277 resultados para Offender
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This paper reviews existing research on offender supervision in the Republic of Ireland and Northern Ireland. Three distinct areas are considered: practising offender supervision, experiencing supervision and decision-making in this sphere. The material presented draws on findings from a European-wide research action under the Cooperation in Science and Technology (COST) initiative. The review highlights some of the gaps in knowledge and the need to focus research attention in this area. This need is underlined by the expansion in probation’s role, both North and South. In common with other countries there has been a growth in referrals to probation and in the numbers of people subject to supervision, whether on a community sentence or under post-custodial licence conditions. This review highlights some of the relevant factors including the increased emphasis placed on public protection and attempts to reduce the prison population. The circulation of people through systems and the experiences, processes and decision-making involved are all areas that we argue are worthy of further research attention.
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'Grooming' has been termed 'a ubiquitous feature of the sexual abuse of children' (Thornton, 2003: 144). Despite the prominence of the term in contemporary discourses on sexual offending against children, it is a term that is insufficiently understood in the psychological, sociological, criminological or legal literature. Most recently, the term has been used in two primary offending contexts - on-line grooming and abuse by strangers, and institutional grooming and abuse by those in positions of trust. This article argues, however, that grooming and its role in child sexual abuse is a multi-faceted phenomenon and much more complex than has been highlighted previously. While there are a number of typologies of grooming, this article concentrates on those which may be most relevant for treatment and management contexts - 'peer-to-peer grooming' and 'institutional grooming.' Drawing on extensive fieldwork with professionals who work in the fields of child protection or victim support, and sex offender assessment, treatment or management across the United Kingdom and the Republic of Ireland, the aim of this article is two-fold: (i) to deconstruct the term grooming and examine its actual role in the onset of sexual offending against children; and (ii) to draw out the implications of these complexities for policy and practice, chiefly in terms of treatment and prevention.
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This review focuses on key empirical research from the UK on the practice of offendersupervision beyond the narrowly defined constraints of programme evaluations.
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Contemporary social and political constructions of victimhood and offending behaviour lie at the heart of regulatory policies on child sexual abuse. Legislation is named after specific child victims of high profile cases, and a burgeoning range of pre-emptive measures are enacted to protect an amorphous class of ‘all potential victims’ from the risk sex offenders are seen as posing. Such policies are also heavily premised on the omnipresent predatory stranger. These constructed identities, however, are at odds with the actual identities of victims and offenders of such crimes. Drawing on a range of literatures, the core task of this article is to confront some of the complexities and tensions surrounding constructions of the victim/offender dyad within the specific context of sexual offending against children. In particular, the article argues that discourses on ‘blame’ – and the polarised notions of ‘innocence’ and ‘guilt’ – inform respective hierarchies of victimhood and offending concerning ‘legitimate’ victim and offender status. Based on these insights, the article argues for the need to move beyond such monochromatic understandings of victims and offenders of sexual crime and to reframe the politics of risk accordingly.
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La notion de réussite criminelle a essentiellement été définie au moyen de l’indicateur objectif des gains monétaires. Si l’idée selon laquelle l’argent est au coeur de la réussite professionnelle fait l’objet d’un large consensus social, il semble improbable que les gains monétaires permettent à eux seuls d’appréhender la réussite. Pour mieux comprendre certaines dimensions des carrières criminelles telles que la persistance et le désistement, il paraît utile de se pencher sur la manière dont les criminels définissent leur propre réussite. Il a été établi que l’auto-efficacité, soit la croyance que possède un individu en sa capacité à accomplir une tâche, permet de prédire plusieurs dimensions des carrières légitimes. À partir de la théorie sur l’auto-efficacité, ce mémoire examine de quelle manière se forme l’auto-efficacité criminelle. Nous soutenons que les perceptions relatives à la réussite criminelle sont affectées par des facteurs semblables à ceux qui jouent dans le développement de l’auto-efficacité légitime. Nous partons de l’hypothèse que les criminels forgent leur auto-efficacité à partir de quatre sources d’expérience : les réussites personnelles, l’apprentissage vicariant, la persuasion sociale et les états physiologiques. Il est également avancé que certaines caractéristiques individuelles et environnementales ont un impact significatif sur le développement de l’auto-efficacité criminelle. Sur la base d’entrevues auprès de 212 délinquants, nos résultats indiquent que l’auto-efficacité criminelle est une construction complexe fondée sur les caractéristiques individuelles et environnementales, ainsi que sur les expériences criminelles personnelles. Nous discutons de l’impact éventuel de ces conclusions sur l’appréhension de la persévérance et du désistement dans les carrières criminelles.
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Ce mémoire de maîtrise cherche à jeter un regard approfondi sur les cas des jeunes contrevenants référés au processus de médiation à Trajet, un organisme de justice alternative à Montréal. Plus précisément, les objectifs sont de décrire les caractéristiques des cas référés, d’explorer leur relation avec la participation au processus de médiation et avec le résultat de celui-ci, et de comparer ces mêmes éléments en regard de deux périodes inclues dans le projet : celle où s’appliquait la Loi sur les jeunes contrevenants et celle où la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents assortie de l’Entente cadre sont entrés en vigueur. Des méthodes de recherche quantitatives ont été utilisées pour analyser les cas référés à Trajet sur une période de 10 ans (1999-2009). Des analyses descriptives ont permis d’établir les caractéristiques communes ou divergentes entre les cas référés à Trajet et ceux référés à d’autres programmes de médiation. Des analyses bi-variées ont révélé qu’une relation significative existait entre la participation au processus de médiation et l’âge et le sexe des contrevenants, le nombre de crimes commis par ceux-ci, le nombre de victimes impliquées, le type de victime, l’âge et le sexe des victimes et, le délai entre la commission du crime et le transfert du dossier à Trajet. La réalisation d’une régression logistique a révélé que trois caractéristiques prédisent de manière significative la participation à la médiation : l’âge des contrevenants, le nombre de victimes impliquées et le délai entre la commission du crime et le transfert du dossier à Trajet. La faible proportion d’échecs du processus de médiation a rendu inutile la réalisation d’analyses bi et multi-variées eu égard au résultat du processus de médiation. Des différences significatives ont été trouvées entre les cas référés en médiation sous la Loi sur les jeunes contrevenants et ceux référés sous la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents assortie à l’Entente cadre en ce qui a trait au type de crime, au nombre de délits commis, à l’existence d’une référence précédente à Trajet, aux raisons pour lesquelles la médiation n’a pas eu lieu, à la restitution sous toutes ces formes et, plus spécialement, la restitution financière. La participation à la médiation est apparue plus probable sous la LSJPA que sous la LJC. Des corrélations partielles ont montré que différentes caractéristiques étaient associées à la participation à la médiation dans les deux périodes en question. Seule une caractéristique, le sexe des victimes, s’est avérée reliée significativement à la participation à la médiation tant sous la LJC que sous la LSJPA. Les résultats de ce projet ont donné lieu à une connaissance plus approfondie des cas référés à Trajet pour un processus de médiation et à une exploration de l’impact que la LSJPA et l’Entente cadre sur ce processus. Toutefois, l’échantillon étant limité au cas traités à Trajet ne permet pas la généralisation de ces résultats à l’ensemble des cas référés aux organismes de justice alternative du Québec pour le processus de médiation.
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Resumen tomado de la publicaci??n. Resumen tambi??n en ingl??s
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This text deals with a part of the research-action “Multifamiliar groups with sexual offender adolescents” and emphasizes the written production of the adolescents during the process. two texts were involved: the first one was a letter addressed to the parents and the second was an evaluation of the multifamiliar group. Seven adolescents between 14 and 17 years old wrote the texts. About the first text we discussed: the adolescent as responsible for the domestic work; the adolescent and his need to receive support and protection and the adolescent and the recognition of his growth phase. about the second text: the feelings of the adolescent regarding sexual abuse; the relation with the institution that carries out the intervention; the symbols that identify his ambivalence. We comment about the sexual abuse practiced by these adolescents as from two main points: the adolescence seen as a development phase and the role played by the family in the conduction of this phase.
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This qualitative investigation primarily employing a phenomenological perspective and psychoanalytic interview approach intends to provide contextual understanding of group dynamics in sex offender treatment involving individuals with strong features of personality disorders or Axis II psychopathology according to the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorder (4 ed., text rev.; DSM-IV-TR; American Psychiatric Association, 2000). Of note, this study particularly focuses on the cluster B type (Narcissistic, Borderline, Histrionic, and Antisocial Personality Disorders), based on the assumption that this type is more interpersonally operational in its nature. The present study is based on semi-structured interviews of three clinicians who arecurrently providing group treatment for sex offenders. The interview was designed to elicit the participants' clinical observations of group dynamics involving group members with features of the Axis II, Cluster B type. In this study, 11 therapeutic factors postulated by Yalom (2005) were utilized to qualitatively investigate group dynamics. Analyses of qualitative data highlighted how group members with features of the Axis II, Cluster B type may distinctively affect group dynamics. Based on the results, group members with Axis II diagnoses, as reported bythe therapists who responded to this study, were observed to present with altruistic behaviors in group. In addition, motivation appeared to be one of the most influential factors in promoting and maintaining therapeutic group behaviors. Group members with antisocial features appeared to present with low motivation for treatment, and individualswith a pervasive history of criminal institutionalization seemed more prone to disengagement in group. Individuals with borderline and histrionic traits seemed to be interpersonally oriented and affectively engaged in group process. Persons with a narcissistic tendency also appeared to be interpersonally invested and showed altruistic behaviors, yet the importance of confirming their superiority seemed to outweigh the need for acceptance or approval from other group members. As briefly discussed above, the qualitative analyses of the current data showed that individuals with Axis II disorders, Cluster B type uniquely affect group dynamics, which suggest clinical considerations foreffective treatment planning, maintenance, and outcomes.
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National Highway Traffic Safety Administration, Office of Driver and Pedestrian Programs, Washington, D.C.