933 resultados para Relation parent-adolescent
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In i6 families, half of which had an alcoholic parent, both parents and an adolescent were videotaped interacting with each other. Mothers, fathers and the adolescent in each family viewed the videotaped interaction and completed ratings of themselves and the other two family members on levels of anxiety, involvement, dominance and friendliness. In families with an alcoholic parent, adolescents and their mothers rated family members as less anxious than did adolescents and mothers in families without a drinking problem. Also mothers in the alcoholic families rated family members as being more involved, and their ratings were higher than mothers in other families. Alcoholic families rated parent-adolescent interactions as more dominant and friendlier. At least in these videotaped interactions where alcohol was not being consumed, mothers in alcoholic families adopted a more positive view of family members than mothers in other families. In addition, possibly due to the efforts of fathers not to drink and memories of interactions when he was drunk, alcoholic families perceived their family interactions as more dominant and friendlier than families without an alcohol-related problem. [Schweitzer R, Wilks j, Callan vJ. Alcoholism and family interaction.
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Adolescent drivers are over-represented in distraction-related motor vehicle crashes. There are a number of potential reasons for such elevated risk with driving inexperience, high adoption of communication technology, increased peer involvement and tendency to take risks, rendering young drivers particularly vulnerable. Major legislative efforts in Graduated Licensing Systems that include passenger restrictions have shown positive effects. Restrictions on cell phone use are also being introduced however enforcement of such regulations is challenging. This paper argues that such contextual, legislative interventions are an essential prevention strategy however there is an unfilled need to introduce behavior change programs that may target adolescents, parents and friends. A theoretical framework is applied in which risk and protective factors are identified from research within community and jurisdiction contexts. In the literature on distraction social context and normative influences are the key elements used to inform program design for adolescent drivers with parental monitoring informing interventions targeting parents. Following from this assessment of the message content assessment, the design of strategies to deliver the messages are reviewed. In the current literature, school-based programs, simulations and web-delivered programs have been evaluated with supplementary strategies delivered by physicians and parents. Such developments are still at an early stage of development and ultimately will need controlled implementation and evaluation studies. There is of course, no likely single approach to prevent adolescent driver distraction and complementary approaches such as the further development of technological interventions to manage phone use are needed. Implications and Contributions The paper describes the intervention design process alongside key research in young driver distraction including selecting target behavior, audience, theoretically-derived strategies and delivery strategies. Currently graduated driver licensing and technology use and acceptance and parent-adolescent and adolescent-peer interactions are opportunities for further research and exploration.
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Ce mémoire s'intéresse à l'agencement des relations qu'un enfant maintient avec ses deux parents et à leurs effets sur le développement social de l'enfant. Plus spécifiquement, ce mémoire explore les relations d'attachement et d'activation. Si le premier terme ferait traditionnellement référence à la relation spécifique entre une mère et son enfant, l'activation concernerait plutôt, selon certains auteurs, la relation entre un père et son enfant. Les psychoéducatrices et psychoéducateurs sont très souvent appelés à soutenir les personnes sur le plan de leur développement social. L'une des fondations cruciales du développement de la socialité serait la première relation créée et maintenue entre un enfant et son premier donneur de soins : la relation d'attachement. En effet, la relation d'attachement, selon la définition classique, référerait davantage à la relation spécifique que les enfants maintiendraient généralement avec leur mère. La façon dont l'enfant entrera ultérieurement en contact avec les personnes de son environnement pourrait être calquée sur cette première relation. Si, au départ, on s'intéressait davantage à l'attachement mère-enfant, plusieurs études ont tenté d'intégrer le père au modèle classique de l'attachement. Il semble que les pères s'intégreraient plus difficilement à ce modèle classique. Certains l'expliquent en faisant valoir que les prémisses théoriques de l'attachement se seraient plutôt concentrées sur la dimension simplement sécuritaire qui serait plus adaptée pour les mères. Les pères auraient un mode d'entrée en relation avec leurs enfants qui serait beaucoup plus dynamique, caractérisé par des jeux physiques chaleureux, mais où les limites seraient clairement définies par l'autorité du parent. Ce type de relation s'appelle la relation d'activation. La relation d'activation favoriserait chez l'enfant la persévérance et l'autorégulation face à l'exploration sécuritaire de son environnement, et par le fait même, constituerait le pendant exploratoire de la relation d'attachement. Des études ont déjà montré les liens de la relation d'activation avec le développement social de l'enfant. Si le cadre théorique de l'activation a été pensé en fonction du père, il reste encore à savoir si la mère peut aussi prendre sa place dans cette relation dynamisante. Alors qu'au Québec, l'organisation des rôles familiaux est en constante évolution, il convient de bien comprendre d'abord les agencements relationnels de la famille nucléaire afin d'éventuellement outiller les parents de familles d'autres types. Pour explorer les mécanismes relationnels, une recension des écrits systématique a été réalisée. L'un des constats les plus intéressants de cette recension est l'absence d'études ayant étudié l'activation et le développement social auprès des enfants de plus de 36 mois. De plus, les deux types de relations (attachement et activation) n'ont pas été vérifiés chez les deux parents d'une famille nucléaire. Un dernier constat concerne enfin les instruments utiliser pour mesurer le construit de la sécurité d'attachement : il semble que, selon l'outil choisi et le type de variable utilisé, les constats réalisés sur la sécurité d'attachement diffèrent. Afin de répondre à cette lacune, le présent projet propose une avenue novatrice, à titre exploratoire : vérifier l'agencement des relations d'activation et d'attachement dans une triade familiale (un enfant et ses deux parents biologiques), et son lien avec le développement social de l'enfant. Étant donné les ressources limitées, seulement cinq cas ont été recrutés. Des données ont été collectées par observation directe et indirecte, selon un devis transversal. Puis les données ont été analysées d'abord de façon descriptive. Quelques analyses corrélationnelles ont toutefois été réalisées à titre exploratoire. Malgré l'impossibilité de généraliser les résultats de cette étude, ces derniers présentent plusieurs points similaires à la littérature scientifique. Le constat le plus évident est le lien entre les problèmes d'activation et les difficultés de comportements internalisés qui ont aussi été documentés dans la littérature scientifique. Ce projet consolide l'intérêt de s'intéresser aux deux dimensions de la relation parent-enfant, tant en recherche que sur le plan de l'évaluation psychosociale de l'enfant.
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Sommaire Cette thèse examine les liens entre la présence de risques suicidaires chez les adolescents et leur perception des pratiques de chacun de leurs parents. L’étude a examiné l’association entre le comportement suicidaire et différents aspects des pratiques parentales incluant l’affection, l’exercice du contrôle comportemental et psychologique ainsi que les conflits entre parent et adolescents. La thèse a également examiné l’effet du statut matrimonial des parents sur le comportement suicidaire chez les jeunes. Le dernier objectif de l’étude a été d’explorer le rôle du sexe de l’adolescent comme facteur de vulnérabilité face au suicide. L’échantillon de l’étude était composé 1096 adolescents Montréalais, âgés de 11 à 18 ans. L’échantillon était également réparti entre filles et garçons, fréquentant deux écoles secondaires de la région de Montréal, dans la province du Québec au Canada. Il y avait deux groupes à l’étude : le groupe suicidaire et le groupe non-suicidaire. Le premier groupe incluait les sujets présentant des idéations suicidaires et ceux ayant fait une ou plusieurs tentatives de suicide. Un questionnaire auto-rapporté fut administré à chaque sujet pour évaluer les dimensions suivantes auprès de la mère et du père : le niveau de proximité affective, le niveau de supervision parentale, le contrôle comportemental et le contrôle psychologique, la tolérance à l’égard des amis, ainsi que la fréquence et l’impact émotionnel des conflits. Une échelle a également évalué la présence éventuelle de comportements suicidaires chez les jeunes. Dans le but de tester l’hypothèse de base de l’étude, une série d’analyses descriptives et une MANCOVA ont été réalisées. L’hypothèse générale de la thèse postulant que les adolescents ayant des risques suicidaires présenteraient des relations plus problématiques avec leurs parents fut confirmée. En contrôlant l’effet de la détresse psychologique des adolescents, les analyses ont mené à la conclusion que, dans les familles biparentales, un faible niveau de proximité affective avec la mère, une fréquence plus élevée de conflits avec la mère, un excès du contrôle psychologique et un plus faible niveau de supervision maternelle, présentaient des liens significatifs avec le comportement suicidaire chez les adolescents. Indépendamment de la structure familiale, les caractéristiques suivantes du père étaient respectivement perçues par l’adolescent comme ayant des liens significatifs avec le comportement suicidaire des adolescents: faible proximité affective, impact émotionnel et fréquence élevée des conflits ainsi que le manque de supervision. Ces résultats ont été interprétés à la lumière des théories de la socialisation qui mettent l’accent sur le rôle central de la qualité des liens affectifs entre parents et adolescents, comme facteur de protection contre les risques suicidaires. Les résultats ont aussi révélé que les filles adolescentes sont plus exposées aux risques suicidaires tels que tentatives et idéations suicidaires. Les conclusions de cette étude soulignent le besoin urgent de recherches plus poussées sur le comportement suicidaire des adolescents et leurs liens avec les facteurs familiaux, en tenant compte du statut matrimonial des parents. La thèse met également l’accent sur la nécessité de mettre en place des programmes de prévention auprès des adolescents présentant des risques suicidaires élevés.
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Cette thèse avait pour objectif d’examiner les liens longitudinaux entre le timing pubertaire et les problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence, soit les problèmes de conduite et les symptômes dépressifs. Guidé par la perspective théorique biosociale et le modèle de vulnérabilité-stress, le rôle modérateur de l’environnement social et des vulnérabilités personnelles préexistantes était également évalué. Les hypothèses initiales étaient qu’un timing pubertaire précoce ou déviant de la norme (précoce et tardif) serait associé à des niveaux plus élevés de problèmes de conduite et de symptômes dépressifs, mais que ce lien serait accentué dans des contextes sociaux et interpersonnels plus à risque et en présence de vulnérabilités individuelles chez les adolescents. Pour vérifier ces hypothèses, des données provenant de l’Enquête Longitudinale Nationale sur les Enfants et les Jeunes (ELNEJ) ont été analysées. Gérée par Statistique Canada, l’ELNEJ est une enquête prospective biennale comportant différents échantillons représentatifs d’enfants et d’adolescents canadiens. Les mesures utilisées dans cette thèse ont été collectées à différents cycles de l’enquête, soit à 10–11 ans, 12–13 ans, 14–15 ans et 16–17 ans, directement auprès des adolescents et de leurs parents par le biais de questionnaires et d’entrevues. Le premier article de la thèse a vérifié si l’interaction entre le timing pubertaire et des caractéristiques du contexte social des pairs (c.-à-d. l’affiliation avec des pairs déviants et l’implication amoureuse en début d’adolescence) prédisait la présentation de problèmes de conduite avec et sans agressivité physique à l’adolescence. Les résultats ont montré que le contexte social des pairs modérait l’association entre le timing pubertaire et les problèmes de conduite. Une interaction significative entre le timing pubertaire et l’affiliation à des pairs déviants a indiqué qu’une puberté plus précoce était associée à des fréquences plus élevées de problèmes de conduite agressive seulement chez les filles et les garçons qui fréquentaient des pairs déviants. Autrement dit, parmi les adolescents s’affiliant à des pairs déviants en début d’adolescence, les adolescents pubères précoces tendaient à présenter plus de problèmes de conduite agressive deux ans plus tard, en comparaison à leurs pairs pubères dans les temps moyens ou tardifs. Une seconde interaction significative obtenue chez les filles a montré que la puberté plus précoce était prédictrice des problèmes de conduite non-agressive seulement en présence d’un engagement amoureux en début d’adolescence. En effet, dans un contexte d’implication amoureuse, les filles pubères précoces présentaient plus de problèmes de conduite non-agressive que leurs pairs. Le deuxième article de la thèse avait pour objectif d’évaluer le rôle modérateur des vulnérabilités individuelles à la dépression (présence de symptômes intériorisés à la fin de l’enfance), du contexte social des pairs (affiliation à des pairs déviants, expérience amoureuse précoce et perception de popularité auprès des pairs) et des relations parent-adolescent (perception de rejet de la part des parents) dans l’association longitudinale entre le timing pubertaire et les symptômes dépressifs en fin d’adolescence. Chez les filles, une interaction triple a révélé que la puberté plus précoce était liée à davantage de symptômes dépressifs, mais seulement chez celles qui présentaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance et une implication amoureuse précoce. Chez les garçons, un effet curvilinéaire du timing pubertaire a été observé alors que la puberté précoce et tardive était associée à plus de symptômes dépressifs, mais seulement chez les garçons qui manifestaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance. La puberté plus précoce était aussi liée à des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs en présence d’affiliation à des pairs déviants (garçons) et de perceptions plus importantes de rejet parental (filles et garçons). En somme, la mise en évidence d’interactions significatives entre le timing pubertaire, les caractéristiques de l’environnement social et les vulnérabilités individuelles suscite différentes réflexions au plan théorique et pratique. Tout d’abord, les résultats suggèrent que le timing pubertaire en lui-même ne paraît pas représenter un facteur de risque généralisé des problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence. Plus particulièrement, ces résultats soulignent l’importance de considérer l’environnement social et les facteurs de risque individuels préexistants afin de mieux comprendre l’effet de la transition pubertaire sur l’adaptation psychosociale des adolescents.
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Cette thèse s’intéresse aux parents âgés et à l’implication de leurs enfants adultes lorsque le besoin d’aide se fait sentir. Plus précisément, il s’agit ici de comprendre la signification que les enfants adultes attribuent à ce qu’ils considèrent comme un besoin d’aide de la part de leur parent âgé. Elle s’inscrit à la croisée de trois champs sociologiques : le vieillissement, les relations et solidarités familiales, les aides aux personnes âgées dépendantes. La démarche a consisté, d’une part, à repérer dans le récit que nous livrent des enfants adultes à propos de leurs parents, les significations accordées de part et d’autre à ce qui peut apparaître, ou non, comme un besoin d’aide ; d’autre part, à approfondir la réflexion sur l’évolution complexe du lien entre les parents âgés et leurs enfants, dès lors que la frontière entre ce que l’on appelle « autonomie » et « dépendance » apparaît éminemment subjective. Trois questions spécifiques sont posées. Premièrement, comment les enfants conçoivent-ils l’autonomie de leur parent ? Comment parlent-ils de cette autonomie ? Deuxièmement, en quoi les types d’aide apportés aux parents considérés comme « autonomes » diffèrent-ils de ceux apportés aux parents considérés « en perte d’autonomie » ? Troisièmement, dans quelle mesure la proximité résidentielle entre les parents âgés et leurs enfants répond-elle à un type de besoin spécifique et/ou traduit-elle un type de lien particulier entre ceux-ci ? La méthodologie privilégiée est celle de l’analyse de discours. Les résultats mettent en évidence trois éléments. Premièrement, le caractère éminemment subjectif des notions d’aide et de besoin d’aide, lorsqu’ils s’inscrivent dans une relation parent âgé / enfant adulte, en particulier dès que ce parent âgé apparaît comme étant potentiellement en perte d’autonomie. Deuxièmement, la grande plasticité de cette notion d’autonomie que l’on invoque, ou non, lorsqu’il est question d’apporter de l’aide au parent âgé : on n’aide pas forcément moins un parent considéré comme autonome qu’un autre étiqueté comme étant en perte d’autonomie. Troisièmement, l’imbrication étroite des statuts de fils/filles d’une part, et d’aidant(e), d’autre part, faisant en sorte qu’il est difficile de démêler les différents ordres de motivation qui interviennent tant dans les discours que dans les pratiques d’adultes « aidant » leur parent âgé.
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Rapport d'analyse d'intervention présenté à la Faculté des arts et sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise ès sciences (M. Sc.) en psychoéducation.
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La musique est un comportement humain incontestablement universel, elle demeure néanmoins peu abordée par l’anthropologie. Si les connaissances empiriques accumulées à ce jour ont permis de bien la caractériser à des niveaux proximaux d’analyse, la question de son origine évolutionniste est, en contrepartie, souvent délaissée. Or, toute tentative sérieuse de comprendre ce phénomène requiert une investigation de sa fonction adaptative et de sa phylogénèse. Le projet entrepris ici consiste en une tentative de définition du concept de musique en terme d’universaux, d’une comparaison interspécifique du phénomène et d’un résumé de l’histoire phylogénétique des comportements musicaux, ainsi que d’une analyse de deux modèles portant sur les origines de la musique (Miller, 2000; Mithen, 2006). De ces modèles sont extraites des prévisions qui sont confrontées à des données empiriques provenant de disciplines diverses afin d’évaluer leur valeur scientifique. L’analyse des données disponibles permet de produire un inventaire des universaux musicaux aux plans cognitif, structurel, émotionnel, fonctionnel et symbolique et d’identifier ainsi certaines des bases biologiques du phénomène. Plusieurs mécanismes évolutionnistes, dont la sélection naturelle, la sélection sexuelle, la sélection de groupe et la sélection parentale sont employés par les divers auteurs afin d’expliquer l’apparition du phénomène musical. Il appert que la musique a joué un rôle important dans la relation parent-enfant au cours de l’évolution humaine, de même que dans la cohésion sociale, la coordination des activités et la formation de l’identité de groupe. En ce qui a trait aux deux modèles analysés ici, chacun ne traite que d’une partie des invariants musicaux et leur comparaison permet d’établir qu’ils sont mutuellement exclusifs. En guise de conclusion, nous tentons de formuler un scénario évolutif qui concilie les différentes hypothèses abordées.
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Dans le cadre de ce mémoire, nous tenterons de contribuer à la compréhension des processus qui régissent la relation entre le parent et l’infans, en nous intéressant plus spécifiquement au primat de l’autre en tant que constituant nécessaire de la psyché de l’infans, au sens ou l’entend la psychanalyse. Sachant que le développement de l’enfant dépend grandement de la qualité des soins psychiques et corporels qu’il reçoit, nous chercherons néanmoins à montrer comment la relation parent-enfant doit néanmoins prendre la forme d’une certaine violence. Nous baserons nos analyses sur les théories développées par Piera Aulagnier et Jean Laplanche. À partir des concepts de la violence primaire et secondaire développés par Aulagnier, ainsi que des notions d’implantation et d’intromission théorisées par Laplanche, nous tenterons de définir et déceler comment et sous quelles formes la violence décrite par les auteurs dans la relation mère/infans marque ou plutôt « signe » le développement psychique. À travers l’analyse comparative de ces théories, nous chercherons à voir les différences et les accords entre la pensée de ces deux auteurs, en vue d’en obtenir une compréhension plus riche.
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Dans cette étude, nous brosserons d'abord un tableau de la situation historique et actuelle de l'influence des parents sur l'école. Puis, nous analyserons certaines données recueillies auprès des parents de notre organisation, la Commission scolaire des Cèdres. Et enfin, nous ferons des recommandations concrètes visant l'amélioration des communications parents-écoles dans notre organisation dans le but de mieux répondre aux besoins de l'élève. Quand nous parlerons de l'influence des parents sur l'école, nous voudrons parler du type d'influence qu'à un client sur un fournisseur de services plutôt que de l'influence qu'a le supérieur hiérarchique sur son subalterne. Donc, nous ne présenterons pas la relation parent-école comme une relation de pouvoir, mais plutôt comme une communication productive entre une organisation de services et un client. Il s'agit d'une recherche-action qui vise à faire des recommandations opérationnelles découlant de besoins bien identifiés.
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Die in diesem Dokument aufgeführten Skalen dienen der Erfassung der bildungsbezogenen Vorstellungen und Praktiken von Eltern mit Kindern im Grundschulalter. Die Skalen wurden im Projekt EDUCARE teils neu entwickelt, teils in Anlehnung an bestehende Instrumente konstruiert und ggf. an die Perspektive von Eltern angepasst. Alle Items wurden mittels eines mehrstufigen Antwortformats erfasst. Ihr Einsatz erfolgte in einer vom Projektteam durchgeführten Datenerhebung mittels Fragebogen. Die Skalenkonstruktion fand auf Basis der erhobenen Primärdaten statt und orientierte sich an den Prinzipien der klassischen Testtheorie. Zu jedem Konstrukt werden deskriptive Kennwerte auf Item- und Skalenebene berichtet. Zur Beurteilung der Güte der Instrumente werden zwei Reliabilitätsmaße sowie die Trennschärfen der Items angegeben. Bei der Auswahl und Konzeption der gemessenen Konstrukte waren habitus- und milieutheoretische sowie kindheitstheoretische Annahmen leitend. Im Projekt ging es darum, ein möglichst breites Bild der im Habitus von Eltern verankerten Vorstellungen, Ziele und Sollensvorstellungen in Bezug auf Betreuung, Bildung, Erziehung und Förderung zu erhalten. Zudem wurde die Praxis der Akteure in diesen Handlungsbereichen untersucht, um Rückschlüsse auf eine milieuspezifische Lebensführung von Familien ziehen zu können. Gerade mit Blick auf gegenwärtige, politisch dominante Leitbilder hinsichtlich der Ausgestaltung von Kindheit war es von Interesse, inwieweit Eltern diese Leitbilder teilen oder ihnen ablehnend gegenüberstehen. … Die Skalendokumentation ist wie folgt aufgebaut: Im Anschluss an (I.) eine einführende Darstellung des Forschungsprojekts werden (II.) das Vorgehen bei der Datenerhebung und die bei der Skalenkonstruktion verwendete Stichprobe beschrieben. Die zur Analyse der Items und zur Konstruktion der Skalen verwendeten Verfahren werden (III.) im nachfolgenden Abschnitt dargestellt. Der Hauptteil des Dokuments ist (IV.) eine thematisch geordnete Zusammenstellung der im Projekt eingesetzten Skalen. Damit wird zugleich ein Einblick in die deskriptiven Ergebnisse der Elternbefragung an Grundschulen gegeben. (DIPF/Orig.)
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The current research investigated whether the interaction between adolescent temperament and parent personality, consistent with the goodness of fit perspective, differentially predicted overt (e.g., kicking, punching, insulting) and relational (e.g., gossiping, rumour spreading, ostracising) forms of reactive (e.g., provoked, a response to goal blocking, unplanned and emotional) and proactive (e.g., unprovoked, goal-directed, deliberate and relatively unemotional) aggression. Mothers, fathers and their adolescent child (N = 448, age 10-17) from southern Ontario, Canada filled out questionnaires on adolescent temperament (i.e., frustration, fear, and effortful control) and aggression. Parents reported on their own personality traits (i.e., agreeableness, conscientiousness, and emotional stability). The form and function of aggression not encompassed by the subtype under investigation were controlled in each regression analysis. Consistent with the hypothesis, results indicated that a poor fit between adolescent temperament vulnerabilities and lower parent personality traits, including agreeableness, conscientiousness and emotional stability, was predictive of greater levels of differentiated aggression. For instance, lower father conscientiousness strengthened the relation between higher frustration and reactive overt aggression. Unexpectedly in some cases, temperament risk factors were more strongly associated with aggression subtypes when personality scores were at higher levels, particularly agreeableness and conscientiousness, traits normally considered to be at the optimal end of the dimension. For example, higher father agreeableness strengthened the relation between higher frustration and reactive relational aggression. At the main effects level, low fearfulness was significantly associated with only the overt subtypes of aggression, and unexpectedly, higher frustration and lower effortful control were related to both proactive and reactive subtypes of aggression. A temperamentally vulnerable adolescent was also at greater risk of displaying aggressive behaviour when the father lacked emotional stability, but not the mother. These results are broadly consistent with the prediction that temperament risk factors are more strongly associated with aggression subtypes when an adolescent predisposition does not fit well with parent personality traits. Mechanisms pertaining to stress in the family environment and the fostering of self-regulation abilities are discussed with respect to why a poor fit between temperament and parent personality is predictive of adolescent differentiated aggression.
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The purpose of this study was to examine whether certain temperament characteristics (fearfulness, surgency, frustration, and effortful control) moderate the association between authoritative parenting dimensions (psychological autonomy granting, acceptance-involvement, and monitoring knowledge) or friends' antisocial behaviour, and self-reported antisocial behaviour among adolescents. Questionnaires on adolescent temperament and authoritative parenting were completed by 484 mothers and their adolescent children (54.8% female). In addition, the adolescents responded to measures regarding friends' antisocial behavior and their own antisocial behaviour. Adolescent participants ranged between 13 and 17 years of age (M = 14.96 years, SD = 1.39) and lived in a region of southern Ontario. As predicted, the results indicated that effortful control moderated the association between parental monitoring knowledge and adolescent antisocial behaviour. Also, as predicted, effortful control moderated the relation between friends' antisocial behaviour and adolescents' self-reports of antisocial behaviour although the relation was sex-specific to girls. Unexpected results included a significant monitoring knowledge by frustration by sex interaction, and a significant friends' antisocial behaviour by age interaction. In general, the findings were consistent with the expectation that the relation of parenting and peer factors to antisocial behaviour would depend on adolescents' temperamental predispositions. However, effortful control, which contributes to individual differences in self-regulation abilities, served this moderating role to a greater extent than the measures of temperamental reactivity, including fearfulness, surgency and frustration-proneness. Implications of these results are discussed with reference to parenting or classroom-based interventions that may be especially helpful for adolescents with poor self-regulation abilities.
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In this paper we consider the place of early childhood literacy in the discursive construction of the identity( ies) of ‘proper’ parents. Our analysis crosses between representations of parenting in texts produced by commercial and government/public institutional interests and the self-representations of individual parents in interviews with the researchers. The argument is made that there are commonalities and disjunctures in represented and lived parenting identities as they relate to early literacy. In commercial texts that advertise educational and other products, parents are largely absent from representations and the parent’s position is one of consumer on behalf of the child. In government-sanctioned texts, parents are very much present and are positioned as both learners about and important facilitators of early learning when they ‘interact’ with their children around language and books. The problem for which both, in their different ways, offer a solution is the ‘‘not-yet-ready’’ child precipitated into the evaluative environment of school without the initial competence seen as necessary to avoid falling behind right from the start. Both kinds of producers promise a smooth induction of children into mainstream literacy and learning practices if the ‘good parent’ plays her/his part. Finally, we use two parent cases to illustrate how parents’ lived practice involves multiple discursive practices and identities as they manage young children’s literacy and learning in family contexts in which they also need to negotiate relations with their partners and with paid and domestic work.