39 resultados para MTBI


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Characterization of cognitive and behavioral complaints is explored in Post-traumatic stress disorder (PTSD) and mild traumatic brain injury (MTBI) samples according to the severity of PTSD, depression and general anxiety conditions. Self-reported questionnaires on cognitive and behavioral changes are administered to PTSD, MTBI, MTBI/PTSD and control groups. Confounding variables are controlled. All groups report more complaints since the traumatic event. PTSD and MTBI/PTSD groups report more anxiety symptoms, depression and complaints compared to the MTBI group. Relatives of the PTSD group confirm most of the behavioral changes reported. Results suggest the utility of self-reported questionnaires to personalize cognitive and behavioral interventions in PTSD and MTBI to cope with the impacts of the traumatic event.

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This exploratory study intends to characterize the neuropsychological profile in persons with post-traumatic stress disorder (PTSD) and mild traumatic brain injury (mTBI) using objective measures of cognitive performance. A neuropsychological battery of tests for attention, memory and executive functions was administered to four groups: PTSD (n = 25), mTBI (n = 19), subjects with two formal diagnoses: Post-traumatic Stress Disorder and Mild Traumatic Brain Injury (mTBI/PTSD) (n = 6) and controls (n = 25). Confounding variables, such as medical, developmental or neurological antecedents, were controlled and measures of co-morbid conditions, such as depression and anxiety, were considered. The PTSD and mTBI/PTSD groups reported more anxiety and depressive symptoms. They also presented more cognitive deficits than the mTBI group. Since the two PTSD groups differ in severity of PTSD symptoms but not in severity of depression and anxiety symptoms, the PTSD condition could not be considered as the unique factor affecting the results. The findings underline the importance of controlling for confounding medical and psychological co-morbidities in the evaluation and treatment of PTSD populations, especially when a concomitant mTBI is also suspected.

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Le traumatisme crânien léger (TCL) est l'un des troubles neurologiques les plus courants affectant la santé publique. Aussi, les troubles du sommeil sont fréquents chez les patients atteints de TCL. Les études chez les rongeurs montrent que certains marqueurs de plasticité synaptique diminuent après le TCL, ce qui pourrait nuire à la plasticité du cerveau. Nous suggérons que la perte de sommeil intensifie l'effet négatif de TCL, qui peut refléter les changements des marqueurs de plasticité synaptique ou des changements des voies physiologiques qui régulent le sommeil. En utilisant un modèle de traumatisme crânien sur crâne fermé (closed head injury), nous avons étudié la relation bidirectionnelle entre le TCL et le sommeil en évaluant les effets de TCL sur l’activité électrique du cerveau par électroencéphalographie (EEG), et ceux de la privation de sommeil (PS) sur l'expression génique post-TCL. Premièrement, l'activité EEG a été enregistrée pour voir si l'architecture du sommeil est altérée suite au TCL. Nous avons ensuite voulu tester si la PS suite TCL induit des changements dans l'expression des gènes : Arc, Homer1a, Hif1a, Bdnf, Fos et éphrines, qui ont été liés à la plasticité synaptique et à la régulation du sommeil. Nous avons également étudié l'effet de la PS post-TCL sur le génome complet dans les régions cibles (cortex et l'hippocampe). Les principaux résultats obtenus dans cette étude confirment que TCL modifie de manière significative l'activité spectrale pendant l'éveil, le sommeil Rapid Eye Movement (REM) et le sommeil non-REM dans le deuxième 24 heures post-TCL. Fait intéressant, la capacité de maintenir de longues périodes d'éveil a été altérée immédiatement après TCL (première 24h post-TCL). La dynamique de l'activité delta pendant l'éveil a été modifié par le TCL. Parallèlement à ces modifications, des changements dans l'expression des gènes ont été observés dans le cortex et l'hippocampe. Seulement Arc et EfnA3 ont montré une interaction TCL / PS et ce dans l’hippocampe, tandis que l'expression de tous les autres gènes semblait être affectée par la PS ou TCL indépendamment. Nos résultats montrent pour la première fois que le TCL induit l'expression de deux chimiokines (Ccl3 et Cxcl5) à la fois dans le cortex cérébral et l'hippocampe 2,5 jours post-TCL. Également, nous avons observé que le TCL induit une diminution de l'expression de Lgals3 et S100A8 dans le cortex, et une augmentation d’Olig2 dans l'hippocampe. Les résultats concernant les effets de la PS sur le génome complet du cortex et de l'hippocampe montrent des changements significatifs dans les gènes impliqués dans diverses fonctions physiologiques, telles que les rythmes circadiens, la réponse inflammatoire, ainsi que de l'activation des cellules gliales. En général, nos résultats précisent les changements dans la qualité de l’éveil ainsi que dans l'expression de divers gènes après TCL.

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Le traumatisme craniocérébral léger (TCCL) a des effets complexes sur plusieurs fonctions cérébrales, dont l’évaluation et le suivi peuvent être difficiles. Les problèmes visuels et les troubles de l’équilibre font partie des plaintes fréquemment rencontrées après un TCCL. En outre, ces problèmes peuvent continuer à affecter les personnes ayant eu un TCCL longtemps après la phase aiguë du traumatisme. Cependant, les évaluations cliniques conventionnelles de la vision et de l’équilibre ne permettent pas, la plupart du temps, d’objectiver ces symptômes, surtout lorsqu’ils s’installent durablement. De plus, il n’existe pas, à notre connaissance, d’étude longitudinale ayant étudié les déficits visuels perceptifs, en tant que tels, ni les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL, chez l’adulte. L’objectif de ce projet était donc de déterminer la nature et la durée des effets d’un tel traumatisme sur la perception visuelle et sur la stabilité posturale, en évaluant des adultes TCCL et contrôles sur une période d’un an. Les mêmes sujets, exactement, ont participé aux deux expériences, qui ont été menées les mêmes jours pour chacun des sujets. L’impact du TCCL sur la perception visuelle de réseaux sinusoïdaux définis par des attributs de premier et de second ordre a d’abord été étudié. Quinze adultes diagnostiqués TCCL ont été évalués 15 jours, 3 mois et 12 mois après leur traumatisme. Quinze adultes contrôles appariés ont été évalués à des périodes identiques. Des temps de réaction (TR) de détection de clignotement et de discrimination de direction de mouvement ont été mesurés. Les niveaux de contraste des stimuli de premier et de second ordre ont été ajustés pour qu’ils aient une visibilité comparable, et les moyennes, médianes, écarts-types (ET) et écarts interquartiles (EIQ) des TR correspondant aux bonnes réponses ont été calculés. Le niveau de symptômes a également été évalué pour le comparer aux données de TR. De façon générale, les TR des TCCL étaient plus longs et plus variables (plus grands ET et EIQ) que ceux des contrôles. De plus, les TR des TCCL étaient plus courts pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, et plus variables pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, dans la condition de discrimination de mouvement. Ces observations se sont répétées au cours des trois sessions. Le niveau de symptômes des TCCL était supérieur à celui des participants contrôles, et malgré une amélioration, cet écart est resté significatif sur la période d’un an qui a suivi le traumatisme. La seconde expérience, elle, était destinée à évaluer l’impact du TCCL sur le contrôle postural. Pour cela, nous avons mesuré l’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur et l’instabilité posturale (au moyen de la vitesse quadratique moyenne (VQM) des oscillations posturales) en position debout, les pieds joints, sur une surface ferme, dans cinq conditions différentes : les yeux fermés, et dans un tunnel virtuel tridimensionnel soit statique, soit oscillant de façon sinusoïdale dans la direction antéropostérieure à trois vitesses différentes. Des mesures d’équilibre dérivées de tests cliniques, le Bruininks-Oseretsky Test of Motor Proficiency 2nd edition (BOT-2) et le Balance Error Scoring System (BESS) ont également été utilisées. Les participants diagnostiqués TCCL présentaient une plus grande instabilité posturale (une plus grande VQM des oscillations posturales) que les participants contrôles 2 semaines et 3 mois après le traumatisme, toutes conditions confondues. Ces troubles de l’équilibre secondaires au TCCL n’étaient plus présents un an après le traumatisme. Ces résultats suggèrent également que les déficits affectant les processus d’intégration visuelle mis en évidence dans la première expérience ont pu contribuer aux troubles de l’équilibre secondaires au TCCL. L’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur de même que les mesures dérivées des tests cliniques d’évaluation de l’équilibre (BOT-2 et BESS) ne se sont pas révélées être des mesures sensibles pour quantifier le déficit postural chez les sujets TCCL. L’association des mesures de TR à la perception des propriétés spécifiques des stimuli s’est révélée être à la fois une méthode de mesure particulièrement sensible aux anomalies visuomotrices secondaires à un TCCL, et un outil précis d’investigation des mécanismes sous-jacents à ces anomalies qui surviennent lorsque le cerveau est exposé à un traumatisme léger. De la même façon, les mesures d’instabilité posturale se sont révélées suffisamment sensibles pour permettre de mesurer les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL. Ainsi, le développement de tests de dépistage basés sur ces résultats et destinés à l’évaluation du TCCL dès ses premières étapes apparaît particulièrement intéressant. Il semble également primordial d’examiner les relations entre de tels déficits et la réalisation d’activités de la vie quotidienne, telles que les activités scolaires, professionnelles ou sportives, pour déterminer les impacts fonctionnels que peuvent avoir ces troubles des fonctions visuomotrice et du contrôle de l’équilibre.

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Mild traumatic brain injury (mTBI) and sports concussion are a growing public health concern, with increasing demands for more rigorous methods to quantify changes in the brain post-injury. Electrophysiology, and in particular, transcranial magnetic stimulation (TMS), have been demonstrated to provide prognostic value in a range of neurological conditions; however, no review has quantified the efficacy of TMS in mTBI/concussion. In the present study, we present a systematic review and critical evaluation of the scientific literature from 1990 to 2014 that has used TMS to investigate corticomotor excitability responses at short-term (< 12 months), medium-term (1-5 years), and long-term (> 5 years) post-mTBI/concussion. Thirteen studies met the selection criteria, with six studies presenting short-term changes, five studies presenting medium-term changes, and two studies presenting long-term changes. Irrespective of time post-concussion, change in intracortical inhibition was the most reported observation. Other findings included increased stimulation threshold, and slowed neurological conduction time. Although currently limited, the data suggest that TMS has prognostic value in detecting neurophysiological changes post-mTBI/concussion.

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Mild traumatic brain injury (MTBI) is common; up to 37% of adult men have a history of MTBI. Complaints after MTBI are persistent headaches, memory impairment, depressive mood disorders, and disability. The reported short- and long-term outcomes of patients with MTBI have been inconsistent. We have now investigated long-term clinical and neurocognitive outcomes in patients with MTBI (at admission, and after 1 and 10 years).

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This study assessed the addition effect of mild traumatic brain injury (MTBI) on the balance control of patients who simultaneously suffered a whiplash associated disorder (WAD).

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BACKGROUND: Mild traumatic brain injury (MTBI) defined as Glasgow Coma Scale (GCS) 14 or 15 has shown contradictory short- and long-term outcomes. The objective of this study was to correlate intra-cranial injuries (ICI) on CT scan to neurocognitive tests at admission and to complaints after 1 year. METHODS: Two hundred and five patients with MTBI underwent a CT scan and were examined with neurocognitive tests. After 1 year complaints were assessed by phone interviews. RESULTS: The neurocognitive tests in 51% of the patients showed significant deficits; there was no difference for patients with GCS 14-15, nor was there a difference between patients with ICI to patients without. After 1 year patients with ICI had significantly more complaints than patients without ICI, the most frequent complaint was headache and memory deficits. CONCLUSIONS: No correlation was found between GCS or ICI and the neurocognitive tests upon admission. After 1 year, patients with ICI have significantly more complaints than patients without ICI. No cost savings resulted by doing immediate CT scan on all.

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OBJECTIVE Only limited data exists in terms of the incidence of intracranial bleeding (ICB) in patients with mild traumatic brain injury (MTBI). METHODS We retrospectively identified 3088 patients (mean age 41 range (7-99) years) presenting with isolated MTBI and GCS 14-15 at our Emergency Department who had undergone cranial CT (CCT) between 2002 and 2011. Indication for CCT was according to the "Canadian CT head rules." Patients with ICB were either submitted for neurosurgical treatment or kept under surveillance for at least 24 hours. Pearson's correlation coefficient was used to correlate the incidence of ICB with age, gender, or intake of coumarins, platelet aggregation inhibitors, or heparins. RESULTS 149 patients (4.8%) had ICB on CCT. No patient with ICB died or deteriorated neurologically. The incidence of ICB increased with age and intake of anticoagulants without clinically relevant correlation (R = 0.11; P < 0.001; R = -0.06; P < 0.001). CONCLUSION Our data show an incidence of 4.8% for ICB after MTBI. However, neurological deterioration after MTBI seems to be rare, and the need for neurosurgical intervention is only required in selected cases. The general need for CCT in patients after MTBI is therefore questionable, and clinical surveillance may be sufficient when CCT is not available.

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Traumatic brain injuries (TBIs) occur frequently in childhood and entail broad cognitive deficits, particularly in the domain of executive functions (EF). Concerning mild TBI (mTBI), only little empirical evidence is available on acute and postacute performance in EF. Given that EF are linked to school adaptation and achievement, even subtle deficits in performance may affect children's academic careers. The present study assessed performance in the EF components of inhibition, working memory (WM), and switching in children after mTBI. Regarding both acute and postacute consequences, performance trajectories were measured in 13 patients aged between 5 and 10 years and 13 controls who were closely matched in terms of sex, age, and education. Performance in the EF components of inhibition, switching, and WM was assessed in a short-term longitudinal design at 2, 6, and 12 weeks after the mTBI. Results indicate subtle deficits after mTBI, which became apparent in the longitudinal trajectory in the EF components of switching and WM. Compared with controls, children who sustained mTBI displayed an inferior performance enhancement across testing sessions in the first 6 weeks after the injury in switching and WM, resulting in a delayed deficit in the EF component of WM 12 weeks after the injury. Results are interpreted as mTBI-related deficits that become evident in terms of an inability to profit from previous learning opportunities, a finding that is potentially important for children's mastery of their daily lives.

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Objective: There is evidence that children after mild traumatic brain injuries (mTBI) suffer ongoing post-concussive symptoms (PCS). However, results concerning neuropsychological outcome after mTBI are controversial. Thus, our aim was to examine group differences regarding neuropsychological outcome and PCS. Additionally, we explored the influence of current and pre-injury everyday attention problems on neuropsychological outcome in children after mTBI. Method: In a prospective short-term longitudinal study, 40 children (aged 6-16 years) after mTBI and 38 children after orthopedic injury (OI) underwent neuropsychological, socio-behavioral and PCS assessments in the acute stage and at 1 week, at 4 weeks, and 4 months after the injury. Results: Parents of children after mTBI observed significantly more PCS compared to parents of children after OI, especially in the acute stage. Our results revealed no neuropsychological or socio-behavioral differences over time between both groups. However, in children after mTBI, we found negative correlations between elevated levels of everyday attention problems and reduced neuropsychological performance. Furthermore, there was a negative influence of pre-injury everyday attention problems on neuropsychological performance in children after mTBI. Conclusion: In accordance with earlier studies, parents of children after mTBI initially observed significantly more PCS compared to parents of children after OI. There were no neuropsychological or socio-behavioral group differences between children after mTBI and OI in the post-acute period. However, our exploratory findings concerning the influence of everyday attention problems on neuropsychological outcome indicate that current and pre-injury everyday attention problems were negatively associated with neuropsychological performance in children after mTBI.

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OBJECTIVE This study explored whether acute serum marker S100B is related with post-concussive symptoms (PCS) and neuropsychological performance 4 months after paediatric mild traumatic brain injury (mTBI). RESEARCH DESIGN AND METHODS This prospective short-term longitudinal study investigated children (aged 6-16 years) with mTBI (n = 36, 16 males) and children with orthopaedic injuries (OI, n = 27, 18 males) as a control group. S100B in serum was measured during the acute phase and was correlated with parent-rated PCS and neuropsychological performance 4 months after the injury. MAIN OUTCOMES AND RESULTS The results revealed no between-group difference regarding acute S100B serum concentration. In children after mTBI, group-specific significant Spearman correlations were found between S100B and post-acute cognitive PCS (r = 0.54, p = 0.001) as well as S100B and verbal memory performance (r = -0.47, p = 0.006). In children after OI, there were insignificant positive relations between S100B and post-acute somatic PCS. In addition, insignificant positive correlations were found between neuropsychological outcome and S100B in children after OI. CONCLUSIONS S100B was not specific for mild brain injuries and may also be elevated after OI. The group-specific association between S100B and ongoing cognitive PCS in children after mTBI should motivate to examine further the role of S100B as a diagnostic biomarker in paediatric mTBI.

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Results of neuropsychological examinations depend on valid data. Whereas clinicians previously believed that clinical skill was sufficient to identify non-credible performance by examinees on standard tests, research demonstrates otherwise. Consequently, studies on measures to detect suspect effort in adults have received tremendous attention in the previous twenty years, and incorporation of validity indicators into neuropsychological examinations is now seen as integral. Few studies exist that validate methods appropriate for the measurement of effort in pediatric populations. Of extant studies, most evaluate standalone measures originally developed for use with adults. The present study examined the utility of indices from the California Verbal Learning Test – Children's Version (CVLT-C) as embedded validity indicators in a pediatric sample. Participants were 225 outpatients aged 8 to 16 years old referred for clinical assessment after mild traumatic brain injury (mTBI). Non-credible performance (n = 39) was defined as failure of the Medical Symptom Validity Test (MSVT). Logistic regression demonstrated that only the Recognition Discriminability index was predictive of MSVT failure (OR = 2.88, p < .001). A cutoff of z ≤ -1.0 was associated with sensitivity of 51% and specificity of 91%. In the current study, CVLT-C Recognition Discriminability was useful in the identification of non-credible performance in a sample of relatively high-functioning pediatric outpatients with mTBI. Thus, this index can be added to the short list of embedded validity indicators appropriate for pediatric neuropsychological assessment.

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Le traumatisme craniocérébral léger (TCCL) a des effets complexes sur plusieurs fonctions cérébrales, dont l’évaluation et le suivi peuvent être difficiles. Les problèmes visuels et les troubles de l’équilibre font partie des plaintes fréquemment rencontrées après un TCCL. En outre, ces problèmes peuvent continuer à affecter les personnes ayant eu un TCCL longtemps après la phase aiguë du traumatisme. Cependant, les évaluations cliniques conventionnelles de la vision et de l’équilibre ne permettent pas, la plupart du temps, d’objectiver ces symptômes, surtout lorsqu’ils s’installent durablement. De plus, il n’existe pas, à notre connaissance, d’étude longitudinale ayant étudié les déficits visuels perceptifs, en tant que tels, ni les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL, chez l’adulte. L’objectif de ce projet était donc de déterminer la nature et la durée des effets d’un tel traumatisme sur la perception visuelle et sur la stabilité posturale, en évaluant des adultes TCCL et contrôles sur une période d’un an. Les mêmes sujets, exactement, ont participé aux deux expériences, qui ont été menées les mêmes jours pour chacun des sujets. L’impact du TCCL sur la perception visuelle de réseaux sinusoïdaux définis par des attributs de premier et de second ordre a d’abord été étudié. Quinze adultes diagnostiqués TCCL ont été évalués 15 jours, 3 mois et 12 mois après leur traumatisme. Quinze adultes contrôles appariés ont été évalués à des périodes identiques. Des temps de réaction (TR) de détection de clignotement et de discrimination de direction de mouvement ont été mesurés. Les niveaux de contraste des stimuli de premier et de second ordre ont été ajustés pour qu’ils aient une visibilité comparable, et les moyennes, médianes, écarts-types (ET) et écarts interquartiles (EIQ) des TR correspondant aux bonnes réponses ont été calculés. Le niveau de symptômes a également été évalué pour le comparer aux données de TR. De façon générale, les TR des TCCL étaient plus longs et plus variables (plus grands ET et EIQ) que ceux des contrôles. De plus, les TR des TCCL étaient plus courts pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, et plus variables pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, dans la condition de discrimination de mouvement. Ces observations se sont répétées au cours des trois sessions. Le niveau de symptômes des TCCL était supérieur à celui des participants contrôles, et malgré une amélioration, cet écart est resté significatif sur la période d’un an qui a suivi le traumatisme. La seconde expérience, elle, était destinée à évaluer l’impact du TCCL sur le contrôle postural. Pour cela, nous avons mesuré l’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur et l’instabilité posturale (au moyen de la vitesse quadratique moyenne (VQM) des oscillations posturales) en position debout, les pieds joints, sur une surface ferme, dans cinq conditions différentes : les yeux fermés, et dans un tunnel virtuel tridimensionnel soit statique, soit oscillant de façon sinusoïdale dans la direction antéropostérieure à trois vitesses différentes. Des mesures d’équilibre dérivées de tests cliniques, le Bruininks-Oseretsky Test of Motor Proficiency 2nd edition (BOT-2) et le Balance Error Scoring System (BESS) ont également été utilisées. Les participants diagnostiqués TCCL présentaient une plus grande instabilité posturale (une plus grande VQM des oscillations posturales) que les participants contrôles 2 semaines et 3 mois après le traumatisme, toutes conditions confondues. Ces troubles de l’équilibre secondaires au TCCL n’étaient plus présents un an après le traumatisme. Ces résultats suggèrent également que les déficits affectant les processus d’intégration visuelle mis en évidence dans la première expérience ont pu contribuer aux troubles de l’équilibre secondaires au TCCL. L’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur de même que les mesures dérivées des tests cliniques d’évaluation de l’équilibre (BOT-2 et BESS) ne se sont pas révélées être des mesures sensibles pour quantifier le déficit postural chez les sujets TCCL. L’association des mesures de TR à la perception des propriétés spécifiques des stimuli s’est révélée être à la fois une méthode de mesure particulièrement sensible aux anomalies visuomotrices secondaires à un TCCL, et un outil précis d’investigation des mécanismes sous-jacents à ces anomalies qui surviennent lorsque le cerveau est exposé à un traumatisme léger. De la même façon, les mesures d’instabilité posturale se sont révélées suffisamment sensibles pour permettre de mesurer les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL. Ainsi, le développement de tests de dépistage basés sur ces résultats et destinés à l’évaluation du TCCL dès ses premières étapes apparaît particulièrement intéressant. Il semble également primordial d’examiner les relations entre de tels déficits et la réalisation d’activités de la vie quotidienne, telles que les activités scolaires, professionnelles ou sportives, pour déterminer les impacts fonctionnels que peuvent avoir ces troubles des fonctions visuomotrice et du contrôle de l’équilibre.

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The present study aimed to determine whether including a sensitive test of immediate and delayed recall would improve the diagnostic validity of the Rapid Screen of Concussion (RSC) in mild Traumatic Brain Injury (mTBI) versus orthopaedic clinical samples. Two studies were undertaken. In Study 1, the performance of 156 mTBI and 145 orthopaedic participants was analysed to identify the number of individuals who performed at ceiling on the verbal memory subtest of the RSC, as this test required immediate and delayed recall of only five words. A second aim was to determine the sensitivity and specificity levels of the RSC. Study 2 aimed to examine whether replacement of the verbal memory subtest with the 12-word Hopkins Verbal Learning Test (HVLT) could improve the sensitivity of the RSC in a new sample of 26 mTBI and 30 orthopaedic participants. Both studies showed that orthopaedic participants outperformed mTBI participants on each of the selected measures. Study 1 showed that 14% of mTBI participants performed at ceiling on the immediate and 21.2% on delayed recall test. Performance on the original battery yielded a sensitivity of 82%, specificity of 80% and overall correct classification of 81.5% participants. In Study 2, inclusion of the HVLT improved sensitivity to a level of 88.5%, decreased specificity to a level of 70% and resulted in an overall classification rate of 80%. It was concluded that although inclusion of the five-word subtest in the RSC can successfully distinguish concussed from non-concussed individuals, use of the HVLT in this protocol yields a more sensitive measure of subtle cognitive deficits following mTBI.