81 resultados para Emperors.


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Antes de dar principio a nuestro trabajo, no podemos por menos que señalar, y al mismo tiempo agradecer, la ayuda prestada, tanto en forma de sugerencia como en material, por el director de las excavaciones P. de Palol, y asimismo agradecer al director del Museo de Soria, J. L. Argente, las facilidades dadas en el momento de estudiar las monedas de las antiguas excavaciones de B. Taracena, depositadas en dicho museo. Hemos, pues, intentado realizar un estudio sobre las monedas de Claudio I, halladas en la ciudad de Clunia. Para ello han sido utilizadas las anteriormente citadas de las viejas excavaciones de B. Taracenal y las de las actuales excavaciones, de las cuales las pertenecientes a las primeras campañas -1958-1964- fueron ya publicadas por R. Martín Valls,2 siendo el resto -1965-1975 - inéditas. Disponemos, pues, de un total de sesenta y ocho monedas, sin contar una gran cantidad de ejemplares, que por su desgaste nos es imposible identificar con seguridad la figura de Claudio, y que, por tanto, las excluimos del estudio.

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Dues disposicions de Constantí -el Codex Theodosiallus I, 27, 1 (318) i la COllstitutio Sirmondina I (333)- constitueixen la primera san ció legal del poder jurídic deIs bisbes en afers externs a la religió. Al voltant d' elles creix una nova institució eclesiastica, l' episcopalis audientia, la qual, recollint els preceptes cristians tradicionals, aplica el dret imperial en la resolució de causes de naturales a civil. La controvertida veracitat de les lIeis constantinianes i la varietat d' interpretacions que susciten depassen l' ambit d' allo estrictament jurídic per endinsar-se en la canviant societat romana del segle IV.

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A partir de Constantino I, cuando el cristianismo fue reconocido y apoyado por los emperadores romanos, se dotó a la Iglesia de terrenos destinados a su mantenimiento. En poco tiempo, este patrimonio fundiario se acrecentó notablemente gracias a las donaciones de privados y a que, en la medida en que la situación lo permitió, los obispos se apropiaron de las dotaciones de los templos paganos de sus comunidades. Por otro lado, este aumento patrimonial suscitó problemas legales relacionados con los impuestos que debían pagarse por estas tierras.

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La inscripció I.A.M.lat., 448 ens indica que l'emperador Claudi concedí a Volubilis (Mauretania Tingitana) certs beneficis després de la guerra de conquesta d' aquest regne nordafriciL L' artiele sintetitza la bibliografia que s' ha ocupat d' aquest tema des de principis de segle. EIs bona vacantia s6n un deis beneficis otorgats.

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[cat] L'any 235, quan Alexandre Sever fou occit per Maximí el Traci, es va inaugurar una «crisi» caracteritzada per una anarquia militar i per tot un seguit de crisis derivades i interconnectades entre elles: la politicoinstitucional, la militar, l'econòmica i la religiosa. Tradicionalment, es considera que aquest període es va cloure amb la pujada al tron de Dioclecià, l'any 284. Aquest emperador va instaurar un nou sistema polític, conegut per tetrarquia, que va permetre que quatre emperadors governessin al mateix temps però en plena concòrdia, gràcies al qual es va poder aplicar amb més eficàcia el cúmul de reformes que Dioclecià va posar en marxa per a redreçar l'Imperi. Ara bé, aquestes reformes tingueren un alt cost social i polític: una concepció teocràtica del poder que sacralitzava l'emperador i assimilava la seva funció de govern com una missió divina.

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À l’aube du IXe siècle, les Carolingiens prétendent imposer à l’Occident l’unité dans la foi et le culte. Cet idéal domine les pensées des empereurs qui se conçoivent comme protecteurs, législateurs et juges, mais aussi vicaires du Christ et recteurs de l’Église. De telles ambitions stimulent l’élaboration d’un gouvernement original. Comme les conquêtes avaient composé une vaste mosaïque de populations, de cultures et d’intérêts, la concorde posait un grand défi. Pour y répondre, Charlemagne et Louis le Pieux ont fait des communications leur premier outil politique. Leur inventivité et leur efficience furent appréciables, mais elles n’ont pas suffi à leur gagner toutes les adhésions : la discorde s’est installée là où l’empereur ne parvenait pas à maintenir une relation forte avec les élites régionales. Les distances et les modalités des communications déterminaient la nature de leurs échanges, donc leurs limites et, de ce fait, le destin de l’Empire carolingien. L’enquête aborde un vaste éventail documentaire : actes, capitulaires, correspondances, monnaies... Elle s’intéresse particulièrement aux relations du pouvoir impérial avec les élites du sud-ouest de l’empire. Ses résultats dépendent d’un étayage complexe : dispositifs de représentation du pouvoir, conséquences politico-sociales des distances et des vitesses de déplacement, anthropologie de la rencontre et des relations à distance, étude des réseaux. Au-delà des considérations propres à l’histoire des VIIIe-IXe siècles, elle démontre l’intérêt d’aborder les réalités politiques prémodernes du point de vue des défis que présentent les distances géographiques, les rencontres et les communications.

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En continuité avec les ouvrages récents (Veyne 1981, MacMullen 1988 et Kelly 2004) qui tentent de relativiser les effets néfastes de la corruption lors du Bas-Empire, ce travail étudie le suffragium, le processus de nomination des fonctionnaires de bureaux, afin d'évaluer comment les acteurs sociaux du IVe siècle considéraient ce phénomène. Ce système, organisé d'une telle façon que les hauts fonctionnaires devaient fournir des lettres de recommandation aux candidats postulant à des postes au sein de la fonction publique, serait devenu complètement corrompu durant le IVe siècle et les lettres de recommandation auraient commencé à être systématiquement vendues. Pourtant, les lois de Constantin, Constance et Julien ne fournissent aucune preuve tangible que le suffragium était dans tous le cas vénal à cette époque. Bien au contraire, les empereurs ajoutaient la plupart de temps des épithètes au terme suffragium pour spécifier qu'il parle du suffragium vénal. Généralement, les empereurs sont présentés comme farouchement opposés au suffragium et à toutes les tractations qui y sont attachées. Loin d'être aussi hostiles envers les « pratiques corrompues », les empereurs de la dynastie constantinienne firent preuve d'un certain pragmatisme en voyant qu'ils ne pouvaient contrôler toutes les nominations de ceux qui voulaient entrer dans la fonction publique et que ce n'était pas nécessairement à leur avantage de le faire. Les empereurs se concentrèrent plutôt sur les restrictions entourant les promotions afin de faire en sorte que les personnes qui avaient de réels pouvoirs soient celles qui avaient démontré leurs qualités tout au long de leurs années de service. Bien qu'ils n'aient pas concrètement légiféré sur les critères d'embauche des candidats, cela ne veut pas dire que n'importe qui pouvait obtenir un poste. À travers l'étude des lettres de Libanios et de Symmaque, ce travail démontre que les hauts fonctionnaires ne fournissaient pas de lettres à quiconque le demandait, puisque leur réputation pouvait être entachée par le fait d'avoir recommandé un mauvais candidat à un de leurs amis. Les hauts fonctionnaires qui recevaient les recommandations pouvaient également soumettre les candidats à des examens afin d'être certains de la qualité de l'individu. Ce système officieux de contrôle des candidats vint pallier, en partie, les déficits de la législation impériale. Conjointement, la loi et les usages permirent à l'administration de fonctionner en lui fournissant des candidats qui répondaient aux critères de l'époque.

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Les cultes isiaques se répandent autour du bassin méditerranéen entre le IVe s. av. et la fin du IVe s. apr. J.-C., arrivant à Rome au Ier siècle av. notre ère et y disparaissant conjointement aux cultes païens traditionnels avec ou peu après le coup porté par Théodose. Leur diffusion romaine s’étale donc sur une grande partie de l’histoire de l’Empire d’Occident, et ils vont ainsi se retrouver face à l’homme désormais considéré comme primus inter pares, grâce à l’accumulation de ses pouvoirs. L’empereur est pontifex maximus, c’est-à-dire maitre des cultes publics et du droit religieux, et il est ainsi l’agent du pouvoir qui a le potentiel religieux et législatif pour avoir un discours varié sur les autres traditions religieuses. Il semble donc inévitable que la sphère cultuelle isiaque rencontre et interagisse avec la sphère religieuse traditionnelle romaine, et que certains empereurs interfèrent, par renforcement ou au contraire par opposition, avec les cultes isiaques arrivés peu de temps avant l’avènement du pouvoir impérial. Cette thèse se propose non seulement d’étudier la dialectique entre institué romain (la force d’inertie) et instituant isiaque (la force de changements) dans la direction d’une potentielle altérité incluse (soit le dialogue évolutif du Nous par rapport à l’Autre), mais notamment par les liens publics romains et évolutifs entre l’empereur et les divinités isiaques. Nous effectuons cette recherche grâce à quatre types de sources antiques : la littérature pour le point de vue de l’élite littéraire gréco-romaine ; les inscriptions isiaques pour une définition surtout populaire de l’identité évolutive de l’instituant isiaque ; les monnaies et les oeuvres monumentales pour le point de vue public (et parfois plus personnel) impérial. Nous concentrons notre étude à partir de la dynastie sévérienne, qui laisse supposer que les cultes romano-orientaux profitent de la nouvelle configuration impériale avec des empereurs originaires d’Afrique et d’Orient, dans un phénomène d’« impérialisation » isiaque intensifié par un engagement tant impérial que populaire. En outre, nous nuancerons les conséquences sur la diffusion isiaque des troubles qui surviennent dans la deuxième moitié du IIIe siècle. Enfin, le IVe siècle, avec la christianisation de l’Empire et donc un christianisme devenant institué, ouvre sur une analyse des débats entre les défenseurs actifs du paganisme et les auteurs chrétiens, et de là, vers des interrogations sur l’intervention de la sphère isiaque dans ce face-à-face.

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Although the medieval papacy's stance towards the Jews is a well-established area of research, Jewish ideas about the papacy remain a surprisingly underdeveloped historical topic. This article explores such ideas through the genre of polemic and disputational literature. Jewish writers were keen to ensure the safety of their communities in western Europe and grateful for statements of papal protection. They fully acknowledged that popes had always played and would continue to play an important role in safeguarding their well-being and determining their future. Yet although contemporary and later writers often valued papal protection more highly than that of monarchs, emperors or clergy, they also knew that it had its carefully circumscribed limits. Furthermore, although they were respectful of the papacy's power, both spiritual and temporal, they were dismissive of the scriptural and theological formulations on which Christian claims for apostolic authority rested and highly critical of Christian beliefs about the papacy, in particular that of apostolic succession. Jewish ideas about both individual popes and the medieval papacy as an institution are therefore nuanced and complex; they deserve rigorous and wide-ranging investigation and it is hoped that this article will contribute to their better understanding.

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In the year 376 of the Common Era, a tribe of Germanic warriors known as Tervingi , of Gothic extraction, crossed the Hister (Danube) river due south, entering the Roman Empire. They fled the Huns, a nomadic group that came plundering their way from the East. It did not take long for a conflict between the Roman imperial authorities and the refugees to begin. Peace was reached in 382 and, henceforth, the Tervingi would be officially foederati (allies) of the Romans, gaining the right to remain an autonomous tribe inside the borders of the Empire. For the next thirteen years the Tervingi warriors fought beside the Roman imperial armies in every major conflict. Nevertheless, after the death of the emperor Theodosius I in 395, their relations deteriorated severely. In theory, the Tervingi remained Roman allies; in practice, they begun to extort monies and other assets from the emperors Honorius and Arcadius. The sack of Rome by the Tervingi king Alaric in 410 was both the culmination and the point of inflection of this state of affairs. During the 410s the Tervingi warriors would fought again beside the Roman Imperial armies and be rewarded with a piece of land in the southwestern portion of the Gallic diocese. Dubbed Visigoths , they would remain trusted Roman allies throughout the next decades, consolidating their own kingdom in the process. This dissertation deals not only with the institution of the Visigothic kingdom in the southwestern portion of the Galliae but also with the social and economic conditions that hindered the Roman ability to defend their territory by themselves, hence opening opportunities for foederati like the Tervingi to carve out a piece of it for themselves.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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Pós-graduação em História - FCLAS

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Pós-graduação em História - FCHS

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Epic poetry in the construction of Dion Chrysostom’s Discourses. The construction of images in the speeches of Dion Chrysostom was drawn from references in Homer. When the orator uses images from Greek epic poetry, Dion Chrysostom intimates the representation of images found in the literature to propagate his philosophical and political ideas during the first century A.D. under the administration of the emperors Domitian, Nerva and Trajan. Current analysis of the author’s works discusses literature as one of the representational forms of Hellenistic identity under Roman domination.

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The Qing emperors, who ruled over China from 1644-1911, managed to bring large parts of Inner Asia under their control and extended the territory of China to an unprecedented degree. This paper maintains that the political technique of patronage with its formalized language, its emphasis on gift exchange and expressions of courtesy is a useful concept for explaining the integration of Inner Asian confederations into the empire. By re-interpreting the obligations of gift exchange, the Qing transformed the network of personal relationships, which had to be reinforced and consolidated permanently into a system with clearly defined rules. In this process of formalization, the Lifanyuan, the Court for the Administration of the Outer Regions, played a key role. While in the early years of the dynasty, it was responsible for collecting and disseminating information concerning the various patronage relationships with Inner Asian leaders, over the course of the 17th and 18th centuries its efforts were directed at standardizing and streamlining the contacts between ethnic minorities and the state. Through the Lifanyuan, the rules and principles of patronage were maintained in a modified form even in the later part of the dynasty, when the Qing exercised control in the outer regions more directly. The paper provides an explanation for the longevity and cohesiveness of the multi-ethnic Qing empire. Based on recently published Manchu and Mongolian language archival material and the Maussian concept of gift exchange the study sheds new light on the changing self-conception of the Qing emperors.