982 resultados para LAND RIGHTS
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A growing number of Latin American rural groups have attained extended ethno-territorial rights, and sizeable territories were safeguarded by progressive constitutions. This trend was the product of extended cycles of protest at local, national and transnational levels; social movements struggle, with broader collective South-South collaboration. Nonetheless, the continent simultaneously experienced a resource extraction boom. Commonly, the extractivism takes place in protected areas and/or indigenous territories. Accordingly, economic interests clash with the safeguarding and recognition of constitutional rights. Through the analysis of selected illustrative cases across Latin America, this study analyses the (de jure) rights on paper versus the (de facto) rights in practice.
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Considers the relevance of A.K. Sen’s theory of entitlements to the situation facing indigenous tribal people, its relationship to institutionalism, and to theories of property rights. Changing world views about the resource entitlements that should be given to local communities are outlined concentrating on the views expressed by the World Conservation Union (IUCN). These changing views have relevance for the resource entitlements of indigenous tribal communities and are reflected in differences in the policy approaches inherent in the Convention on International Trade in Endangered Species (CITES) and the more recent Convention on Biological Diversity. The latter embodies the view that provision of greater resource entitlements to local communities can provide economic incentives for nature conservation. There is a case for Indigenous Australians to be given greater rights to market the natural produce from their lands. Despite progress with land rights, they are not entitled to market much of the natural produce from their land. The socioeconomic status of Australian Aborigines is outlined. Their standard of living and their life expectancy are low by world standards and in comparison to other Australians. This is partly a result of historical events that have restricted their rights. These events are outlined briefly. Views differ about the appropriate development paths for Indigenous Australians and these are assessed. Concern on environmental and economic grounds is expressed about the view that the economic development of Australian Aboriginal communities would be accelerated by replacing their communal land titles by private land titles and encouraging Western-style agriculture and commercial development of their lands. Some comparisons are also made with the situation of India’s Tribals.
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Members of the Yorta Yorta Aboriginal Community v State of Victoria was the first case in which a claim for native title was lodged in a non-remote area of the Australian mainland which was the subject of European settlement at an early stage in Australian history - highlights the difficulties in establishing native title claims in long settled regions of Australia - a failure to recognise the strength of oral tradition in establishing Aboriginal connection with the land.
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Since the mid 90's, international actors as well as governmental actors have raised their interest into the development of irrigation's potential that is still largely unexploited in Niger. It seems all the more interesting as it could answer the needs of a fast growing population (3.3% per year). However, if everyone agrees on the need to development this system, the current implementation triggers questions on the process itself and its side effects. National and international policies on this matter were build upon an historical process through colonial, post-colonial and then the late 1980's neoliberal structures, leading to a business model that reveals a discrepancy between the state logic and the farming one. This business model asks for a high capacity of mobilization of resources unachievable for many, especially when they want to address small-scale irrigation (area
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Ce mémoire interroge l’histoire, l’articulation pratique et les effets de ce que l’on appelle actuellement au Brésil «l’urbanisation intégratrice», un type d’intervention étatique dans les favelas (bidonvilles) de Rio de Janeiro. Il s’agit d’une énième tentative de régler le «problème de la favela», consistant en l’urbanisation de son territoire (insertion d’infrastructure publique, consolidation du cadre bâti) et la légalisation de son statut et de ses pratiques (octroi de droits de propriété foncière et insertion de règlementation publique). Officiellement, c’est une manière de mettre fin à l’exclusion dont les populations faveladas sont victimes depuis l’apparition des favelas à Rio. L’analyse est faite à partir de l’étude du PAC-Favelas, un programme du gouvernement fédéral lancé en 2008, et son application dans la favela Rocinha. Il est proposé de considérer l’urbanisation intégratrice en tant que dispositif sécuritaire ou biopolitique, c’est-à-dire en tant qu’appareil de gouvernement de la population locale. À travers le projet, on planifie de formaliser les conduites, d’accroître la circulation des ressources, de transformer les perceptions des résidents, de contenir les excès et les risques associés à la favela et de tendre vers la prise en charge entièrement planifiée – en un mot, d’assurer le passage vers l’intervention permanente. Concrètement, cela revient pour l’État à procéder à une sélection, par des moyens légitimés ou indirects (le plan, la loi, le marché), des individus et des pratiques désormais admissibles sur le territoire. L’espace se raréfie, le contrôle augmente et les prix montent : ne peut demeurer que celui qui a déjà atteint un certain niveau de stabilité, reléguant les plus précaires à devoir progressivement quitter le territoire. Urbaniser la Rocinha, c’est un peu forcer son embourgeoisement en la rendant enfin sécurisée, civilisée et rentable.
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Dans cette thèse nous démontrons que la paysannerie colombienne s'est constituée telle quelle, à partir de: 1) la construction et de la mise en œuvre des pratiques économiques et agro-productives compatibles avec l'environnement; 2) des habitus et des coutumes qu’elle a inventé et a récré à partir de l'interaction quotidienne avec sa famille et sa communauté et 3) de la lutte politique qu'elle a entrepris tant pour exiger à l'État sa reconnaissance sociale, territoriale et juridique, comme pour arrêter l'avance territoriale des entrepreneurs agraires. Par conséquent, la paysannerie ne peut pas être conçue comme une catégorie conceptuelle construite, a priori , définie dehors de l’histoire, comme un groupe social homogène, et avec caractéristiques égales à niveau global. La paysannerie colombienne, dans sa lutte politique pour la défense du territoire, a affronté à un entrepreneur agraire qui, orienté par une logique unidirectionnelle, élitiste et exclusive de « progrès » et du « développement », a nié à la paysannerie ses droits territoriaux, économiques, sociaux et culturels. De plus, en faisant un usage patrimonial de l’État, il l`a poursuivi, stigmatisé et expulsé de la communauté politique. La paysannerie a affronté un État et un entrepreneur agraire que, depuis l'État d’Exception et de la déclaration de la paysannerie comme “obstacle du développement” et “ennemi de la nation”, ils ont revendiqué le droit, inhérent des souverainetés classiques, de définir qui peut vivre et qui doit mourir. La dynamique historique et successive d'expropriation territoriale de la paysannerie et la mise en œuvre de ce qui est dénommé, dans cette thèse, nécro-politique agraire, ont été cachées dans le concept de “colonisation spontanée” et dans un discours qui présente au paysan comme « héros», «entrepreneur» et «constructeur de patrie», quand il a été obligé par raisons d'ordre économique, juridique et militaire, à entreprendre de nouveaux processus de colonisation forcée. La réponse de la paysannerie à cette dynamique a inclus des résistances de caractère intrasystémique et contre-systémique. Elle n'a jamais décliné à sa lutte par le droit à la terre – qui fait partie de son territoire et considère comme inaliénable - et à son droit d'avoir des droits. En étudiant le cas de la paysannerie de l'Amazonie colombienne, dans cette recherche, nous démontrons que la paysannerie a eu une grande capacité d'affronter les adversités économiques et politiques, et de s’inventer et de se refaire eux-mêmes dans nouveaux espaces. La paysannerie est un sujet social qui a refusé de façon entêtée et permanente, avec ses attitudes et ses actions, à obéir et à être domestiquée par les paramètres de la modernité. Elle s'est refusée à modifier ses dispositions internes et ses manières de voir le monde, son habitus et s’est reconstituée chaque jour dans une modernité qui menace sa subjectivité et son autonomie. La paysannerie formule des projets agro-écologiques, socioéconomiques et d'insertion politique dans un modèle du développement agraire qui insiste de le nier comme sujet avec des droits.
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La présente étude constitue une analyse comparative de discours qui articulent la problématique de l’héritage coloniale et des réclamations autochtones au Chili et au Canada : des livres de texte de sciences sociales, des discours d’opinion et des discours autochtones. Nous proposons que les similitudes surprenantes qui ont été révélées par les contextes nationaux canadiens et chiliens peuvent être expliquées, en partie, par leur articulation avec le discours globalisé de la modernité/colonialité. D’une part, les textes scolaires et les discours d’opinion font circuler des éléments discursifs de la modernité, tout en reproduisant des formes de savoir et de dire coloniaux. D’autre part, les discours autochtones se ressemblent entre eux dans la mesure où ils interpolent la modernité/colonialité transformant ainsi les termes d’engagement interculturel. Bien que les états canadiens et chiliens renforcent leur engagement à l’égard de la réconciliation avec les Autochtones durant les dernières décennies, les conflits interculturels continuent à se produire en impliquant toujours les mêmes acteurs : l’état, différents peuples autochtones, des entreprises privées, ainsi que des membres de l’élite intellectuelle, politique et patronale. En prenant en compte cette situation, l’objectif de cette thèse vise à mieux comprendre pourquoi ces conflits, loin d’être résolus, continuent à se reproduire. Dans ces deux pays, la problématique des conflits interculturels est fondamentalement mise en rapport avec la question des droits territoriaux et, par conséquent, sont inséparables de la question de l’héritage coloniale des états nationaux canadien et chilien. Pourtant cette dimension coloniale des conflits a tendance à être cachée autant par la rhétorique multiculturelle du discours national que par les polarisations produites par l’opinion publique, lesquelles ont l’habitude d’encadrer la problématique par des notions binaires, telles que « civilisation/barbarie » ou « authenticité/illégitimité ». De plus, on peut considérer l’ouest du Canada et le sud du Chili comme étant des contextes comparables, puisque ceux-ci ont été colonisés avec la base du discours moderne du progrès et de la civilisation, qui a servi à légitimer l’expansion de l’état national au dix-neuvième siècle. Cependant, il n’existe que très peu d’études qui comparent les productions discursives relatives aux relations interculturelles entre Autochtones et non Autochtones dans les contextes canadiens et chiliens, possiblement à cause des différences linguistiques, sociohistoriques et politiques qui paraissent insurmontables.
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Esta investigación toma como marco general la Política de Reintegración Social y económica de personas y grupos alzados en armas en Colombia, en donde tras el estudio de las trayectorias en el conflicto de un grupo de 9 excombatientes, se aborda la relación existente entre los beneficios otorgados por dicha política y aquello que facilitó y motivó el ingreso, la permanencia y desmovilización de los grupos armados. Se presenta una caracterización e interpretación conceptual de las denominadas trayectorias en el conflicto, son establecidas relaciones y diferencias entre las organizaciones ilegales FARC y las AUC, se revisan las percepciones que frente a los beneficios del programa de reintegración tienen excombatientes y profesionales de la entidad que lidera dicho proceso y a partir de ello, es argumentada la incidencia que sobre el éxito de esta política tienen las características individuales y particulares, tanto de los excombatientes como de las organizaciones armadas ilegales.
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A tese teve como objetivo analisar a atuação e os discursos dos diversos agentes mediadores de entidades não-governamentais envolvidos com as causas e a defesa dos movimentos, na luta pela terra, no estado do Pará. Os fundamentos que sustentam a análise pertencem à análise do discurso da linha francesa. A pesquisa é de natureza qualitativo-descritiva. A entrevista e questionário serviram de instrumentos para a produção de dados. Os resultados indicam que há nos diversos discursos e atuações um enfoque na luta por direitos à terra, créditos, justiça e contestação da ordem social vigente. Por isso, as lutas dos movimentos no campo têm caráter político, lutam por direitos coletivos e uma proposta política alternativa para a sociedade. Conclui-se que existem litígios discursivos convergentes, dos mediadores quanto à luta e à garantia de direitos ao acesso à terra, aos movimentos e de conflitos frente a políticas do Estado na Amazônia. Tem-se discursos “contestadores” de natureza positiva acerca da relevância da luta como estratégia de sustentação dos mesmos no conflito agrário paraense, como “moeda” de troca frente a seus oponentes. E estabelece a possibilidade de realização de políticas públicas em áreas esquecidas pelo poder público ou de criminalização das lutas.
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Registros históricos indicam que desde 1850 a região do Rio Mujo foi ocupada por antigos mocambos. Dessas ocupações originaram-se 20 comunidades quilombolas, das quais 14 compõem o Território Quilombola do Rio Jambuaçu, no Município de Moju-PA. Ao longo da formação dessas comunidades, os moradores que ali residem têm vivenciado inúmeros conflitos, no tocante à preservação de suas terras, que vão da tentativa de repressão e destruição dos antigos mocambos, no século XVIII, à invasão e grilagem de terras nos dias atuais. A finalidade desta pesquisa é analisar como a Identidade Quilombola, efetivada por meio dessas lutas, é incorporada ao processo formativo da Casa Familiar Rural Pe. Sérgio Tonetto, dado ao seu contexto de formação: conflito entre quilombolas do Rio Jambuaçu e a Companhia Vale do Rio Doce (CVRD), no momento de instalação de um mineroduto para o transporte de bauxita, ao longo de 15 km do Território, o que tem provocado destruição de roças, florestas de castanheiras e assoreamento de rios e igarapés. Nessa perspectiva, a presente pesquisa abordará a luta pelo direito à terra e à educação como um elemento essencial nesse processo, revelando os contextos de aproximações entre Educação do Campo, Quilombos e a Identidade Quilombola. Os procedimentos metodológicos que norteiam a inserção em campo estão baseados em entrevistas e observações sistemáticas, realizados na comunidade com os sujeitos, e análise do Projeto Político-Pedagógico da CFR, a partir de uma abordagem qualitativa de caráter descritivo. Para analisar as falas dos sujeitos quilombolas de Jambuaçu, procedeu-se a análise de conteúdo das entrevistas. A referida pesquisa revelou que a Identidade Quilombola é invisibilizada no processo formativo da CFR Pe. Sérgio Tonetto, assim como aponta para descaracterização da Pedagogia da Alternância no processo formativo em análise. As perspectivas do presente estudo apontam para o fortalecimento da Identidade Quilombola no processo formativo dos quilombolas do Jambuaçu, na CFR “Pe. Sérgio Tonetto”.
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A partir del estudio del caso de La Toma entre fines del siglo XVIII y principios del siglo XIX, se abordan los conflictos por las tierras de aquella parte de la población indígena encomendada y asentada en la jurisdicción de Córdoba, que fue reducida en "pueblos de indios" en el siglo XVII y que logró preservar el control sobre sus tierras comunales durante los dos siglos siguientes. Específicamente, se reconstruyen los intentos del cabildo, la Compañía de Jesús y los vecinos españoles por ocupar de hecho las tierras de ese pueblo de indios asentado en las cercanías de la ciudad de Córdoba y por legalizar esa situación, así como las estrategias indígenas de defensa de sus derechos, que contaron con el apoyo de los funcionarios la Real Audiencia de Buenos Aires y permitieron eludir las trabas impuestas por la justicia local.
Resumo:
Los numerosos estudios sobre la sociedad rural rioplatense en el período colonial y pos independiente van mostrando, poco a poco, las características de la población, la composición familiar y la disponibilidad de mano de obra, tanto en las áreas de viejo asentamiento como en las más dinámicas de la frontera interior, de manera que puede continuarse la tarea con nuevas aproximaciones, comparando los resultados con los ya obtenidos. Esta será la perspectiva del presente trabajo, en el que se describirá la estructura poblacional de Chascomús entre 1815 y 1838, aunque sumando una relación que se aprecia ausente en los trabajos sobre el tema, como es la ocupación y acceso a la propiedad legal de la tierra. Debido a las características de las fuentes los partidos de Ranchos y Monte se incluirán parcialmente en el análisis
Resumo:
A partir del estudio del caso de La Toma entre fines del siglo XVIII y principios del siglo XIX, se abordan los conflictos por las tierras de aquella parte de la población indígena encomendada y asentada en la jurisdicción de Córdoba, que fue reducida en "pueblos de indios" en el siglo XVII y que logró preservar el control sobre sus tierras comunales durante los dos siglos siguientes. Específicamente, se reconstruyen los intentos del cabildo, la Compañía de Jesús y los vecinos españoles por ocupar de hecho las tierras de ese pueblo de indios asentado en las cercanías de la ciudad de Córdoba y por legalizar esa situación, así como las estrategias indígenas de defensa de sus derechos, que contaron con el apoyo de los funcionarios la Real Audiencia de Buenos Aires y permitieron eludir las trabas impuestas por la justicia local.
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Los numerosos estudios sobre la sociedad rural rioplatense en el período colonial y pos independiente van mostrando, poco a poco, las características de la población, la composición familiar y la disponibilidad de mano de obra, tanto en las áreas de viejo asentamiento como en las más dinámicas de la frontera interior, de manera que puede continuarse la tarea con nuevas aproximaciones, comparando los resultados con los ya obtenidos. Esta será la perspectiva del presente trabajo, en el que se describirá la estructura poblacional de Chascomús entre 1815 y 1838, aunque sumando una relación que se aprecia ausente en los trabajos sobre el tema, como es la ocupación y acceso a la propiedad legal de la tierra. Debido a las características de las fuentes los partidos de Ranchos y Monte se incluirán parcialmente en el análisis
Resumo:
A partir del estudio del caso de La Toma entre fines del siglo XVIII y principios del siglo XIX, se abordan los conflictos por las tierras de aquella parte de la población indígena encomendada y asentada en la jurisdicción de Córdoba, que fue reducida en "pueblos de indios" en el siglo XVII y que logró preservar el control sobre sus tierras comunales durante los dos siglos siguientes. Específicamente, se reconstruyen los intentos del cabildo, la Compañía de Jesús y los vecinos españoles por ocupar de hecho las tierras de ese pueblo de indios asentado en las cercanías de la ciudad de Córdoba y por legalizar esa situación, así como las estrategias indígenas de defensa de sus derechos, que contaron con el apoyo de los funcionarios la Real Audiencia de Buenos Aires y permitieron eludir las trabas impuestas por la justicia local.