999 resultados para Récepteur des estrogènes [Alpha] et [Bêta]
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Dans le noyau cellulaire, l’ADN est compact autour de petites protines appeles histones formant ainsi le nuclosome, unit de base de la chromatine. Les nuclosomes contrlent la liaison des facteurs de transcription l’ADN et sont ainsi responsables de la rgulation des processus cellulaires tels que la transcription. Afin de permettre l’expression des gnes, la chromatine est remodele, c’est--dire que les nuclosomes sont repositionns de manire ce que la machinerie gnrale de la transcription puisse atteindre l’ADN afin de produire l’ARN messager. La moindre petite modification dans la fonction des facteurs de transcription ou des enzymes responsables du remodelage de la chromatine entraine des variations d’expression des gnes, et donc des maladies telles que les cancers. Le cancer du sein est le cancer le plus couramment dvelopp chez les femmes. Cette maladie est principalement cause par l’activit du récepteur des œstrognes ERα et de ses co-rgulateurs ayant, pour la plupart, un rle direct sur le remodelage de la chromatine. Afin de mieux comprendre le dveloppement et la progression du cancer du sein, nous avons dcid d’tudier le rle de deux co-rgulateurs de ERα, TLE3 et KDM5A, impliqus dans le remodelage de la chromatine et dont la fonction dans le cancer du sein est indtermine. Nous avons dmontr que TLE3 est un partenaire d’interaction du facteur pionnier FoxA1, facteur ncessaire la liaison de ERα sur l’ADN pour la transcription des gnes cibles de ce récepteur. L’interaction de TLE3 avec FoxA1 inhibe la liaison de ERα l’ADN en absence d’œstrognes, via le recrutement de HDAC2 qui dactyle la chromatine, empchant alors l’activation fortuite de la transcription en absence de signal. Quant KDM5A, malgr sa rputation de rpresseur de la transcription, dans le cancer du sein, cette dmthylase de H3K4me2/3 est un coactivateur de ERα, d son rle direct sur l’expression du récepteur.
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Mmoire numris par la Direction des bibliothques de l'Universit de Montral.
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Thse numrise par la Direction des bibliothques de l'Universit de Montral.
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Mmoire numris par la Direction des bibliothques de l'Universit de Montral.
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Thse numrise par la Direction des bibliothques de l'Universit de Montral.
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Suite la rencontre d’un antigne (Ag) prsent la surface des cellules prsentatrice de l’Ag (CPA), les lymphocytes T nafs, ayant un récepteur des cellules T (RCT) spcifique de l’Ag, vont prolifrer et se diffrencier en LT effecteurs (1). Suite l’limination de l’Ag la majorit des LTe vont mourir par apoptose alors que les restants vont se diffrencier en LT mmoire (LTm) protgeant l’organisme long terme. Les mcanismes qui permettent la diffrenciation des LTe en LTm sont encore inconnus. Pour comprendre comment les LTm CD8+ sont gnrs partir des LTe, nous avons mis l’hypothse que la densit de l’Ag prsent par les CPA peut avoir un impact sur la slection des LT CD8+ rpondant l’Ag se diffrencier en LTm. De manire intressante, nos rsultats montrent qu’une immunisation avec des cellules dendritiques (DCs) exprimant un haut niveau de complexe CMH/peptide sa surface permet le dveloppement de LTm. l’inverse, le dveloppement des LTm est fortement rduit (10-20X) lorsque les souris sont immunises avec des DCs exprimant un niveau faible de complexes CMH/peptide leur surface. De plus, la quantit d’Ag n’a aucune influence ni sur l’expansion des LT CD8+ ni sur l’acquisition de leurs fonctions effectrices, mais affecte de manire critique la gnration des LTm. Nos rsultats suggrent que le nombre de RCT engag lors de la reconnaissance de l’Ag est important pour la formation des LTm. Pour cela nous avons observ par vido-microscopie le temps d’interaction entre des LTn et des DCs. Nos rsultats montrent que le temps et la qualit de l’interaction sont dpendants de la densit d’Ag prsent par les DCs. Effectivement, nous observons une diminution dans le pourcentage de LT faisant une interaction prolonge avec les DCs quand le niveau d’Ag est faible. De plus, nous observons des variations de l’expression des facteurs de transcription clefs impliqus dans la diffrenciation des LTm tels qu’Eomes, Bcl-6 et Blimp-1. Par ailleurs, la densit d’Ag fait varier l’expression du Neuron-derived orphan nuclear receptor 1 (Nor-1). Nor-1 est impliqu dans la conversion de Bcl-2 en molcule pro-apoptotique et contribue la mort par apoptose des LTe pendant la phase de contraction. Notre modle propose que la densit de l’pitope contrle la gnration des CD8+ LTm. Une meilleure comprhension des mcanismes impliqus dans la gnration des LTm permettra le dveloppement de meilleures stratgies pour la gnration de vaccin. Dans un second temps, nous avons valu le rle du signal RCT dans l’homostasie des LTm. Pour ce faire, nous avons utilis un modle de souris transgnique pour le RCT dont son expression peut tre module par un traitement la ttracycline. Ce systme nous a permis d’abolir l’expression du RCT la surface des LTm. De manire intressante, en absence de RCT exprim, les LTm CD8+ peuvent survivre long terme dans l’organisme et rester fonctionnels. De plus, une sous population des LTm CD4+ a la capacit de survivre sans RCT exprim dans un hte lymphopnique alors que l’autre sous population ncessite l’expression du RCT.
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Le cancer pithlial des ovaires (CEO) est classifi en sous types histopathologiques identifis tel que sreux, endomtrioide, cellules claires et mucineux. Une analyse gntique ralise au niveau molculaire a suggr un rle pour des gnes suppresseurs de tumeur localiss sur le bras court du chromosome 3p21.3 dans la pathognse du CEO de type sreux. Notre objectif tait d’valuer le profil d’expression de HYAL-1, localis dans cette mme rgion, dans les diffrents sous types du CEO, et de vrifier une ventuelle corrlation avec l’expression des récepteurs d’hormones strodiennes. Pour se faire, nous avons analys par RT-PCR quantitative l’expression de l’ARNm de HYAL-1, des récepteurs d’estrogne (ER-α et ER-β) et du récepteur de progestrone (PR) dans des chantillons de tissus extraits de tumeurs du CEO provenant de deux cohortes indpendantes et dans des lignes cellulaires. Nous avons galement ralis des analyses bioinformatiques partir de l’expression de ces gnes en ayant recours une base de donnes de microarray disponible en ligne et ouverte au public. Par la suite, nous avons mesur l’activit enzymatique de HYAL-1 dans des lignes cellulaires du CEO et dans des chantillons de plasma. Nos rsultats ont montr que l’expression de l’ARNm de HYAL-1 tait leve dans le type cellules claires et mucineux mais non dans les types sreux et endomtrioides, autant dans les chantillons sains que de ceux provenant de tumeurs bnignes. De faon cohrente, le niveau d’ARNm et l’activit enzymatique de HYAL-1 taient levs dans les lignes cellulaires cellules claires et mucineuses. Nous avons aussi dmontr qu’il y avait une corrlation inverse entre les niveaux de l’ARNm de HYAL-1 et ceux d’ER-α et PR dans les chantillons de tissus de CEO du type mucineux et cellules claires. De faon similaire, nous avons not que l’activit de HYAL-1 tait leve dans le plasma de ces mmes patients. En consquence nos travaux proposent HYAL-1 en tant que biomarqueur potentiel dans le cas des CEO de type cellules claires et mucineux prsentant un faible niveau d’expression d’ER-α et PR.
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L’acide rtinoque (AR) est le ligand des récepteurs nuclaires RAR et RXR qui agissent comme facteurs de transcription ligand-inductibles et mdient ses effets biologiques. Il est connu que l’AR a des proprits prodiffrenciatrices et antiprolifratives, notamment sur les cellules de l’pithlium mammaire. Une perte de sensibilit de l’AR a toutefois t mise en vidence dans plusieurs lignes cellulaires mammaires cancreuses, ce qui pourrait faciliter la croissance des tumeurs. Or jusqu’ici cette perte de sensibilit avait t attribue des dfauts de la voie de signalisation de l’AR, cause par la perte de l’expression des récepteurs l’AR dans la tumeur, bien que plusieurs lignes de cellules cancreuses y soient tout de mme trs sensibles. Peu d’tudes se sont intresses au rle de la voie de synthse de l’AR dans la transformation des cellules mammaires. En effet, l’AR est synthtis partir de la vitamine A, ou rtinol, son prcurseur sanguin provenant de la dite. Les cellules de l’pithlium mammaire normales ont la capacit de synthtiser l’AR partir du rtinol. Nos rapportons pour la premire fois que l’pithlium mammaire est probablement le sige de la synthse et de la signalisation de l’AR. Cela est d, au moins en partie, l’expression d’une enzyme de synthse de l’AR, RALDH3, dans l’pithlium mammaire normal. Dans cette tude, nous dmontrons que les cellules cancreuses de type luminal, qui ont sensibles l’AR (et qui expriment le récepteur des estrogènes ER, catgorie qui regroupe 75 % des tumeurs diagnostiques) n’ont au contraire pas la capacit de sythtiser l’AR, probablement en raison d’une faible expression de RALDH3 dans les tumeurs, sous l’effet des estrogènes. Cela pourrait reprsenter un nouveau mcanisme favorisant la croissance des tumeurs luminales dont les cellules prolifrent en prsence du rtinol sanguin. RALDH1, une autre enzyme de la voie de synthse de l’AR, et qui partage 70 % d’identit de squence avec RALDH3, est un marqueur de tumeurs plus agressives et de la formation de mtastase. Nous montrons au contraire, que RALDH3 est un marqueur d’une moindre probabilit de dvelopper des mtastases chez les patientes atteintes d’une tumeur luminale. Cela suggre des rles different pour ces deux enzymes dans la glande mammaire. Nos rsultats indiquent que RALDH1 et 3 ont des proprits enzymatiques trs diffrentes, ce qui est en accord avec cette dernire hypothse. Nos donnes suggrent aussi que RALDH1 et 3 pourraient tre des marqueurs de populations distinctes de cellules dans la glande mammaire normale. Nous proposons d’exploiter les diffrences entre RALDH1 et 3 afin de mettre au point des mthodes de sparation des diffrentes population de cellules de l’pithlium mammaire ce qui pourrait aider comprendre le rle de la synthse d’AR dans ce tissu.
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HYAL-1 (hyaluronidase-1) appartient la famille des hyaluronidases connues pour leur rle dans la dgradation de l’acide hyaluronique. L’expression de HYAL-1 est leve dans de nombreux type de cancers, notamment dans le cancer de la prostate, de la vessie, des reins et du sein o il est impliqu dans la croissance tumorale et les mtastases. Rcemment notre laboratoire a aussi dmontr une expression leve de HYAL-1 dans le cancer pithlial de l’ovaire (CEO) de type mucineux et cellules claires, expression qui est inversement corrle celle du récepteur de l’oestrogne alpha (REα). Cependant, malgr le fait que le rle de HYAL-1 dans le cancer soit bien tablit, le mcanisme de sa rgulation reste encore inconnu. Le REα est un facteur de transcription qui suite sa liaison avec son ligand va rguler l’expression de plusieurs gnes. Le REα ainsi stimul par l’hormone va activer la transcription de ces gnes cibles mais il est connu maintenant qu’une grande partie des gnes rguls par le REα sont en ralit rprims par ce récepteur. Dans ce travail nous proposons d’tudier le mcanisme de la rgulation du gne HYAL-1 par le REα dans le CEO cellules claires et dans le cancer du sein. L’expression ectopique du REα dans la ligne TOV21G (RE-) de mme que le traitement de la ligne MCF-7 (RE+) avec de l’oestrogne a induit une diminution du niveau d’expression de l’ARN m de HYAL-1. Ces rsultats nous ont permis de confirmer que HYAL-1 est un gne cible du REα. Il est aussi connu que le REα peut exercer son action par diffrents mcanismes d’action, entre autres en interagissant avec une squence d’ADN appele lment de rponse l’oestrogne (ERE), retrouv sur le promoteur des gnes cibles ou bien indirectement par des interactions protine-protine en se liant d’autres facteur de transcription tels que Sp1. Aprs avoir identifis de telles squences sur le promoteur proximal de HYAL-1, (1 ERE proximal -900 pb, 3 distaux -32350 pb, 48430, -50130 pb du site d’initiation de la transcription) en plus des 2 Sp1 connus (-60 et – 1020pb), nous avons dmontrs par immunoprcipitation de la chromatine que le REα est recrut sur le promoteur de HYAL-1 au niveau de l’ERE proximal -900 pb et du distal -32350 pb de mme que sur le site Sp1 -1020 pb. De plus, l’activit biologique de l’ERE -900 pb et du ii Sp1-1020pb t confirme par des essais de gnes rapporteurs la lucifrase. Avec son rle connu dans la tumorigense, l’identification de HYAL-1 comme gne cible du REα pourrait tre une avenue intressante pour le traitement des cancers hormono-indpendants.
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Mmoire numris par la Direction des bibliothques de l'Universit de Montral.
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