826 resultados para Preschool children Social networks
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BACKGROUND Many preschool children have wheeze or cough, but only some have asthma later. Existing prediction tools are difficult to apply in clinical practice or exhibit methodological weaknesses. OBJECTIVE We sought to develop a simple and robust tool for predicting asthma at school age in preschool children with wheeze or cough. METHODS From a population-based cohort in Leicestershire, United Kingdom, we included 1- to 3-year-old subjects seeing a doctor for wheeze or cough and assessed the prevalence of asthma 5 years later. We considered only noninvasive predictors that are easy to assess in primary care: demographic and perinatal data, eczema, upper and lower respiratory tract symptoms, and family history of atopy. We developed a model using logistic regression, avoided overfitting with the least absolute shrinkage and selection operator penalty, and then simplified it to a practical tool. We performed internal validation and assessed its predictive performance using the scaled Brier score and the area under the receiver operating characteristic curve. RESULTS Of 1226 symptomatic children with follow-up information, 345 (28%) had asthma 5 years later. The tool consists of 10 predictors yielding a total score between 0 and 15: sex, age, wheeze without colds, wheeze frequency, activity disturbance, shortness of breath, exercise-related and aeroallergen-related wheeze/cough, eczema, and parental history of asthma/bronchitis. The scaled Brier scores for the internally validated model and tool were 0.20 and 0.16, and the areas under the receiver operating characteristic curves were 0.76 and 0.74, respectively. CONCLUSION This tool represents a simple, low-cost, and noninvasive method to predict the risk of later asthma in symptomatic preschool children, which is ready to be tested in other populations.
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Background : Increasing numbers of preschool children are being referred for specialist dental management in a paediatric hospital. Most cases have severe early childhood caries and require comprehensive management under general anaesthesia. The present study investigated risk factors for disease presence at initial consultation. Methods : A convenience sample of 125 children under four years of age from the north Brisbane region were examined and caries experience recorded using dmft and dmfs indices. A self-administered questionnaire obtained information regarding social, demographic, birth, neonatal, infant feeding and dental health behaviour variables. The data were analysed using the chi-square and one-way analysis of variance procedures. Results : Ninety-four per cent of referred children had severe ECC with mean dmft of 10.5 ± 3.8 and mean dmfs of 27.1 ± 15.1. Prevalence of severe ECC was significantly higher in children allowed a sweetened liquid in the infant feeding bottle (99 per cent) and allowed to sip from an infant feeding bottle during the day (100 per cent). Mean dmfs was significantly higher in children allowed to sleep with a bottle (28.7) and sip from a bottle during the day (29.9), children from a non-Caucasian background (31.8), those children that commenced regular toothbrushing between 6 to 12 months of age (28.1), had no current parental supervision of daily tooth-brushing (34.2) and had not taken daily fluoride supplements (27.8), vitamin supplements (27.8) or prescription medicine previously (27.6). Conclusions : The behavioural determinants for severe early childhood caries presence in hospital-referred children were similar to those identified in the regional preschool population.
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Les enfants d’âge préscolaire (≤ 5 ans) sont plus à risque de subir un traumatisme crânio-cérébral (TCC) que les enfants plus agés, et 90% de ces TCC sont de sévérité légère (TCCL). De nombreuses études publiées dans les deux dernières décennies démontrent que le TCCL pédiatrique peut engendrer des difficultés cognitives, comportementales et psychiatriques en phase aigüe qui, chez certains enfants, peuvent perdurer à long terme. Il existe une littérature florissante concernant l'impact du TCCL sur le fonctionnement social et sur la cognition sociale (les processus cognitifs qui sous-tendent la socialisation) chez les enfants d'âge scolaire et les adolescents. Or, seulement deux études ont examiné l'impact d'un TCCL à l'âge préscolaire sur le développement social et aucune étude ne s'est penchée sur les répercussions socio-cognitives d'un TCCL précoce (à l’âge préscolaire). L'objectif de la présente thèse était donc d'étudier les conséquences du TCCL en bas âge sur la cognition sociale. Pour ce faire, nous avons examiné un aspect de la cognition sociale qui est en plein essor à cet âge, soit la théorie de l'esprit (TE), qui réfère à la capacité de se mettre à la place d'autrui et de comprendre sa perspective. Le premier article avait pour but d'étudier deux sous-composantes de la TE, soit la compréhension des fausses croyances et le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, six mois post-TCCL. Les résultats indiquent que les enfants d'âge préscolaire (18 à 60 mois) qui subissent un TCCL ont une TE significativement moins bonne 6 mois post-TCCL comparativement à un groupe contrôle d'enfants n'ayant subi aucune blessure. Le deuxième article visait à éclaircir l'origine de la diminution de la TE suite à un TCCL précoce. Cet objectif découle du débat qui existe actuellement dans la littérature. En effet, plusieurs scientifiques sont d'avis que l'on peut conclure à un effet découlant de la blessure au cerveau seulement lorsque les enfants ayant subi un TCCL sont comparés à des enfants ayant subi une blessure n'impliquant pas la tête (p.ex., une blessure orthopédique). Cet argument est fondé sur des études qui démontrent qu'en général, les enfants qui sont plus susceptibles de subir une blessure, peu importe la nature de celle-ci, ont des caractéristiques cognitives pré-existantes (p.ex. impulsivité, difficultés attentionnelles). Il s'avère donc possible que les difficultés que nous croyons attribuables à la blessure cérébrale étaient présentes avant même que l'enfant ne subisse un TCCL. Dans cette deuxième étude, nous avons donc comparé les performances aux tâches de TE d'enfants ayant subi un TCCL à ceux d'enfants appartenant à deux groupes contrôles, soit des enfants n'ayant subi aucune blessure et à des pairs ayant subi une blessure orthopédique. De façon générale, les enfants ayant subi un TCCL ont obtenu des performances significativement plus faibles à la tâche évaluant le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, 6 mois post-blessure, comparativement aux deux groupes contrôles. Cette étude visait également à examiner l'évolution de la TE suite à un TCCL, soit de 6 mois à 18 mois post-blessure. Les résultats démontrent que les moindres performances sont maintenues 18 mois post-TCCL. Enfin, le troisième but de cette étude était d’investiguer s’il existe un lien en la performance aux tâches de TE et les habiletés sociales, telles qu’évaluées à l’aide d’un questionnaire rempli par le parent. De façon intéressante, la TE est associée aux habiletés sociales seulement chez les enfants ayant subi un TCCL. Dans l'ensemble, ces deux études mettent en évidence des répercussions spécifiques du TCCL précoce sur la TE qui persistent à long terme, et une TE amoindrie seraient associée à de moins bonnes habiletés sociales. Cette thèse démontre qu'un TCCL en bas âge peut faire obstacle au développement sociocognitif, par le biais de répercussions sur la TE. Ces résultats appuient la théorie selon laquelle le jeune cerveau immature présente une vulnérabilité accrue aux blessures cérébrales. Enfin, ces études mettent en lumière la nécessité d'étudier ce groupe d'âge, plutôt que d'extrapoler à partir de résultats obtenus avec des enfants plus âgés, puisque les enjeux développementaux s'avèrent différents, et que ceux-ci ont potentiellement une influence majeure sur les répercussions d'une blessure cérébrale sur le fonctionnement sociocognitif.
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Les enfants d’âge préscolaire (≤ 5 ans) sont plus à risque de subir un traumatisme crânio-cérébral (TCC) que les enfants plus agés, et 90% de ces TCC sont de sévérité légère (TCCL). De nombreuses études publiées dans les deux dernières décennies démontrent que le TCCL pédiatrique peut engendrer des difficultés cognitives, comportementales et psychiatriques en phase aigüe qui, chez certains enfants, peuvent perdurer à long terme. Il existe une littérature florissante concernant l'impact du TCCL sur le fonctionnement social et sur la cognition sociale (les processus cognitifs qui sous-tendent la socialisation) chez les enfants d'âge scolaire et les adolescents. Or, seulement deux études ont examiné l'impact d'un TCCL à l'âge préscolaire sur le développement social et aucune étude ne s'est penchée sur les répercussions socio-cognitives d'un TCCL précoce (à l’âge préscolaire). L'objectif de la présente thèse était donc d'étudier les conséquences du TCCL en bas âge sur la cognition sociale. Pour ce faire, nous avons examiné un aspect de la cognition sociale qui est en plein essor à cet âge, soit la théorie de l'esprit (TE), qui réfère à la capacité de se mettre à la place d'autrui et de comprendre sa perspective. Le premier article avait pour but d'étudier deux sous-composantes de la TE, soit la compréhension des fausses croyances et le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, six mois post-TCCL. Les résultats indiquent que les enfants d'âge préscolaire (18 à 60 mois) qui subissent un TCCL ont une TE significativement moins bonne 6 mois post-TCCL comparativement à un groupe contrôle d'enfants n'ayant subi aucune blessure. Le deuxième article visait à éclaircir l'origine de la diminution de la TE suite à un TCCL précoce. Cet objectif découle du débat qui existe actuellement dans la littérature. En effet, plusieurs scientifiques sont d'avis que l'on peut conclure à un effet découlant de la blessure au cerveau seulement lorsque les enfants ayant subi un TCCL sont comparés à des enfants ayant subi une blessure n'impliquant pas la tête (p.ex., une blessure orthopédique). Cet argument est fondé sur des études qui démontrent qu'en général, les enfants qui sont plus susceptibles de subir une blessure, peu importe la nature de celle-ci, ont des caractéristiques cognitives pré-existantes (p.ex. impulsivité, difficultés attentionnelles). Il s'avère donc possible que les difficultés que nous croyons attribuables à la blessure cérébrale étaient présentes avant même que l'enfant ne subisse un TCCL. Dans cette deuxième étude, nous avons donc comparé les performances aux tâches de TE d'enfants ayant subi un TCCL à ceux d'enfants appartenant à deux groupes contrôles, soit des enfants n'ayant subi aucune blessure et à des pairs ayant subi une blessure orthopédique. De façon générale, les enfants ayant subi un TCCL ont obtenu des performances significativement plus faibles à la tâche évaluant le raisonnement des désirs et des émotions d'autrui, 6 mois post-blessure, comparativement aux deux groupes contrôles. Cette étude visait également à examiner l'évolution de la TE suite à un TCCL, soit de 6 mois à 18 mois post-blessure. Les résultats démontrent que les moindres performances sont maintenues 18 mois post-TCCL. Enfin, le troisième but de cette étude était d’investiguer s’il existe un lien en la performance aux tâches de TE et les habiletés sociales, telles qu’évaluées à l’aide d’un questionnaire rempli par le parent. De façon intéressante, la TE est associée aux habiletés sociales seulement chez les enfants ayant subi un TCCL. Dans l'ensemble, ces deux études mettent en évidence des répercussions spécifiques du TCCL précoce sur la TE qui persistent à long terme, et une TE amoindrie seraient associée à de moins bonnes habiletés sociales. Cette thèse démontre qu'un TCCL en bas âge peut faire obstacle au développement sociocognitif, par le biais de répercussions sur la TE. Ces résultats appuient la théorie selon laquelle le jeune cerveau immature présente une vulnérabilité accrue aux blessures cérébrales. Enfin, ces études mettent en lumière la nécessité d'étudier ce groupe d'âge, plutôt que d'extrapoler à partir de résultats obtenus avec des enfants plus âgés, puisque les enjeux développementaux s'avèrent différents, et que ceux-ci ont potentiellement une influence majeure sur les répercussions d'une blessure cérébrale sur le fonctionnement sociocognitif.
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Hepatitis C virus (HCV) infects 170 million people worldwide, and is a major public health problem in Brazil, where over 1% of the population may be infected and where multiple viral genotypes co-circulate. Chronically infected individuals are both the source of transmission to others and are at risk for HCV-related diseases, such as liver cancer and cirrhosis. Before the adoption of anti-HCV control measures in blood banks, this virus was mainly transmitted via blood transfusion. Today, needle sharing among injecting drug users is the most common form of HCV transmission. Of particular importance is that HCV prevalence is growing in non-risk groups. Since there is no vaccine against HCV, it is important to determine the factors that control viral transmission in order to develop more efficient control measures. However, despite the health costs associated with HCV, the factors that determine the spread of virus at the epidemiological scale are often poorly understood. Here, we sequenced partial NS5b gene sequences sampled from blood samples collected from 591 patients in Sao Paulo state, Brazil. We show that different viral genotypes entered Sao Paulo at different times, grew at different rates, and are associated with different age groups and risk behaviors. In particular, subtype 1b is older and grew more slowly than subtypes 1a and 3a, and is associated with multiple age classes. In contrast, subtypes 1a and 3b are associated with younger people infected more recently, possibly with higher rates of sexual transmission. The transmission dynamics of HCV in Sao Paulo therefore vary by subtype and are determined by a combination of age, risk exposure and underlying social network. We conclude that social factors may play a key role in determining the rate and pattern of HCV spread, and should influence future intervention policies.
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Speech disorder in monolingual Cantonese- or English-speaking children has been well described in the literature. There appear to be no reports, however, that describe speech-disordered children who have been exposed to both languages. Here we report on the error patterns of two preschool speech-disordered children who were learning two languages. Both children's first language was Cantonese, but they were also exposed to English through the media and child care. Their disorders were of unknown aetiology. The following questions were asked of the data: (a) Do bilingual children, suspected of having speech problems, make errors in Cantonese and English that reflect delay or disorder when compared with normative data on monolingual speech development in each language? (b) How does the children's speech differ from other bilingual children from the same language learning background? (c) Are the children's speech difficulties apparent in both languages? (d) Is the pattern of errors the same in both languages or do language-specific processes operate? The results bear on theories of acquisition, disorder and bilingualism; they also have clinical implications for speech-language pathologists whose caseloads include bilingual preschool children.
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Using a random sample of university students to test general strain theory (GST), this study expanded on previous tests of strain theory in two ways. First, situational anger was measured, a construct that had not been used thus far in assessments of general strain. In addition, this research examined the role of social support networks as a conditioning influence on the effects of strain and anger on intentions to commit three types of criminal behavior (serious assault, shoplifting, and driving under the influence of alcohol [DUI]). The results provided mixed support for GST. While the link between anger and crime was confirmed, the nature of that relationship in some cases ran counter to the theory. Moreover, the evidence indicated that the role of social support networks was complex, and varied as a conditioning influence on intentions to engage in criminal activities. (C) 2001 Elsevier Science Ltd. All rights reserved.
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The play of children with autistic spectrum disorder (ASD) is a valuable medium for assessment and intervention, and its analysis has the potential to aid diagnosis. This study investigated spontaneous play behavior and play object preferences for 24 preschool children with ASD in a typical occupational therapy clinical environment. Play behavior was rated and choice of play object noted at 10-second intervals from a 15-minute video recording of unstructured play. Statistical analyses indicated that play behavior was consistent with descriptions in the literature. In addition, the children demonstrated clear preferences for play objects in the form of popular characters (e.g., Thomas the Tank Engine) and those with sensorimotor properties. We propose that the inclusion of preferred play objects in a clinical environment may increase intrinsic motivation to play, and thereby enhance assessment and intervention.
Exposure to polycyclic aromatic hydrocarbons and assessment of potential risks in preschool children
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As children represent one of the most vulnerable groups in society, more information concerning their exposure to health hazardous air pollutants in school environments is necessary. Polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs) have been identified as priority air pollutants due to their mutagenic and carcinogenic properties that strongly affect human health. Thus, this work aims to characterize levels of 18 selected PAHs in preschool environment, and to estimate exposure and assess the respective risks for 3–5-year-old children (in comparison with adults). Gaseous PAHs (mean of 44.5 ± 12.3 ng m−3) accounted for 87 % of the total concentration (ΣPAHs) with 3–ringed compounds being the most abundant (66 % of gaseous ΣPAHs). PAHs with 5 rings were the most abundant ones in the particulate phase (PM; mean of 6.89 ± 2.85 ng m−3) being predominantly found in PM1 (78 % particulate ΣPAHs). Overall child exposures to PAHs were not significantly different between older children (4–5 years old) and younger ones (3 years old). Total carcinogenic risks due to particulate-bound PAHs indoors were higher than outdoor ones. The estimated cancer risks of both preschool children and the staff were lower than the United States Environmental Protection Agency (USEPA) threshold of 10−6 but slightly higher than WHO-based guideline.
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Objective To examine the combined effects of physical activity and weight status on blood pressure (BP) in preschool-aged children. Study design The sample included 733 preschool-aged children (49% female). Physical activity was objectively assessed on 7 consecutive days by accelerometry. Children were categorized as sufficiently active if they met the recommendation of at least 60 minutes daily of moderate-to-vigorous physical activity (MVPA). Body mass index was used to categorize children as nonoverweight or overweight/obese, according to the International Obesity Task Force benchmarks. BP was measured using an automated BP monitor and categorized as elevated or normal using BP percentile-based cut-points for age, sex, and height. Results The prevalence of elevated systolic BP (SBP) and diastolic BP was 7.7% and 3.0%, respectively. The prevalence of overweight/obese was 32%, and about 15% of children did not accomplish the recommended 60 minutes of daily MVPA. After controlling for age and sex, overweight/obese children who did not meet the daily MVPA recommendation were 3 times more likely (OR 3.8; CI 1.6-8.6) to have elevated SBP than nonoverweight children who met the daily MVPA recommendation. Conclusions Overweight or obese preschool-aged children with insufficient levels of MVPA are at significantly greater risk for elevated SBP than their non overweight and sufficiently active counterparts. (J Pediatr 2015;167:98-102).
Resumo:
Dissertação apresentada como requisito parcial para obtenção do grau de Mestre em Estatística e Gestão de Informação
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A Work Project, presented as part of the requirements for the Award of a Masters Degree in Management from the NOVA – School of Business and Economics