28 resultados para Phèdre
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Ms. notations.
Resumo:
À très peu de philosophes l’histoire de la pensée occidentale a accordé une place aussi significative qu’à Socrate : nous apprenons tout naturellement à l’édifier comme héros de la rationalité et à reconnaître en lui la figure même du philosophe critique. À plusieurs égards, cette représentation élogieuse nous paraît justifiée, bien que, d’un autre point de vue, elle puisse nous faire sombrer dans la confusion, dès lors que notre regard porte simultanément, et comme pour produire un contraste, sur l’image d’un Socrate se soumettant au daimonion, son étrange signe divin. Comment pouvons-nous justifier, à partir du corpus platonicien, à la fois l’engagement de Socrate vis-à-vis de la rationalité et sa soumission à un phénomène en apparence irrationnel ? De cette question troublante est née la présente étude qui se consacre donc au problème de l’articulation entre le rapport de Socrate aux dieux et son rapport à la raison critique. Plus précisément, nous avons cherché à déterminer s’il existait, sur le plan épistémologique, une hiérarchie entre le daimonion et la méthode d’investigation rationnelle propre à Socrate, l’elenchos. Une telle étude exégétique nécessitait, dans un premier temps, une analyse systématique et approfondie des quelques passages sur le signe divin. Nous avons ensuite exposé deux solutions paradigmatiques au problème du double engagement contradictoire de Socrate, celle de G. Vlastos ainsi que celle de T.C. Brickhouse et N.D. Smith. Enfin, nous avons augmenté cette seconde partie d’un examen spécifique du Phèdre et du Timée, de même que d’un survol des modes de divination pour satisfaire un triple objectif : situer le signe divin en regard de la mantique traditionnelle, déterminer le rôle attribué par Platon à la raison dans le processus divinatoire, et être ainsi en mesure de trancher notre question principale.
Resumo:
Ce mémoire a pour but de définir le rôle de l’expérience sensible à l’intérieur de la théorie de la connaissance des dialogues de maturité de Platon, à savoir le Phédon, le Phèdre, le Banquet et la République. Pour atteindre ce but, nous nous questionnons d’abord sur la notion de réminiscence, principalement par l’étude de l’extrait 72-77 du Phédon et des différentes interprétations qu’il est possible d’en donner. Ensuite, nous montrons que les quatre dialogues partagent une structure épistémologique commune, pour finalement nous concentrer sur les différentes fonctions attribuées à l’expérience sensible. L’objectif poursuivi par cette étude est de démontrer qu’en dépit de l’attitude critique de Platon à l’égard des sens et de l’imperfection du monde sensible, il n’en demeure pas moins que la perception joue un rôle épistémologique et pédagogique important : elle fait partie intégrante du processus qui mène à la formation de concepts chez tout un chacun, elle incite le philosophe en devenir à se retourner vers le monde intelligible, et elle permet au philosophe accompli de se remémorer, à chaque instant, les arguments en faveur de l’immortalité de l’âme et de la nécessité de la philosophie.
Resumo:
Le présent mémoire décrit le rôle et l’application de la méthode platonicienne des divisions telle que décrite dans le Sophiste, le Politique, le Phèdre et le Philèbe. Il met en relief les différences et les similitudes du rôle et de l’application de la méthode dans ces quatre dialogues, afin d’analyser la possibilité ou bien de postuler l’unité de la doctrine platonicienne, ou bien de retracer les lieux de son évolution. Certains auteurs du siècle dernier affirment qu’il n’est pas possible de retracer quelque évolution que ce soit dans la doctrine, et estiment même que la méthode des divisions est utilisée bien au-delà de ces quatre dialogues, et que son absence des dialogues de jeunesse ne doit en aucun cas être prise pour une absence de la doctrine de l’époque. D’autres sont au contraire convaincus que la méthode des divisions est propre à un stade de la pensée de Platon qui ne peut être que postérieur à l’introduction de la théorie des Formes intelligibles, et que cette méthode incarne même, à toutes fins pratiques, la dialectique platonicienne des dialogues tardifs.
Resumo:
Cette étude tâche de dégager la double signification de la philosophie socratique comprise comme philosophie politique à l’aide d’une interprétation des Amoureux rivaux. Le refus d’accorder à ce court dialogue socratique une affiliation au corpus platonicien a jeté injustement de l’ombre sur la pertinence de son contenu : le discrédit des Amoureux rivaux a quelques limites qu’il est bon de montrer. La structure soignée du dialogue, qu’il est possible de mettre en lumière au moyen du Phèdre, invite à une interprétation attentive de cette architecture. Une telle lecture permet d’expliciter la parenté entre la philosophie et la politique dans la philosophie socratique. Les Amoureux rivaux présente deux dimensions politiques de la philosophie : une philosophie qui s’oppose à la philosophie physiologique en constituant plutôt un questionnement sur l’homme qui s’exprime dans un mode de vie réflexif, de même qu’une politique du dialogue, c’est-à-dire une bonne gouverne de la communauté dialectique.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
t. 1. Phèdre, ou la transition. Les tragédies dites de Sénèque. Perse, ou le stoïcisme et les stoïciens. Stace, ou les lectures publiques. Marital, ou la vie du poète. Juvénal, ou la déclamation.--t. 2. Lucain, ou la décadence.
Resumo:
Illustrated by J. M. Moreau.
Resumo:
"Les commentateurs ont été désignés ainsi qu'il suit: Louis Racine, L. R. D'Olivet, D'O. Voltaire, Volt. Luneau de Boisjermain, L. B. La Harpe, L. Geoffroy, G." - Préface de l'editeur.
Resumo:
Contents: Notice sur la vie et les ouvrages de Racine.--Alexandre Le Grand.--Andromaque.--Les Plaideurs.--Britannicus.--Bérénice.--Bajazet.--Mithridate.--Iphigénie.--Phèdre.--Esther.--Athalie.--Poésies diverses.
Resumo:
"Commentaire ... fait en société avec Blin de Sainmore."--Brunet, Manuel du libraire. 5. éd.
Resumo:
"La musique des chœurs d'Esther et d'Athalie par J. B. Moreau, et celle des quatre Cantiques spirituels, œuvre de même musicien pour les trois premiers, de Michel-Richard de la Lande pour le quatrième, sont données ici telles qu'elles ont été imprimées ou gravées du temps des compositeurs ... On a fidèlement reproduit les titres portent les éditions du Conservatoire." (Chœurs de la tragedie d'Esther avec la musique composée par J.-B. Moreau ... [Paris] Chez Denys Thierry [etc.] 1689.--La Musique d'Athalie par J.-B. Moreau ... Paris, Chez l'autheur [etc.] [n. d.]--Cantiques chantez devant le roy et composez par M. Moreau ... A Paris, Chez Christophe Ballard ... 1695)