266 resultados para Qlq-c30
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Background We previously reported the results of a phase II study for patients with newly diagnosed primary central nervous system lymphoma treated with autologous peripheral blood stem-cell transplantation (aPBSCT) and response-adapted whole-brain radiotherapy (WBRT). Now, we update the initial results. Patients and methods From 1999 to 2004, 23 patients received high-dose methotrexate. In case of at least partial remission, high-dose busulfan/thiotepa (HD-BuTT) followed by aPBSCT was carried out. Patients refractory to induction or without complete remission after HD-BuTT received WBRT. Eight patients still alive in 2011 were contacted and Mini-Mental State Examination (MMSE) and the European Organisation for Research and Treatment of Cancer quality-of-life questionnaire (QLQ)-C30 were carried out. Results Of eight patients still alive, median follow-up is 116.9 months. Only one of nine irradiated patients is still alive with a severe neurologic deficit. In seven of eight patients treated with HD-BuTT, health condition and quality of life are excellent. MMSE and QLQ-C30 showed remarkably good results in patients who did not receive WBRT. All of them have a Karnofsky score of 90%-100%. Conclusions Follow-up shows an overall survival of 35%. In six of seven patients where WBRT could be avoided, no long-term neurotoxicity has been observed and all patients have an excellent quality of life.
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We compared the health-related quality-of-life of patients with newly diagnosed multiple myeloma aged over 65 years or transplant-ineligible in the pivotal, phase III FIRST trial. Patients received: i) continuous lenalidomide and low-dose dexamethasone until disease progression; ii) fixed cycles of lenalidomide and low-dose dexamethasone for 18 months; or iii) fixed cycles of melphalan, prednisone, thalidomide for 18 months. Data were collected using the validated questionnaires (QLQ-MY20, QLQ-C30, and EQ-5D). The analysis focused on the EQ-5D utility value and six domains pre-selected for their perceived clinical relevance. Lenalidomide and low-dose dexamethasone, and melphalan, prednisone, thalidomide improved patients' health-related quality-of-life from baseline over the duration of the study across all pre-selected domains of the QLQ-C30 and EQ-5D. In the QLQ-MY20, lenalidomide and low-dose dexamethasone demonstrated a significantly greater reduction in the Disease Symptoms domain compared with melphalan, prednisone, thalidomide at Month 3, and significantly lower scores for QLQ-MY20 Side Effects of Treatment at all post-baseline assessments except Month 18. Linear mixed-model repeated-measures analyses confirmed the results observed in the cross-sectional analysis. Continuous lenalidomide and low-dose dexamethasone delays disease progression versus melphalan, prednisone, thalidomide and has been associated with a clinically meaningful improvement in health-related quality-of-life. These results further establish continuous lenalidomide and low-dose dexamethasone as a new standard of care for initial therapy of myeloma by demonstrating superior health-related quality-of-life during treatment, compared with melphalan, prednisone, thalidomide.
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Introduction : De nos jours, les femmes atteintes de cancer du sein peuvent espérer une survie prolongée et un grand nombre d’entre elles peuvent même entrevoir la guérison. Alors que le dépistage précoce et les traitements rigoureux donnent espoir à de plus en plus de femmes, les chercheurs et les cliniciens doivent maintenant se pencher sur la qualité de vie de ces femmes à chaque phase clinique de la trajectoire de soins. Les difficultés physiques, fonctionnelles, psychologiques et sociales avec lesquelles les femmes vivent peuvent compromettre leur qualité de vie, d’où l’intérêt d’évaluer celle-ci. Peu de chercheurs se sont intéressés au changement longitudinal de la qualité de vie de ces femmes aux différents moments de la trajectoire de soins en oncologie : diagnostic, traitement et suivi. De plus, peu se sont demandés si la perception que les femmes ont de leur communication avec les professionnels de la santé influence leur qualité de vie le long de la trajectoire de soins. Objectifs principaux : 1) Décrire l’évolution de la qualité de vie liée à la santé des femmes atteintes de cancer du sein pendant le diagnostic, les traitements de radiothérapie et le suivi; 2) Décrire l’évolution de la perception que les femmes ont de leur communication avec les médecins, les infirmières et les technologues en radio-oncologie au cours des mêmes phases cliniques; 3) Examiner l’évolution de la relation entre la perception que les femmes ont de leur communication avec les professionnels de la santé et leur qualité de vie liée à la santé durant les phases citées précédemment. Méthodes : L’échantillon se composait de 120 femmes atteintes d’un cancer du sein précoce (stades I et II) qui parlaient le français, âgées de plus de 18 ans (55 ans ± 9,5) qui ont eu une chirurgie conservatrice. Les femmes ont complété des questionnaires à la période entourant le diagnostic (en moyenne six semaines après le diagnostic), à mi-chemin de la radiothérapie (en moyenne 27 semaines après le diagnostic) et de trois à quatre mois après la fin de la radiothérapie (en moyenne 48 semaines après le diagnostic). À chaque temps de mesure, elles ont complété six questionnaires d’une durée totale de 60 minutes au centre hospitalier ou à domicile : un sur les données sociodémographiques, un sur les renseignements médicaux, le MOS SSS, le EORTC QLQ-C30/BR23 et le MCCS. Résultats : Les analyses GEE montrent que la qualité de vie liée à la santé des femmes atteintes de cancer du sein change dans le temps. Elle diminue pendant la radiothérapie, sauf pour le fonctionnement émotionnel et cognitif. Les analyses démontrent aussi que certains facteurs cliniques, intrapersonnels et interpersonnels influencent leur qualité de vie. Précisément, plus les femmes avancent en âge et plus elles perçoivent qu’elles ont eu du soutien social le long de la trajectoire de soins, plus leur qualité de vie est meilleure pour les dimensions génériques et spécifiques du fonctionnement. De plus, celles qui présentent une tumeur de stade II et celles qui ont eu de la radiothérapie et l’hormonothérapie ont des scores plus élevés pour certaines dimensions de qualité de vie comparativement à celles dont le cancer se situe au stade I et à celles qui ont eu la chimiothérapie, la radiothérapie et l’hormonothérapie. Les résultats font état également d’une interaction entre le facteur « temps » et un facteur intrapersonnel pour le fonctionnement « rôle » et le fonctionnement sexuel des femmes. La perception que les femmes ont de leur communication avec les médecins et les autres professionnels de la santé change très peu avec le temps. Ainsi, les femmes se perçoivent plus compétentes dans la recherche d’information avec les radio-oncologues pendant la radiothérapie qu’avec les chirurgiens-oncologues au moment du diagnostic. Elles perçoivent aussi la vérification et la recherche d’information par les radio-oncologues pendant la radiothérapie plus satisfaisante que celle des chirurgiens-oncologues lors de l’annonce du diagnostic. Globalement, les femmes perçoivent leur communication avec les radio-oncologues et les chirurgiens-oncologues comme étant meilleure pendant la radiothérapie et au suivi qu’au moment du diagnostic avec les chirurgiens-oncologues. Les analyses GEE montrent aussi que certains facteurs cliniques (nature des traitements), intrapersonnels et interpersonnels (âge, niveau de scolarité et soutien social perçu) sont des facteurs susceptibles d’influencer la façon dont elles perçoivent leur communication avec les professionnels de la santé. Enfin, la perception des femmes quant à leurs compétences de communication à l’égard des médecins et des autres professionnels de la santé explique davantage leur qualité de vie liée à la santé que celle des compétences des professionnels de la santé. Donc, les femmes ont un meilleur score pour le fonctionnement « rôle », émotionnel et elles ont moins d’effets secondaires et de symptômes pendant la radiothérapie et au suivi lorsqu’elles se perçoivent compétentes envers les médecins (chirurgiens-oncologues et radio-oncologues) pour la recherche d’information et l’aspect socio-affectif d’un entretien aux temps précédents. De plus, l’âge des femmes, le soutien social perçu, le stade de la maladie et la nature des traitements ont une influence sur le lien entre leur qualité de vie et leur communication avec les professionnels de la santé. Enfin, une interaction est présente entre le facteur « temps » et un facteur clinique ou intrapersonnel pour les dimensions de qualité de vie suivantes : rôle, émotionnel et fonctionnement sexuel. Conclusion et retombées : Les résultats de la présente thèse soulignent l’importance d’évaluer de façon longitudinale la qualité de vie liée à la santé des femmes atteintes de cancer du sein à différents moments de la trajectoire de soins, particulièrement pendant la radiothérapie, et, pour les intervenants psychosociaux, de s’occuper des jeunes femmes diagnostiquées et de celles qui ne perçoivent pas recevoir un soutien social. Ainsi, de meilleures ressources psychosociales pourront être mises sur pied pour aider ces groupes de femmes. Les résultats montrent également qu’il est essentiel d’informer les chirurgiens-oncologues de l’importance d’établir une communication satisfaisante avec les femmes atteintes de cancer du sein lors de l’annonce du diagnostic afin de favoriser une perception positive par les femmes de leur communication avec les chirurgiens-oncologues. Enfin, les résultats obtenus soulignent les avantages pour les femmes atteintes de cancer du sein d’être proactives et de se sentir compétentes pour la recherche d’information et l’aspect socio-affectif d’une relation avec les chirurgiens-oncologues et les radio-oncologues dans le maintien d’une bonne qualité de vie liée à la santé.
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Resumen tomado de la publicaci??n. Resumen tambi??n en ingl??s
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A Qualidade de Vida (QV) em pacientes com câncer de cabeça e pescoço é afetada por fatores relacionados à doença e seu tratamento. Este estudo teve por objetivo avaliar a QV em pacientes com câncer de localização na cabeça e no pescoço, relacionado-a as condições de saúde bucal. Foram examinados 30 pacientes com diagnóstico de câncer de cabeça e pescoço. Foram pesquisadas variáveis socioeconômicas, hábitos e aspectos associados ao tumor, além de variáveis relacionadas à saúde bucal — CPOD, Uso e Necessidades Protéticas, Xerostomia e Consulta ao Dentista nos últimos seis meses, Mucosite e Mutilação. O questionário utilizado para avaliação da QV foi o EORTC QLQ-C30, e o módulo específico para câncer de cabeça e pescoço H&N35. A QV, no primeiro momento do estudo, foi considerada mediana, o nível funcional moderado e baixa sintomatologia. Não houve correlação estatisticamente significativa entre os componentes perdido e cariado do CPOD com a QV. O grupo de pacientes que necessitava de próteses relatou Desempenho Funcional e Função Social menores do que aqueles que não necessitavam. A Fadiga, a Dor e a Insônia foram maiores para o primeiro grupo. O grupo de pacientes com xerostomia demonstrou menor QV, menor nível funcional e maior sintomatologia quando comparado com aqueles sem queixa de xerostomia. O grupo dos fumantes apresentou maior sintomatologia e pior nível funcional do que os não-fumantes. Não foram encontradas diferenças significativas de QV entre os indivíduos que ingeriam ou não chimarrão. A QV dos pacientes no acompanhamento foi semelhante à primeira parte do estudo, porém houve aumento dos sintomas e diminuição do nível funcional. O CPOD aumentou, e o uso de próteses decresceu, enquanto a necessidade das mesmas aumentou Não foi possível verificar a associação entre a QV e a Mucosite, pois poucos pacientes foram afetados por esta condição. A Mutilação foi correlacionada negativamente com o Desempenho Funcional, Náusea e Vômito e Perda de Apetite. Apenas a avaliação clínica das variáveis de saúde bucal foi insuficiente para predizer a correlação entre a condição de saúde bucal e a QV, porém é essencial a atuação de uma equipe multidisciplinar de cuidado oncológico, na qual o cirurgião-dentista deve estar inserido de modo a minimizar os danos à saúde bucal desses pacientes, auxiliando na construção de uma melhor QV.
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Objectives: To investigate the occurrence and severity of lymphoedema of the lower extremities (LLE), quality of life (QoL), and urinary and sexual dysfunction in women with vulvar cancer submitted to surgical treatment.Study design: Twenty-eight patients with vulvar cancer submitted to vulvectomy and inguinofemoral lymphadenectomy and 28 healthy, age-matched women (control group) were evaluated. The occurrence and severity of LLE were determined by Miller's Clinical Evaluation. QoL, urinary function and sexual function were assessed by the EORTC QLQ-C30, SF-ICIQ and FSFI questionnaires, respectively. The differences between groups and correlations were assessed using Student's r-test, Chi-squared test, Mann-Whitney U-test and Spearman's rho test.Results: The groups were similar in terms of marital status, educational status, menopausal status, hormone therapy and height. The occurrence and severity of LLE were higher in women with vulvar cancer compared with the control group (p < 0.001 and p = 0.003, respectively). A significant association was found between the severity of LLE and advanced age (p = 0.04), and the severity of LLE and higher body mass index (BMI; p = 0.04) in patients with vulvar cancer. In the patients with vulvar cancer, there was a significant correlation between the severity of LLE and worse QoL in the following domains: physical, cognitive, emotional, social, fatigue, pain, sleep and financial questions (p < 0.05). There was no difference in urinary function between the two groups (p = 0.113). Age and number of deliveries were the only variables associated with the occurrence of urinary incontinence (p = 0.01). Urinary incontinence was present in women with a mean age of 74.9 +/- 4.6 years and a mean of 7.3 +/- 1.3 normal deliveries. There was no difference between the groups in terms of the sexual function. Multivariate analysis showed an association between sexual function and age (p = 0.01), and sexual function and being in a stable relationship (p = 0.02).Conclusion: Patients submitted to vulvectomy or inguinofemoral lymphadenectomy for vulvar cancer are at higher risk of developing LLE compared with healthy, age-matched women. This has a negative effect on QoL, but does not interfere with urinary or sexual function. (C) 2012 Elsevier B.V. All rights reserved.
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Pós-graduação em Bases Gerais da Cirurgia - FMB
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Pós-graduação em Pesquisa e Desenvolvimento (Biotecnologia Médica) - FMB
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Pós-graduação em Pesquisa e Desenvolvimento (Biotecnologia Médica) - FMB
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Pós-graduação em Ginecologia, Obstetrícia e Mastologia - FMB
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Pós-graduação em Enfermagem - FMB
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Aim: To use published literature and experts' opinion to investigate the clinical meaning and magnitude of changes in the Quality of Life (QOL) of groups of patients measured with the European Organisation for the Research and Treatment of Cancer Quality of Life Questionnaire Core 30 (EORTC QLQ-C30). Methods: An innovative method combining systematic review of published studies, expert opinions and meta-analysis was used to estimate large, medium, and small mean changes over time for QLQ-C30 scores. Results: Nine hundred and eleven papers were identified, leading to 118 relevant papers. One thousand two hundred and thirty two mean changes in QOL over time were combined in the meta-analysis, with timescales ranging from four days to five years. Guidelines were produced for trivial, small, and medium size classes, for each subscale and for improving and declining scores separately. Estimates for improvements were smaller than respective estimates for declines. Conclusions: These guidelines can be used to aid sample size calculations and interpretation of mean changes over time from groups of patients. Observed mean changes in the QLQ-C30 scores are generally small in most clinical situations, possibly due to response shift. Careful consideration is needed when planning studies where QOL changes over time are of primary interest; the timing of follow up, sample attrition, direction of QOL changes, and subscales of primary interest are key considerations. (C) 2012 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Durch die ansteigende Inzidenz und niedrige Mortalität steigt die Anzahl der überlebenden Männer nach Prostatakarzinom. Mit einer 5-Jahresprävalenz von 279.000 Männern stellte das Prostatakarzinom im Jahr 2010 den größten Anteil der Krebspatienten. Die absolute 5-Jahres-Überlebensrate liegt bei 78 %. Studien zur Lebensqualität dieser Langzeitüberlebenden (> 5 Jahre nach Diagnosestellung) beschränken sich meist auf bestimmte Therapien, schließen höhere Tumorstadien aus oder untersuchen nur die Wirkung von klinischen Einflussfaktoren. In Schleswig-Holstein wurde im Rahmen der populationsbezogenen OVIS- und CAESAR-Studie die Lebensqualität bei Männern mit bzw. nach Prostatakrebs zu drei Zeitpunkten erhoben (15 Monate, 3 ½ und 7 Jahre nach initialer Diagnose). Für die allgemeine krebsspezifische Lebensqualität (EORTC QLQ-C30) erfolgt eine Beschreibung des Verlaufs sowie ein Vergleich mit Referenzdaten aus der deutschen Allgemeinbevölkerung. Aus der dritten Befragung liegen auch Daten zur prostataspezifischen Lebensqualität (EORTC QLQ-PR25) vor. Mittels multipler linearer Regressionen werden für elf ausgewählte Lebensqualitätsskalen (mögliche Werte 0 bis 100) potenzielle Einflussfaktoren (klinisch, soziodemographisch, Lifestyle) untersucht. Die Lebensqualität der 911 Männer (medianes Alter bei Drittbefragung: 72 Jahre) nimmt im zeitlichen Verlauf nur gering, aber nicht klinisch relevant ab. Es zeigen sich nur geringe Unterschiede zur Lebensqualität der Referenzbevölkerung. Im absoluten Vergleich aller Skalen werden zum Zeitpunkt der Drittbefragung auf den prostataspezifischen Skalen die größten Einschränkungen berichtet. In den berechneten multiplen Regressionen war sieben Jahre nach Diagnose eine Krankheitsprogression auf allen untersuchten Skalen signifikant mit einer geringeren Lebensqualität assoziiert (niedrigster Regressionskoeffizient βadj -13,8, 95 %-CI -18,8; -8,8). Eine Strahlentherapie zeigte auf zehn, eine Hormontherapie auf fünf Skalen einen negativen Einfluss. Ebenfalls auf fünf Skalen war ein höherer Body-Mass-Index ein Prädiktor für eine geringere Lebensqualität. Auf allen Funktionsskalen war ein höherer Sozialstatus mit einer besseren Lebensqualität assoziiert und zeigte tendenziell einen größeren Einfluss als die initiale Therapie. Alleinstehende Männer berichteten eine geringere sexuelle Aktivität (βadj -7,5, 95 %-CI -13,8; -1,2) als Männer in einer Partnerschaft. Neben klinischen Faktoren beeinflussen auch soziodemographische Variablen die Lebensqualität von langzeitüberlebenden Männern nach bzw. mit Prostatakarzinom signifikant. Daher sollten in nicht-randomisierten Studien zum Adjustieren die entsprechenden Variablen (wie z. B. Body-Mass-Index, Sozialstatus, Partnerschaft) mit erhoben werden. Klinisch relevante Veränderungen der allgemeinen krebsspezifischen Lebensqualität finden – wenn überhaupt – innerhalb der ersten 15 Monate nach Diagnosestellung statt. Referenzdaten für die prostataspezifische Lebensqualität der Allgemeinbevölkerung liegen nicht vor. Eine Erhebung dieser scheint sinnvoll, da hier größere Unterschiede im Vergleich beider Gruppen erwartet werden.
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BACKGROUND: There is an increasing demand for comprehensive forms of palliative cancer care, meeting physical as well as emotional, cognitive, spiritual and social needs. Therapy programs of anthroposophic hospitals are aimed at improving health and quality of life (QoL) at these levels. However, data on the influence of these programs on QoL of patients with advanced cancer are scarce. PATIENTS AND METHODS: 144 in-patients with advanced epithelial cancers were treated at the anthroposophic Lukas Klinik, Arlesheim, Switzerland. QoL was assessed upon admission, discharge and after 4 months, using 20 functional scales from the questionnaires EORTC QLQ-C30, HADS and SELT-M. Statistical testing was performed with the Wilcoxon signed rank test. At month 4, subjectively perceived benefits from anthroposophic medicine (AM) and conventional cancer therapy (CCT) were assessed by telephone. OBJECTIVE: The aim was to provide an account of global, physical, emotional, cognitive-spiritual and social QoL developments in advanced cancer patients, during and after in-patient AM treatment, and to investigate subjective benefits from AM and CCT. RESULTS: QoL improvements were observed in all 20 dimensions (12 significant). Compared to related studies, improvements were fairly high. At month 4, QoL scores had decreased but were still above baseline in all 20 dimensions. Both AM and CCT were perceived as beneficial. CONCLUSION: Our data provide evidence that in-patient therapy at an anthroposophic hospital can lead to significant QoL improvements, especially in emotional, but also global, physical, cognitive-spiritual and social aspects. Benefits of AM were experienced on the physical, emotional, cognitive- spiritual and social level. Benefits of CCT were tumor-focused.