896 resultados para Literary genre
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Wydział Historyczny: Instytut Historii Sztuki
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The topic of the study entitled humour in the ancient greek novels: the theoretical conceptions and the lite- rary practice is significance of humour in ancient Greek novels. In the first part of this study the theoretical aspects are examined with reference to the conceptions of contemporary researchers of Greek novels. The influence of the humour on the character of the world presented in particular novels is considered in the second part of the article.
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Wydział Neofilologii: Instytut Filologii Germańskiej
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This article describes Yasmina Khadra’s autobiographical work composed of two books: "L’écrivain" and "L’imposture des mots" and its reception in France. The main purpose of this study was to establish the literary genre of these books, which implies determining whether Khandra’s work represents an autobiography or an autofiction with reference to P. Lejeune’s and V. Colonna’s theoretical studies. The dividing line between two genres in Khandra’s works refl ects his inner split between being either a solder or a writer. The presentation will also help to understand the controversy resulting from Khandra’s participation in Algerian civil war. Moreover the analysis is related to modern Algerian history.
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El presente estudio realiza un análisis comparativo entre la novela del mexicano Juan Rulfo, Pedro Páramo (1955), y un cuento del escritor ruso Dostoievski que trata también el tema del Más allá, titulado Bobok (1873). Paralelamente, se trabaja con la posibilidad de que el relato ruso hubiese podido ser una más de las fuentes literarias de la novela mexicana, y se trata de determinar las posibles conexiones -directas o indirectas- entre las dos obras. Ambas son puestas en común por su género literario, y a partir de ahí se estudian los elementos constitutivos que tienen en común, sus afinidades y divergencias más llamativas.
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This article argues that the early development of crime writing needs to be understood in relation to the consolidation of the modern state. It demonstrates that London in the 1720s constitutes a significant moment in this early development for three main reasons. First, the period witnessed a crime epidemic which reached its climax in the 1720s and which precipitated a set of particularly aggressive counter-measures by the state; second, it saw the rise and eventual fall of the infamous Jonathan Wild who acted as both thief and surrogate policeman; and third, it was also marked by a surge in interests on the part of writers like Daniel Defoe and Bernard Mandeville in the related matters of crime and punishment. This article explores the ways in which accounts of crime and punishment in this period deployed and in some instances interrogated the rhetoric of social contract theory and writings on statecraft, particularly by Thomas Hobbes and Mandeville. But while the criminal biographies and gallows sermons produced by the Newgate prison’s ‘ordinaries’ provided crude and reductive accounts of the efficacy of the state, the article shows how two accounts of the life of Jonathan Wild (by Defoe and H.D) responded in highly complex ways to the issues of crime and policing and provided a consistently and self-consciously ambivalent reading of the state and state power. To conclude, I suggest that this ambivalence can be read as a critique of the impartial or neutral state and that it constitutes one of the key features of what we would later understand to be crime writing as a dedicated literary genre.
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António Dinis da Cruz e Silva, member of Arcádia Lusitana, the literary academy he helped to found, introduced the Pindaric ode to the Portuguese literature of the neoclassical period (18th century). This poet imitates the triadic form and the mythological nature of Pindar’s encomiastic poetry, in order to celebrate the deeds of reputed historical figures from the national context, such as sailors, captains, politicians, and even the king himself. As in Pindar’s poetry, the mythological excursus holds an important part in Cruz e Silva’s Pindaric poetry. Winners of athletic games are acclaimed through allusion to the ancient heroes. Likewise, the heroes of the Portuguese history see themselves turned into immortals, since their deeds are reported as comparatively greater than those of Homeric warriors. Among the 44 Cruz e Silva’s Pindaric odes, 18 rewrite the myth of the Trojan War, from its beginnings with Eris (Odes I-II) to its outcome with the imperishable fame of the most conspicuous Homeric fighters (Ode XLII). These 18 compositions (re)tell, in a neoclassical style, the main scenes and themes of the Iliad and Odyssey, alluding directly to their heroes’ deeds. Achilles’ wrath and Hector’s death are topics repeatedly brought up in Cruz e Silva’s Pindaric poetry as models of courage and patriotism for national heroes. This chapter offers a discussion of Cruz e Silva’s neoclassical representation of the Trojan War. To this effect, an interdisciplinary approach is adopted, showing how the Portuguese poet handles the mythological material from Homer and Pindar. In this way, he initiated in 18th-century Portuguese literature a new literary genre, the Pindaric ode. By dealing with Poetry and History, Cruz e Silva perpetuated the life and fame of national heroes long after their deaths.
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Dissertação de Mestrado apresentado ao Instituto de Contabilidade e Administração do Porto para a obtenção do grau de Mestre em Tradução e Interpretação Especializadas, sob orientação da doutora Clara Sarmento Esta versão não contém as críticas e sugestões dos elementos do júri
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Peu importe la discipline qui l’appréhende, de la médecine humorale à la psychanalyse aujourd’hui, de l’histoire de l’art à la philosophie, la mélancolie se définit par un manque. S’il ne succombe pas à l’apathie, le mélancolique s’efforcera de pallier cette insuffisance par ses activités intellectuelles et artistiques : la mélancolie est carence et génie. La mélancolie travaille : elle compose avec l’absence. De quel ordre est ce manque ? Dans les écrits savants et les œuvres visuelles, la mélancolie a l’image en défaut : un souvenir ou une représentation juste, idéale. La mélancolie ne donne rien à voir sinon ce rapport à l’image, ce travail de mise en ordre et de mise en œuvre que l’on résume sous les noms « intellection » et « création ». La mélancolie est formaliste : elle cherche un modèle, une représentation, un nom, la forme d’une narration. Peu d’œuvres se prêtent à l’étude du génie de la mélancolie comme celle de Roland Barthes (1915-1980). Critique, ce corpus questionne la mélancolie de la forme et du sens. Écrite, cette œuvre donne à lire une figure de la mélancolie qui diffère selon ce qui lui manque. Toujours, la mélancolie compose avec l’absence de l’image. Cache de l’écriture, la photographie a été utilisée comme image du réel et du souvenir. L’image photographique participe d’une quête théorique en même temps qu’elle donne forme à la mélancolie de l’écriture. Avec la photographie, la mélancolie apparaît à la ville (L’empire des signes), au miroir (Roland Barthes par Roland Barthes), en amour (Fragments d’un discours amoureux) et au tombeau (La chambre claire). En figurant ce qui échappe à la littérature, la photographie ordonne autour d’elle une narration mélancolique. Ainsi la fragmentation, la collection, la spécularisation, l’investigation et la formalisation, sont autant d’opérations qui caractérisent la poétique narrative mise en place dans l’œuvre de Roland Barthes. Dans ces opérations, nous voyons également un modèle de la mélancolie du processus de création.
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Les différents commentateurs de Lovecraft se sont au fil du XXe siècle jusqu’à nos jours entendus sur un point : l’originalité de son oeuvre. Impossible à cataloguer dans un genre littéraire précis, offrant de multiples couches d’interprétation, celle-ci fut analysée à la fois sous l’angle psychanalytique et sous l’angle philosophique et scientifique. Cependant, la dimension purement esthétique semble, peut-être par négligence, avoir été oubliée. Notre mémoire propose une investigation de l’esthétique dans l’oeuvre de Lovecraft. Notre hypothèse de recherche repose sur les analogies évidentes et pourtant peu approfondies par la critique entre l’esthétique de celle-ci et l’esthétique cosmogonique de l’Antiquité. Dans un premier temps, nous situerons l’œuvre dans son contexte littéraire, c’est-à-dire que nous nous pencherons sur les rapports évidents qu’elle entretient avec des auteurs tels que J.R.R. Tolkien et Arthur Conan Doyle et sur les différences moins évidentes qui la distinguent d’autres d’auteurs tels que H.G. Wells et William Hope Hodgson. Ensuite, nous mettrons en perspective les différences qui la séparent logiquement de la cosmogonie hébraïque et de la tradition théologique et philosophique qu’elle inaugure, entre autres, tel qu’elle se cristallise dans La Divine Comédie de Dante. Finalement, nous démontrerons à partir d’une comparaison serrée de motifs analogues, présents dans la longue nouvelle de Lovecraft, At the Mountains of Madness et dans le poème d’Hésiode, La Théogonie, le parallèle révélateur entre leurs esthétiques respectives; leurs esthétiques qui découlent de paradigmes du réel historiquement et essentiellement distincts, mais non pas opposés ou contradictoires.
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Ce mémoire présente les résultats et la réflexion d’une recherche qui avait pour but d’analyser les liens entre la Bible médiévale et les romans du Graal écrits au XIIIe siècle. À cet effet, nous avons eu recours aux paraphrases et aux traductions bibliques en prose écrites en ancien français afin de montrer comment les romans à l’étude réécrivaient l’héritage biblique qu’ils comportaient. Le mémoire s’articule en trois chapitres. Le premier chapitre présente les corpus principal et secondaire et en les mettant en contexte. Ce chapitre traite également de la Bible au Moyen Âge, c’est-à-dire de son statut et de sa diffusion dans la société. Le deuxième chapitre s’attache à l’analyse des réécritures bibliques présentes dans le corpus principal en traitant les questions de l’allégorie et de l’exégèse et en analysant la Légende de l’Arbre de Vie. Enfin, le troisième chapitre étudie la mise en récit du rêve comme processus d’écriture commun à la Bible et aux romans du Graal. Cette recherche montre comment les auteurs médiévaux reprennent non seulement les récits de la Bible, mais aussi ses procédés d’écriture. Cette dynamique de reprise permet également de voir comment les textes traitent la matière biblique dans le développement spécifique du roman du Graal, en s’intéressant particulièrement au phénomène de christianisation du roman.
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Souvent laissée pour contre par les théoriciens, longtemps associée à la littérature populaire, la littérature fantastique a su depuis se tailler une place parmi les grands genres de la littérature. Depuis le milieu du XXe siècle, les chercheurs et le public découvrent ou redécouvrent un genre qui a toujours fait parti du paysage littéraire. Une œuvre majeure contribuera à la redécouverte scientifique du genre : Écrite en 1970 l’œuvre de Tzvetan Todorov Introduction à la littérature fantastique donne tant au néophyte qu’au chercheur un ouvrage qui trouve encore des échos aujourd’hui. Sa définition du fantastique, son approche du rôle du narrateur et du lecteur sont une référence, un point de départ et surtout un incontournable pour ceux et celles qui désirent comprendre et apprendre le fantastique. Dans ce mémoire, nous nous concentrerons particulièrement sur le rôle et la problématique du narrateur dans l’œuvre de deux représentants majeurs de la littérature fantastique de langue allemande du début du XXe siècle : Leo Perutz (1882-1957) et Alexander Lernet-Holenia (1897-1976). Le narrateur semble jouer un rôle prédominant dans la littérature fantastique. En effet, par son discours souvent présenté au « je », il semble créer une dynamique très particulière : il manipule son propre discours, il agit sur le lecteur en étant narrateur et personnage dans le récit, il crée une tension entre les différentes couches narratives par son état instable. Bref, il semble contribuer à l’apparition du fantastique dans le texte et également provoquer une certaine hésitation chez le lecteur. Le texte joue également un rôle : Leo Perutz produit un modèle de texte qui semble marquer aussi son collègue Alexander Lernet-Holenia. La structure presque mathématique des textes de Perutz rappelle que le fantastique peut jouer même à l’intérieur de paramètres rigides avec l’ordre et le chaos, les frontières entre le réel et le rêve. Nous étudierons des œuvres de Leo Perutz et d’Alexander Lernet-Holenia qui ont été publiées entre 1915 et 1937. Les théories qui serviront à appuyer mon travail sont tirées entre autre des études de Tzvetan Todorov et Uwe Durst sur la littérature fantastique et de Gérard Genette sur le narrateur.
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Cette étude examine comment différents textes du XVIIIe siècle traitent du roman. L’hypothèse est la suivante : le genre choisi pour parler du roman participe de manière intrinsèque à la critique ou à l’apologie véhiculée dans l’œuvre. Le corpus est composé de quatre textes plus ou moins (re)connus par les historiens de la littérature narrative : De l’Usage des romans (1734) de Lenglet-Dufresnoy, le Voyage merveilleux du Prince Fan-Férédin dans la Romancie (1735) du père Bougeant, De Libris qui vulgò dicuntur Romanenses (1736) du père Porée et les Entretiens sur les romans (1755) du père Jacquin. À l’aide d’une méthode hybride d’analyse générique et d’analyse rhétorique du discours, cette étude s’intéresse aux genres employés par les auteurs du corpus (le traité, le roman, le discours académique et l’entretien) de même qu’à trois thématiques argumentatives reliées au roman (le poison, l’amour et la femme).
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L’identification des contraintes financières et sociales qui sont sous-entendues dans la situation des personnages amoureux de la comédie de Ménandre – à partir de ses pièces et fragments subsistants et de ses adaptations en langue latine par Térence – permet d’éclairer la rhétorique de séduction ou de dissuasion employée par les divers personnages types de ce genre littéraire. Or, il existe un parallèle étroit entre ces discours et situations dramatiques et l’élégie érotique qui fleurit quelques siècles plus tard à Rome sous la plume de Tibulle, Properce et Ovide. Certains aspects déroutants de la rhétorique de séduction employée par les élégistes sont élucidés lorsqu’on les comprend dans le contexte dramatique de la comédie nouvelle : notamment, le poète narrateur se positionne dans la situation du jeune protagoniste amoureux de la comédie et la bien-aimée à qui il s’adresse se trouve dans la situation de la courtisane indépendante qui figure dans plusieurs pièces comiques. Cette recherche conclut qu’il existe une tension financière entre l’amant élégiaque et sa maîtresse qui, bien qu’elle soit passée sous silence par les poètes, influence les arguments utilisés par le narrateur à son égard et les propos imaginés ou rapportés de sa bien-aimée en retour.
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Cette thèse de doctorat met en lumière les stratégies narratives déployées dans le récit français actuel pour représenter et construire son présent. L’hypothèse principale que cette recherche vérifie est la suivante : la littérature narrative d’aujourd’hui, par le recours à une énonciation entremêlant discours et narration ainsi que par une utilisation critique et pragmatique du passé, réplique au « présentisme » observé par François Hartog, cette perspective sur les temps dont le point d’observation et le point observé sont le présent. Les écrivains contemporains mettent en place un régime de temporalités où passé et avenir sont coordonnés au présent pour pacifier le rapport entre les trois catégories temporelles et faire apparaître un présent qui, sinon, demeure narrativement insaisissable ou soumis à l’autorité d’un passé ou d’un avenir qui dicte ses actions. En distinguant leurs textes du genre romanesque et du mode narratif qui le compose, Pierre Bergounioux, François Bon, Olivier Cadiot, Chloé Delaume, Annie Ernaux, Jean Echenoz et Olivier Rolin, entre autres, s’inscrivent dans la tradition énonciative du récit, ici entendu comme genre littéraire où l’énonciation et le texte en formation sont à eux-mêmes leur propre intrigue. Le sujet d’énonciation du récit contemporain cherche à élucider son rapport au temps en ayant recours à des scènes énonciatives qui ont à voir avec l’enquête et l’interlocution, de manière à ce que d’une anamnèse personnelle et intellectuelle, de même que de la confrontation d’une mémoire avec son récit jaillissent les caractéristiques d’une expérience du présent. Or, une des caractéristiques du présent expérimenté par le sujet contemporain semble être une résistance à la narration et au récit, rendant alors difficile sa saisie littéraire. Cette opposition au récit est investie par des écrivains qui ont recours, pour donner à voir l’immédiateté du présent, à la note et au journal, de même qu’à des genres littéraires qui mettent en échec la narration, notamment la poésie. En dépit de leurs efforts énonciatifs pour extraire le présent de l’opération qui le transforme en passé, ces écrivains font tout de même l’expérience répétée de la disparition immédiate du présent et de leur incapacité à énoncer littérairement un sentiment du présent. Le seul moyen d’en donner un aperçu reste alors peut-être de chercher à construire le présent à partir du constat répété de l’impossibilité d’un tel accomplissement.