Consommation de substances psycho-actives chez les femmes détenues au Québec.

Compared to male offenders, very few studies have been published on drug use by female offenders. This paper, base on the interviews of 94 female offenders incarcerated aim to enlighten this obscure situation. Results indicate that drug use by female inmates is very important and, in some way problematic. It is not to say that their drug use cause crimes, but their drug problem need to be addressed thoughtfully.

Take me to a Place Outside

The film is the result of a participatory media project with female offenders at HM Styal prison. Eight women present and represent an imagined outside through dimensions of the visual and aural offering alternative ways for understanding their realities. Focusing on the imagination shaped by the experience of absences and presences this film is a sensory journey into these women's worlds of desire, longing and relief.

A study of women delinquents in New York state,

Bibliography: p. 531-534.

A study of women delinquents in New York state,

Mode of access: Internet.

Gender differences in the relationship between offending, self-harm and depression in adolescence and young adulthood

Criminal offending and poor mental health are both recognised as important social problems warranting prevention and intervention efforts. Although there is some evidence for comorbidity between these problems, little research has examined the causal relationship between offending and mental health, particularly for young people. The present investigation addresses these issues by using data from the Sibling Study, a longitudinal investigation of delinquency as self-reported by 731 adolescents and young adults in south-east Queensland, Australia. The results suggest that for young women, but not men, offending behaviours (including the use of illicit drugs) lead to increases in self-harm and depression. Conversely, poor mental health, as indicated by having low self-esteem, a poor future outlook, and a belief that life is very confusing, does not influence subsequent levels of offending for either sex. The implications for prevention and intervention are discussed, with emphasis on the need for the criminal justice system to provide mental health services to young female offenders.

When chivalry backfires: Benevolent sexism and attitudes toward Myra Hindley

Researchers have suggested that paternalistic attitudes may influence people's perceptions of female offenders. In the current study, we examined the role of benevolent and hostile sexism in people's perceptions of a specific female offender (Myra Hindley), who can be viewed as having violated traditional gender role assumptions. We observed that benevolent sexism (but not hostile sexism) was related to negative evaluations of Myra Hindley. In addition, mediation analyses suggest that the relationship between benevolent sexism and the negative evaluations of Myra Hindley was partially accounted for by participants' perceptions that Myra Hindley possessed traits that violated traditional gender role stereotypes. Theoretical and practical implications are discussed.

Le profil des récidivistes en matière de conduite avec capacités affaiblies par l’alcool : une étude des caractéristiques neuropsychologiques et psychologiques des contrevenants selon leur sexe

Durant les dernières décennies, les différences intersexes en matière de conduite avec les capacités affaiblies par l’alcool (CCAA) ont suscité l’attention, alors que le comportement est en augmentation chez les femmes tandis qu’il diminue chez les hommes. Les données suggèrent que, chez les femmes, la CCAA s’associe à des caractéristiques psychologiques différentes de celles qui se retrouvent chez les contrevenants masculins (c.-à-d. davantage de problèmes liés à l’alcool et aux drogues et de psychopathologies, mais moins de recherche de sensations et de comportements délinquants). Malgré ce profil différentiel, les femmes contrevenantes de la CCAA demeurent une population hautement méconnue, particulièrement en ce qui a trait au profil des récidivistes. Alors que chez les hommes, des données émergentes indiquent que des limitations cognitives sont présentes chez les récidivistes et qu’elles constituent potentiellement un mécanisme sous-jacent au comportement, le profil cognitif des femmes récidivistes demeure inexploré. Des données exploratoires obtenues chez les contrevenantes et la documentation de champs de recherche connexes suggèrent que les femmes se distinguent notamment en ce qui concerne leur fonctionnement exécutif qui pourrait être préservé, alors que leur fonctionnement visuospatial serait déficitaire en comparaison de leurs vis-à-vis masculins. L’objectif de la présente thèse est d’approfondir les connaissances sur les caractéristiques des femmes récidivistes, ce qui permettra de mieux comprendre l’hétérogénéité de cette population et de générer des hypothèses au regard des mécanismes cognitifs sous-jacents à la répétition du comportement de CCAA. Plus spécifiquement, la thèse a pour objectif premier d’étudier les différences entre les sexes en matière de fonctionnement visuospatial et de mémoire visuelle, d’attention et de fonctionnement exécutif (c.-à-d. flexibilité cognitive, abstraction, inhibition). L’objectif secondaire consiste à comparer ces contrevenants au regard de leurs caractéristiques psychologiques (problèmes liés à l’alcool et aux drogues, impulsivité, recherche de sensations, traits antisociaux, anxiété et dépression). L’hypothèse examinée soutient que les femmes et les hommes récidivistes de la CCAA performent moins bien que les femmes et les hommes non-contrevenants en termes de fonctionnement visuospatial, attentionnel et exécutif. En outre, il est attendu que les femmes récidivistes présentent des performances inférieures à celles des hommes récidivistes en ce qui a trait aux fonctions visuospatiales. Par ailleurs, l’hypothèse prévoit que les hommes récidivistes aient des performances inférieures à celles des femmes récidivistes sur le plan exécutif et attentionnel. En matière de caractéristiques psychologiques, il est attendu que les femmes et les hommes récidivistes présentent significativement plus de problèmes liés à l’alcool et aux drogues, d’impulsivité, de recherche de sensations et d’indices de psychopathologies (tendance antisociale, dépression, anxiété) que les non-contrevenants. En outre, il est attendu que les femmes récidivistes présentent plus de problèmes liés à l’alcool et aux drogues et d’indices de dépression et d’anxiété que les hommes récidivistes. Enfin, il est attendu que les hommes récidivistes présentent significativement plus d’impulsivité, de recherche de sensations et de traits antisociaux que les femmes récidivistes. Ces hypothèses se confirment partiellement, alors que les hommes récidivistes (n = 39) présentent des performances inférieures à celles des hommes non-contrevenants (n = 20) et des femmes récidivistes (n = 20) sur le plan attentionnel et exécutifs. Toutefois, les femmes récidivistes ne se distinguent pas des femmes non-contrevenantes (n = 20) en matière de fonctionnement neuropsychologique. En ce qui a trait aux caractéristiques psychologiques, les résultats soutiennent partiellement les hypothèses. La discussion met en lumière que les femmes et des hommes récidivistes présentent des caractéristiques similaires, hormis en ce qui a trait au fonctionnement attentionnel et exécutif qui semble jouer un rôle dans la récidive au masculin, alors que cela n’apparaît pas être le cas chez les femmes chez qui le comportement pourrait être davantage situationnel. La nécessité que des études futures soient réalisées au moyen de devis expérimentaux, de même que les difficultés inhérentes au recrutement des femmes récidivistes sont discutées.

Le profil des récidivistes en matière de conduite avec capacités affaiblies par l’alcool : une étude des caractéristiques neuropsychologiques et psychologiques des contrevenants selon leur sexe

Durant les dernières décennies, les différences intersexes en matière de conduite avec les capacités affaiblies par l’alcool (CCAA) ont suscité l’attention, alors que le comportement est en augmentation chez les femmes tandis qu’il diminue chez les hommes. Les données suggèrent que, chez les femmes, la CCAA s’associe à des caractéristiques psychologiques différentes de celles qui se retrouvent chez les contrevenants masculins (c.-à-d. davantage de problèmes liés à l’alcool et aux drogues et de psychopathologies, mais moins de recherche de sensations et de comportements délinquants). Malgré ce profil différentiel, les femmes contrevenantes de la CCAA demeurent une population hautement méconnue, particulièrement en ce qui a trait au profil des récidivistes. Alors que chez les hommes, des données émergentes indiquent que des limitations cognitives sont présentes chez les récidivistes et qu’elles constituent potentiellement un mécanisme sous-jacent au comportement, le profil cognitif des femmes récidivistes demeure inexploré. Des données exploratoires obtenues chez les contrevenantes et la documentation de champs de recherche connexes suggèrent que les femmes se distinguent notamment en ce qui concerne leur fonctionnement exécutif qui pourrait être préservé, alors que leur fonctionnement visuospatial serait déficitaire en comparaison de leurs vis-à-vis masculins. L’objectif de la présente thèse est d’approfondir les connaissances sur les caractéristiques des femmes récidivistes, ce qui permettra de mieux comprendre l’hétérogénéité de cette population et de générer des hypothèses au regard des mécanismes cognitifs sous-jacents à la répétition du comportement de CCAA. Plus spécifiquement, la thèse a pour objectif premier d’étudier les différences entre les sexes en matière de fonctionnement visuospatial et de mémoire visuelle, d’attention et de fonctionnement exécutif (c.-à-d. flexibilité cognitive, abstraction, inhibition). L’objectif secondaire consiste à comparer ces contrevenants au regard de leurs caractéristiques psychologiques (problèmes liés à l’alcool et aux drogues, impulsivité, recherche de sensations, traits antisociaux, anxiété et dépression). L’hypothèse examinée soutient que les femmes et les hommes récidivistes de la CCAA performent moins bien que les femmes et les hommes non-contrevenants en termes de fonctionnement visuospatial, attentionnel et exécutif. En outre, il est attendu que les femmes récidivistes présentent des performances inférieures à celles des hommes récidivistes en ce qui a trait aux fonctions visuospatiales. Par ailleurs, l’hypothèse prévoit que les hommes récidivistes aient des performances inférieures à celles des femmes récidivistes sur le plan exécutif et attentionnel. En matière de caractéristiques psychologiques, il est attendu que les femmes et les hommes récidivistes présentent significativement plus de problèmes liés à l’alcool et aux drogues, d’impulsivité, de recherche de sensations et d’indices de psychopathologies (tendance antisociale, dépression, anxiété) que les non-contrevenants. En outre, il est attendu que les femmes récidivistes présentent plus de problèmes liés à l’alcool et aux drogues et d’indices de dépression et d’anxiété que les hommes récidivistes. Enfin, il est attendu que les hommes récidivistes présentent significativement plus d’impulsivité, de recherche de sensations et de traits antisociaux que les femmes récidivistes. Ces hypothèses se confirment partiellement, alors que les hommes récidivistes (n = 39) présentent des performances inférieures à celles des hommes non-contrevenants (n = 20) et des femmes récidivistes (n = 20) sur le plan attentionnel et exécutifs. Toutefois, les femmes récidivistes ne se distinguent pas des femmes non-contrevenantes (n = 20) en matière de fonctionnement neuropsychologique. En ce qui a trait aux caractéristiques psychologiques, les résultats soutiennent partiellement les hypothèses. La discussion met en lumière que les femmes et des hommes récidivistes présentent des caractéristiques similaires, hormis en ce qui a trait au fonctionnement attentionnel et exécutif qui semble jouer un rôle dans la récidive au masculin, alors que cela n’apparaît pas être le cas chez les femmes chez qui le comportement pourrait être davantage situationnel. La nécessité que des études futures soient réalisées au moyen de devis expérimentaux, de même que les difficultés inhérentes au recrutement des femmes récidivistes sont discutées.

Social moralities and discursive constructions of female sex offenders

This article explores legal, scholarly and social responses to women identified as sex offenders. While much has been written on the male paedophile, rapist and sex offender, little research has been done on the role of gender and sexuality in sex offending. This article examines the ways in which the female sex offender is currently theorized and the discourses surrounding policy, legislative and media responses to their crimes. We identify contradictory public discourses where perceptions of female child abusers in particular often succumb to moral panic, in spite of many such offenders being given lenient sentences for their crimes. An examination of the discursive construction of female child abusers suggests that these contradictions are informed by underlying assumptions concerning harm and subjectivity in sex crimes. In exploring these contradictions we illustrate the ways in which such discourses are impacted by social moralities, and how social moralities construct offender and victim subjectivities differently, based on differences in gender, age and sexuality.

Psychiatric and substance abuse comorbidity among a large sample of DUI Texas offenders

Research is indicating that individuals who present for DUI treatment may have competing substance abuse and mental health needs. This study aimed to examine the extent of such comorbidity issues among a sample of Texas DUI offenders. Method: Records of 36,372 DUI clients and 308,695 non-DUI clients admitted to Texas treatment programs between 2005 and 2008 were obtained from the State's administrative dataset. The data were analysed to identify the relationship between substance use, psychiatric problems, program completion and recidivism rates. Results: Analysis indicated that while non-DUI clients were more likely to present with more severe illicit substance use problems, DUI clients were more likely to have a primary problem with alcohol. Additionally, a cannabis use problem was also found to be significantly associated with DUI recidivism in the last year. In regards to mental health needs, a major finding was that depression was the most common psychiatric condition reported by DUI clients, including those with more than one DUI offence in the past year. This group were also more at risk of being diagnosed with Bipolar Disorder compared to the general population, and such a diagnosis was also associated with an increased likelihood of not completing treatment. Interestingly, female DUI and non-DUI clients were also more likely to be diagnosed with mental health problems compared to males, as well as more likely to be placed on medications at admission and have problems with methamphetamine, cocaine, and opiates. Conclusion: The findings highlight the complex competing needs of some DUI offenders who enter treatment. The results also suggest that there is a need to utilise mental health and substance abuse screening methods to ensure DUI offenders are directed towards appropriate treatment pathways as well as ensure that such interventions adequately cater for complex substance abuse and psychiatric needs.

Absence of malice: Constructing the female sex offender

It could be argued that all crimes have a general moral basis, condemned as ‘wrong’ or ‘bad’ in the society in which they are proscribed, however, there are a specific group of offences in modern democratic nations which bear the brunt of the label, crimes against morality. Included within this group are offences related to prostitution and pornography, homosexuality and incest, as well as child sexual abuse. While the places where sex and morality meet have shifted over time, these two concepts continue to form the basis of much criminal legislation and associated criminal justice responses. Offenders of sexual mores are positioned as the reviled corruptors of innocent children, the purveyors of disease, an indictment on the breakdown of the family and/or the secularisation of society, and a corruptive force (Davidson 2008, Kincaid 1998). Other types of offending may divide public and political opinion, but the consensus on sex crimes appears constant.

Dealing with a problem that doesn't exist?:Professional responses to female perpetrated child sexual abuse

Female involvement in sexual offences against children is more common than is generally thought and has serious implications for the long-term emotional and psychological well-being of victims. Drawing on findings from: a comprehensive review of the literature; an overview of relevant literature and legislation; and an electronic survey of Multi-Agency Public Protection Panels; this paper explores the criminal justice response to female sex offending in England, Wales and Northern Ireland. The literature highlights that the way in which professionals identify and respond to child sexual abuse has been shown to be influenced by the gender of the perpetrator. Equally, whilst similar to male sex offending in terms of the intrusiveness and seriousness of the abuse, some aspects of female sex offending can cause particular problems for professionals. The fact that some sexual abuse can be disguised as childcare can make it difficult for professionals to identify this type of abuse whilst high rates of co-offending bring additional difficulties in determining the degree of female involvement and assigning responsibility. The survey findings indicate that risk assessment tools for female sex offenders is a key area requiring development and point towards small inconsistencies in the current practice of risk assessing females in the community. The survey also identifies the lack of treatment programmes for this group of offenders as well as drawing attention to the need for national policies and procedures, staff training and the identification of areas of good practice. Increased discussion and debate about how best to work with this group of sex offenders is also required. Copyright © 2007 John Wiley & Sons, Ltd.

Criminal career-related factors among female robbers in the State of Sao Paulo, Brazil, and a presumed 'revolving-door' situation

Introduction: Risk-taking behaviors, family criminality, poverty, and poor parenting have been frequently associated with an earlier onset of criminal activities and a longer criminal career among male convicts. Objective: This study aims to identify factors related to the onset and recurrence of criminal behavior among female robbers in the State of Sao Paulo - Brazil. Method: It was a cross-sectional study carried out inside a feminine penitentiary in Sao Paulo. From June 2006 to June 2010, 175 inmates convicted only for robbery were recruited to be evaluated about family antecedents of criminal conviction, alcohol and drug misuse, impulsiveness, depressive symptoms, and psychosocial features. Results: Having family antecedents of criminal conviction consistently predicted an earlier onset of criminal activities and a longer criminal career among female robbers. Drug use in youth and the severity of drug misuse were significantly related to the initiation and recurrence of criminal behavior, respectively. Discussion: Prisons must systematically screen detainees and provide treatments for those with health problems in general. Children of inmates should obtain help to modify the negative consequences of their parents' incarceration in order to mitigate the negative consequences of pursuing this 'static' factor.