41 resultados para Perec
Resumo:
In 1974, pursuing his interest in the infra-ordinary – ‘the banal, the quotidian, the obvious, the common, the ordinary, the back-ground noise, the habitual’ – Georges Perec wrote about an idea for a novel:
‘I imagine a Parisian apartment building whose façade has been removed … so that all the rooms in the front, from the ground floor up to the attics, are instantly and simultaneously visible’.
In Life A User’s Manual (1978) the consummation of this precis, patterns of existence are measured within architectural space with an archaeological sensibility that sifts through narrative and décor, structure and history, services and emotion, the personal and the system, ascribing commensurate value to each.
Apartment comes from the Italian appartare meaning ‘to separate’. The space of the boundary between activities is reduced to a series of intimately thin lines: the depth of a floor, a party wall, a window, the convex peep-hole in a door, or the façade that Perec seeks to render invisible. The apartness of the apartment is accelerated when aligned with short-term tenancies. Here Perec’s interweaving of personal histories over time using the structure of the block, gives way to convivialities of detachment: inhabitants are temporary, their personalities anonymous, their activities unknown or overlooked.
Borrowing methods from Perec, to move somewhere between conjecture, analysis and other documentation and tracing relationships between form, structure, materiality, technology, organisation, tenure and narrative use, this paper interrogates the late twentieth-century speculative apartment block in Britain and Ireland arguing that its speculative and commodified purpose allows a series of lives that are often less than ordinary to inhabit its spaces.
Henri Lefebvre described the emergence of an ‘abstract space’ under capitalism in terms which can be applied to the apartment building: the division of space into freely alienable privatised parcels which can be exchanged. Vertical distributions of class and other new, contiguous social and spatial relationships are couched within a paradox: the building which allows such proximities is also a conductor of division. Apartment comes from the Italian appartare meaning ‘to separate’. The space of the boundary between activities is reduced to a series of intimately thin lines: the depth of a floor, a party wall, a window, the convex peep-hole in a door, or the façade that Perec seeks to render invisible. The apartness of the apartment is accelerated when aligned with short-term tenancies. Here Perec’s interweaving of personal histories over time using the structure of the block, gives way to convivialities of detachment: inhabitants are temporary, their personalities anonymous, their activities unknown or overlooked.
Resumo:
Le Jeu, un phénomène difficile à définir, se manifeste en littérature de différentes manières. Le présent travail en considère deux : l’écriture à contrainte, telle que la pratique l’Oulipo, et l’écriture de l’imaginaire, en particulier les romans de Fantasy française. La première partie de cette étude présente donc, sous forme d’essai, les origines et les visées des deux groupes d’écrivains, mettant en lumière les similitudes pouvant être établies entre eux malgré leurs apparentes différences. Tandis que l’Oulipo cherche des contraintes capables de générer un nombre infini de textes et explore la langue par ce moyen, la Fantasy se veut créatrice de mondes imaginaires en puisant généralement à la source de Tolkien et des jeux de rôle. Il en résulte que le jeu, dans les deux cas, se révèle un puissant moteur de création, que le récit appelle un lecteur-explorateur et qu’il crée une infinité de mondes possibles. Malgré tout, des divergences demeurent quant à leurs critiques, leurs rapports avec le jeu et les domaines extralittéraires, et leurs visées. Considérant ce fait, je propose de combiner les deux styles d’écriture en me servant du cycle des Hortense de Jacques Roubaud (structuré au moyen de la sextine) et des Chroniques des Crépusculaires de Mathieu Gaborit (figure de proue en fantasy « pure »). Ce projet a pour but de combler le fossé restant encore entre les deux groupes. Ainsi, la seconde partie de mon travail constitue une première tentative de réunion des deux techniques d’écriture (à contrainte et de l’imaginaire). Six héros (trois aventuriers et trois mercenaires) partent à la recherche d’un objet magique dérobé à la Reine du Désert et capable de bouleverser l’ordre du monde. Le récit, divisé en six chapitres, rapporte les aventures de ce groupe jusqu’à leur rencontre avec l’ennemi juré de la Reine, un puissant sorcier elfe noir. Chaque chapitre comporte six sections plus petites où sont permutés – selon le mouvement de la sextine – six éléments caractéristiques des jeux de rôles : 1-Une description du MJ (Maître du Jeu) ; 2-Un combat ; 3-Une énigme à résoudre ou un piège à désarmer ; 4-Une discussion entre les joueurs à propos de leurs avatars ; 5-L’acquisition d’un nouvel objet ; 6-Une interaction avec un PNJ (Personnage Non Joueur). Tout au long du texte, des références aux Chroniques des Crépusculaires de Mathieu Gaborit apparaissent, suivant également un ordre sextinien. D’autres allusions, à Tolkien, Queneau, Perec ou Roubaud, agrémentent le roman.
Resumo:
Compte rendu de l'album « Récits d'Ellis Island : histoires d'errance et d'espoir » (POL, 1994).
Resumo:
Cette lecture, tant critique, comparative, et théorique que pédagogique, s’ancre dans le constat, premièrement, qu’il advient aux étudiantEs en littérature de se (re)poser la question des coûts et complicités qu’apprendre à lire et à écrire présuppose aujourd’hui; deuxièmement, que nos pratiques littéraires se trament au sein de lieux empreints de différences, que l’on peut nommer, selon le contexte, métaphore, récit, ville; et, troisièmement, que les efforts et investissements requis sont tout autant couteux et interminable qu’un plaisir et une nécessité politique. Ces conclusions tendent vers l’abstrait et le théorique, mais le langage en lequel elles sont articulées, langage corporel et urbain, de la dépendance et de la violence, cherche d’autant plus une qualité matérielle et concrète. Or, l’introduction propose un survol des lectures et comparaisons de Heroine de Gail Scott qui centre ce projet; identifie les contextes institutionnels, historiques, et personnels qui risquent, ensuite, de décentrer celui-ci. Le premier chapitre permet de cerner le matérialisme littéraire qui me sert de méthode par laquelle la littérature, à la fois, sollicite et offre une réponse à ces interrogations théoriques. Inspirée de l’œuvre de Gail Scott et Réjean Ducharme, premièrement, et de Walter Benjamin, Elisabeth Grosz, et Pierre Macherey ensuite, ‘matérialisme’ fait référence à cette collection de figures de pratiques littéraires et urbaines qui proviennent, par exemple, de Georges Perec, Michel DeCerteau, Barbara Johnson, et Patricia Smart, et qui invitent ensuite une réflexions sur les relations entre corporalité et narrativité, entre la nécessité et la contingence du littéraire. De plus, une collection de figures d’un Montréal littéraire et d’une cité pédagogique, acquis des œuvres de Zygmunt Bauman, Partricia Godbout, et Lewis Mumford, constitue en effet un vocabulaire nous permettant de mieux découvrir (et donc enseigner) ce que lire et apprendre requiert. Le deuxième chapitre propose une lecture comparée de Heroine et des romans des auteures québécoises Anne Dandurand, Marie Gagnon, et Tess Fragoulis, dans le contexte, premièrement, les débats entourant l’institutionnalisation de la littérature (anglo)Québécoise et, deuxièmement, des questions pédagogiques et politiques plus larges et plus urgentes que nous pose, encore aujourd’hui, cette violence récurrente qui s’acharna, par exemple, sur la Polytechnique en 1989. Or, cette intersection de la violence meurtrière, la pratique littéraire, et la pédagogie qui en résulte se pose et s’articule, encore, par le biais d’une collection de figures de styles. En fait, à travers le roman de Scott et de l’œuvre critique qui en fait la lecture, une série de craques invite à reconnaître Heroine comme étant, ce que j’appelle, un récit de dépendance, au sein duquel se concrétise une temporalité récursive et une logique d’introjection nous permettant de mieux comprendre la violence et, par conséquent, le pouvoir d’une pratique littéraire sur laquelle, ensuite, j’appuie ma pédagogie en devenir. Jetant, finalement, un regard rétrospectif sur l’oeuvre dans son entier, la conclusion de ce projet se tourne aussi vers l’avant, c’est-à-dire, vers ce que mes lectures dites matérialistes de la littérature canadienne et québécoise contribuent à mon enseignement de la langue anglaise en Corée du Sud. C’est dans ce contexte que les propos de Jacques Rancière occasionnent un dernier questionnement quant à l’historique des débats et des structures pédagogiques en Corée, d’une part, et, de l’autre, les conclusions que cette lecture de la fiction théorique de Gail Scott nous livre.
Resumo:
Pós-graduação em Letras - IBILCE
Resumo:
This thesis addresses the issue of generating texts in the style of an existing author, that also satisfy structural constraints imposed by the genre of the text. Although Markov processes are known to be suitable for representing style, they are difficult to control in order to satisfy non-local properties, such as structural constraints, that require long distance modeling. The framework of Constrained Markov Processes allows to precisely generate texts that are consistent with a corpus, while being controllable in terms of rhymes and meter. Controlled Markov processes consist in reformulating Markov processes in the context of constraint satisfaction. The thesis describes how to represent stylistic and structural properties in terms of constraints in this framework and how this approach can be used for the generation of lyrics in the style of 60 differents authors An evaluation of the desctibed method is provided by comparing it to both pure Markov and pure constraint-based approaches. Finally the thesis describes the implementation of an augmented text editor, called Perec. Perec is intended to improve creativity, by helping the user to write lyrics and poetry, exploiting the techniques presented so far.
Resumo:
von Jizchok Lejb Perez. Aus d. Jidischen übertr. von Alexander Eliasberg
Resumo:
Digitalisat der Ausg. Wilne, 1923
Resumo:
von Jizchok Leib Perez. Mit 5 Original-Lithogr. von Jakob Steinhardt [Dt. von Alexander Eliasberg]
Resumo:
von Jizchok Leib Perez. Lithographien von Jakob Steinhardt [Dt. von Aleksander Eliasberg]
Resumo:
von Jizchok Leib Perez. Mit e. Geleitw. von Martin Buber
Resumo:
von Jizchok Leib Perez. Dt. von Siegfried Schmitz
Resumo:
Jizchok Leib Perez. Aus d. Jüd. von Alexander Eliasberg
Resumo:
J.-L. Perez, Scholem-Alejchem, Scholem Asch. Ausgew. u. aus d. Jidd. übers. von Alexander Eliasberg