996 resultados para Navires -- 17e siècle
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Référence bibliographique : Hurel, 313
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Référence bibliographique : Hurel, 64
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Référence bibliographique : Hurel, 310 (1-3)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Collection : Education morale et civique. Bibliothèque de la jeunesse française
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La philosophie de Spinoza cherche à concilier et réunir trois horizons philosophiques fondamentaux : l’émanation néo-platonicienne (l’expression), le mécanisme cartésien (cause efficiente), et les catégories aristotéliciennes (Substance, attribut, mode). Ce premier point est pris pour acquis. Nous expliquerons que cette tentative sera rendue possible grâce à la conception nouvelle, au 17e siècle, de l’actualité de l’infini. Nous examinerons ensuite les conséquences de cette nouvelle interprétation, qui permet de rendre l’individu transparent à lui-même sur un plan d’immanence, expressif par rapport à une éminence qui le diffuse, mais déterminé dans une substantialité fictive entre objets finis. En proposant le pouvoir de l’imagination et des prophètes comme point de départ et principe actif du conatus, nous montrerons que la distinction, chez Spinoza, demeure toujours une fiction. Pour conclure, nous serons en mesure de signaler en quoi le Zarathoustra de Nietzsche relève d’une volonté de poursuivre le travail entrepris par Spinoza.
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Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle.
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Le problème de la pauvreté au Québec n'est pas un fait inhérent à notre société contemporaine. Déjà, sous le Régime français, la colonie avait dû faire face à divers malaises sociaux dont notamment la pauvreté. Pour tenter de les endiguer, les dirigeants de la colonie se servirent du modèle d'assistance français, datant du 17e siècle, sous influence féodale et ecclésiale, pour le reproduire en Nouvelle-France. Ainsi, aux 17e et 18e siècles, la responsabilité des malades et des pauvres incomba aux réseaux de solidarité que constituaient la famille et la paroisse. Durant cette période, l'action de l'Église, grâce à des institutions telles que les Hôtels-Dieu et les hôpitaux généraux et celle de l'État, par sa politique subventionnaire, ne constituèrent toutefois qu'une intervention supplétive. Cependant, les débuts de l'industrialisation au 19e siècle, l'exode rural qui s'ensuivit ainsi que l'instabilité économique et l'immigration des populations britanniques, révélèrent l'insuffisance de la structure d'aide mise en place pour secourir les pauvres et les malades. Fondées à partir de 1830, différentes associations charitables se confrontèrent, elles aussi, à des problèmes d'ordre financier. À cause de sa situation névralgique comme institution sociale, l'Église s'assura graduellement, à partir de 1840, le contrôle des associations de charité mais surtout celui de l'administration de l'assistance au Québec. Et comme le dit si bien Jean-Marie Fecteau: «la charité devient, de plus en plus, affaire de religion et de groupe ethnique. Au cours de la décennie 1840, le mouvement s'amplifie.» En 1867, l'Acte de l'Amérique du Nord britannique attribua à la province de Québec, par l'article 92, la pleine juridiction en matière de bien-être et de santé sauf ce qui concerne les hôpitaux de la marine. La reformulation du code municipal en 1871 conféra aux municipalités, mais seulement à titre discrétionnaire, la charge de l'assistance directe et celle de soutenir les institutions de charité. [...]
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Méthodologie: Modèle interprétatif de l’archéologie phénoménologique.
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Contient : Lettres de Jean de Morvillier, évêque d'Orléans, 1557-1561 ; « Instruction au commandeur de Chates, allant à Malte pour le service du Roy », 1581 ; Lettres du chevalier de Seure, ambassadeur en Angleterre, 1560-1561 ; Traité de Troyes, avec l'Angleterre, 1564 ; Lettres de monsieur de Chasteauneuf, ambassadeur en Angleterre, 1585-1587 ; Négociations pour la délivrance de François premier, 1525 ; Négociations pour la paix de Cateau-Cambrésis, 1559 ; Pièces concernant les relations diplomatiques entre la France et la Suisse, 1564-1582 ; « Proposition de messieurs les commissaires députez par le Roy aulx provinces de Lyonnois, Daulphiné et Provence sur leur commission et intention de Sa Majesté, faicte par monsieur l'évesque de Nantes [Philippe Du Bec], aulx Estatz tenuz à Aix », 1583 ; « Proposition de monsieur l'archevesque de Lyon [Pierre d'Espinac ?] aulx Estatz de Normandie » ; « Harengue de monsieur de La Fresnaye, lieutenant de Caen, à monsieur de Joyeuse, gouverneur de Normandie », et autres discours ; « Remonstrance de monsieur d'Espernon, collonnel de l'infanterie, pour le reiglement d'icelle » ; « Harangue de monsieur de Pellejay, maistre des comptes, à sa réception » ; « Rapport des deputtez envoyez par les provinces, contenant les doléances générales de tous les Estatz » ; « Plainctes » sur « ce qui touche le peuple et les finances du païs de Normandie » ; « Lettres du jeune Lansac au mareschal de Biron », 1583 ; « Quelques poinctz principaulx d'un discours faict à S. M. touchant la guerre contre le roy d'Espaigne » ; Pièces concernant l'ambassade en Portugal, d'Urbain de Saint-Gelais, évêque de Comminges, 1579 ; « Arrest donné contre l'admiral Chabot » ; « Harangue du roy Henry III, prononcée aux Estats de Blois » [1576] ; « Commission du roy Henry III à des commissaires, pour iceux envoyer au royaume, voir et entendre comment les choses qui touchent le service de Dieu et les charges et dignitez ecclésiastiques, la noblesse, justice et finances, sont régies », 1582 ; Pièce concernant les eaux et forêts de Normandie ; « Plainctes » du pays de « Bretaigne » (f. 174), — et autres lettres et suppliques au Roi, 1574 (f. 178) ; Affaires de Pologne, 1573 ; Requête de Catherine de Médicis au Pape ; Pièces concernant le domaine de la Couronne ; « Tresve accordée entre l'Empereur et le roy d'Angleterre, d'une part, et le roy de France, d'autre », 1556 ; Instructions à divers ambassadeurs : à François de Noailles, évêque de Dax [Venise], s. d. [1558] (f. 250), — à divers ambassadeurs ou commissaires à Florence et à Sienne, 1557 (f. 255), — au « sieur de Vineulx, depesché de monseigneur de Guise vers Sa Majesté », 1557 (f. 257) ; Actes de Charles IX, 1571 (f. 262), — et de Henri II, 1557 (f. 262 v) ; Lettres de monsieur de Marillac, 1557 ; « Lettre du sieur d'Aubigné » aux « Estats de Hollande » ; « Estat par estimation de l'entière valleur des finances ordinaires du Roy pour ceste présente année 1574 » ; « Estat des mortepayes estants ès villes et places de ce royaume », 1571 ; « Ce qui se reçoit du nouveau taillon par les Généralités » ; « Estat de la somme de 18750 livres tournois, par nous ordonnée pour estre convertie et employée au payement des vice-amiraulx de Normandie, Picardie et Bretaigne, gentilzhommes, cappitaines, commissaires de l'artillerie, canonniers, maistres des navires, pilotes, charpentiers, gardes des vaisseaulx et autres officiers et pensionnaires ordinaires de nostre marine de Ponent », 1574 ; « La recepte de l'estat général des finances du Roy, dressé à Moulins, pour l'année 1566 » ; États de payement des gens de guerre, pistolliers, suisses, chevau-légers, gendarmerie, etc., 1568 ; « Estat du train et bande d'artillerie que le Roy a ordonné estre mis en campaigne, pour servir au camp et armée que S. M. a faict dresser au mois de septembre 1568, de laquelle armée est chef monseigneur le duc d'Anjou » ; « Extraict faict en la Chambre des comptes de Paris, du nombre des parroisses estantz en chascun archevesché et evesché de ce royaume, par maistre Jehan Le Febvre... et... Godart » ; « Estat des ventes et aliénations faictes, tant par le Roy que par messieurs du Clergé de France, à messieurs les prévost des marchandz et eschevins de la ville de Paris, pour recouvrer deniers à constitution de rente » ; « Estat abbrégé tant du domaine aliéné en la charge et généralité de Paris, que de la valleur par estimation » ; « C'est la déclaration des marchandises qui croissent en France, lesquelles sont mennées » de Paris en « Flandres, Espaigne, Portugal, Angleterre [et Allemagne], et celles qui viennent desdictz lieulx en France » ; « Advis sur la deffense de l'usage des soyes » ; Autre, sur la réduction de la gendarmerie ; « Revenu des princes estrangers »
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Contient : 1 Lettre signée : « HENRY ». Adresse : « A ma mere, Mme d'Uzes ». Cette lettre commence (fol. 1) par : « Ma mere, j'ay donné charge à Mr de Turenne,... » ; 2 Lettre de « CATHERINE » DE MEDICIS à la duchesse de Nevers. Copie ; 3 Lettre, signée : « LA GUICHE », au duc de Nevers. « Au camp devant Sens, le 2 may » ; 4 Lettre, signée : « DE GONDI », au duc de Nevers. « Montsojon, ce 29 janvier 1594 » ; 5 Lettre des « deputez des XIII cantons du pays des Ligues » au duc de Nevers. « De Solleure, en Suysse, ce jour de Pentecouste 1589 » ; 6 Lettre non signée, avec chiffre et déchiffrement ; 7 Lettre, dont la signature est coupée, adressée au roi; commence (fol. 8) par : « Sire, afin d'empescher que l'armée conduite par le Marquis de Warambon ne fît aucun progres plus important au bien de vostre service, j'avois assemblé ce qu'il m'avoit esté possible de bons serviteurs et m'estois advancé vers lad. armée, qui faisoit contenance de vouloir investir Dourlens... » ; 8 Questions et réponses concernant les agissements du duc de Parme ; 9-10 Lettres de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à la duchesse de Nevers ; 11 Fragment de dépêche en clair et en chiffre ; 12 Lettre de CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS, en faveur du Sr de Vaudargent, exempt des gardes du roy ». Adressée au « conte de Carli », peu de temps avant le mariage de Charles Ier, roi d'Angleterre, et d'Henriette de France. Minute ; 13 Requête adressée au roi Henri IV pour le Sr « DE GUYONNELLE ». Minute ; 14 Minute d'une lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, à la duchesse, sa femme ; 15 Lettre de CATHERINE DE CLEVES, duchesse DE GUISE, au duc de Nevers ; 16 Copie d'une lettre ; 17 « Articles du sieur DE CHAMOY, presentées à Monseigneur le mareschal de Biron, lorsqu'il receut le serment de fidelité dud. Sr, et par luy verballement accordez » ; 18 Placet ; 19 « Memoyre et advis pour le donmayne du païs de Piedmont » ; 20 Copie d'une lettre ; 21 Lettre ; 22 Fragments ; 23 « Lectres d'office de garde des sceaulx de France pour... Philippes Hurault,... de Chiverny ». Acte de HENRI III. « Donné à Fontainebleau, au mois de septembre 1578 ». Copie ; 24 Lettre, du Sr Chalmand (voir ms. 4716, fol. 108), signée d'un monogramme ; 25 Maximes de conduite, divisées par paragraphes cotés tantôt C, tantôt C. G. La première maxime, cotée C, commence (fol. 33) par : « Prenez garde de ne rire ny parler à l'oreille devant les gens sotz... ». La dernière maxime, cotée C. G., est telle : « Accarasser à part les Italiens, lorsque les François n'y sont, parler aussi quelquefois à eux, mais par intervalles » ; 26 Fragment de notes et réflexions sur la conduite à tenir par Henri III pour abattre « les huguenots » ; 27 « Memoire de quelque propos qui se passoit durant la première ligue » ; 28 « Livres envoiez au Sr Volte par Bussiere,... 19 settembre [15] 89 » ; 29-30 Lettres du duc DE NEVERS, LOUIS DE GONZAGUE, au roi Henri III. Clamecy, 11 mai 1589. Copies ; 31 Lettre du Sr DE « DINTEVILLE » au duc de Nevers. « Saincte Manehould, le 13 decembre 1590 » ; 32 Minute de lettre de LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS ; 33-34 Lettres de CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS, adressées, la première « à Mr Terason, [le] 8 mars 1625 », en faveur de Julio Menocchio, et la seconde « à Mr le cardinal de Savoye », en faveur du « baron de St Gilles » ; 35 Fin d'une lettre dudit duc DE NEVERS « à M. de C., chevalier de l'ordre de la Milice chrestienne et residant à Rome pour les affaires dudit ordre, au pallais de S. Jean de Latran ». Minute ; 36-37 Lettres, dont une signée d'un monogramme et l'autre non signée, de CATHERINE DE GONZAGUE et DE CLEVES, à Charles de Gonzague et de Clèves, duc de Nevers, son frère ; 38 Lettre adressée « à Mr l'archevesque de Reins », par CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS. Minute ; 39 « Minutte d'une lettre sur la mort d'un filz » ; 40 Lettre de « CHRISTIEN NICOLAS CATTIUS, chanoine de l'eglise cathedrale de Nostre Dame d'Arras... à S. E. le duc de Nivers et de Retelos, pair de France, grand prieur de l'occident de l'ordre de la Milice christiene, à Paris » ; 41 Lettre adressée au roi Louis XIII, par CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS, pour lui réclamer 50,000 écus, prix de quelques vaisseaux vendus par ledit duc audit roi, lesquels vaisseaux venaient d'être pris par « ceux de la religion... dans le port Louys ». Minutes ; 42 Mémoire sur les offices et sur le prix qu'ils se vendent ; 43 Lettre adressée par CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS, « à Mr le prince de Chimay », concernant « les bois que l'on apelle du Chastelet ». Minute ; 44-45 Lettres dudit duc en faveur de l'abbesse d'Avenay, qui avait procès « contre aucuns de la ville de Chaalons, touchant la fondation d'un prieuré qu'elle y a estably ». Minutes ; 46 Fragment d'une instruction ; 47 Lettre, signée : « JOYEUSE », adressée au duc de Nevers. « De Ville sus Tourbe, ce 21 febvrier 1625 » ; 48 Lettre, signée : « VASSE », adressée au duc de Nevers ; 49 Lettre, signée : « LA FOREST BOCHETEL », adressée au duc de Nevers ; 50 Ordre adressé aux « maire et habitans du Grand et Petit Remilly » pour recevoir et loger « les compagnéez du regiment de M. le viconte de Turenne » ; 51 Minute d'une lettre de CHARLES DE GONZAGUE, duc DE NEVERS ; 52 Lettre adressée « à Mr le viconte de Brigneul » et signée : « Vostre tres humble... servante, F. DE BATARNAY » ; 53 Requête de « messire ARNAUD SORBIN, dict DE SAINCTE FOY, evesque de Nevers, demandeur en cassation de contract... contre le sieur de Revillon et sa femme, sieurs de la terre et maison des Bordes ». Adressée à « Mrs du conseil privé et d'Estat ». Pièce imprimée ; 54 Placet du gouverneur de Pignerol au duc de Nevers ; 55 Lettre adressée au duc de Nevers, signée : « LA BLANQUE » ; 56 Convention arrêtée « entre Mr de Pleuvost, gouverneur... de Vezelay, pour Mr le duc de Mayenne, et Mr de Champlemis, lieutenant general au gouvernement de Nyvernois, en l'absence de Monseigneur le duc de Nyvernois, gouverneur dud. pays et de Champaigne et Brye... Clamecy », vers le 27 septembre 1589 ; 57-58 Copies de lettres adressées par LOUIS DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, aux habitants d'une ville de Champagne, menacés par Antoine Monbeton, seigneur de St-Pol ; 59 Lettre du Sr « DE JOYEUSE GRANDPRE » au duc de Nevers ; 60 Requête adressée au duc de Nevers par « le Sr DE GRANDPRE, gouverneur de Mouzon, et les habitans dud. Mouzon » ; 61 Lettre pleine de récriminations de HENRIETTE DE CLEVES, duchesse DE NEVERS, à sa soeur Catherine de Clèves, duchesse de Guise. Vers 1588 ? Copie ; 62 « Estat du revenu que le roy a au Piémont » ; 63 « Attestation des sindictz de Carmagnolles de ce que La Vallette a dict au commissaire et mareschal des logis de la compagnie du Sr Centurion, voullans entrer aud. Carmagnolles et y loger le tiers de lad. compagnie, selon l'intention et vouloir du roy ». 7 janvier 1572. En italien. Copie collationnée ; 64 Lettre de CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS. Minute ; 65 Lettre du Sr « GIELIS DE VILLABOS », concernant « une entreprinse sur la Terre Sainte », pour laquelle le duc de Nevers, Ch. de G., pourra compter sur « douze navires equipées » ; 66-71 Lettres de CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS. Minutes ; La première concerne « le baron de Bolandre » ; La seconde est adressée « à M. de Villiers » ; La troisième est adressée « à Mr le comte de Rochefort » ; La quatrième est adressée à la duchesse de Mantoue ; La cinquième est adressée « au prince don Vincent » ; La sixième est adressée au duc de Rethelois, son fils ; 72 Lettre de la reine CATHERINE DE MEDICIS au roi Henri III. « Escript à Castelnaudarry, le 4 may 1579 ». Copie ; 73 Déchiffrement d'une note adressée, semble-t-il, au duc de Nevers ; 74 Lettre de CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS, à « Mrs d'Aubenton ». Minute ; 75 Lettre de « HUGUES, card. » DE LOUBENS DE VERDALLE, « gran maistre de Malte », au duc de Nevers. « De Malte, ce 24 juillet 1592 » ; 76 Lettre de CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS, à « Mr de S. Pé, consul des François dans les royaume et seigneuries de Portugal », pour désavouer « l'abbé de S. Medard, nommé Rubens, qui prenait en Espagne et en Portugal la qualité d'agent de l'ordre de la Milice chretienne ». Minute ; 77 Lettre du Sr « DE JOYEUSE GRANDPRE », gouverneur de Mouzon, au duc de Nevers ; 78-80 Lettres de CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS ; La première de ces trois lettres est adressée à « Mrs de Chaalons, sur le sujet du procez » pour « le prioré S. Joseph », procès soutenu contre eux par l'abbesse d'Avenay, Bénédicte de Gonzague-Clèves. Minute ; La seconde est adressée au roi et concerne le transport des grains hors des frontières du royaume, défendu par édit. Minute ; La troisième, dont nous n'avons ici que la fin, parle du duc de Longueville. Minute ; 81 Lettre du Sr DE « CHANTLIVAULT » au duc de Nevers ; 82 Fragment d'un mémoire qui semblait destiné à détourner le roi de l'achat de la terre de Château-Regnault (Ardennes) ; 83 Lettre de CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS, « à Mrs de Reins ». Minute ; 84 « Forme du serment que preste le prevost des archers de la principaulté d'Arches » ; 85 Lettre de CHARLES DE GONZAGUE et DE CLEVES, duc DE NEVERS, « à Mrs les bourgsmestres de la cité de Lieges ». Minute ; 86 État de recettes sur revenus publics. Les généralités mentionnées sont Lyon, Paris, Champagne, Bourges, Poitiers, Dauphiné, Marseille, Dijon, Toulouse, Bordeaux, Tours, Caen. Fragment ; 87 Acte par lequel le roi HENRI III évoque à sa personne l'instance criminelle commencée contre Jacques de Morogues, Sr Des Landes, pour raison de l'assassinat commis en la personne de Pierre Allyot, appelé le capitaine Pierre. Après 1577. Copie ; 88 Lettre, signée d'un monogramme, adressée au duc de Nevers, Charles de Gonzague ; 89 Mémoire adressé au roi, concernant un projet d'ordonnance sur les procureurs à nommer par chaque élection, pour les causes des particuliers contre le fisc ; 90 Fin de lettre de CHARLES DE GONZAGUE, duc DE NEVERS, au duc de Mantoue ; 91 Lettre, en faveur de la ville de Varzy, des « maire, gouverneurs, eschevins et gens du conseil de la ville d'Aucerre... à Mr de Champlemiz,... D'Aucere, ce 4 octobre » ; 92 « Coppie de lectre de Mr D'OCQUERRE au duc de Nevers, « sur le sujet de la deffense de sortir grains hors le royaume » ; 93 Requête des « esleuz, manans et habitans » du « marquisat de Saluces » au roi Henri III. 1574 ? Copie ; 94 Lettre des « gouverneurs et eschevins de la ville de Sezanne » au duc de Nevers. « De Sezanne, ce 22 febvrier » ; 95 « Contrerolleurs. Thoulouse ». Minute d'un état de recettes ; 96 Lettre de « RENEE DE MARCONNAY » au duc de Nevers. « Grancey... 14 apvril 1593 » ; 97 « Abregé d'un discours faict avec [S.] S. par aulcuns de ses confidens, apres le despartement de Mr l'evesque de Paris [Pierre de Gondi] de Romme, pour ruyner la maison de France par elle-mesme et rendre ung nouveau roy vassal du pape. Trouvé es papiers et memoires de l'avocat David, avec ung advertissement à tous bons et naturelz François ». 1576
Les navires vikings : conception géométrique et architecture traditionnelle au Moyen Âge scandinave.
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Selon l’image reçue des Vikings, ce peuple incarne l'esprit d’une immense solidarité primitive ayant su résister rudement au joug du christianisme et à la domination du Latin en Europe occidentale. Cette image n’est pas sans ses contradictions et, s’il est vrai que l’écriture était encore inconnue en Scandinavie durant les premiers siècles de l’expansion viking, on sait maintenant que le commerce et la colonisation, autant que les célèbres raids, motivèrent l’irruption des peuples scandinaves sur la scène médiévale. Quant aux navires de ces marchands, colonisateurs, pêcheurs et guerriers, ils apparaissent, un peu à l’image des Vikings eux-mêmes, sur le grand tableau de l’histoire nautique sous l’enseigne d’une originalité et d’une technicité sans parallèle. Comment les Vikings construisaient-ils leurs navires, en leur donnant une symétrie, un équilibre et une finesse si achevés? Les premiers ethnologues qui se sont intéressés à cette question ont privilégié les idées issues d'une tradition acquise par des générations de constructeurs, et d'astuces simples pour équilibrer tribord et bâbord. Puis, ils se sont rapidement tournés vers les techniques inhérentes à la construction à clin : utilisation de planches fendues et non sciées et de rivets abondants témoignant d’une sidérurgie acquise depuis peu. Le problème que présentent ces navires, est que leur construction artisanale demeure conforme à l’image reçue des Vikings, mais que leur conception architecturale, réalisée selon des connaissances théoriques très exactes, brise la notion d’une Scandinavie médiévale illettrée et coupée des grands centres du savoir. Ce travail s’intéresse précisément à la conception architecturale des navires scandinaves du VIIIe au XIe siècle pour montrer comment ils s’insèrent dans un haut savoir européen dès leur apparition. Il explore ensuite les liens qui unissent ce savoir théorique aux aspects véritablement originaux des navires vikings, en l’occurrence leur construction à clin et leur homogénéité sur une grande région à travers plus de cinq siècles. Au terme de cette recherche, l'analyse réalisée sur le maître-couple de trois épaves vikings, une épave antique et une épave scandinave pré-viking, a permis de mettre en évidence plusieurs indices de l'utilisation du système de conception géométrique apparaissant pour la première fois dans les traités d'architecture navale de la Renaissance, et ce, sur chacune de ces épaves. Les résultats obtenus démontrent qu'il est possible d'employer un système transversal de conception pour des navires vraisemblablement construits bordé premier et assemblés à clin.