Oilseeds, world markets and trade /

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An econometric analysis of Canadian grains and oilseeds /

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Rapid testing of oilseeds for oil quantity and iodine number of oil /

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Cereal grains, oilseeds and other field crops; handbook and digest

Includes bibliography.

Dry matter production and boron concentrations of vegetative and reproductive tissues of canola and sunflower plants grown in nutrient solution

Canola (Brassica napus L.) and sunflower (Helianthus annuus L.), two important oilseed crops, are sensitive to low boron (B) supply. Symptoms of B deficiency are often more severe during the reproductive stage, but it is not known if this is due to a decreased external B supply with time or an increased sensitivity to low B during this stage. Canola and sunflower were grown for 75 days after transplanting (DAT) in two solution culture experiments using Amberlite (IRA-743) B-specific resin to maintain constant B concentration in solution over the range 0.6 - 53 muM. Initially, the vegetative growth of both crops was good in all treatments. With the onset of the reproductive stage, however, severe B deficiency symptoms developed and growth of canola and sunflower was reduced with less than or equal to 0.9 and less than or equal to 0.7 muM B, respectively. At these concentrations, reproductive parts failed to develop. The critical B concentration (i.e. 90% of maximum shoot dry matter yield) in the youngest opened leaf was 18 mg kg(-1) in canola and 25 mg kg(-1) in sunflower at 75 DAT. The results of this study indicate that the reproductive stage of these two oilseed crops is more sensitive than the vegetative stage to low B supply.

Aflatoxins detoxification by gamma irradiation

[Excerpt] Mycotoxins are secondary toxic metabolites of filamentous fungi. Aflatoxins (AFs) are produced to Aspergillus species such as A. flavus and A. parasiticus. These fungi are ubiquitous in nature and usually found on agricultural commodities. Therefore, AFs are encountered in many important foodstuff, including wheat, rice, maize, peanuts, sorghum, pearl millet, spices, oilseeds, tree nuts and milk. Due to the high toxicity of AFs, many methods have been studied to reduce or eliminate these mycotoxins from food and feed. Gamma irradiation is one technology that has been investigated with promising results. The aims of this study were (I) to study the effect of gamma radiation on aflatoxin B1, aflatoxin B2, aflatoxin G1 and aflatoxin G2 (II) to evaluate the effect of the presence of water on AFs degradation during the irradiation process; and (IV) to evaluate the cytotoxicity of radiolytic products formed. (...)

Apparent digestibility of nutrients, energy, and amino acid of nontoxic and detoxified physic nut cakes for Nile tilapia

Abstract:The objective of this work was to evaluate the apparent digestibility coefficients of nutrients, energy, and amino acids of nontoxic and detoxified physic nut cakes treated with solvent plus posterior extrusion, for Nile tilapia. The apparent digestibility coefficients of crude protein and gross energy were higher for detoxified than for nontoxic physic nut cake. However, the apparent digestibility coefficient of ether extract of the nontoxic physic nut cake was higher than that of the detoxified one. The apparent digestibility coefficient of amino acids of both feed ingredients was superior to 80%, except for glycine, for the nontoxic psychic nut cake, and for threonine, for the detoxified one. Nontoxic and detoxified physic nut cakes show apparent digestibility coefficient values equivalent to those of the other evaluated oilseeds and potential for inclusion in Nile tilapia diets.

Implications of weeds of genus euphorbia for crop production: a review

The genus Euphorbia comprises about 2000 species ranging from annuals to trees, including C3, C4, and CAM species. Euphorbia species widely studied in agriculture includes E. antiquorum, E. carollata, E. dentata, E. dracunculoides, E. esula, E. geniculata, E. granulata, E. helioscopia, E. heterophylla, E. hierosolymitana, E. hirta, E. maculata, E. microphylla, E. nerifolia, E. piluifera, E. pulcherrima, E. royleana, E. supine, and E. thiamifolia. These species have been reported mainly in field crops/vegetables, orchards, pastures, and rangelands. Euphorbia plants may present allelopathic effect over desirable cereals, pulses, oilseeds, vegetables, forage plants, and nitrifying bacteria, posing a serious threat to livestock production on open range lands through the release of allelochemicals from roots, stems, leaves, and inflorescence in the rhizosphere. Leaves are reported to be more toxic than other plant parts. Competition of Euphorbia spp. against crop plants is the most important crop yield-limiting factor. The critical period for Euphorbia competition with crops is reported to take place between 17 to 70 days after emergence for most crops, depending on root development during the initial crop growth stage, crop height, tillering or branching capacity, whether weeds emerge at the same time as the crop or later after crop emergence; how quickly crop canopy develops and also on Euphorbia species. A yield reduction of 4-85% has been reported in field crops with different Euphorbia species and distinct occurrence densities. Euphorbia species decrease herbage production by 10 to 100% in pasture and rangelands, with many acting as natural insecticide, fungicide, nematidicide, immunopotentiator, or immunosuppressor.

Characterization of microalgae native to Quebec for biofuel production.

La production de biodiésel par des microalgues est intéressante à plusieurs niveaux. Dans le premier chapitre, un éventail de pour et contres concernant l’utilisation de microalgues pour la production de biocarburant sont ici révisés. La culture d’algues peut s'effectuer en utilisant des terres non-arables, de l’eau non-potable et des nutriments de base. De plus, la biomasse produite par les algues est considérablement plus importante que celle de plantes vasculaires. Plusieurs espèces on le contenu lipidique en forme de triacylglycérols (TAGs), qui peut correspondre jusqu'à 30% - 40% du poids sec de la biomasse. Ces proportions sont considérablement plus élevées que celui des huiles contenues dans les graines actuellement utilisées pour le biodiésel de première génération. Par contre, une production pratique et peu couteuse de biocarburant par des microalgues requiert de surpasser plusieurs obstacles. Ceci inclut le développement de systèmes de culture efficace à faible coût, de techniques de récupération requérant peu d’énergie, et de méthodes d’extraction et de conversion de l’huile non-dommageables pour l’environnement et peu couteuses. Le deuxième chapitre explore l'une des questions importantes soulevées dans le premier chapitre: la sélection d'une souche pour la culture. Une collection de souches de microalgues d'eau douce indigène au Québec a été établi et examiné au niveau de la diversité physiologique. Cette collection est composée de cent souches, que apparaissaient très hétérogènes en terme de croissance lorsque mises en culture à 10±2 °C ou 22±2 °C sur un effluent secondaire d’une usine municipale de traitement des eaux usées (EU), défini comme milieu Bold's Basal Medium (BBM). Des diagrammes de dispersion ont été utilisés pour étudier la diversité physiologique au sein de la collection, montrant plusieurs résultats intéressants. Il y avait une dispersion appréciable dans les taux de croissance selon les différents types de milieux et indépendamment de la température. De manière intéressante, en considérant que tous les isolats avaient initialement été enrichis sur milieu BBM, la distribution était plutôt symétrique autour de la ligne d’iso-croissance, suggérant que l’enrichissement sur BBM n’a pas semblé biaiser la croissance des souches sur ce milieu par rapport aux EU. Également, considérant que les isolats avaient d’abord été enrichis à 22°C, il est assez surprenant que la distribution de taux de croissance spécifiques soit aussi symétrique autour de la ligne d’iso-croissance, avec grossièrement des nombres égaux d’isolats de part et d’autre. Ainsi, l’enrichissement à 22°C ne semble pas biaiser les cellules vers une croissance à cette température plutôt que vers 10°C. Les diagrammes de dispersion obtenus lorsque le pourcentage en lipides de cultures sur BBM ont été comparées à des cultures ayant poussé sur EU soit à 10°C ou 22°C rendent évident que la production de lipides est favorisée par la culture sur EU aux deux températures, et que la production lipidique ne semble pas particulièrement plus favorisée par l’une ou l’autre de ces températures. Lorsque la collection a été examinée pour y déceler des différences avec le site d’échantillonnage, une analyse statistique a montré grossièrement que le même degré de diversité physiologique était retrouvé dans les échantillons des deux différents sites. Le troisième chapitre a poursuivi l'évaluation de la culture d'algues au Québec. L’utilisation de déchets industriels riches en nutriments minéraux et en sources de carbone pour augmenter la biomasse finale en microalgues et le produit lipidique à faible coût est une stratégie importante pour rendre viable la technologie des biocarburants par les algues. Par l’utilisation de souches de la collection de microalgues de l’Université de Montréal, ce rapport montre pour la première fois que des souches de microalgues peuvent pousser en présence de xylose, la source de carbone majoritairement retrouvée dans les eaux usées provenant des usines de pâte et papier, avec une hausse du taux de croissance de 2,8 fois par rapport à la croissance photoautotrophe, atteignant jusqu’à µ=1,1/jour. En présence de glycérol, les taux de croissance atteignaient des valeurs aussi élevées que µ=1,52/jour. La production lipidique augmentait jusqu’à 370% en présence de glycérol et 180% avec le xylose pour la souche LB1H10, démontrant que cette souche est appropriée pour le développement ultérieur de biocarburants en culture mixotrophe. L'ajout de xylose en cultures d'algues a montré certains effets inattendus. Le quatrième chapitre de ce travail a porté à comprendre ces effets sur la croissance des microalgues et la production de lipides. Quatre souches sauvages indigènes ont été obersvées quotidiennement, avant et après l’ajout de xylose, par cytométrie en flux. Avec quelques souches de Chlorella, l’ajout de xylose induisait une hausse rapide de l’accumulation de lipide (jusqu’à 3,3 fois) pendant les premières six à douze heures. Aux temps subséquents, les cellules montraient une diminution du contenu en chlorophylle, de leur taille et de leur nombre. Par contre, l’unique membre de la famille des Scenedesmaceae avait la capacité de profiter de la présence de cette source de carbone sous culture mixotrophe ou hétérotrophe sans effet négatif apparent. Ces résultats suggèrent que le xylose puisse être utilisé avant la récolte afin de stimuler l’augmentation du contenu lipidique de la culture d’algues, soit en système de culture continu ou à deux étapes, permettant la biorestauration des eaux usées provenant de l’industrie des pâtes et papiers. Le cinquième chapitre aborde une autre déché industriel important: le dioxyde de carbone et les gaz à effet de serre. Plus de la moitié du dioxyde de carbone qui est émis dans l'atmosphère chaque jour est dégagé par un processus stationnaire, soit pour la production d’électricité ou pour la fabrication industrielle. La libération de CO2 par ces sources pourrait être atténuée grâce à la biorestauration avec microalgues, une matière première putative pour les biocarburants. Néanmoins, toutes les cheminées dégagent un gaz différent, et la sélection des souches d'algues est vitale. Ainsi, ce travail propose l'utilisation d’un état de site particulier pour la bioprospection de souches d'algues pour être utilisé dans le processus de biorestauration. Les résultats montrent que l'utilisation d'un processus d'enrichissement simple lors de l'étape d'isolement peut sélectionner des souches qui étaient en moyenne 43,2% mieux performantes dans la production de biomasse que les souches isolées par des méthodes traditionnelles. Les souches isolées dans ce travail étaient capables d'assimiler le dioxyde de carbone à un taux supérieur à la moyenne, comparées à des résultats récents de la littérature.

Effect of replacing calcium salts of palm oil distillate with extruded linseeds on milk fatty acid composition in Jersey and Holstein cows

Clinical and biomedical studies have provided evidence for the critical role of n-3 fatty acids on the reduction of chronic disease risk in humans, including cardiovascular disease. In the current experiment, the potential to enhance milk n-3 content in two breeds with inherent genetic differences in mammary lipogenesis and de novo fatty acid synthesis was examined using extruded linseeds. Six lactating cows (three Holstein and three Jersey) were used in a two-treatment switchback design with 3 × 21-day experimental periods to evaluate the effect of iso-energetic replacement of calcium salts of palm oil distillate (CPO) in the diet (34 g/kg dry matter (DM)) with 100 g/kg DM extruded linseeds (LIN). For both breeds, replacing CPO with LIN had no effect (P > 0.05) on DM intake or milk yield, but reduced (P < 0.05) milk fat and protein yield (on average, from 760 to 706 and 573 to 552 g/day, respectively). Relative to CPO, the LIN treatment reduced (P < 0.01) total saturated fatty acid content and enhanced (P < 0.001) 18:3n-3 in milk, whereas breed by diet interactions were significant for milk fat 16:0, total trans fatty acid and conjugated linoleic acid concentrations. Increases in 18:3n-3 intake derived from LIN in the diet were transferred into milk with a mean marginal transfer efficiency of 1.8%. Proportionate changes in milk fatty acid composition were greater in the Jersey, highlighting the importance of diet–genotype interactions on mammary lipogenesis. More extensive studies are required to determine the role of genotype on milk fat composition responses to oilseeds in the diet.

Improving the nutritional quality of milk

Epidemiological evidence suggests high milk consumption protects against certain chronic diseases, and yet the high saturated fatty acid (SFA) concentration of milk fat has lead to research into reducing SFA and trans- fatty acid content, and enhancing conjugated linoleic acid (CLA) content. The most successful method of reducing SFA content is by feeding dairy cows supplemental oilseeds, although amount, type and form of oilseed influence the degree of effect. Also, the high unsaturated fatty acid content of oilseeds leads to increases in milk fat trans- fatty acids unless the oilseed is protected from rumen metabolism.

Manipulation of milk fatty acid composition in lactating cows: opportunities and challenges

Public health policies recommend a population wide decrease in the consumption of saturated fatty acids (SFA) to lower the incidence of cardiovascular and metabolic diseases. In most developed countries, milk and dairy products are the major source of SFA in the human diet. Altering milk fat composition offers the opportunity to lower the consumption of SFA without requiring a change in eating habits. Supplementing the diet of lactating cows with oilseeds, plant oils and marine lipids can be used to replace the SFA in milk fat with monounsaturated fatty acids (MUFA), and to a lesser extent, polyunsaturated fatty acids (PUFA). Due to ruminal metabolism, the decreases in milk SFA are also accompanied by increases in trans fatty acids (TFA), including conjugated isomers. The potential to lower SFA, enrich cis MUFA and PUFA, and alter the abundance and distribution of individual TFA in milk differs according to oil source, form of lipid supplement and degree of oilseed processing, and the influence of other components in the diet. The present review summarises recent evidence on changes in milk fat composition that can be achieved using dietary lipid supplements and highlights the challenges to commercial production of modified milk and dairy products. A meta-analysis on the effects of oilseeds on milk fatty acid composition is also presented.

An approach to chemotaxonomy to the fatty acid content of some Malvaceae species

Malvales is an order of flowering plants with a controversial circumscription. The relationships between taxa, particularly Malvaceae, Bombacaceae, Sterculiaceae, and Tiliaceae, are not well delineated. Several studies have reported the fatty acid compositions of Malvaceae plants but not for taxonomic purposes. In the present study, the fatty acid composition of oilseeds from seven species belonging to the Malvaceae family was determined by capillary gas chromatography/mass spectrometry (GC/MS), and the quantitative distribution of fatty acids was analyzed by a cluster analysis With Euclidean Distance and UPGMA. The oil content in the seeds was very low (8.3-11.8%). The profile of fatty acids showed that there were two distinct groups: species rich in palmitic acid (Herissantia tiubae, Sidastrum paniculatum and Sida rhombifolia) and species rich in linoleic acid (other Sida species). The fatty acid profiles found for Sida species are consistent with other reported data. Although our data support a distinction between Sida and Sidastrum, more species should be analyzed to evaluate the real taxonomic value of differences in fatty acid content for distinguishing Malvaceae. (C) 2010 Elsevier Ltd. All rights reserved.