992 resultados para Florence


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In 1852 Robert Dolmage (ca. 1821-1889) a merchant of Palermo, Halton County, Ontario married Frances Palmer of Toronto. Together they had four daughters: Carrie, Fanny, Laura and Florence. The family resided in Halton County until they moved to Grimsby, Ont. after 1871 and before 1881. Robert Dolmage died in 1889 and his wife, Frances died in 1904. After Robert’s death the family continued to reside in the family home on Main Street in Grimsby, Ont. and the business interests were looked after by Claude A. Boden. Mr. Boden became one of the prime beneficiaries of Florence Palmer Dolmage’s estate after her death in 1945. Florence Dolmage was buried in Queen’s Lawn Cemetery on July 7, 1945. As she was the last remaining member of this family her estate was dispersed to extended family members as well as charitable organizations. At this time, no information is known about the connection between the Dolmage and Sillett families.

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A photograph of Florence Upper, the wife of Francis Bond Head Willson.

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Indenture of assignment of mortgage between Archibald McLachlan of St. Thomas and Nicol Kingsmill of Toronto executors under the Last Will and Testament of Lavinia Day Thomson, late of Glencairn in Niagara Township to Florence Louise Thomson of Toronto. This is in regard to Lots 113, 114 and 115 in the Township of Niagara. This was registered in the Township of Niagara on Jan. 28, 1888 – instrument no. 2342 and instrument no. 2344, Apr. 5, 1887.

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Ce travail analyse les transformations du Graal en comparant sa représentation dans les romans médiévaux et dans trois textes de théâtre modernes. Le Graal, apparu dans la littérature au Moyen Âge, reste une source d'inspiration pour les écrivains modernes au point de gagner, avec le temps, un statut légendaire. L'objet de prédilection de la littérature arthurienne a évolué de façon significative dès le Moyen Âge, où il reste cependant confiné aux formes narratives. Après le « festival scénique sacré » (Bühnenweihfestspiel), Parsifal, de Wagner présenté en 1882 à Bayreuth, des œuvres plus récentes réactualisent le mythe en cherchant à l'adapter au théâtre. Jean Cocteau, en 1937, dans Les Chevaliers de la Table Ronde, présente un Graal inaccessible, immatériel. En 1948, Julien Gracq, dans Le Roi Pêcheur, inscrit le Graal dans l'opposition entre le profane et le sacré. Jacques Roubaud et Florence Delay, dans les éditions de 1977 et 2005 de Graal Théâtre, optent pour une récriture où les représentations du mythe se côtoient et se confrontent. Ces textes de théâtre modernes, où la représentation du Graal se situe au cœur du projet d'écriture, entrent ainsi en relation directe avec les œuvres médiévales. Ils s'inscrivent dans une redéfinition de l'objet qui se renouvelle sans cesse depuis Le Conte du Graal de Chrétien de Troyes. Dans les trois cas, la représentation du Graal entretient des relations contradictoires de filiation et de rupture avec la littérature arthurienne de l'époque médiévale. L'hypothèse principale de cette recherche se situe dans la problématique de la récriture comme transformation d'un héritage. Plus précisément, il sera question de comprendre comment la représentation du Graal dans les textes de théâtre pose problème et comment cette question est modulée, travaillée par les auteurs en termes rhétoriques, stylistiques et dramaturgiques. L'utilisation de la parodie, d'anachronismes et de voix dramatiques nouvelles, par exemple, permet aux auteurs modernes de revisiter et de changer le rapport à l'objet. Le Graal se redéfinit dans des contextes historiques et dans un genre distincts de leur source du Moyen Âge.

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Leigh Hunt's authorship of "A legend of Florence" (1840) — a drama inspired by the rich cultural, intellectual, and political climate of Italy — reflects, as Michael Eberle-Sinatra demonstrates in the final essay of the first section, not only a literary exchange between England and Italy, but argues that during the creation of his play, Hunt engaged in his own version of border crossing as he managed the transition between writing about and writing for the stage. A complex maneuver that required Hunt to rech beyond his own intellectual boundaries, the shift from critic to dramatist challenged and enriched his thoughts regarding the work of the theater.