27 resultados para Incurables


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Anecdotal evidence has it that when Dublin’s venereal disease hospital closed its doors for the last time in the 1950s, its administrative staff began to burn its records, starting with the most recent. This attempt to conceal the results of sexual profligacy is perhaps understandable in the rarefied climate of mid-century Catholic Ireland. However, the sense of shame attached to this institution has been pervasive. For example, of all Dublin’s major hospitals, the lock hospital remains the only one without a dedicated history. And, throughout its two centuries of existence, the ‘lock’ had often been a site of controversy and approbation.

The institution began in the eighteenth century as the most peripatetic, poor relation of the city’s voluntary hospitals, wandering indiscriminately through a series of temporary premises before finally achieving a permanent home and official recognition as a military-sponsored medical hospital in 1792. It also gained architectural extensions by both Richard and Francis Johnston and in the following decades. This new-found status and a growing re-conceptualisation of venereal disease as a legitimate medical problem rather than a matter of morality was, however, somewhat compromised by the choice of site at Townsend Street. The institution occupied a hidden part of city, appropriating the vacated home of the Hospital for Incurables, another marginalised group whose presence in the city had been viewed through the lens of superstition and fear. For the rest of its existence, the lock hospital would share this experience occupying a nebulous position between medicine and morality; disease and sin.

Using what’s left of the hospital’s records and a series of original architectural drawings, this paper discusses the presence and role of the lock hospital in the city in the eighteenth and early nineteenth century, tracking how changes in its administration and architectural form reflected wider attitudes towards disease, sexuality and gender in Georgian Dublin.

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Contient : « La table d'émeraude, de Hermès trismégiste, père des philosophes », en 13 chapitres ; « La Tourbe des philosophes, ou l'assemblée des disciples de Pitagore, appelée le Code de vérité » ; « Le livre de Nicolas FLAMEL, contenent l'esplication des figures hiéroglifiques qu'il a fait mettre au cimetière des SS. Innocens, à Paris » ; « Le livre de la philosophie naturelle des métaux, de messire BERNARD, comte de la Marche trévisanne » [BERNARD LE TREVISAN] ; autre exemplaire, ms. français 14797, page 70 ; « Opuscule de la philosophie naturelle des métaux, composé par D. ZACHAIRE, gentilhomme de Guyenne » ; même traité que celui qui est contenu dans le ms. français 1089, fol. 2-43, sous le nom de « D. ZECAIRE, philosophe guienoys » ; imprimé en 1574, etc., sous le nom de D. ZACAIRE ; « Traicté du Ciel terrestre, de VENCESLAS LAVINIUS, de Moravie : Il y a un seul esprit corporel que la nature ... » ; « Philalèthe, ou l'entrée ouverte du palais fermé du Roy. Praeface. Je suis un philosophe, qui ne me nommeray point... », en 35 chapitres, suivi (fol. 103 v° ) de « Remarques sur la traduction de Philalèthe » ; cf. mss. français 19955, fol. 1, et 19981, fol. 1 ; « Vente et distribution de remèdes spécifiques à diverses maladies que l'on dit estre incurables », prospectus du « sieur Demours, apoticaire, artiste et botaniste, établi depuis trente ans dans la ville de Marseille » [probablement le possesseur du volume ; son nom se lit dans la marge inférieure des feuillets 9, 16 et 81], s. l. n. d. [après 1715], petit in-4° de 8 pages, imprimé ; « Table ou liste des termes de l'art et des anciens mots qui se trouvent dans les traités de ce volume : Acier des philosophes-vulgaire » ; deux exemplaires, dont le second est incomplet

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La thérapie génique, qui consiste à modifier le génome d'un individu, est la progression logique de l'application de la recherche fondamentale à la médecine. Au moment où l'on célèbre le décryptage du génome humain, surgissent les premières guérisons par la thérapie génique qui soulèvent l'espoir d'un traitement par la génétique pour des maladies jusqu'ici incurables. Paradoxalement, est survenu au même moment le décès d'un adolescent au cours d'un essai clinique de thérapie génique aux Etats-Unis démontrant les risques sérieux de la thérapie génique et notre manque de connaissances scientifiques. À la lumière de ces derniers épisodes, il est important de réévaluer l'encadrement normatif des essais cliniques de la thérapie génique au Canada. Nous devons nous demander si la thérapie génique, hautement expérimentale, diffère d'un point de vue juridique, des autres types de recherche biomédicale. Une analyse comparative de différents modèles normatifs encadrant la thérapie génique permet de faire ressortir les avantages et les inconvénients de chacun. Le modèle québécois a intégré simplement la thérapie génique aux régimes normatifs préexistants (celui de l'expérimentation et celui des drogues). Le modèle français se distingue par l'insertion d'un régime d'exception dans le Code de la santé publique et le Code civil pour encadrer de façon spécifique la thérapie génique. Le Royaume-Uni offre un modèle intéressant d'auto-régulation alors que les États-Unis ont des normes spécifiques malheureusement restreintes aux recherches financées par les fonds publics. Il subsiste plusieurs lacunes dans l'encadrement canadien et québécois. Afin de l'améliorer, le Canada et le Québec devraient notamment se pencher sur la création d'une autorité nationale spécialisée et de normes spécifiques à la thérapie génique, l'implantation d'une évaluation structurée des risques de dissémination d'OGMs et l'établissement d'un suivi à long terme des participants.

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Le récit Moi, l’interdite, se présente comme une exception parmi les œuvres d’Ananda Devi en ce qu’il n’aborde pas de front ni implicitement le thème de la dissidence féminine, comme nous pouvons l’observer dans la plus grande majorité des œuvres de l’auteure mauricienne. Au contraire, le récit s’évertue à mettre en place un processus singulier : celui d’une disparition, perpétré contre la narratrice et protagoniste principale, condamnée à être l’éternel Autre à cause de son physique monstrueux. La présente étude se donne pour objectif d’exposer les rouages à la fois narratifs, thématiques, corporels et relationnels de cet anéantissement de l’Autre à travers une approche essentiellement narratologique. Dans un premier temps, l’entreprise de disparition est observée à travers plusieurs procédés narratifs : complexité chronologique, enchâssement de plusieurs niveaux de récit, abondance de narrataires. Dans un second temps, le thème de la disparition est questionné dans les relations aliénantes nouées par la narratrice, dont le corps difforme est le principal enjeu. De cette volonté de destruction (re)nait et (re)meurt une narratrice, malade de folie, dont les séquelles incurables l’empêcheront de réaliser son désir d’appartenance à un Même fantasmé.

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Aportación a un proyecto futuro sobre el que se han hecho muchos trabajos parciales, pero nada global: la Historia de la Matemática española. Puede ser importante para la propia formación de futuros matemáticos españoles y para comprender mejor la propia historia de España. La Matemática española. Investigación teórica de tipo histórico que intenta recopilar y sintetizar material bibliográfico para ofrecer una comprensión global y crítica de la Matemática. Pasos dados: la Matemática como expresión cultural; Los corsés académicos; Los llamamientos de los maestros; De Isidoro de Sevilla a Rey Pastor. Primer período: la Edad de Oro de la Matemática española. Segundo período: el siglo XVIII. Tercer período: el siglo XX. Cambios en la ascendencia social de los matemáticos. La modernización. Historias generales de las Ciencias, libros, discursos y artículos sobre la Ciencia y la Matemática española. Análisis descriptivo. Análisis teórico. El ascenso del estudio y conocimiento matemático en nuestro país ha seguido un proceso tortuoso y difícil, recluido en las bibliotecas de los monasterios lo que ha hecho que ya nadie se acerque a ellas. La ignorancia matemática actual no deja de ser una incomprensión de la realidad de nuestra época. El pragmatismo barato ha sido una de las enfermedades incurables de la Matemática española. El contenido profesional que debiera tener la calificación de matemático es sustituido por el concepto elitista de minoría automarginada. En la formación de los nuevos matemáticos se echa en falta las dos ramas, Geometría y Aritmética, que están claramente definidas en él.

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A pesar de los avances médicos logrados en los últimos cien años, que permiten tratar enfermedades hasta ahora incurables, no todas las personas en el mundo tienen las mismas oportunidades de acceso a la medicina. Así, ésta depende de los países, de la condición social, del tipo de vivienda, de la alimentación y de otros muchos factores. Se examinan los diferentes sistemas de asistencia sanitaria y las grandes desigualdades en la prestación médica que existen en el mundo.

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Includes index.

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t. 1. Saint-André-des-Arcs. Saint Benoît.--t. 2. Bernardins. Charonne.--t. 3. Chartreux. Saint-Étienne-du-Mont.--t. 4. Saint-Eustache. Sainte-Geneviève-la-Petite / revu et mis au point par Max Prinet.--t. 5. fasc. 1. Saint-Germain l'Auxerrois / publié par André Lesort et Hélène Verlet.--t. 5. fasc. 2. Saint-Germain des Prés. Incurables, nos 2244-2591 / publié par Hélène Verlet.--t. 6. Les Saints-Innocents, nos 2592 à 3119 / publié par Hélène Verlet -- t. 8. Saint-Landry- La Merci, no.3638 à 3956 -- t. 9. Saint Merry-Saint Nicolas du Louvre, nos.3957-4447 t. 10. Les épitaphes de la cathédrale Notre-Dame de Paris -- t. 11. Noviciat des Jésuites--Saint-Sauveur, nos 4850-5344 / Helene Verlet -- t. 12. Saint-Sepulcre-Saint-Yves, no. 5345-5915

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Au cours du siècle dernier, des améliorations au niveau des conditions de vie ainsi que des avancées importantes dans les sciences biomédicales ont permis de repousser les frontières de la vie. Jusqu’au début du XXe Siècle, la mort était un processus relativement bref, survenant à la suite de maladies infectieuses et avait lieu à la maison. À présent, elle survient plutôt après une longue bataille contre des maladies incurables et des afflictions diverses liées à la vieillesse et a le plus souvent lieu à l’hôpital. Pour comprendre la souffrance du malade d’aujourd’hui et l’aborder, il faut comprendre ce qu’engendre comme ressenti ce nouveau contexte de fin de vie autant pour le patient que pour le clinicien qui en prend soin. Cette thèse se veut ainsi une étude exploratoire et critique des enjeux psychologiques relatifs à cette mort contemporaine avec un intérêt premier pour l’optimisation du soulagement de la souffrance existentielle du patient dans ce contexte. D’abord, je m’intéresserai à la souffrance du patient. À travers un examen critique des écrits, une définition précise et opérationnelle, comportant des critères distinctifs, de ce qu’est la souffrance existentielle en fin de vie sera proposée. Je poserai ainsi l’hypothèse que la souffrance peut être définie comme une forme de construction de l’esprit s’articulant autour de trois concepts : intégrité, altérité et temporalité. D’abord, intégrité au sens où initialement l’individu malade se sent menacé dans sa personne (relation à soi). Ensuite, altérité au sens où la perception de ses conditions extérieures a un impact sur la détresse ressentie (relation à l’Autre). Et finalement, temporalité au sens où l’individu souffrant de façon existentielle semble bien souvent piégé dans un espace-temps particulier (relation au temps). Ensuite, je m’intéresserai à la souffrance du soignant. Dans le contexte d’une condition terminale, il arrive que des interventions lourdes (p. ex. : sédation palliative profonde, interventions invasives) soient discutées et même proposées par un soignant. Je ferai ressortir diverses sources de souffrance propres au soignant et générées par son contact avec le patient (exemples de sources de souffrance : idéal malmené, valeurs personnelles, sentiment d’impuissance, réactions de transfert et de contre-transfert, identification au patient, angoisse de mort). Ensuite, je mettrai en lumière comment ces dites sources de souffrance peuvent constituer des barrières à l’approche de la souffrance du patient, notamment par l’influence possible sur l’approche thérapeutique choisie. On constatera ainsi que la souffrance d’un soignant contribue par moment à mettre en place des mesures visant davantage à l’apaiser lui-même au détriment de son patient. En dernier lieu, j'élaborerai sur la façon dont la rencontre entre un soignant et un patient peut devenir un espace privilégié afin d'aborder la souffrance. J'émettrai certaines suggestions afin d'améliorer les soins de fin de vie par un accompagnement parvenant à mettre la technologie médicale au service de la compassion tout en maintenant la singularité de l'expérience du patient. Pour le soignant, ceci nécessitera une amélioration de sa formation, une prise de conscience de ses propres souffrances et une compréhension de ses limites à soulager l'Autre.

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Au cours du siècle dernier, des améliorations au niveau des conditions de vie ainsi que des avancées importantes dans les sciences biomédicales ont permis de repousser les frontières de la vie. Jusqu’au début du XXe Siècle, la mort était un processus relativement bref, survenant à la suite de maladies infectieuses et avait lieu à la maison. À présent, elle survient plutôt après une longue bataille contre des maladies incurables et des afflictions diverses liées à la vieillesse et a le plus souvent lieu à l’hôpital. Pour comprendre la souffrance du malade d’aujourd’hui et l’aborder, il faut comprendre ce qu’engendre comme ressenti ce nouveau contexte de fin de vie autant pour le patient que pour le clinicien qui en prend soin. Cette thèse se veut ainsi une étude exploratoire et critique des enjeux psychologiques relatifs à cette mort contemporaine avec un intérêt premier pour l’optimisation du soulagement de la souffrance existentielle du patient dans ce contexte. D’abord, je m’intéresserai à la souffrance du patient. À travers un examen critique des écrits, une définition précise et opérationnelle, comportant des critères distinctifs, de ce qu’est la souffrance existentielle en fin de vie sera proposée. Je poserai ainsi l’hypothèse que la souffrance peut être définie comme une forme de construction de l’esprit s’articulant autour de trois concepts : intégrité, altérité et temporalité. D’abord, intégrité au sens où initialement l’individu malade se sent menacé dans sa personne (relation à soi). Ensuite, altérité au sens où la perception de ses conditions extérieures a un impact sur la détresse ressentie (relation à l’Autre). Et finalement, temporalité au sens où l’individu souffrant de façon existentielle semble bien souvent piégé dans un espace-temps particulier (relation au temps). Ensuite, je m’intéresserai à la souffrance du soignant. Dans le contexte d’une condition terminale, il arrive que des interventions lourdes (p. ex. : sédation palliative profonde, interventions invasives) soient discutées et même proposées par un soignant. Je ferai ressortir diverses sources de souffrance propres au soignant et générées par son contact avec le patient (exemples de sources de souffrance : idéal malmené, valeurs personnelles, sentiment d’impuissance, réactions de transfert et de contre-transfert, identification au patient, angoisse de mort). Ensuite, je mettrai en lumière comment ces dites sources de souffrance peuvent constituer des barrières à l’approche de la souffrance du patient, notamment par l’influence possible sur l’approche thérapeutique choisie. On constatera ainsi que la souffrance d’un soignant contribue par moment à mettre en place des mesures visant davantage à l’apaiser lui-même au détriment de son patient. En dernier lieu, j'élaborerai sur la façon dont la rencontre entre un soignant et un patient peut devenir un espace privilégié afin d'aborder la souffrance. J'émettrai certaines suggestions afin d'améliorer les soins de fin de vie par un accompagnement parvenant à mettre la technologie médicale au service de la compassion tout en maintenant la singularité de l'expérience du patient. Pour le soignant, ceci nécessitera une amélioration de sa formation, une prise de conscience de ses propres souffrances et une compréhension de ses limites à soulager l'Autre.