543 resultados para Espionage, Communist


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Italy is currently experiencing profound political change. One aspect of this change involves the decline in electoral support for the Italian Christian Democratic Party (DC) and the Italian Communist Party (PCI), now the Democratic Party of the Left (PDS). Signs of the electoral decline of both parties began to appear in the late 1970s and early 1980s and accelerated in the late 1980s and early 1990s. The pr imar y purpos e of th is thes is is to expla i n the electoral decline of the DC and PCI/PDS in the last decade. The central question being addressed in this thesis is the following: What factors contributed to the decline in electoral support for the DC and PCI? In addition, the thesis attempts to better comprehend the change in magni tude and direction of the Italian party system. The thesis examines the central question within an analytical framework that consists of models explaining electoral change in advanced industrial democracies and in Italy. A review of the literature on electoral change in Italy reveals three basic models: structural (socioeconomic and demographic factors), subcultural (the decline of the Catholic and Communist subcultures), and pol i tical (factors such as party strategy, and the crisis and collapse of communism in iv Eastern Europe and the former soviet Union and the end to the Cold War). Significant structural changes have occurred in Italy, but they do not invariably hurt or benefit either party. The Catholic and Communist subcultures have declined in size and strength, but only gradually. More importantly, the study discovers that the decline of communism and party strategy adversely affected the electoral performances of the DC and PC!. The basic conclusion is that political factors primarily and directly contributed to the decline in electoral support for both parties, while societal factors (structural and subcultural changes) played a secondary and indirect role. While societal factors do not contribute directly to the decline in electoral support for both parties, they do provide the context within which both parties operated. In addition, the Italian party system is becoming more fragmented and traditional political parties are losing electoral support to new political movements, such as the Lega Nord (LN-Northern League) and the Rete (Network). The growing importance of the North-South and centre-periphery cleavages suggests that the Italian party system, which is traditionally based on religious and ideological cleavages, may be changing.

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Cette recherche porte sur la dimension interprétative de l'intégration européenne et sur son rôle dans la démocratisation au sein des pays postcommunistes. Je focalise mon attention sur la signification pour les gens desdits pays que revêtent la participation politique, la compétence politique, et l’action collective. Cette signification prend forme selon des circonstances spécifiques, agencées par les relations de pouvoir asymétriques avec l’Union européenne (UE). J’examine la littérature sur le rôle de l'intégration européenne dans la démocratisation des pays postcommunistes et je distingue deux paradigmes théoriques principaux : un premier qui met l'accent sur le processus institutionnel, l’autre sur le processus instrumental stratégique. Au sein de ces deux approches, je présente différents auteurs qui voient l'UE soit comme un facteur pro-démocratique, soit comme un facteur antidémocratique dans le contexte postcommuniste de transition politique. Cette recherche ne suit pas théoriquement et méthodologiquement les études contenues dans la revue de la littérature. Plutôt, elle s’appuie sur un modèle théorique inspiré des recherches de McFalls sur la réunification culturelle allemande après 1989. Ce modèle, sans négliger les approches institutionnelles et stratégiques, met l’accent sur d'autres écoles théoriques, interprétatives et constructivistes. Mes conclusions se basent sur les résultats de séjours d'étude dans deux pays postcommunistes : la Bulgarie, membre de l'UE depuis 2007, et la Macédoine, pays-candidat. J’ai recours à des méthodes qualitatives et à des techniques ethnographiques qui triangulent des résultats puisés à des sources multiples et variées pour exposer des trajectoires dynamiques de changement culturel influencées par l'intégration européenne. Les conclusions montrent sous quelles conditions les idéaux-types de changement politique conventionnels, soit institutionnel ou stratégique, représentent des modèles utiles. Je présente aussi leurs limitations. Ma conclusion principale est que l'intégration européenne représente un phénomène complexe dans le monde des significations. C’est un facteur qui est simultanément un amplificateur et un inhibiteur de la culture politique démocratique. Les gens créent des sous-cultures différentes où des interprétations multiples du processus d'intégration européenne mènent à des effets dissemblables sur la participation politique, la compétence et l’action collective. La conversation discursive entre les gens qui composent de telles sous-cultures distinctes peut produire des effets divergents au niveau national. Cette recherche n’est pas une analyse de l’UE comme mécanisme institutionnel ; elle ne pose ainsi pas l’UE comme une institution qui détermine directement le processus de démocratisation postcommuniste. Plutôt, elle s’intéresse au processus d’intégration européenne en tant qu’interaction qui affecte la culture politique au sein des pays postcommunistes, et à la manière dont cette dernière peut agir sur le processus de démocratisation. Mon point d’intérêt central n’est donc pas l’européanisation ou le processus de devenir « comme l’Europe », à moins que l’européanisation ne devienne une composante de la culture politique avec des conséquences sur le comportement politique des acteurs.

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