes des Saiges », cinquantecinq quatrains ; 24° « Le Dit des philosophes du grant roy Alixandre, quant il fut mort », en seize vers (fol. 172) ; 25° « Ung beau Dictié c'on appelle : Je vois mourir », quarante-cinq sixains ; 26° « Le Pater noster en françois » ; 27° « La Meditacion de la mort »
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Les fouilles menées entre 1988 et 1991 sur la parcelle du Clos d'Aubonne, à La Tour-de-Peilz, ont mis au jour 578 tombes contenant les ossements de près de 850 individus. Ces sépultures constituent l'essentiel d'une vaste nécropole qui s'est développée à quelque 500 m au sud-est du vicus romain de Viviscus/Vevey, en bordure de l'ancienne voie qui mène au col du Grand Saint-Bernard. L'analyse détaillée des structures et du mobilier permet de définir trois phases chronologiques, échelonnées entre la deuxième moitié du Ve et la première moitié du IXe siècle. Au fil du temps se manifestent des signes d'une présence burgonde discrète, puis d'influences du monde franc. Plusieurs indices montrent que, dès le VIe siècle, cette nécropole est devenue le lieu d'inhumation de familles importantes. Certaines d'entre elles sont restées attachées à cet espace funéraire jusqu'à l'époque carolingienne, malgré l'absence d'un édifice voué au culte chrétien. Le second volume de la publication réunit des études spécifiques: l'analyse anthropologique des squelettes, comprenant notamment une étude approfondie de l'état de santé de la population, l'étude et le catalogue des monnaies ainsi que le catalogue des découvertes funéraires antérieures aux fouilles de 1988-89. Le catalogue des tombes, illustré de nombreux relevés, et les planches du mobilier complètent ce volume.
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Contient : 1° « Traittié de felicité de vie », par « CHARLES SOILLOT », prose et vers ; 2° « Les sept Joyes Nostre Dame » [par CHARLES SOILLOT] ; 3° « L'Epitre saint BERNARD, de la regle et maniere comment le mesnage d'un bon hostel doit estre prouffitamment gouverné... translatée de latin en cler françois par JOHANNES MIELOT, prestre indigne, chanoine de l'eglise Saint Pierre de Lille en Flandres »
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Contient : 1° « Le Livre de l'Ordre de chevalerie » ; 2° Épître à Alexandre ; 3° « Epitre que saint BERNARD envoya à Raimont, seigneur du Chastel Saint Ambroise »
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Contient : 1° « Les Lamentacions monseigneur sainct BERNARD » ; 2° « Le Livre des Meditacions monseigneur saint BERnard » ; 3° « Les Contemplacions monseigneur saint AUGUSTIN » ; 4° « Une belle Oroison de saint AUGUSTIN » (fol. 55) : ; 5° « Les Meditacions saint AUGUSTIN pensant à Dieu » ; 6° « Ung Traitié comment on doit Dieu amer de tout son cueir » ; 7° « L'Ordonnance du char Heliez le prophete » (fol. 67) : ; 8° « Un Preschement de Nostre Seigneur Jhesu Crist » (fol. 69), parabole de la semence ; 9° « Ce sont les sept choses que cuer en qui Dieu habite doit avoir » (fol. 71) : ; 10° « Comment.IIII. pechiés mortelz sont signifiés par.IIII. bestes sauvaiges » (fol. 72) : ; 11° « De la Demande que fist la mere de saint Jehan et de saint Jaques à Nostre Seigneur Jhesu Crist » ; 12° « Le Livre de la misere de l'omme », par « LOTHIER » ; 13° « Le Livre des biens que tribulacion fait à l'ame » ; 14° « Aucuns bons Enseignements pour eschiver les pechies de luxure, d'avarice et d'accide » ; 15° « De l'Aage Adam, et comment il envoya Seth son filz en paradis terrestre » (fol. 130) : ; 16° « La Devise de la messe » (fol. 132) : ; 17° « L'Ordonnance comment on se doit confesser » (fol. 135) : ; 18° « Les Enseignements que le bon roy saint Loys fist et escript de sa main, et les envoya de Cartaige où il estoit au roy Phelippes son filz » ; 19° « Les Enseignements que... saint Loys... envoya... à la royne de Navarre sa fille » (fol. 140) : ; 20° « La Fin que le bon roy saint Loys ot à sa mort, que l'evesque de Thunes envoya à Thibaut, roy de Navarre » (fol. 141) : ; 21° « Le Livre maistre HUGUES DE SAINT VICTOR » ; 22° « Les Proverbes de SENEQUE, en prose » ; 23° « Les Dictz et Proverbes des Saiges », cinquantecinq quatrains ; 24° « Le Dit des philosophes du grant roy Alixandre, quant il fut mort », en seize vers (fol. 172) ; 25° « Ung beau Dictié c'on appelle : Je vois mourir », quarante-cinq sixains ; 26° « Le Pater noster en françois » ; 27° « La Meditacion de la mort »
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Contient : 1° Heures canoniales, traduites en vers ; 2° Les Psaumes de la pénitence, traduits en vers ; 3° « Les sept Vers saint Bernard »
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Contient : « Lamentacions S. BERNARD » ; incomplètes du premier feuillet ; « Meditacions saint BERNARD » ; « Contemplacions saint AUGUSTIN » ; « Livre saint AUGUSTIN des seulx parlers de l'ame à Dieu » ; « Oraison de saint AUGUSTIN à Dieu » ; « Les méditacions saint AUGUSTIN » ; « Comment on doit Dieu amer. Fins amans sont appelez ceulz et celles qui Dieu ayment... » ; « La voye comment nous devons aler en paradis. La voye par quoy nous devons aller en paradis... » ; « L'ordenance du char Helye. La sainte Escripture dist que Helyas le prophete... » ; « Un preschement de nostre Seigneur. Simile est regnum celorum homini qui seminavit... » ; « Comment on doit Dieu amer, et le monstre par plusieurs raisons. Cuers en qui Dieu habite... » ; « Livre à la misere de l'omme [par le diacre Lothier, plus tard INNOCENT III, en trois livres]... Pourquoy issi ge du ventre ma mere... » (Cf. Romania (1887), t. XVI, p. 68) ; « Du livre de la science des phylosophes [et] de la science des moralités [Enseignements des philosophes]. Talent m'estoit pris que je racontasse... » ; « Livre des biens que tribulacion fait à l'ame, en laquelle tribulacion on doit esjoir. Da nobis, Domine, auxilium de tribulacione. A toy, ame livrée aus temptacions... » ; « Comment IIII. pechiez mortelz sont segnefiez par quatre bestes sauvagez. De nulle viande ne menjust Dieux... » ; « Aucuns bons enseignemens pour eschiver les pechiez de luxure, d'avarice et d'accide. Ilz sont VIII. choses qui donnent occasion de cheoir... » ; « De la demande que fist la mere saint Jhean, S. Jaque à nostre Seigneur et de la response. Quant nostre Seigneur Jhesucrist aloit par terre... » ; « Comment on se doit garder contre aucunes temptacions. Nous trouvons ou vielz Testament d'un roy qui ot nom Nas... » ; « De l'age Adam, et comment il envoya Seth, son filz, en paradiz terrestre. Après ce que Adam nostre premier pere... » ; « De la devise de la messe. Quant on sonne la messe... » ; « De l'ordonnance comment on se doit confesser. Quiconques se vuelt à droit confesser... » ; « Enseignemens que le bon roy S. LOYS fist et escript de sa main et les envoya de Carthage, où il estoit, à roy Phelippe » ; Autres Enseignements envoyés par S. LOUIS « à la royne de Navarre, sa fille, etc. » ; « La fin du bon roy S. Loys que il ot à sa mort, que l'evesque de Thunes envoya à Thybault, roy de Na[va]rre et conte de Champaigne et de Brie » ; « Les proverbes que SENEQUES fist en prose » ; « Les dis et proverbes des sages. Chaton. N'est pas sire de son pays... »
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Contient : 1° Roman d'Hercule ; 2° « Ici commence de ciaus d'Athenes et de ciaus de l'isle de Crete... », extrait de l' « Histoire ancienne depuis la création », relatif à Hercule et aux Amazones ; 3° « Liber Catonis », traduit par « MACE de Troie » ; 4° « Optimum documentum de regimine familie », lettre (supposée) de saint BERNARD à Raymond de Château d'Amboise ; 5° « La Complainte de la tribulation del mirable phylosophe qi fu appelez BOECES, et de la Consolation de la phylosophye », traduction anonyme, avec prologue et conclusion ; 6° « La Ystoire dou Nostre Seignor Jhesu Crist, et coment il soufri passion et torment et mort pour sauvement de la humaine generation » ; 7° Enseignements à Alexandre, en prose, suivis des Dits des Sages ; 8° « De dous Roiaumes dou monde et des aages dou siecle et des rois qi regnerent ça en arieres... », abrégé d'histoire universelle ; 9° Roman de la Guerre de Troie, par BENEOIT DE SAINTE MORE » ; 10° Extrait de l' « Histoire ancienne depuis la création », contenant les origines romaines, depuis Enée jusqu'à la mort de Romulus ; 11° Roman de Landomata, fils d'Hector, en prose ; 12° Histoire du roi Alexandre (d'après le Pseudo-Callisthène)
Resumo:
Contient : 1° Ballade. Refrain : « Ainsi devient le varlet maistre... » ; 2° « S'ensuivent les Contenances de la table » ; 3° Ballade (fol. 5). Refrain : « Prie Dieu pour les trespassez... » ; 4° Autres Contenances de la table ; 5° « Regime pour tous serviteurs » ; 6° « L'Introduction et regime que CHRISTINE DE PISE jadiz donna à son filz pour l'induire en bonnes meurs » ; 7° « Les Enseignemens de monseigneur saint BERNARD, contenans le regime de toutes manieres de gens », traduction en vers ; 8° « Les Dits moraulx des philosophes et des anciens saiges » ; 9° La « Complainte » de « FRANÇOIS GARIN », de « Lyon » ; 10° « Les dix Commandeme[n]t de la loy » ; 11° « Les cinq Commandemens de l'Eglise » ; 12° « Les douzes Articles de la foy » ; 13° « L'Orologe de la Passion Jhesu Crist » ; 14° « Devotes Meditacions sur les heures de la Passion Nostre Seigneur » ; 15° « Les Heures de la croix » ; 16° « Les Heures de la croix à Matines » ; 17° « Les sept Pseaulmes penitenciales » ; 18° « Les Letanies » ; 19° « Comment saint Amadour delivra l'ame de sa mere des peines de purgatoire » ; 20° « La Vision de Dam Philebert, hermite, contenant le debat et dispulacion du corps et de l'ame » ; 21° « La Complainte de l'ame dampnée » ; 22° « Les quinze Signes du jugement final » ; 23° « La Danse macabre aux hommes »
Resumo:
Contient : 1° Le « Testament JEHAN DE MEUN » ; 2° Le petit Codicille [de JEAN DE MEUNG] ; 3° Les « Enseignemens CHATON », traduction par [LE] « FEVRE » ; 4° « Les Ensaignemens que CHRISTINE donne à son filz » ; 5° Autres Enseignements, ou Les Proverbes des sages ; 6° Instruction pour la confession ; 7° La Science de bien mourir ; 8° « L'A, B, C des simples gens » ; 9° « L'Epistre que Saint BERNARD fist, et l'envoia à Remon, seigneur du Chastel Ambroise, chevalier » ; 10° « Les Ordonnances et commandemens du grant maistre monseigneur ENGUERRAN, prince et seigneur de tous les mariez » ; 11° Extrait de la Somme des vices et des vertus de LAURENT GALLUS ; 12° « Les douz Vendrediz que les douze apostrez junerent » ; 13° « Aucunes Causes pourquoy le vendredi est especiallement jour de devocion » ; 14° Instruction « A oïer messe »
Resumo:
Contient : 1° « Les Revelacions que Nostre Dame fist à saincte Elizabeth » ; 2° « Comme l'en aprent à bien mourir » ; 3° « Le Livre monseigneur saint AUGUSTIN des parlemens de l'ame à Dieu » ; 4° Fragments ascétiques (fol. 32) : « Misere... de la vie de l'omme ; De la lumiere de Dieu ; De la vie contemplative » ; etc ; 5° « Le Regrez de Nostre Dame » sur « la mort de son filz Jhesu Crist », attribué à saint BERNARD ; 6° Oraisons diverses en prose et en vers ; 7° « La Vie saincte Margarite » ; 8° Oraisons diverses en prose et en vers ; 9° « L'Aguillon d'amour » divin [par St BONAVENTURE]