65 resultados para Néoplatonisme médiéval
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D'après S. Bulgakov, c'est chez W. Humboldt qu'il trouve les idées implicites les plus fondamentales aur le genèse de la parole et du langage, le lien entre la forme et le contenu. Dans son livre "La Philosophie du nom"(Filosofija imeni) il lui consacre un chapitre "Le Langage d'après Humboldt". La question essentielle qui intéresse Bulgakov est de savoir comment se passe le preocessus du lien entre le nom et la chose. De l'autre côté, Bulgakov intervient en tant que continuateur des idées des Pères de l'Eglise orientale: Denys l'Aréopagite, Saint Grégoire de Nysse. Bulgakov, comme ses précurseurs néoplatoniciens, insiste sur la nécessité de comprendre la capacité humaine de parler comme expression divine.
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Déjà le récit de Cupidon et Psyché dans l'Asinus aureus pose le problème du genre de cette histoire enchâssée, racontée par une vieille - est-ce un mythe ou une fable philosophique ? - et, par voie de conséquence, celui du statut même des dieux qui y interviennent. Qu'on voie dans Partenopeu de Blois un lointain avatar du récit d'Apulée, dans lequel la fée se substitue à Cupidon, ou qu'on le rattache au folklore (celtique), la question est sensiblement la même au XIIe siècle : les auteurs médiévaux croyaient-ils aux « êtres faés » ou ceux-ci étaient-ils à leurs yeux les acteurs imposés par le choix d'un certain univers fictionnel ? Si la critique est fondamentalement d'accord pour parler d'une « rationalisation » ou d'une « moralisation » de la fée, la démarche par laquelle l'écrivain médiéval adapte et actualise le matériau issu d'une tradition est susceptible de subtiles variations : la « réécriture » est chaque fois tributaire du projet d'écriture respectif, qu'il s'agisse de Partenopeu de Blois ou du lai de Guigemar de Marie de France. Au-delà du statut de la fée et de l'altérité qu'elle représente, c'est le statut même de la femme et du héros qui sont en cause, leur place et leur fonction au sein de la société féodale. La « translittération » de parcours narratifs stéréotypés, voire universaux, n'a ici rien à voir avec la récupération politique du folklore, transmis par voie orale, à laquelle s'attelle, quelque deux siècles plus tard, Jean d'Arras dans sa Mélusine : il extrait la légende de la fée poitevine du domaine de la fabula en inscrivant la merveille dans l'histoire, la région et l'expérience vécue pour légitimer les droits du duc de Berry sur Lusignan.
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Lire et écrire sont des pratiques savantes qui constituent le quotidien du chercheur en lettres : celui-ci travaille en général sur des textes et en produit d'autres. En avril 2007, deux journées d'études organisées par la Formation doctorale interdisciplinaire de la Faculté des lettres de l'UNIL ont réuni des jeunes chercheurs autour de ce thème. Les participants représentaient diverses disciplines du monde des lettres : histoire culturelle, littérature française, histoire de l'art, français médiéval, philosophie, histoire de la philosophie et sciences de l'antiquité. L'absence d'a priori théorique englobant a laissé à chacun la possibilité de développer un propos spécifique à sa discipline. Cet échantillonnage présente une certaine photographie des pratiques de lecture et d'écriture propres aux divers secteurs du monde des arts et de la philosophie.
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)
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Collectionneur : Gaignières, Roger de (1642-1715)